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Baby-sitter par des jumelles – Chapitre 3

Baby-sitter par des jumelles - Chapitre 3



Baby-sitté par des jumelles (3)

J’étais en plein rêve érotique quand j’ai commencé à me réveiller. Je suis un peu déçu que cette branlette onirique se finisse aussi rapidement. Mes yeux s’ouvrent doucement, je reprends mes esprits mais j’ai encore la sensation de me faire masturber. Je baisse les yeux et je vois effectivement  qu’une main m’excite le sexe. Je remonte le bras : c’est Léa, tout sourire : « Ah bah enfin, espèce de paresseux. J’ai bien cru que mon petit traitement n’allait pas fonctionner. ». Je regarde sur ma droite et je constate qu’Inès est, heureusement, encore endormie. Alors que je veux me relever pour m’asseoir sur le lit je sens que mes mains sont retenues par quelque chose. Je tourne la tête et distingue des menottes autour de mes poignets, accrochées à mon lit.

 – Eh ! Mais qu’est-ce que vous faites les filles ? Il ne faut pas qu’Inès vous voit. Et qu’est-ce que c’est que ces menottes ? Où est-ce que vous les avez trouvées et pourquoi vous m’avez attaché ? dis-je énervé, mais le moins fort possible, pour qu’Inès ne se réveille pas.

 – Shhhh ! T’inquiète pas, c’est pour ton bien qu’on fait ça, dis Manon en rigolant. Regarde, on te fait une petite branlette de réveil, c’est pas la belle vie ?

 Effectivement, c’était plutôt agréable. Mais je ne comprenais toujours pas pourquoi les menottes.

 – T’en fais pas, on vous a réservé des petites surprises pour cette soirée à toi et ta nouvelle petite amie, dis Léa, malicieusement. Et on commence tout de suite avec une petite vidéo.

Manon me mis alors un téléphone devant les yeux et lança la vidéo.

On y voyait les jumelles, dans la chambre de mes parents, en train de rire le moins fort possible. Manon chuchota à la caméra : « Salut Arthur. Pendant que tu es en train de découvrir le magnifique corps de ta nouvelle petite amie dans la pièce à côté, nous on te fait une petite vidéo souvenir. ». En arrière-plan on voyait Léa en train de chercher dans les armoires, sous le lit. Au bout d’un moment elle vint poser une boite sur le lit.

 – Eh Manon, vient voir ce que j’ai trouvé.

 – Mais qu’est-ce que c’est que tout ça ? dit Manon en pointant la caméra vers une boite remplie de sextoys en tout genre et des menottes qui m’enserraient actuellement les poignets.

Comment de telles choses pouvaient bien se trouver dans la chambre de mes parents ?

 – Regarde celui-là, dis Léa en soulevant un double gode rose.

 – Oh, il est énorme, dit Manon, toujours en chuchotant.

 – Ça te dit de le tester ?

 – Carrément ! s’exclama doucement Manon.

 – Mets-toi sur le lit alors.

Manon s’exécuta et continua à filmer la scène. On voyait parfois ses beaux seins au premier plan et son pubis derrière. Léa vint se positionner à genoux entre les jambes de sa sœur. Elle commença à humidifier une extrémité du gode avec sa salive, tout en mimant une fellation. On voyait que seulement une petite partie du gode rentrait dans sa bouche tellement il était volumineux. Elle mima ensuite une branlette espagnole en se passant le gode entre les seins, toujours en l’enduisant de salive. Pendant ce temps Manon se masturbait le clitoris afin de commencer l’excitation. Puis quand le gode fut assez humide, Léa l’approcha de l’entrée du vagin de Manon qui mouillait déjà.

 – Mais il est trop gros. Ça ne va jamais rentrer, dit-elle à Léa, un peu inquiète.

 – Ne t’inquiète pas. Tout rentre dans le vagin de ma sœur chérie. Il est capable de prendre plus de chose que tu ne peux l’imaginer, la rassura ironiquement sa sœur.

