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Camille au 14e siècle – Chapitre 2

Camille au 14e siècle - Chapitre 2



3e jour

Jétais déjà levée lorsquil est arrivé tremblant, mais de désir, mon jeune corps souvrait aux plaisirs interdits et il aimait ça. Les servantes mavaient habillée dune très belle robe verte, échancrée sur la poitrine, je me trouvais jolie, je portais le collier. Il sest approché de moi et pour la 1ere fois ma embrassé tendrement sur la bouche, jai répondu à son baiser, me collant contre lui, ondulant mon bassin contre son ventre.

— Bien, tu es si douce, si belle, tu corresponds à mes désirs les plus secrets, subit encore ce que je tai préparé et tu seras la châtelaine. Désobéis-moi et tu seras bannie du village, car tu nes plus pure.

— Je ferais tout ce que vous voudrez, apprenez-moi encore le plaisir.

— Tu dois aimer les manants qui soccupent de nos terres, cest la condition pour remplir au mieux tes futures fonctions de châtelaine

Et deux paysans sont entrés dans la cellule. Ils étaient sales, laids, ils sentaient le fumier, jai tremblé, mais je savais que je me soumettrais.

— Faites delle ce que vous voulez, mais rappelez vous bien mes ordres, ne touchez pas à ses fesses et aucune marque sur son corps, sinon je vous tue tous les deux

Et ils se sont précipités sur moi, leurs grosses pattes sales déchirants ma robe, je me débattais, mais moins vigoureusement que les autres jours. Ils ont arraché tout le tissu, je me suis retrouvée nue, ils mont jeté à terre, pétrissant mes seins durement, tirant leurs pointes, ils marrachaient des petits cris, mélange de douleur et de plaisir. Le maitre assis regardait, ne perdant rien du spectacle.

Puis lun deux a sorti son sexe, une petite chose molle, lodeur ma soulevé le cur, il me la enfoncé dans la bouche pendant que lautre fouillait ma chatte avec ses doigts. Jai commencé à le sucer, il grossissait vite dans ma bouche. Celui entre mes cuisses ma soulevé, il était a genou, il a posé mes fesses dessus, mais jambes autour de sa taille et ma pénétré entièrement jusqu’à la garde, jai crié sous lassaut. Il a commencé à me limer fortement, ne prenant aucune précaution, je mouillais comme jamais. Celui dans ma bouche était bien dur maintenant, son petit sexe palpitait. Il était pratiquement couché sur mon visage, jétouffais sous ses assauts et son gros ventre dobèse. Jai senti quil allait jouir, il sest retiré de ma bouche et a jouit en de longs jets sur mes seins. Celui dans mon sexe sactivait toujours avec de petits halètements, il sest figé aussi et a aussi jouit sur mes seins. Ils ont malaxé durement ma poitrine de nouveau, étalant le sperme gluant partout, je gémissais, mais je navais toujours pas joui et jen avais envie.

— Faites-la jouir maintenant pour le plaisir quelle vous a donné.

Il répétait la même phrase que la veille. Celui qui était dans ma bouche sest précipité entre mes cuisses et sest mis à me lécher vigoureusement. Il me donnait de grands coups de langue jusqu’à mon anus, je tressautais, la sensation était agréable. Celui qui était dans mon sexe avant, sest planté au-dessus de moi, introduisant son sexe dans ma bouche, son odeur immonde et le mélange de ma propre odeur ma tout dabord soulevé le cur, mais il ma pincé les seins alors je lai sucé, entrant son sexe entier dans ma bouche, je maidais de mes mains pour le masturber. Il me léchait bien, à grands coups de langue, remontant tout le long de mon jeune sexe, cherchant le clitoris à chaque remontée. Je sursautais de plaisir, je savais que je nallais plus tarder à jouir. Celui dans ma bouche, bien dur à présent, haletait, il bougeait dans ma bouche, mettant son sexe jusquau fond de ma gorge. La jouissance est venue dun seul coup, cambrant mon ventre vers la bouche du paysan, je jouissais en de longs spasmes de plaisir, en même temps, celui dans ma bouche a joui, jai avalé tout son sperme, il y en avait peu.

Ils sont partis tous les deux me laissant seule avec le maitre du château, je le regardais, lascive, je nétais pas tout à fait satisfaite.

— Je vois ma-t-il dit en souriant, tu deviens gourmande ma douce, tu veux encore du plaisir ?

— Oui, mais je te veux toi, pourquoi tu ne me fais pas lamour

— Demain, tu mauras tout a toi, se sera ta dernière épreuve, si tu réussis la ou dautres ont échouées, je tépouserais le jour daprès. Pour le moment, veux-tu encore du plaisir ?

— Oui, je ne suis pas rassasiée

— Veux-tu tes deux amants dhier ? Ils tont donné énormément de plaisir.

— Non pas eux, ils sont trop gros

— Non ils ne sont pas trop gros, tu es très gourmande et dis toi bien que je suis plus gros queux bien plus gros.. Tu ne veux plus me plaire ? dois-je te corriger pour que tu mobéisses ?

