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Ca a commencé comme ça ! – Chapitre 16

Ca a commencé comme ça ! - Chapitre 16



C’était mon jour de repos et j’en profitais pour faire un peu de ménage dans la maison, quand, par la fenêtre, j’ai vu arriver Monique sur le chemin.

En jogging, elle marchait rapidement, comme pressée d’arriver.

Je lui ai fait un petit signe de la main et lui ai crié : entre, c’est ouvert !

Elle est venue directement vers moi, avec son joli sourire et son regard innocent .

J’ai posé ma bouche sur ses lèvres qui se sont ouvertes docilement.

Ma main, sur son dos, remontait lentement sous le tissu, pour redescendre sous l’élastique qui ceinturait sa taille.

Ses petites fesses rondes libres de tout sous vêtement ont frémis sous ma caresse, son ventre s’est plaqué contre le mien, et, pour la première fois, sa langue à cherché la mienne nerveusement, tandis que son souffle lui manquait déjà .

Décidément, sous ses airs innocents, ma petite voisine était une vraie salope, ou elle était en manque et venait chercher ici ce qui lui manquait chez elle .

Je n’avais qu’une envie : lui donner du plaisir et l’entendre gémir sous mes caresses !

J’ai relâché mon étreinte, ma main a glissé sur sa cuisse, atteignant son ventre chaud, sa petite forêt noire, sa fente déjà humide.

Tu semblais bien pressée, dis je, tu es toute essoufflée !

J’en connais un à qui ça va faire bien plaisir de te voir, il tourne comme une âme en peine depuis ce matin, regardes !

Luc nous avait rejoint, plaquant sans ménagement sa truffe contre ce ventre que ma main cachée sous le tissu protégeait, humant à pleins poumons les bonnes odeurs qu’il avait détecté.

Je suis sûre qu’il est capable de te reconnaitre entre mille, surtout si tu es aussi mouillée, dis je doucement à son oreille .

Elle avait fermé les yeux, ondulant lentement du bassin sur mon doigt indiscret. Décidément ……..

Le chien noir et Bobby s’étaient arrêtés au seuil de la baie vitrée, comme s’ils lui reconnaissaient l’exclusivité de cette nouvelle femelle.

Et puis c’est vrai : ils avaient eu leur content hier : ils nous avaient fait jouir, Lucie et moi, en nous léchant goulument avant de nous prendre sans ménagement, recommençant une seconde fois avec autant de force, nous faisant crier de jouissance, en remplissant nos ventres de femelles avides de sperme chaud.

Mon petit cul frémissait rien que d’y repenser, et j’avais dû changer les draps tachés de leur semence qui s’était échappée de nos trous durant la nuit.

Tu aimes ça ?

Pour toute réponse, son ventre s’est appuyé un peu plus sur ma main.

Mon doigt continuait d’aller et venir sur sa fente ….. et quand j’ai touché son bouton d’amour, le souffle lui a manqué, ses jambes ont fléchi …..

Tu mouilles autant quand André te fait l’amour ?

Oh non, il ne me caresse jamais ! Des fois même, je mets de la crème hydratante quand je sais qu’il va rentrer tout excité, sinon il me fait mal !

Et bien là, il pourrait mettre sa petite bite sans que tu ais mal, et même la grosse de Luc rentrerait sans effort, dis je , en enfonçant mon doigt dans son ventre .

Sa respiration s’est bloquée, elle pesait plus lourd sur mon épaule ……

J’ai continué mon petit jeu, cherchant son clito, le pinçant doucement …..

Son souffle se faisait court …..

Luc sautillait nerveusement autour de nous, impatient de gouter à ces humeurs qu’il avait deviné .

Pousse toi, attends un peu !

Vient ! dis à Monique en lui prenant la main .

Elle m’a suivi dans la chambre ou régnait une douce pénombre .

J’ai retiré son haut, fait glisser son pantalon sur ses chevilles ..

Elle a levé un pied, puis l’autre …. et je l’ai allongée doucement sur le lit, me posant sur son ventre, entre ses jambes qu’elle avait ouvertes.

Ses tétons pointaient, irrésistibles ..

J’ai posé ma bouche sur l’un d’eux, le mordillant, le suçant, le titillant de la langue ….

Tout son corps s’est raidi !

Tu aimes ça  ?

Elle a fait oui de la tête.

Tu peut me caresser aussi, dis je en retirant mon doudou avant de reprendre ma place .

Elle a posé ses mains sur mon dos, presque timidement, avant de les faire glisser sur mes reins.

Hummmm, ses mains chaudes, son ventre souple sous le mien !!!!!

Ma petite fente était déjà trempée et mon jus d’amour devait inonder sa forêt noire, se mélanger au sien !!!

J’ai gobé son autre téton qui n’attendait que ça.

