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Baby-sitting – Chapitre 13

Baby-sitting - Chapitre 13



13

Ghislaine m’enlaça et me souffla à l’oreille :

— Cette fois, ça y est, on est au pied du mur

— Espérons qu’on ne le prendra pas dans la gueule!

Je tournais le dos à la porte du salon, mais les caresses que me prodiguait Ghislaine s’arrêtèrent si brusquement que je me retournai pour en voir la cause. Karine faisait son retour. Mais quelle Karine!!!

La jeune femme s’était métamorphosée! Elle portait à présent des cuissardes blanches vernies avec un plateau sous la semelle qui lui permettait de marcher plus facilement sur la douzaine de centimètre des talons aiguille! En haut, elle avait enfilé un soutien-gorge en cuir noir dont les bonnets découpés exhibaient fièrement la pointe de ses seins. Son ventre plat et bronzé était souligné par un porte-jarretelles du même métal qui retenait des bas résilles. La panoplie était complétée par une paire de longs gants en agneau qui moulaient ses bras jusqu’au-dessus du coude, mais ce vers quoi  convergeaient nos deux regards, c’était le gode ceinture qui saillait de son pubis! Il était parfaitement ressemblant, couleur chair, les veines légèrement saillantes et bien dessinées, et de taille tout à fait humaine!

— Surprises les filles? Bien, maintenant, et pour commencer, je vais un peu vous relooker, mes chéries! Ghislaine, tu vas rester comme ça, mais tu vas m’enlever tout de suite ce body. Je veux tout voir à chaque fois que tu te pencheras en avant! Non, non, ne rattaches pas le blouson, je veux aussi voir tes seins.

Elle s’approcha d’elle et les caressa doucement tout en frottant son bassin contre celui de Ghislaine. Celle-ci ne bougeait pas.

— Hum, ils sont doux et fermes! J’aime. Et toi, ça te plaît que je les caresse comme ça, hein? Ca t’excite de te sentir gouine, hein?

Elle ne répondit rien, mais continua à se laisser faire.

— J’en étais sûre. Tu te la joues "bourge", mais en fait, tu es une petite allumeuse. Remarque, pas autant que ta copine! Elle, elle se pointe sapée "grande dame", bottes genre haute couture et jupe longue en cuir, mais en fait, elle en veut plein la culotte, c’est tout! Et bien vous n’allez pas être déçues. Allez, à poil, Samantha, à poil!

Elle me laissa juste les sous-vêtements en cuir blanc achetés le matin et mes bas assortis. Elle me tendit une paire de cuissardes en cuir rouge et une jupe noire, en cuir elle aussi, qui se fermait par un zip partant de la ceinture et descendant sur toute sa hauteur. En fait, "hauteur" n’était pas un terme approprié, car même en ayant descendu à fond la fermeture éclair, mes fesses étaient à peine couvertes. Elle était encore plus courte que celle de Ghislaine, et c’était là la différence entre un vêtement "sexy" et un accessoire érotique "hard"!

— Pour commencer, vous allez me mettre en condition. Je veux que chacune de vous deux m’excite un sein avec sa bouche pour seul accessoire! On va voir laquelle de vous deux est la plus douée

Pendant que nous faisions de notre mieux pour la satisfaire, elle nous encourageait de la voix. Elle posa ses deux mains sur nos têtes pour les guider. Les pointes de ses seins étaient maintenant durcies et elle poussait des soupirs de plus en plus voluptueux. Au bout de quelques temps, sa main se détacha de mon crâne et je la vis saisir son gode ceinture et commencer à se masturber comme l’aurait fait un mec. C’est alors que je constatai que c’était un modèle double et que le mouvement qu’elle venait d’entamer avait des répercussions directes sur son bas-ventre! Profitant de l’intensité de son excitation, je poussai les testicules en latex avec le dessus de la main et amenai un doigt  inquisiteur entre ses fesses. Elle poussa un soupir plus rauque et m’incita à continuer. Peu après, elle atteint l’orgasme.

Elle nous demanda ensuite de nous agenouiller pour la sucer toutes les deux en même temps. Comme je marquais un temps d’arrêt, elle me dit :

— Ne me dis pas que c’est une première pour toi, je suis certaine que tu en as déjà sucé plus d’une!

— Et bien, crois-moi ou pas, je n’ai jamais fait ça.

Ghislaine me prit la main et me dit d’une voix douce :

— Détends-toi et fais comme moi, je vais t’aider

— Ecoute ta copine, Sam, écoute-la bien.

