Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe français Histoires érotiques au travail

Berlin, son histoire, ses vices – Chapitre 8

Berlin, son histoire, ses vices - Chapitre 8



Chapitre 8 : Moi, directrice, soumise et dominatrice vicieuse.

Après ces quelques jours de tournage, le retour dans mon bureau est un peu plus douloureux que d’habitude. Isabelle me fait parvenir une lettre de démission, celle d’une des deux employées du bureau des plaintes. Je la convoque aussitôt afin d’en comprendre les raisons. Devant moi, assise, elle s’effondre en larme. C’est à peine quelle parvient à me faire comprendre que son mari l’a quittée pour une autre, un peu plus jeune, l’enculer ! Ne voulant pas la perdre à cause de ses compétences, je cherche une solution. Ben c’est qu’elle a une fille de six ans sur les bras, un grand appartement aussi. C’est d’Isabelle que la solution me parvient.

— Bien, écoute Marion. J’ai des solutions qui devraient t’arranger. La première, tu gardes ton logement. La seconde concerne ta fille. Il y a, près d’ici, Isabelle s’est renseignée, une garderie et une école privée. Alors voilà ce que je te propose. Tu gardes ton appart, tu mets ta fille dans cette école, l’entreprise prend en charge son écolage ainsi que les frais de garderie. Cela peut te convenir, ma douce Marion ?

— Je crois que oui, mademoiselle Aroa.

— Merveilleux alors. Pour l’école, Isabelle se charge de la lettre, ma chérie. Idem pour la garderie. Maintenant, veux-tu sécher tes larmes, ma belle. Cela me rend triste de te savoir en peine.

— Mais pourquoi tant d’attention ?

— Parce que je ne suis pas un monstre. Si je ne suis pas mariée au sens ou toi, tu l’entends, j’aime plusieurs personnes. Je sais ce que signifie dire séparation, crois-moi. Mon Maître Zut, mon amant n’est pas toujours auprès de moi.

— Votre Maître ? Est-ce à dire que vous êtes une esclave ?

— Comme tu y vas, non, juste une soumise qui aime parfois à se faire rudoyer, à obéir sans ne plus réfléchir, tu comprends ? Non, ce n’est pas grave, un de ces jours, quand tu iras mieux, nous pourrions en reparler, toi et moi. Enfin, si tu le désires.

— Je veux bien, Mademoiselle. Sachez que je vous estime bien plus que vous ne le pensez et ce depuis mon arrivée.

— Alors sache que c’est réciproque sinon, je t’aurais laissée partir sans même te retenir. Je ne peux pas dire cela de tous les collaborateurs. Oh, Isabelle, tiens, j’ai reçu cette lettre de notre ancien boss. Hum oui, Marion, sache encore une chose. Si tu venais à me décevoir, la première fois, cela ne sera qu’une réprimande. Mais à la seconde, tu vois cette cravache derrière moi ? Eh bien elle pourrait bien s’abattre sur ton popotin, ma belle. Est-ce bien clair dans ton esprit, ma douce secrétaire du bureau des pleures ?

— Parfaitement clair, Mademoiselle Aroa.

— Bien, file et si tu as le moindre souci, sache que mon bureau n’est jamais fermé.

— Je prends bonne note, Mademoiselle. Encore mille mercis pour ce que vous faites pour moi et mon trésor.

— De rien, ma belle, file maintenant.

Isabelle, juste après le départ de Marion, se penche sur moi, m’embrasse tendrement.

— Tu sais quoi, je me suis trouvée une merveilleuse Maîtresse. De plus non, chut mon amour pervers, je dois parler. Cette dominatrice connait ton amour de Maîtresse. C’est même elle qui me l’a conseillé. Oui, je sais, je mérite une douloureuse séance avec notre cravache. Ne t’inquiète de rien, ma douce, avant que l’été ne s’installe, tu pourras me punir aussi sévèrement que tu le voudras. Depuis trois jours, je suis à elle et, tout comme avec toi. J’en suis amoureuse autant que je le suis de toi. Elle n’est pas encore aussi sévère que ta belle Maîtresse. Cela dit, je lui ai fait part de mon désir d’aller jusqu’au bout et même au-delà. Oui, ma belle, je veux ne plus être que ton égale. Même Maître Heinz est d’accord pour me prendre dans ses films et avec l’accord de ma Maîtresse. Maintenant, si tu veux me punir pour mes cachoteries, je t’en supplie à genoux, sois la plus vache des dominatrices avec mon cul et mes seins que je t’offre.

