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Blandine et les loups – Chapitre 5

Blandine et les loups - Chapitre 5



Blandine ne trouva rien à répondre tellement elle était désabusée. Mais elle fut quand même secouée en voyant ce que lui montrait Dédé : un objet ovoïde en plastique noir à lextrémité effilée et dune taille… Ils nenvisageaient quand même pas de lui enfiler ce… truc dans le… Non ?

La suite lui prouva que si. Et que cétait tout à fait possible aussi. Non sans douleur, mais elle était une salope, après tout.

Putain, tu pues la pisse ! sexclama Dédé quand il la fit sortir des toilettes. Tu pourrais te retenir, à ton âge !

Mais, tenta-t-elle de se justifier. Ce nest pas…

Ferme-la ! Tu devrais juste ouvrir la bouche pour sucer des bites. Enlève ta culotte et jette-la dans les toilettes… Tourne-toi, écarte tes fesses à deux mains. Et penche-toi, idiote.

Le front rougi par la honte, elle obtempéra et fit de son mieux pour se décontracter. Un liquide froid coula dans la raie de ses fesses puis la pointe effilée appuya sur son anus clos. Le tenancier lui demanda de pousser comme pour faire ses besoins et il en profita pour forcer les sphincters malgré les couinements de la jeune fille. En une minute le gros plug était en place, distendant ses muscles entre douleur et gêne ; Dédé claqua violemment ses fesses pour signaler quil avait fini.

Blandine se redressa en le fusillant dun regard glacial. Il ricana avant dattraper la blonde par sa queue-de-cheval et de la forcer à se trouver nez à nez avec lui.

Il y a un truc qui ne te plaît pas, je crois.

Un truc ! Je vous rappelle que je me retrouve dans ce tripot alors que je devrais être en vacances avec des amies. Tout ça à cause de mon père qui se prend pour un champion de poker. Vous nimaginez pas comme je suis contente davoir ce truc entre les fesses, de sucer vos amis, davoir perdu ma virginité avec vous. Mais je suis une salope, puisque vous le dites. Alors peut-être quun jour jaimerai ça, mais pas ce soir.

Un peu que tu es une salope. Tu en connais beaucoup, des filles qui accepteraient de faire tout ce que tu as fait aujourdhui ? Et oui, tu aimes ça, je suis sûr que si je fouille ta moule, je vais la trouver trempée et prête à se faire sauter. Non ?

Alors pour calmer tes ardeurs, tu vas aller repêcher ta culotte et la remettre. Ça te refroidira les idées.

Cest dégueulasse ! se défendit la jeune fille.

Peut-être, mais tu vas le faire tout de suite.

Vaincue, Blandine sagenouilla devant lorifice des toilettes et récupéra sa culotte qui trempait dans un mélange sordide et puant ; elle sessora du mieux quelle put avant de la passer et de la remonter sur ses cuisses fuselées, en grimaçant de dégoût. Elle commença à sortir mais Dédé larrêta :

Reste là ! À genoux, comme tout à lheure ; tu vas reprendre tes pipes, et tu as intérêt à tappliquer !

Ravalant un sanglot, Blandine se positionna comme précédemment. Sauf que maintenant, son anus était empli dun imposant plug et quelle portait une culotte souillée et visqueuse qui collait à son intimité. Elle soupira, puis ouvrit de grands yeux en voyant son père approcher en ouvrant son pantalon.

Papa, non !

Et pourquoi donc, ma puce ?

Mais… Tu es mon père !

Et je naurais pas le droit de vider mes couilles ? Depuis que ta maman nest plus, jamais je nai tiré un coup. Tu ne me refuserais pas un moment de jouissance, non ?

Mais… Bon, daccord.

Résignée, elle ouvrit la bouche pour recevoir la verge paternelle, pas encore bandée, mais qui prit rapidement de lamplitude au point décarteler ses mâchoires douloureusement. Elle gémit et enserra la bite épaisse à deux mains, en faisant à peine le tour. Gille était en effet pourvu dune vraie matraque de chair, pas très longue mais dune épaisseur hors norme. Il laissa sa fille lécher et pomper un long moment, puis il vit quelle fatiguait.

Les mains, ça suffit maintenant. Croise-les dans ton dos, je ne veux plus les voir. Je vais baiser ta bouche de salope. Depuis le temps que jen rêve…

Il saisit la nuque de Blandine à deux mains et entama une série de va-et-vient lents et de plus en plus profonds, son gland mafflu repoussant la luette et provoquant des haut-le-cur irrépressibles chez la jeune fille. Pourtant elle ne chercha pas à séchapper, tentant au contraire de maîtriser la nausée qui la faisait saliver. La bite gonflée à bloc était couverte de bave pendant en longs filaments et coulant sur la poitrine menue. Les yeux injectés de sang et noyés de larmes, Blandine poussait des cris de gorge à chaque coup de reins.

Puis le père sentit la délivrance approcher, il senfonça plus loin quil ne lavait encore fait, écrasant les lèvres de sa fille sur son pubis, et il jouit directement dans la gorge offerte. Blandine ne put que déglutir péniblement pour recevoir la semence paternelle, elle crut quil nen finirait jamais de se vider, les rasades succédant aux rasades. Puis le flux se tarit, et il libéra sa fille qui aspira goulument loxygène qui lui manquait. Pliée en avant, les mains posées sur le sol crasseux, elle toussa et cracha, reprenant peu-à-peu son souffle.

Blandine, regarde-moi. Regarde ton père, redresse-toi…

Elle obéit dès quelle eut récupéré suffisamment ; dès quelle fut droite, elle comprit : son père tenait sa verge à moitié débandée dans sa main gauche et attendait pour uriner.

Papa, sil te plaît…

Ouvre la bouche, montre que tu es une salope. Tu es une salope, ma fille ?

Oui, je commence à croire que oui…

Secouant la tête, Gilles remit sa verge dans son caleçon et referma sa braguette, considérant sa fille avec un mélange de stupéfaction et de dégoût. Il ne la reconnaissait pas dans cette femelle sans pudeur et sans vergogne qui acceptait de subir les perversions les plus abjectes.

Tu étais prête à boire ma pisse ?

Prête, non. Et ça ne me fait pas envie non plus. Mais je me serais forcée, fidèle à limage de salope que vous mavez donnée. Je ne comprends dailleurs pas comment tu pouvais avoir envie duriner sur moi, quel plaisir tu pensais y trouver. Je nai plus que du mépris pour toi, après ce que tu as fait. Je suis entrée dans cet infâme bistrot avec mon père, mais maintenant, je suis seule ici, entourée de loups lubriques aux murs dépravées.

Dédé sest approché un instant et a demandé, tout en essuyant une chope de verre :

Cest fini, tous les deux ? Il y a une bonne douzaine de clients qui veulent une pipe, alors il te faudrait ty mettre !

Papa a fini, il va partir maintenant. Il faut quil se prépare pour aller perdre au poker. Moi, jai tout mon temps, et je suis prête. Envoyez vos clients, Monsieur. Je vais faire tout mon possible pour les satisfaire.

Je crois quon va sentendre, toi et moi. Ça fait longtemps que je cherche une serveuse jeune , perverse et jolie.

Votre ami Maurice trouve que jai de jolis seins, mais je les trouve petits.

Personne nest parfait.

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