— Je ferais tout ce que tu voudras, jaime le plaisir que tu me donnes.

Il a sifflé et les deux molosses sont apparus, je me suis mise sur le dos, jambes très écartées, lun deux sest précipité sur ma chatte, me léchant vigoureusement, jai tremblé de plaisir cétait si bon. Sa langue essayait dentrer en moi, lodeur de sperme et de mouille le rendait fou, jai commencé à masturber lautre, son gros sexe déjà sortit du fourreau, il bandait comme un fou. Lautre me léchait fortement, appuyant sa grosse langue sur ma chatte ouverte, jallais vite jouir. Celui que je masturbais a joui sur mes seins puis sest mis à lécher son propre sperme, jai joui au même moment.

— Mets-toi à 4 pattes, que celui qui ta léché jouisse à son tour.

Je me suis retournée, dos bien cambré, il ma de nouveau léché surtout lanus, je tremblais de plaisir, puis son maitre a sifflé et il est venu sur moi, entrant son gros sexe dans ma chatte, il a poussé dun coup, jétais tout écartelée. Il ma limé vigoureusement, entrant et sortant son sexe très vite, je me suis cambrée pour mieux le sentir, jai resserré les cuisses, je jouissais en hurlant, il a encore accéléré et il a joui enfin, cétait brulant en moi. Je me suis écroulée.

— Tu es merveilleuse, tu me donnes énormément de plaisir, je suis amoureux de toi. Repose-toi bien, demain je te ferais lamour comme tu nimagines même pas et si tu subis ta dernière épreuve, comme promis, je tépouse. Tu feras de moi le plus heureux des hommes. Repose-toi.

Comme les autres jours, les servantes sont arrivées, toujours le même cérémonial, mais javais un nouveau cadeau, le bracelet qui allait avec le collier. Elles me regardaient avec respect, elles avaient compris quelles avaient devant elle, la future châtelaine.

4e jour

Je lattendais depuis des heures, je crois que jétais amoureuse de lui lorsquil est enfin apparu. Toujours impressionnant, très grand, très puissant. Je pense quil avait 40 ans environ. Je me suis jetée dans ses bras et je lai embrassée langoureusement sur la bouche, il ma serré contre lui, répondant avidement à mon baiser. Ses mains ont couru sur mon corps, mappuyant contre lui, me serrant fortement. Il sest reculé :

— Déshabille-toi, que je vois ton corps. Et allonge-toi par terre, sur le dos.

Je me suis déshabillée, très vite javais envie de lui.

— Non, pas comme ça tu es trop rapide, je vais te corriger pour tapprendre leffeuillage.

— Non pas ça, je vais faire mieux, je ten prie.

— Cest trop tard, tu dois obéir, deviner mes envies.

Il est allée chercher un fouet, et le 1er coup est parti, juste sur mes cuisses, jai crié, mais il frappait doucement, cétait juste un peu cinglant. Il ma lancé une dizaine de coups, touchant mes fesses, mes seins, mes cuisses. Je mouillais déjà. Puis il ma accroché au mur, dos au mur, jambes écartées, bras tendu au dessus de la tête.

— Je vais enfin profiter de ma future épouse, je dois tattacher le temps que tu thabitues à ma queue, je ne veux pas que tu bouges. Je vais te limer et ensuite tu me suceras, tu nettoieras bien ma verge, tu avaleras notre mélange a tous les deux. Si tu me désobéis, je te jure que ce que tu as subi nest rien en comparaison de ce qui tarrivera.

— Oui jai baissé la tête, complètement soumise.

Il a enlevé sa tunique et sa cape noire, il était en pantalon étroit et jai vu une bosse énorme. Jai tremblé de tous mes membres, les chiens étaient minuscules par rapport à ce que je voyais.

— Oui tu vois bien, jai été gâté par la nature, très gâté, je cherche celle qui pourra subir mes assauts, nous verrons si cest toi.

Et il a baissé son pantalon, son mandarin monstrueux sest dressé immédiatement, le gland violet était énorme. Du liquide suintait au bout. Jai crié, la peur reprenait le dessus.

Il sest approché, sest positionné entre mes cuisses et me tenant par les hanches a introduit cette chose colossale dans ma petite chatte. Jai hurlé sans marrêter sous lintrusion. Il est entré entièrement en moi, nous tenant, pubis contre pubis, je pleurais.

— Regarde-moi dans les yeux, regarde-moi

Jai ouvert les yeux, et jai vu, il maimait, il madorait même, comme je laimais aussi

— Je taime tant, je taime lui ais-je dis

— Moi aussi ma douce femme, je taime, je te ferais, pas de mal, je vais juste de donner énormément de plaisir. Détachez-la, tout de suite, et annoncez notre mariage pour cette après-midi, je ne veux plus attendre.