Elle a lâché un petit cri, se tétanisant .

Ses doigts se crispaient sur mes hanches, au rythme de son plaisir …

Mes mains couraient sur ses flancs, ses hanches, son ventre, remontaient vers ses seins que je continuais de mordiller, de sucer …

Ma bouche à glissé sur son ventre, contournant sa toison brune, et j’ai embouché sa fente toute trempée que j’ai fouillée au plus profond, léchée doucement pour recueillir sa cyprine .

Je suis remontée vers sa bouche, posé ma langue toute imprégnée de ses sucs sur ses lèvres.

Elle l’a gobée comme une friandise . C’est bon ? C’est ton jus d’amour , ma chérie !

Je suis toute trempée, tu veux me goûter ?

J’ai posé mon ventre sur ses lèvres …

Sa langue allait et venait doucement, jusque sur mon clito ……… Hummmmm, c’était booooooonnnnn !!!!!!

Je me suis retirée brutalement . Cette petite salope allait me faire jouir !!!

Tu aimes ?

Humm, fit elle simplement.

Tu veux qu’on fasse l’amour ou tu préfères que je te laisses avec Luc ?

Je ne sais pas, ……. comme tu veux toi, fit elle dans un murmure en fermant les yeux .

J’avais trop envie de la faire jouir, sentir son corps frémir sous mes caresses . Alors, moi d’abord !

J’ai pris ses mains dans les miennes et suis retournée vers sa grotte que j’ai fouillée sans ménagement, léchée avec douceur, cherchant son clito que j’ai sucé, aspiré, mordillé doucement ….

Elle gémissait doucement, sa tête oscillait de droite à gauche, encore et encore ……..

Ses mains serraient les miennes au rythme de son plaisir grandissant.

Elle haletait de plus en plus vite, tandis que je continuais mes caresses, et brutalement, son corps s’est arqué violemment tandis qu’un long gémissement s’échappait de sa gorge .

Ses mains serraient douloureusement les miennes …….

Non arrêtes, arrêtes, dit elle dans un souffle !

J’ai posé ma tête sur son ventre, tout frémissant du plaisir qu’elle venait de ressentir .

Sous mon ventre à moi, mon bouton d’amour me brûlait de désir et mes cuisses poissaient de mouille .

Hummmm, c’était bon de faire jouir cette nana qui s’offrait comme ça, avec ses airs de pucelle innocente …..

Sa respiration se calmait doucement tandis que je caressais sa peau douce, ses seins gonflés de bonheurs, son ventre frémissant …

J’ai posé mes lèvres sur les siennes qui se sont ouvertes docilement.

Sa langue cherchait la mienne …… long baiser d’amour à en perdre le souffle ….

C’était bon ? Aussi bon qu’avec ton mec ???

Oh non ! Il me prend, il décharge et c’est tout ! Je crois que je n’avais jamais joui comme ça, même avec Lucie l’autre jour, j’avais trop honte de faire ça avec une femme !!!

Tu vois, y’ a pas de honte . Et puis nous, les femmes, ont sait ce qui nous fait plaisir !

Et ce n’est pas fini, dis en souriant ! Entends le, l’autre !! Depuis qu’il t’a vue, il n’a qu’une idée en tête : remplir ton ventre de sperme chaud .

T’as aimé qu’il fasse de toi sa femelle ??

Oh oui !!!, surtout quand il a grossi avant de décharger ! Et qu’est ce qu’il gicle fort, c’est boooon  !

De l’autre coté de la porte, Luc jappait, gémissait, grattait la porte de ses griffes ..

Je le laisse entrer ? …..

Je ne sais pas ………… comme tu veux ! fit elle dans un souffle en fermant les yeux .

Non ! A toi de décider . Nous, on est devenues les femelles du chien noir et de Bobby . Ils nous prennent quand ils veulent. Tu les aurais vus hier soir …. Ils nous ont fait jouir, ces salauds !! Mais qu’est ce qu’ on aime ça !

Alors a toi de savoir si tu veux devenir sa petite chienne .

Je le laisse entrer ou pas ?

Oui fit elle dans un souffle !

J’ai abandonné à regrets ce ventre chaud, ses hanches souples, ses petits seins bien durs …

Je n’avais pas vraiment le droit de la priver du plaisir de recevoir dans son ventre les jets de sperme chaud de ce mâle impatient , moi qui aimait tant ça !!

J’ai ouvert la porte .

Luc s’est précipité vers ces cuisses ouvertes qui l’attendaient, humant les odeurs qui l’excitaient tant, avant de se mettre à lécher avec avidité son nectar préféré.

Sous son ventre, son fourreau tressautait nerveusement et sa flèche rouge pointait déjà.

Je les ai laissés. Après tout, elle était devenue sa femelle et était prête à être saillie !!!!

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