Sur ces mots Léa commença à pousser contre l’entrée du vagin. Avec ses doigts elle essayait d’écarter les lèvres et d’augmenter le diamètre de ce puit d’amour. Elle réussit à enfoncer le gland d’un coup ce qui arracha un petit cri à Manon : « Oooh ooouuiii ! Je sens que ça va être bon. ». Léa lui mit alors une main sur la bouche et lui rappela de faire le moins de bruit possible. Manon acquiesça et Léa repris sa pénétration. Millimètre par millimètre le gode disparaissait dans la chatte de Manon. On entendait bien dans la caméra que le souffle de Manon s’accélérait. Léa poussa le gode encore une dizaine de centimètre et Manon chuchota : « Oh oui ! Tu touches le fond ». Léa commença alors à faire des va-et-vient dans la chatte de sa sœur qui émettait de petit gémissement à chaque pénétration. On voyait le gode s’enfoncer chaque fois de plus de 10cm dans le vagin de Manon. Elle se masturba le clitoris et Léa vint l’aider en le léchant à grand coup de langue. « Oooh c’est tellement bon », s’exclama Manon, « Enfonce-toi aussi ce gode dans la chatte, j’ai envie de te voir prendre ton pied. ». Léa ne se fit pas prier et elle se positionna assise en face de sa sœur, le gode à l’entrée du vagin. Elles entrecroisèrent leurs jambes et Léa s’enfonça doucement le gode rose dans la chatte. Elle avait déjà un peu mouillé ce qui permit de le faire rentrer plus rapidement. Le gode entier dans sa chatte lui arracha un râle de plaisir qu’elle essaya de dissimuler. Une fois que les jumelles eurent chacune une extrémité du gode dans leur vagin respectif elles commencèrent à onduler leur bassin de manière à y faire rentrer le gode. Chacune excitait le clitoris de l’autre avec ses doigts, puis elles vinrent s’embrasser à pleines bouches. Manon posa la caméra pour pouvoir enlacer sa sœur et l’embrasser aussi fort que le plaisir qu’elles se donnaient.

Léa vint ensuite se positionner sur Manon, comme en position du missionnaire, mais toujours avec le gode dans leurs chattes. Chacune mimait l’action du coït grâce au pénis factice qui reliait leur deux corps magnifiques. Elles s’agitaient l’une sur l’autre pour se faire jouir plus vite. Puis sans rien se dire elles se positionnèrent chacune à quatre pattes, le gode toujours enfoncé dans leur vagin. Elles commencèrent alors des mouvements d’avant en arrière pour s’enfoncer le gode toujours plus profondément. Sur l’écran on voyait Manon qui se filmait de face, une main sur la bouche pour étouffer ses gémissements de plaisir. Son corps tremblait chaque fois que ses fesses allaient claquer contre celles de sa sœur. Elles gémissaient toutes les deux : « Oh oui, c’est tellement bon ! ». Manon mit la caméra sur le côté et on pouvait voir qu’à force de se pénétrer les deux filles avaient presque engloutis en entier le gode dans leurs chattes. Au bout de quelques minutes de ce traitement elles retirèrent le double gode de leurs vagins et sucèrent chacune l’extrémité de l’autre. Elles s’appliquèrent afin de ne laisser aucune trace de cyprine, mais cela ne les dérangeaient pas vraiment car elles adorent chacune le goût de la mouille de l’autre.

Une fois qu’elles eurent fini ce travail elles posèrent le gode et se mirent en position des ciseaux : chatte contre chatte, les jambes entrecroisées. Elles se frottèrent doucement l’une contre l’autre, des petits gémissements de plaisir accompagnant leurs ébats. On voyait que leurs vagins commençaient à mouiller. Des bruits de sucions se faisaient entendre quand elles collaient et décollaient leurs vulves. Elles accélérèrent petit à petit leurs mouvements de bassins, tout en se masturbant le bouton d’amour. Puis Léa se redressa et s’accrocha à la jambe de sa sœur. Elle recommença ses mouvements de bassins mais plus fortement. Elle accéléra la cadence sur la chatte de sa sœur, on aurait dit qu’elle montait un cheval au galop. En quelques minutes elles se firent arriver à l’orgasme. Elles jouirent simultanément  et tombèrent dans les bras l’une de l’autre, se couvrant de baiser en finissant de se masturber.