Hésitant, mais forcé d’accepter les règles du jeu ou bien d’en sortir, je m’agenouillai face à Ghislaine et approchai ma bouche du godemiché que Karine exhibait fièrement. C’était une sensation plus qu’étrange de sentir les lèvres de Ghislaine contre les miennes et ce phallus de latex contre ma langue. Je remis mon index gauche au bord de l’anus de Karine, tandis que ma main droite se plaquait sur la toison pubienne de Ghislaine. Pour sa part, elle masturbait le gode de la main gauche pendant que la droite caressait la cuisse de notre hôtesse sans me quitter du regard. Je sentais sous mes doigts l’excitation de Ghislaine qui augmentait. J’appuyai mes caresses. Elle poussait des soupirs entrecoupés de petits cris. Cela m’encouragea à sucer plus activement Karine. En levant les yeux vers elle, je la vis sourire, manifestement satisfaite :

— C’est bien ce que je pensais : sous vos dehors "convenables", vous êtes deux chiennes. Hûûûm, j’aime ça,  les chiennes, quand il s’agit de sexe! Allez, je vous déclare ex aequo toutes les deux sur cette première manche. Tu es plus douée que Sam, Ghislaine, mais il faut récompenser les efforts qu’elle fait!

Elle nous fit relever et nous mit cote à cote; elle embrassa Ghislaine sur la bouche, elle lui caressa à nouveau les seins, puis sa main descendit lentement sur les hanches.

Elle força sa queue artificielle à passer entre les jambes de Ghislaine, mais sans la pénétrer. Pendant qu’elle s’activait ainsi, elle me caressait les fesses sous ma minijupe. Elle se détacha de ma compagne et me fit me retourner. Elle se plaqua derrière mon dos et frotta sa queue dans la raie de mes fesses. Malgré moi, je poussai un petit cri.

— C’est ça, joue les mijaurées, ça m’amuse! De toute façon, ça ne changera rien à ce qui vous attend!

Tout en disant cela, elle remonta à moitié la fermeture éclair du devant de ma jupe, puis sa main se glissa par l’entrejambe sous mon brésilien de cuir et elle fit sortir à l’air libre ma verge raidie.

— Ghislaine, prends appui sur le canapé pour te pencher en avant. Non, pas sur le dos du canapé, il est trop haut, penches-toi sur l’accoudoir.

— Tu veux tout voir, c’est ça, hein? Tu veux que je joue les salopes, et bien, tiens, la voilà ma chatte. Et bien, vas-y, mate, puisque ça t’excite tant!

Au moment où elle répondit à Karine, je retrouvai dans ses yeux cet éclat métallique que j’avais entrevu lorsqu’elle m’avait découvert la veille au soir, travesti avec ses vêtements. Elle se mit néanmoins dans la position réclamée. Penchée à ce point en avant avec les jambes tendues, sa superbe minijupe ne cachait effectivement plus rien de son intimité! Karine et moi avions une vue imprenable sur son cul et  sur sa chatte. Je frémis d’excitation. Karine s’en rendit compte :

— Elle te fait de l’effet, hein? Ne t’inquiètes pas, on va se la faire toutes les deux! Ensemble!

Toujours collée à moi et sans que sa main ne lâche prise, elle me poussa en direction de Ghislaine. Tout en me masturbant lentement, elle pointa ma verge à l’entrée du petit trou de Ghislaine. Je protestai :

— Non, je ne peux pas la prendre comme ça! Je ne veux pas!

— Ah non, et pourquoi donc?

— Parce que je veux être douce avec elle, je ne veux pas la baiser comme un mec en rut. Je refuse.

Je sentais le gode appuyé dans ma raie, mais résistai pourtant. Karine relâcha un peu sa pression, mais profitant de la position écartée des cuisses de Ghislaine, sa main enfonça mon sexe dans sa chatte sans plus de préliminaire. Fort heureusement pour elle, il régnait dans l’appartement un tel état d’excitation général que la pénétration se fit malgré tout sans encombre.

Karine avait laissé son index tendu plaqué contre ma queue qui allait et venait dans le ventre de Ghislaine. Elle ne nous laissa cependant pas longtemps profiter de ces mouvements. Elle me mit son doigt dans la bouche. Je le suçai avec plaisir. Sans l’enlever, elle me roula un patin d’enfer en regardant droit dans les yeux Ghislaine qui s’était redressée. Lorsqu’elle décolla ses lèvres de ma bouche, elle nous fit signe de la suivre dans la dernière pièce de son logement.

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