Les deux manants de la veille se sont précipités et mont libéré main et jambes, jétais toujours empalé sur mon futur mari, il me tenait. Les hommes sont partis et jai enroulé mes jambes autour de sa taille, mes mains sur son cou. Et il a commencé à me limer, dabord doucement pour mhabituer a son énorme sexe, puis plus vite, il me faisait monter et descendre sur son énorme pieu. Mon sexe shabituait lentement à cette énorme intrusion, mes chairs meurtries sécartaient et le plaisir montait lentement dans mes reins. Jai posé ma tête sur son épaule, vaincue par le plaisir, je mouillais contre son gros sexe, participant ainsi à notre plaisir. Il a accéléré lallure il allait jouir, mais :

— Es-tu prête ? Il est temps que je te découvre totalement et je vais entrer dans tes reins.

— Tu es si gros

— Crie, je vais te faire mal, mais tu aimeras que je prenne ton petit cul étroit, noublie pas que je taime.

Et il ma soulevé, il a retiré son pieu de mon sexe, en me redescendant, jai senti son énorme gland violer mes fesses, il me déchirait, jai hurlé et je lai mordu jusquau sang sur lépaule. Mais il a continué de me descendre inexorablement sur lui, mécartant toujours les parois très étroites de mes fesses, et moi je gémissais, mélange de douleur et de nouveau plaisir. Après un long moment, il sest figé au fond de mon anus, il haletait enfin, il allait prendre son plaisir. Il ma soulevé comme si je ne pesais pas grand-chose et il a commencé à me faire remonter contre son mandarin, et il ma redescendu dun coup, entrant entièrement, jai crié sous lintrusion :

— Voilà, tu es totalement ma femme, tu es si étroite, mais faite pour mon sexe. Nous allons être un couple diabolique comme je lai toujours souhaité. Tu es la femme parfaite pour que nous réalisions tous nos fantasmes, embrasse-moi mon adorable petite soumise.

Et je lai embrassé, mettant ma langue dans sa bouche, il me faisait monter et descendre de plus en plus vite sur son énorme sexe, enfin il sest figé au fond de moi, jouissant en criant son plaisir, jai joui avec lui. Il ma doucement relevé et ma déposé sur le sol, il se tenait devant moi, tenant son sexe encore un peu dur avec une main, il me regardait. Jai compris tout de suite et malgré un moment de répulsion, jai approché ma bouche de son sexe, gros malgré le fait quil avait déjà joui. Jai passé timidement ma langue sur son gland, le mélange de nos odeurs ma rendue folle de plaisir de nouveau. Alors, jai absorbé son gland dans ma bouche, le nettoyant vigoureusement. Jai léché tout son sexe, ne laissant plus aucune trace de nos fluides mélangés. Il tremblait sous le plaisir que je lui donnais :

— Mmmm tu es si parfaite, tu réponds si bien à mes envies, relève toi.

Il ma pris dans ses bras, relevant ma tête, il ma embrassé voulant lui aussi partager nos gouts mélangés. Il sest rhabillé et ma enroulé dans sa longue cape noire, il ma porté et ma fait traverser un tas de couloirs, il a monté des escaliers et jai découvert une maison somptueuse, à la décoration prouvant que mon futur mari était extrêmement riche. Il est monté à létage et ma déposé dans ce qui serait nos appartements. Les mêmes servantes qui sétaient occupées de moi mattendaient, pour me préparer à la cérémonie.

— Occupez vous de votre future maitresse, je reste regarder son bain et son habillage, et faites très attention a son joli corps, la moindre marque et je vous bats.

Elles se sont approchées, jétais debout, je les toisais, je savais ce quattendait de moi mon futur mari et cela me plaisait fortement. Elles ont fait tomber la cape qui me recouvrait, lune delles regardait avec insistance mes seins, jai souri, et je lai giflé à toute volée :

— Qui es tu pour oser détailler mon corps comme tu le fais ! baisse les yeux, je vais moccuper de toi après notre mariage, tu vas le regretter.

— Ma tendre femme, vous êtes parfaite, je vous laisse, a tout à l’heure, vous avez deux heures pour vous préparer.

La jeune servante était en larmes, mais elle avait compris et gardait les yeux baissés. Elles mont donné un bain parfumé délicatement au jasmin, et jai revêtu une robe magnifique, brodée de fils dor. Jai mis le collier et le bracelet que mavait offert mon maître et futur époux, il avait rajouté les boucles doreilles.

Je me suis dirigée vers la chapelle accompagnée de mes deux servantes, léglise avait été décorée, des milliers de fleurs embaumaient tout lespace. Le curé ma accueillie, me félicitant pour mon mariage et ma demandée de me mettre dans lisoloir, pour prier et me faire pardonner mes péchés des derniers jours, jai souri.

Cest mon mari qui est venu me chercher, accompagné de ses molosses, ça ma fait sourire, et il ma demandé :

— As-tu demandé pardon pour les 4 derniers jours ?

— NON

— Tiens donc, il souriait, et pourquoi cela ma tendre et douce ?

— Quel mal avons-nous commis ? Puisque de toute façon, nous allons continuer

Et la cérémonie a commencé.

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