Puis Léa propose à Manon : « Et si on les filmait ? Comme ça il pourrait se voir faire l’amour notre Arthur adoré. ». Manon accepta la proposition et suggéra de se remettre le gode dans leurs deux chattes pour me surprendre encore plus. Léa alla chercher le gode et elles se l’enfoncèrent une nouvelle fois. Puis elles s’approchèrent de la porte de la chambre. Manon l’entrouvrit pour vérifier qu’Inès ne la verrait pas. Elle ouvrit alors la porte je pus me voir en pleine action, en train de pénétrer la bouche d’Inès avec mon sexe. Je me vis aussi en train de leur faire des signes pour qu’elles s’en aillent. La caméra recula et Léa ferma la porte. Les jumelles étaient en train de rire. Elles s’allongèrent sur le lit et Manon dit : « Voilà Arthur, j’espère que cette petite vidéo souvenir t’as plu, en tout cas nous, on s’est bien amusé. ». Les jumelles s’embrassèrent une dernière fois devant la caméra puis la vidéo se coupa.

 – Alors ? Ça t’a plu ? me demanda Manon.

 – J’crois que tu peux le voir grâce à sa queue, dit Léa en rigolant.

J’ai effectivement une gaule d’enfer. Léa en profite pour se mettre à genoux sur le lit et me masturber. Il ne faut que quelques secondes pour que mon orgasme vienne. Elle place alors sa bouche autour de mon sexe et des jets de sperme viennent la remplir.  Elle aspire jusqu’à la dernière goutte puis va embrasser sa sœur. Elles échangent ce liquide blanchâtre comme si c’était la dernière goutte d’eau sur Terre, puis l’avalent enfin.

 – Bon, maintenant je crois que c’est à Inès de prendre un peu de plaisir, n’est-ce pas ? dit Léa d’un ton malicieux.

 – Tout à fait. Arthur en a eu bien assez, il faut partager, dit Manon en rentrant dans le jeu de sa sœur.

 – Eh non ! Qu’est-ce que vous faites ? Elle va vous voir. Sortez de la chambre, dis-je alors que les menottes m’enserraient toujours les poignets.

 – Non, on ne va pas sortir. Quant à nous voir… c’est le but. Inès va très bien nous voir, même. Nous voir, nous écouter, nous sentir, nous toucher… nous goûter, chuchota Léa au creux de mon oreille.

Elle se redresse et pose son doigt sur la cuisse nue d’Inès. Elle remonte doucement à l’intérieur de la cuisse, passe sur le clitoris (ce qui fait légèrement réagir Inès), va jusqu’aux seins dont elle fait plusieurs fois le tour, titille un mamelon, remonte le cou et arrête son doigt sur la bouche d’Inès. Elle se penche alors sur elle et l’embrasse du bout des lèvres. « Très bon choix », me dit-elle, taquine. « Viens Manon, on va s’occuper d’elle ». Manon va de l’autre côté du lit et pose aussi ses mains sur Inès. Les jumelles commencent à caresser ma nouvelle amante. Leurs mains passent sur ses seins et sa vulve. Au bout d’un moment Inès se réveille. Elle garde les yeux fermés et dit : « Je ne savais pas que tu avais les mains si douces Arthur ». Les filles ne peuvent retenir un petit rire, ce qui fait ouvrir ses yeux à Inès. « Eh mais qu’est-ce qu’il se passe ? Qui êtes-vous ? ». Elle n’a pas le temps d’en dire plus que Léa lui met déjà une main sur la bouche : « Shhhh, calme-toi. On est là pour te faire du bien. Et comme je vois que tu regardes Arthur sache que ses menottes sont là pour l’empêcher de toucher. Pour l’instant il ne fait que regarder. Nous par contre, on va bien s’amuser ensemble. ». Léa s’approche alors du visage d’Inès et l’embrasse. Inès est très surprise et essaie de se dégager.