— Ce que tu me dis, me réjouit le cur. Je savais que tu te cherchais une belle domina. Je le sais parce que je t’ai vue au Plaisir des Femmes. Maîtresse Clélia saura te guider, je la sais aussi très sévère quand tu ne te comportes pas comme elle le désire. Maintenant, pour ce qui est de te punir, j’ai bien ma petite idée et elle est vicieuse. Mets-toi en position, ma chérie, je vais te punir. Donne-moi tes mimines que je t’attache dans ton dos et penche-toi bien sur mon bureau. Là, comme ça et tu ne bouges plus.

Je profite de sa position pour abaisser son legging. Sans une culotte, Isabelle me facilite grandement la chose. Aussi, vicieuse à souhait, je fais revenir Marion dans mon bureau. Je lui demande expressément de ne pas frapper et d’entrer sans autre. J’ai juste le temps de prendre la cravache et de commencer à fouetter Isabelle que Marion pénètre déjà dans mon bureau. Là, stupéfaite, je suis obligée de lui ordonner de fermer la porte et de se mettre près de moi. Sans arrêter de fustiger ce magnifique postérieur, je ne cesse de fixer Marion. Mon côté vampe vient de reprendre le dessus. Et pire encore, Mademoiselle peut tout entendre, je l’ai appelée et le combiné est posé près de moi. Elle peut entendre les claquements de la cravache sur le cul d’Isabelle. De ma main libre, je prends celle de Marion que je pose sur le dos d’Isabelle. Puis, l’attirant tout contre moi, je m’empare de sa bouche qui s’ouvre sans que je naie besoin de la forcer.

— Tu vois, je savais ce que tu es au fond de toi. Rien de plus qu’une salope comme elle et moi. Oui, j’ai un Maître, mais j’ai aussi une Maîtresse, tout comme Isabelle. Et tu sais quoi, ma Maîtresse, elle nous écoute en ce moment même. Ma chérie, depuis que tu es arrivée, je rêve de t’avoir tout contre moi, de t’embrasser, de faire de toi une salope digne d’Isabelle et moi. Je sais, toutes les femmes qui passent près de moi, qui me plaisent, il me faut les corrompre. Pour tout te dire, j’aime pervertir. De ce côté, je suis comme ma Maîtresse, une vampe.

— Mademoiselle, elle a mal, non ?

Je couche Marion près d’Isabelle, le combiné du téléphone près de sa bouche. En maintenant fermement sa nuque d’une main, je claque son postérieur de l’autre. Je commence tout en douceur, poussant même Isabelle à s’occuper de ma chatte inondée de ma mouille. Pendant que je fesse amoureusement Marion, ma Maîtresse, et je le sais, se branle à l’autre bout du fil. Marion, sentant mes doigts fouiller sa chatte à peine humide, jouit une première fois, un long et doux soupir de bonheur. Je ne la relâche pas pour autant. Dans le deuxième tiroir de mon bureau, je sors un vibromasseur que j’enfonce dans cette chatte offerte.

— Tu vois, si je peux être méchante, je peux aussi te donner ce que tu n’avais plus, du plaisir, ma belle. Jouis tout ton saoul, ma douce, j’aime t’entendre jouir. Entre-nous, tu aimes, n’est-ce pas, ma chérie ?

— Oui, beaucoup ! Ce que je ressens est si magnifique, si bon, si agréable que je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Vous pouvez encore me fesser, mais plus sévèrement ?

— Si tu veux, ma chérie. Cette fois, c’est avec la cravache. Si tu ne veux plus, tu me dis simplement stop, d’accord ?

— Oui Mademoiselle Aroa, oui !