 – Eh mais attendez, je ne suis pas lesbienne.

 – T’inquiète pas, avec nous tu vas le devenir vite fait bien fait. Peut-être même que tu n’auras plus envie de ton nouveau chéri, après, dit Léa en me regardant avec un sourire.

Puis elle reprend la bouche d’Inès. Elle est de moins en moins réticente. Au bout d’un moment c’est même elle qui prend le dessus pour faire les baisers. Elles s’arrêtent un peu essoufflées. Inès baisse les yeux, comme si elle était un peu honteuse d’avoir pris du plaisir à embrasser une fille.

 – Tu vois, tu aimes déjà, lui dit Léa.

 – Si elle aime ça je pense qu’elle va adorer ce que je lui prépare, dit Manon.

 – Je t’en prie, à ton tour.

Manon va embrasser Inès mais sa main vient aussi se balader entre les cuisses de sa nouvelle amante. Ceci surprend Inès, mais Manon la rassure. Elle la fait s’allonger et se place entre ses jambes. Manon embrasse l’intérieur des cuisses et vient petit à petit vers la vulve d’Inès. Elle effleure ses lèvres puis passe quelques coups de langue dessus. Inès soupir de plaisir. Manon écarte légèrement les lèvres et lèche le clitoris. Sa langue enduite de salive glisse sur ce bouton d’amour et le titille par quelques mouvements rapides. Elle excite ce clitoris en le faisant rouler entre ses doigts et l’embrasse de quelques baisers. Puis Manon commence à tapoter le sexe d’Inès, ce qui l’excite très fortement. Manon revient ensuite coller son visage sur la vulve d’Inès. Elle pénètre le vagin avec sa langue et fait des mouvements de haut en bas sur les lèvres et le clitoris. Inès ne peut plus résister à l’appel du sexe lesbien. Elle appuie sur la tête de Manon, elle en veut plus. Manon ne demande que ça et augmente la cadence de sa langue sur la chatte d’Inès. Cette dernière se cambre de plaisir et l’orgasme l’atteint en quelques secondes. Un cri de jouissance accompagne des spasmes de plaisir dans son corps. Elle se couche encore plus sur le lit, haletante. Un sourire se dessine sur son visage. Manon récolte un peu de cyprine de la chatte d’Inès sur ses doigts puis vient l’embrasser. Inès lèche sensuellement les doigts de sa bienfaitrice et en profite pour lui chuchoter : « C’était tellement bon. », puis l’embrasse à son tour.

« Maintenant que tu as pris du plaisir tu vas apprendre à en donner » dit Léa. Elle brandissait un gode qu’elle était allée chercher dans la chambre de mes parents pendant qu’Inès se faisait manger la chatte. « On va t’apprendre à faire une bonne fellation. ». Les trois filles se mettent au bout du lit. Le gode avait la forme d’un vrai pénis, avec des testicules, et pouvait se coller à un mur grâce à une ventouse. Mais Léa le pose verticalement sur le lit. « Vas-y, commence par nous montrer ce que tu sais faire. ». Inès se penche sur le gode, le prend d’une main et commence une fellation. Au bout d’une minute Léa l’arrête : « Ok, c’est pas mal pour une fille qui vient juste de perdre sa virginité, mais tu manques encore de technique, c’est normal. Regarde comment on fait. ». Léa commence par passer sa langue de haut en bas sur le gode. Elle part des testicules et remonte jusqu’au gland puis redescend. Elle entoure parfois le gland du bout de ses lèvres et aspire un petit peu. Puis elle fait quelques baisers sur le sexe factice. Une fois fait, elle englobe tout le gland dans sa bouche et commence les va-et-vient autour du sexe. Une main vient en plus masturber le gode. La salive coule dessus ce qui permet à Léa de l’enfoncer de plus en plus loin dans sa bouche. A un moment elle retire ses mains et essaie d’enfoncer le gode le plus loin possible dans sa gorge. Les bruits caractéristiques de gorge profonde se font entendre mais Léa tiens plus longtemps le sexe dans sa gorge qu’Inès. Elle finit par se relever en reprenant sa respiration puis reprend le gode dans sa bouche et recommence à le sucer et à le branler.

Ceci doit exciter Inès car je peux la voir, alors qu’elle est à quatre pattes en train de regarder Léa sucer ce gode, se masturber allègrement. Sa main passe entre ses jambes et vient faire de petit cercle sur sa vulve et son clitoris pour les exciter. Manon qui est à côté d’elle a aussi remarqué ce petit manège et la cyprine de tout à l’heure n’a pas dû lui suffire car elle humidifie deux de ses doigts et revient les glisser dans le trou d’amour d’Inès. Pendant ce temps Léa continue toujours sa démonstration. Ses deux mains sont maintenant sur le gode en train de le branler. Elle continue la fellation quelques minutes puis s’arrête et dit à Inès de réessayer. Inès revient prendre le gode en bouche et applique tous les conseils de Léa. Au bout de quelques minutes Léa l’arrête : « C’est bon Inès, je crois que tu es prête maintenant. Et pour le vérifier quoi de mieux qu’un cobaye. Je crois qu’Arthur n’attend que ça. ». Effectivement ce spectacle m’avait fait dresser le mât et je ne voulais qu’une chose : qu’Inès me suce.

Elle s’approche de moi à quatre pattes, vient presque jusqu’à mon visage, je m’avance pour l’embrasser mais elle recule et nos lèvres ne font que s’effleurer. Elle me regarde, taquine, elle sait qu’en faisant ça je la désire encore plus, mais les menottes m’empêchent de venir l’embrasser à pleine bouche. Elle approche sa tête de mon sexe dressé et commence à le branler doucement avec ses deux mains. C’est déjà bon. Elle me regarde dans les yeux, je la désire. Elle vient déposer un peu de salive sur le haut de mon gland, passe ses lèvres autour, et descend doucement le long de mon sexe. Je sens ses lèvres passer autour de chaque centimètre de mon membre.

 – Oh oui, c’est bon, m’exclamé-je.

 – Ah, on dirait que notre enseignement a porté ses fruits, dit Léa en souriant.

Effectivement, je sens déjà la différence avec tout à l’heure. Inès accélère petit à petit la vitesse de ses va-et-vient. Une main vient caresser mes boules pendant que l’autre me masturbe toujours. Puis elle vient gober mes boules en entier dans sa bouche. Elle les fait rouler avec sa langue, joue avec. Je ne pensais pas que ça pouvait faire autant de bien. Elle remonte ensuite mon sexe en le léchant de bas en haut et s’arrête au niveau du frein de mon pénis. Elle le titille avec sa langue et quelques secondes suffisent pour que mon orgasme vienne. Elle place sa bouche autour de mon gland et les jets de sperme chaud viennent s’écraser dans sa gorge. Elle avale tout et vient à côté de moi m’embrasser.

Nous regardons alors les jumelles qui pendant ce temps se donnent du plaisir en position 69. Manon, qui est au-dessus, passe de grand coup de langue sur la chatte de Léa, qui elle, enfonce trois doigts dans l’intimité de sa sœur. Elles poussent chacune des petits cris de plaisirs. Léa agite ses doigts dans le vagin de sa sœur et en profite pour caresser son clitoris avec son pouce. Avec son autre main elle vient titiller la rondelle de sa sœur et y mettre parfois un doigt. Manon, elle, est en train de dévorer la chatte de sa sœur. Elle passe sa langue à toute vitesse sur la vulve et le clitoris, aspire les lèvres, enfonce quelques doigts à l’intérieur du vagin de Léa.

Quand j’ai repris des forces Inès me glisse à l’oreille : « Ça m’excite tout ça, j’ai envie que tu me baises. ». Je la soulève alors et la place à califourchon sur moi. Elle commence des mouvements de bassin mais seulement en frottant sa vulve sur mon pénis, ce qui a pour effet de rapidement lui faire prendre sa taille maximale. J’en profite pour prendre ses petits seins entre mes mains, sucer et jouer avec ses mamelons. A force de se frotter à mon sexe le sien s’humidifie rapidement et Inès en profite pour les faire se combiner. Elle continue alors ses mouvements de bassin, telle une cavalière sur un cheval au galop. Ceci permet à mon membre d’aller explorer tous les recoins de son intimité et Inès n’a pas l’air de s’en plaindre vu le sourire sur son visage. Je l’embrasse puis descends mes mains jusque sur ses fesses que j’attrape fermement. J’augmente alors le rythme et la pénétration des va-et-vient. Puis j’enlève mes mains de ses fesses et lui demande de garder ce rythme. Elle le garde pendant un petit moment puis je sens que le rythme baisse. Je lui mets alors une petite fessée pour la rappeler à l’ordre, et elle augmente alors le rythme d’elle-même. Je crois qu’elle aime ces fessés car je sens qu’elle fait exprès de baisser le rythme des va-et-vient sur ma bite juste pour en recevoir. A chaque fessé elle pousse d’ailleurs un petit cri de contentement : « Oh ! oui, vas-y ».

Inès continue de me chevaucher encore quelques minutes puis elle se retire dans ma bite. Elle se retourne, se met à quatre pattes, la chatte devant mon visage : « Maintenant prends-moi en levrette. ». Je passe quelques coups de langue sur sa vulve puis je me positionne derrière elle. J’insère doucement mon sexe en elle, agrippe ses hanches et commence mes va-et-vient. Pendant ce temps Inès a approché sa tête de celle de Léa qu’elle embrasse. Mais je leur rends la tâche complexe à cause de mes coups de boutoir dans la chatte d’Inès. Elle va d’ailleurs maintenant lécher celle de Manon qui lui est offerte. Ainsi, les doigts de Léa et la langue d’Inès sur Manon et la langue de Manon sur Léa font jouir les jumelles en quelques minutes.

Une fois qu’elles se sont remis de leur orgasme, les jumelles viennent se placer chacune d’un côté d’Inès que mes mouvements de bassin font toujours tressauter. Ces deux culs sont toujours aussi magnifiques, bien rond, presque une forme de cœur. Je commence par leur mettre quelques fessées qu’elles semblent apprécier mais je passe vite aux choses sérieuses en excitant leurs vulves. Je fais tourner rapidement mes doigts entre leurs lèvres et sur leurs clitoris. Afin de me concentrer sur la chatte des jumelles j’ai ralenti les va-et-vient de mon sexe dans le vagin d’Inès. Mais celle-ci en veut toujours plus et c’est elle qui augmente la cadence et la profondeur de mes allers-retours. Maintenant que j’ai bien excité la chatte des jumelles il faut passer à l’étape supérieure et je commence à insérer mon index dans leur anus. Après quelques mouvements j’ajoute mon annulaire et mon auriculaire dans leurs vagins. Ceci leur procure des sensations vaginales et anales, et apparemment ça leur plait vu les gémissements qu’elles émettent.

Après quelques minutes je retire mes doigts des différents trous des jumelles. Manon en profite pour aller s’asseoir devant Inès afin de se faire bouffer la chatte. Inès ne se fait pas prier et enfonce sa langue dans le vagin de Manon. Mes coups de boutoir dans le vagin d’Inès sont ainsi transmis vers celui de Manon, auxquelles Inès ajoute des coups de langue. Pendant ce temps Léa s’est placé au niveau des fesses d’Inès. Elle embrasse ces deux belles formes puis commence à les écarter l’une de l’autre. Sa langue vient alors se poser sur la rosette d’Inès, qui semble un peu surprise au début mais qui s’habitue finalement très vite. Léa titille les bords de l’anus puis écarte le trou afin d’y enfoncer un peu sa langue. Ce sont des sensations nouvelles pour Inès qui en redemande plus. Léa enfonce alors un doigt dans ce trou interdit, puis deux et fait quelques va-et-vient. Inès a arrêté de bouger sur ma queue, elle se concentre sur ses sensations anales. Je sors alors ma bite de son vagin et la place à l’entrée de son cul. Léa, voyant ce que je veux faire, tente d’agrandir l’anus d’Inès. De plus elle le lubrifie avec de la mouille d’Inès et de la salive. Je pose alors mon gland sur l’anus d’Inès et commence à doucement enfoncer mon membre. Le souffle d’Inès se fait plus court mais elle arrive à se détendre : elle sait que je ne la forcerai pas et que je ne lui ferai pas mal. J’enfonce délicatement mon gland en elle. Une fois qu’il est rentré je le ressort puis le re-rentre quelques fois. Mon sexe dur disparait petit à petit dans ce trou étroit. Une fois que je suis arrivé au bout je commence les va-et-vient. Au début ils sont tous petits, pour ne pas faire mal à Inès, mais ils s’amplifient lorsque je sens qu’elle prend du plaisir. Au bout de quelques minutes Inès n’a plus du tout mal et je peux presque faire sortir toute ma bite pour ensuite la refaire entrer au plus profond d’elle. Son petit trou serré m’appuie sur la queue et en quelques minutes ma jouissance vient. Inès le sens et elle me dit : « Jouis en moi. Je veux sentir ton liquide chaud dans mon cul. ». Alors que l’orgasme monte en moi, c’est Inès qui jouit juste avant. La pénétration anale lui a plu on dirait. Ses muscles se contractent, y compris ceux de son cul, ce qui me fait venir encore plus vite. J’exécute les désirs d’Inès et déverse tout mon sperme dans son trou interdit. J’ai à peine le temps de me retirer d’elle que les jumelles se précipitent déjà pour récolter le plus de sperme possible. Les jumelles lèchent goulument l’anus d’Inès. Du liquide s’échappe encore du petit trou. On dirait presque qu’elles se chamaillent pour en avoir plus que l’autre.

Une fois qu’Inès a récupéré de son orgasme les trois filles s’embrassent, s’échangeant encore mon sperme de bouche en bouche. Léa en vient à être allongée sur le dos et Inès et Manon en profite pour descendre vers sa chatte humide. Les deux filles lèchent l’intimité de Léa. On aurait dit un car-wash : chaque parcelle était inspectée à la perfection par les deux langues inquisitrices. L’une s’occupait du clitoris et l’autre des lèvres et du vagin puis elles échangeaient. Ce traitement divin excite Léa au plus haut point mais les deux autres filles ne veulent pas quelle jouisse tout de suite. Inès va alors placer sa chatte sur le visage de Léa et Manon attrape le gode. Elle enfonce le jouet dans le vagin de sa sœur et commence les va-et-vient. Pendant ce temps, Inès, qui visiblement aime de plus en plus le sexe lesbien, fait des mouvements de bassin en étant sur la bouche de Léa afin d’avoir encore plus de sensation. Léa a sorti sa langue et lèche tout ce qui est possible. Tout ceci m’excite fortement et je rejoins les filles en allant derrière Manon pour lui lécher la chatte. Ses fesses dressées me permettent de partir de son clitoris, de remonter toute sa vulve et d’aller jusqu’à son trou interdit. Je lèche Manon, qui pénètre Léa, qui lèchent Inès, qui excite le clitoris de Léa avec sa main. En quelques minutes les trois filles jouissent presque en même temps.

Puis Inès vient m’embrasser, elle me prend la main, me relève du lit et s’agenouille à mes pieds. Elle commence à me branler à deux mains en me regardant dans les yeux. Très vite les jumelles viennent. Manon rejoint Inès pour me branler et Léa vient m’embrasser. J’en profite pour masser ses seins.

 – Ce weekend était vraiment super, me dit-elle.

 – Rien ne serait arrivé si vous n’étiez pas venu dans ma chambre.

 – C’est vrai. Il faudrait qu’on se refasse des weekends comme ça.

 – Avec plaisir. Mais je crains que mes parents ne partent pas faire un weekend long avant longtemps maintenant.