Je la fesse à la cravache. Pourtant, au début du moins, je ne cherche pas à l’endolorir, pas encore. Plus la fessée avance, plus je force. La bouche d’Isabelle me fait jouir une première fois. Ma main gauche lui plaque davantage son visage sur mon intimité. Devant moi, Marion tortille son petit cul grassouillet. Je le claque maintenant avec beaucoup plus de force. Parfois, je passe ma main sur sa chatte. Je la sens proche d’un nouvel orgasme.

— Cette fois, si tu te retiens, je ne te fesse plus avec amour, je te punis comme ma Maîtresse le fait avec moi, ma chérie.

— Oui, punissez-moi pour avoir voulu vous quitter, punissez-moi durement.

Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Je la frappe copieusement sans presque plus me retenir. Le majeur d’Isabelle dans mon fion réveille l’orgasme qui me dévaste. Je ne parviens plus à fustiger ce cul. Mon visage tout contre les fesses de Marion, je me mets à le dévorer. J’entends la voix de Mademoiselle qui me traite de tous les noms, ceux que j’aime à entendre de sa bouche. Pour toute réponse, j’aboie plusieurs fois. Elle raccroche, me disant un long merci, bien sensuel, elle jouissait au téléphone.

Quand tout se calme, je relève Marion, la colle contre moi, une main sur ses seins.

— Si tu as encore envie de démissionner. Je t’entraîne de force chez ma Maîtresse, dans son donjon. Et là, je vais te punir si cruellement que rien que l’idée de vouloir me quitter te fera abominablement souffrir. Maintenant, tu vas te mettre toute nue afin qu’Isabelle et moi puissions voir comment tu es faite, ma chérie.

— Oui mademoiselle, avec plaisir. Si je peux

Elle se penche sur ma main, l’embrasse, la lèche, suce mes doigts en m’envoyant une pluie de mercis à ne plus savoir qu’en faire. Pendant qu’elle s’enfonce entre mes cuisses, j’ai le temps de lire la lettre de la larve. Ce dernier se plait chez sa Maîtresse. Il me dit souffrir, délicieusement souffrir. Il me remercie même pour l’adresse et me fait serment de venir un jour me remercier comme il se doit.

— Isabelle, prends une lettre. Bien, je commence. Cher esclave, il me plait de te savoir rendu à l’état de soumis. J’ose espérer que tu fais tout afin de satisfaire le moindre désir de ta Maîtresse. Maintenant, si tu veux me remercier, cela se passera dans ton ancien bureau, le mien et en présence de ta Maîtresse. Au passage, donne-lui mes hommages appuyés. Salut la larve, à te revoir. Tu signes comme d’hab et t’envoie à cette soubrette.

— Bien Mademoiselle la Directrice. Oh, Monsieur Alain vous fait dire qu’il sera là pour la pose de la première pierre du nouveau centre de la firme. Il vous fait aussi dire que c’est lui qui en sera, et je le cite, le big boss de ce centre. De plus, il vous félicite pour

— Tenir l’agence et de la faire fructifier. Salut ma belle petite salope, comment tu vas, toujours à corrompre à ce que je vois. Belle femme en tout cas.

— Maître Alain, mon Maître. Approchez, que je baise vos pieds humblement. Vous me voyez émue de vous savoir près de moi.

— Oui, moi aussi, surtout en aussi belle compagnie. Qui est-ce ?

— La responsable du service des plaintes à compter de maintenant. Mais chut, elle ne le sait que depuis maintenant.

C’est Isabelle qui prend le relais pendant que je baise les pieds du Maître sous le regard amoureux de Marion. Elle comprend que mon cur peut se partager, aimer plusieurs personnes d’un même amour sans que je ne me permette la moindre jalousie. Derrière mon Maître, deux personnes arrivent. La première, c’est ma Maîtresse et qu’elle est sublime dans sa tenue de diva de la soumission. Cuir et latex lui vont si bien. Près d’elle, Maître Heinz qui s’empresse d’embrasser sa future actrice porno, Isabelle. Enfin, une dernière personne pénètre dans ce bureau, Maîtresse Clélia. Il ne manque plus que Gertrude, Agnès et Béa pour compléter mon bonheur. À tous, je baise leurs pieds. Isabelle m’imite et, oh surprise, même Marion s’y met.