 – C’est pas grave, tu viendrais chez nous, on est souvent seules avec Manon. Et on s’ennuie un peu, me dit-elle en me faisant un clin d’œil. Bien sûr tu amènerais Inès avec toi.

 – Haha oui, bien évidemment.

On s’embrasse à nouveau puis Léa s’agenouille avec les deux filles. J’ai à mes pieds les trois plus belles filles sur Terre et en plus elles sont en train de me branler et me sucer. Leurs langues passent sur ma bite et sur mes boules, je passe mon sexe d’une bouche à l’autre. Puis quand je sens que la jouissance vient je passe ma bite à ma nouvelle petite amie. Elle me suce encore mieux que toutes les autres fois. Elle s’agrippe même à moi pour faire une gorge profonde. Ma semence arrive et Inès me masturbe fortement. Les trois filles sont à genoux face à moi, leurs bouches grandes ouvertes, tels des oisillons attendant leur mère. Cette fois mon sperme sort et je déverse le liquide sur les visages et dans les bouches des trois filles. Chacune avale sa part puis elles s’embrassent et se lèchent encore une fois.

Nous allons ensuite tous les quatre nous allonger sur le lit.

 – C’était le weekend des premiers fois on dirait, fait remarquer Léa. Première expérience lesbienne pour Manon et moi, et Inès aussi. Première fois tout court pour Arthur et Inès. Première partouze pour tout le monde.

 – Et c’était plutôt bien je dois dire. Finalement je ne regrette pas que ma mère soit trop protective avec moi. En fait, plus elle me protège plus je fais de mauvaises choses, dis-je en rigolant.

 – Si toutes les mauvaises choses font cet effet je crois que je vais passer du côté obscure rapidement, plaisante Léa

 – En tout cas, heureusement que tu ne sais pas raccrocher un téléphone sinon on n’aurait peut-être jamais eu une telle occasion, dit Inès en venant m’embrasser.

 – C’est vrai. Et plus tu as fait le premier pas donc je te remercie, lui dis-je en souriant et en l’embrassant encore.  

 – Bon, et bien je crois qu’on va vous laissez les amoureux. Bonne première nuit d’amour ensemble, dit Léa avec un large sourire et un clin d’il.

Nous attendons que les jumelles sortent de la chambre puis nous nous regardons avec Inès et nous rions ensemble. Nos lèvres se rejoignent. Nous nous embrassons longtemps. Nous nous enlaçons. C’est si bon de partager le même lit que la personne que l’on aime.

 – Je t’aime tellement, lui dis-je.

 – Moi aussi. J’ai envie que cette journée ne s’arrête jamais.

 – T’as raison. Je crois que c’est la meilleure journée de ma vie.

 – A moi aus…

 – Oooh oui, baise-moi comme une chienne !

 – Ah, apparemment les jumelles sont déjà reparties pour un tour, dis-je amusé.

 – Ça m’excite de les entendre baiser. On y retourne nous aussi ?

  -Si tu es chaude ça me va.

 – Je serai toujours chaude pour baiser avec toi.

 – Alors c’est parti.

Inès vient alors se mettre sur moi. Je sens une nouvelle fois son vagin se glisser autour de ma bite. Une fois que tout mon membre est pris Inès commence ses va-et-vient. Je commence aussi à en faire, de plus en plus vite. Ceci fait gémir Inès de plaisir. Les jumelles ont entendu dans la pièce à côté et elles commencent aussi à crier de plaisir. Je redouble la cadence et Inès crie encore plus fort.

Je crois que la nuit va être longue. Pour nous. Et pour les voisins.

FIN

Ainsi s’achève ce weekend des premières fois. Laissez vos commentaires si l’histoire vous a plu. Rien qu’un petit mot d’encouragement fait toujours très plaisir. Et à bientôt pour de nouvelles histoires (j’ai d’ailleurs déjà publié le premier chapitre de ma nouvelle histoire « Ma nouvelle vie étudiante à Montmartre »). Bonnes lectures à toutes et à tous.

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