Puis, Marion remet ses vêtements avec l’aide lascive de Mademoiselle Janice et Mademoiselle Clélia. Je vois très vite que Marion n’est pas insensible au divin charme de cette italienne, Maîtresse Clélia. Aussi, d’un coup de coude, je la pousse dans ses bras. Geste qui n’échappe pas à Mademoiselle ma Maîtresse. Ses doigts me tirent mon oreille, elle me la colle contre sa bouche.

— Tu deviens pire que moi, ma délicieuse petite chienne.

— C’est que j’ai de qui tenir, Maîtresse vénérée. Marion fera, à coup sûr, une excellente soumise. Marion, j’exige de toi que tu lui racontes tes mésaventures. Cette femme, et Isabelle ne me contredira pas, sait être sévère quand il le faut. Mais elle saura aussi te faire oublier tes déboires. Mademoiselle, je vous confie cette merveilleuse femme. Elle était en plein désarrois, voulant même démissionner de son poste à cause de son enfant de six ans. Je me suis permise, avec la précieuse aide d’Isabelle, de lui trouver une école et une garderie. Monsieur Alain, voici, sur ce papier, ce que j’ai entrepris de faire pour elle, pour la sauver du trou dans lequel elle commençait à plonger.

— Voyons ça oui, bien magnifique. Ma Bibi, je suis fier de toi et je suis heureux d’avoir misé sur le bon cheval avec toi. Bon, il est presque midi, si on allait manger. Je vous invite tous. Heinz, j’espère que tu nous dévoileras la prochaine intrigue de ton film. Perso, j’en crève d’envie.

— J’ai le scénario dans ma mallette et même plusieurs. On pourra choisir tout en mangeant, tu ne crois pas.

— Je laisse l’expert et ses actrices en décider seuls. Moi, tu le sais, je suis déjà conquise.

En allant manger, Isabelle et Marion ouvrent la marche, je suis juste derrière. Dans un carrefour, attendant que le petit ours devienne vert, ma Maîtresse accroche ma laisse à mon nez. Du coup, je me retrouve à l’arrière de cette petite troupe. Par réflexe, je croise mes bras dans mon dos. Cela ne manque pas de susciter des commentaires plus ou moins agressifs. Quand Maître Alain et Maître Heinz se retournent d’un seul homme vers ces médisants, ceux-ci blêmissent. Toute la verve de Maître Alain sort alors de son cerveau parfois terriblement tordu, plein de vices et de perversités. Je le connais assez pour savoir quand celui qui lui fait face va s’en prendre plein la gueule, verbalement parlant, cela va de soi. Et puis, Maître Heinz, il n’est pas manchot côté verve verbale. Mais ça, je le découvre. Entre-nous, je ne voudrais pas être sa soumise quand il est en colère. Les trois hommes et les deux femmes qui composent ce groupe s’en prennent plein les oreilles, de quoi les dégouter à tout jamais d’être médisant. Maître Alain vient prendre la laisse des mains de Maîtresse, en profite pour un doux baiser sur ses mains si douces. Je me retrouve devant ces malotrus. Maître Heinz me désigne une femme et mon pied frappe là où cela fait très mal, sa chatte. La femme se plie en deux, tombe à genou. De ma main droite, je soulève sa tête.

— Ma chère, apprenez que médire est facile. Cela démontre du très faible niveau de votre intelligence, au ras du sol. Maintenant, moi, je vis mes fantasmes au grand jour et vous ? Non, le contraire m’aurait étonné. Maître, mes maitres, puis-je terminer la punition que je m’apprêtais de lui asséner ?

— Mais ma chérie, me répond Maître Heinz, cette demoiselle, si c’en est une, attend son châtiment. Fais comme il te plait, ma belle.

Aussi sec, sa tignace bien retenue dans ma main droite, ma main gauche la gifle violement devant ses camarades. Alors que je relâche cette malotrue, je me tourne vers l’un des hommes et tous s’enfuient sans demander leur reste.

Aimable, je relève la femme, embrasse ses lèvres.

— Tu vois, je ne suis pas rancunière. Maintenant, si tu en veux d’autres, je parle de punition, d’ordre, vois avec ces deux hommes, moi, je ne suis plus libre de décider.

Complètement hébétée, elle me regarde aller remettre ma laisse dans les mains de ma douce Maîtresse. Devant elle, à genou, je dépose ma laisse dans sa douce main en m’inclinant. La femme me regarde, près d’elle, Maître Alain lui file une carte de visite. L’idée qu’il déniche une belle et bonne soumise me réjouit déjà. Enfin, les deux dominants nous rejoignent, Maître Alain prend le bras de ma Maîtresse. Je me glisse derrière eux, telle une vipère.

— Vous devriez commencer à parler épousailles, mes Maître.

— Petite chienne, pour qui te prends-tu ?

— Non, laisse, ma belle, laisse. Après tout, qui nous dit qu’elle n’a pas raison à quelque part ?

— Non mais

— Chut, on y est.

Une fois dans l’établissement, tous autour d’une grande et belle table, nous voilà tous assis sauf Maître Alain. Après six mois d’une belle passion amoureuse, il met genou à terre et là, je suis aussi transparente que la fenêtre près de moi. Dans une voix douce, sensuelle, lascive, il fait une somptueuse déclaration à ma Maîtresse. Celle-ci, tout comme moi, ne s’y attendait pas. Elle me fixe, au bord des larmes. Je m’approche d’elle, la serre tendrement entre mes bras. Maître Alain tend son bras, ouvre sa main. Mademoiselle y découvre une petite boite provenant d’un grand bijoutier de la place Vendôme à Paris. Je laisse Mademoiselle Janice se lever sans trop m’éloigner. Devant les yeux de ma Maîtresse, Maître Alain ouvre la petite boite et découvre une sublime bague de fiançailles.

Mademoiselle lui tend sa main qu’il baise, lèche avant de lui passer cette somptueuse bague. Mademoiselle est terriblement émue au moment d’aider son futur à se relever. Le couple s’embrasse. Ma courte prédiction est en passe de s’accomplir.

Tous deux se tournent vers moi, m’enlacent tendrement.

— Tu sais ma chérie, au début, c’est toi qui devais la recevoir. Cela dit, ne m’en veux pas si j’ai changé d’avis.

— En vouloir, moi ! Il faudrait me punir le plus sévèrement possible si

— Chut ma douce petite chienne. N’allons pas créer un scandale.

— Pardon amour de Maîtresse. Permettez que votre soumise, à tous les deux, vous baise vos joues afin de vous clamer combien votre salope vous aime.

Je n’ai pas attendu la réponse. En guise de joue, je roule carrément une pelle aux deux sous les applaudissements de la table tout entière. Maintenant, il ne reste plus qu’à fixer une date pour la noce que j’espère grandiose. Du coup, on mange, on boit, un peu trop même et on oublie les scénarios et tout le reste. Enfin, Isabelle et moi, nous retournons au travail avec Marion entre nous. À peine dans mon bureau, je m’empare du micro et annonce que tout le personnel est en congé pour l’après-midi. J’embarque Isabelle et Marion, je les entraine à venir faire les boutiques avec moi.

Au fil des mois qui se succèdent, au gré des démissions ou des départs en retraite, j’ai tout fait pour trouver du personnel totalement soumis. L’aide de mes Maîtres, même celle de Maître Heinz et des amies de ma maitresse, y est pour beaucoup dans le choix de mes collaborateurs. Je suis à la tête d’une bonne vingtaine de soumis et soumises, tous parfaitement bi, un brin masochiste et en adoration devant moi et mes Maîtres. C’est dire si nous avons réussi !

À suivre ! Enfin, seulement si vous en voulez une, de suite.

Sachez seulement, pour le moment, que ma vie est toujours la plus heureuse qui soit depuis cette sublime rencontre, un jour de mars 1987, dans une boutique hors norme.

Une dernière chose, mais ce n’est pas moi qui vous raconterais notre histoire. J’ai rencontré un homme de six ans mon ainé. Il plait à mes maitres sur le point de se marier. Mais ça, c’est à cet homme de raconter la suite.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire