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Capucine – Chapitre 6

Capucine - Chapitre 6



CHAPITRE 6

Je comptai profiter de cet intermède que javais ménagé pour reprendre des forces.

— Voilà jai à ma disposition un sac plein de gadgets sexuels, certains plus « hard » que dautres. Le jeu va consister à vous les faire essayer tous.

— Oh ça va être amusant, dit Juliette.

— Je ne suis pas sûre que tu les apprécies tous, lui répondit Capucine car certains font souffrir je les connais, mais dautres mont lair plus redoutables, dit-elle en désignant un fouet ou un étau à seins.

— Je nai pas lintention dabîmer vos corps magnifiques mais juste vous montrer quune douleur graduée et contrôlée peut vous amener au plaisir sublime

Pour commencer, je pris deux ufs vibrants que je leur tendis. Je leur demandai de les introduire au fond de leur vagin en saidant de la bombe de lubrifiant et de se mettre à quatre pattes sur le lit en tendant bien leurs petits culs. Jéquipai chacun des nichons de Juliette avec des pinces à seins, ce qui la fit pousser de petits cris lors de la pose.

La poitrine de Capucine était plus importante. Je choisis dinstaller de préférence les étaux à seins sur elle en tirant sur ses tétons pour les faire passer entre les deux barres de plastique souple équipées dune charnière à un bout et réunies à lautre extrémité par une grande vis avec un écrou à oreille. Le résultat faisait, quen serrant chaque vis, ses doudounes étaient compressées à la limite du bleuissement.

— Courage ma chérie cest pour moi que tu le fais, lui dis-je alors quelle était au bord de la crise de larme tant la douleur était forte au début. Elle tourna la tête vers moi pour que je lui baise les lèvres et la rassure.

Je complétai le tableau en insérant dans leur anus deux plugs de taille modérée et je mis en marche, avec la télécommande, les deux ufs vibrants. On entendait un léger ronronnement et le résultat ne se fit pas attendre. Leurs fesses furent agitées dun tremblement, leurs corps saplatirent sur le lit. Je les fessai alternativement, de plus en plus fort, jusquà les faire rougir mais ce nétait pas suffisant. Je pris le fouet et le fit claquer sur leur postérieur pour les faire crier. Je ninsistai pas car il nétait pas question de les abîmer.

— Allez maintenant vous vous prenez dans les bras, vous vous caressez jusquà la jouissance finale. Noubliez pas de vous travailler mutuellement les seins et de vous serrer les pubis lun contre lautre comme les bonnes gouines que vous êtes.

Je mis au maximum la vibration des ufs et je minstallai dans un fauteuil pour voir le résultat de leurs ébats.

Pendant plus dune demi-heure elles se roulèrent dans le lit, se tirant les tétons, se roulant des pelles danthologie. Ce nétait que succession de cris, de hurlements, de halètements : de douleur ou de plaisir, difficile à dire. Leurs orgasmes senchaînaient. Elles me réclamaient de venir les baiser, les enculer. Elles criaient leur bonheur dêtre dominées par un homme quelles aimaient. Je résistai jusquà lexplosion finale où, sécroulant sur le dos définitivement repues, je vins éjaculer dans la bouche de Capucine qui sempressa, dans la foulée, de partager mon sperme avec Juliette.

Je les déséquipai, leur donnai un baiser sur leurs lèvres, minstallai entre elles puis, leur prenant à chacune une main, tendrement, je mendormis avec mes « deux femmes » jusquau petit matin.

Je fus réveillé assez tôt car javais oublié de fermer les volets ce qui se comprend après le déroulement de cette folle nuit Capucine et Juliette dormaient toutes les deux en chien-de-fusil, lune sur le côté gauche, lautre sur le droit, leurs mignons petits culs tournés vers moi.

Je réfléchissais à ce que pourrait être notre avenir car je les aimais bien toutes les deux, avec néanmoins une préférence pour Capucine, plus femme que Juliette, surdouée, mieux proportionnée, ses seins magnifiques en harmonie avec ses fesses.

Autant je me voyais avoir une relation suivie avec elle, ses parents étant éloignés donc libre de ses mouvements, autant ce serait difficile avec Juliette qui habitait avec sa mère divorcée. Elle ne pourrait pas lui dire tous les soirs quelle venait passer la nuit chez moi et que ce serait pour des relations incestueuses débridées. Par contre je me voyais bien la baiser de temps en temps, seule ou avec sa copine, ici chez moi ou dans une boîte déchangistes ou au cours de partouzes organisées.

Elles avaient du potentiel toutes les deux pour quelles deviennent, dans un jeu commun, mes esclaves sexuelles.

Il était temps de les réveiller en douceur. Je les fis mettre sur le dos, délicatement. Elles dormaient tellement profondément que cest à peine si elles poussèrent un grognement. Jécartai leurs cuisses pour avoir un libre accès à leurs abricots et jentrepris de lécher dabord celui de Juliette. Goûteux à souhait, il débordait déjà de cyprine probablement un rêve érotique – je passai ma langue entre les lèvres de son sexe pour lenfoncer dans son vagin puis la ressortis pour sucer son clito et ainsi la mener au plaisir en quelques secondes.

Je ne lui laissai pas le temps de réagir et jentrepris celui de Capucine. Depuis la veille au soir je navais utilisé que sa bouche et elle devait se sentir frustrée. À peine avais-je touché lintérieur de son sexe, quelle séveilla, mattira vers elle pour que je la couvre de mon corps.

— Je ten supplie fais-moi lamour jen meurs denvie. Jai besoin de ta bite ! Baise- moi ! Donne-moi ta bouche jai envie de partager nos sucs mutuels !

— Tes désirs sont des ordres, dis-je en riant.

Jappliquai mes lèvres sur les siennes ; sa bouche avait encore le goût de mon sperme ; nos langues se mêlèrent dans un baiser fougueux. Mon corps se pressait avec force contre le sien écrasant sa poitrine, ma pine durcit se frottait contre son pubis, ses ongles senfonçaient dans mon dos. Me soulevant légèrement je caressai ses seins, puis je fis descendre mes mains sur ses fesses et dans un mouvement de descente je fis glisser mon sexe vers son antre qui nattendait que moi. Le visage de Capucine respirait le bonheur, son corps le désir, faisant dégouliner sa chatte déjà accueillante. Je neus aucun mal à menfoncer en elle, malgré son étroitesse due à sa virginité récente. Elle maccueillit avec un cri de joie prononçant ensuite ces paroles :

— Oh comme cest bon mon amour, jai tellement envie de toi, je nen peux plus, défonce moi, fais-moi crier ! Encule-moi si tu veux, finis dans ma bouche ou ma chatte, je suis ta chose ! je tappartiens ! Je taime !

Cest à cet instant précis que je maperçus que jétais aussi tombé amoureux delle et je lui dis sans me préoccuper de Juliette qui nous regardait faire.

— Je vais tavouer une chose, Capucine, depuis que jai divorcé tu es la première femme à qui je vais le dire : je taime moi aussi, je ne peux pas me passer de toi, jai trop envie de ton corps, je veux te baiser jusquà plus soif.

Javais à peine fini ma phrase que cela déclencha chez elle comme une tornade. Elle me serra avec vigueur dans ses bras, sa bouche reprit la mienne mordant mes lèvres. Mon vit la perforait de plus en plus profondément.

Dans un ample mouvement je la fis basculer sur moi, puis je lui fis relever son corps, elle poussa un cri car dans cette position la pénétration est totale. Ses seins arrogants me narguaient pour me pousser à les sucer ce que je fis en les empaumant. Elle entama alors un mouvement alternatif se faisant monter et descendre sur mon pénis, à son rythme, en criant des mots damour. Jen profitai pour lui mettre un doigt dans le cul. Elle crut que je voulais la sodomiser mais ce nétait pas ma volonté, je voulais jouir delle au maximum pour finir dans sa chatounette, normalement.

Je la fis coucher sur moi pour mieux prendre le contrôle des opérations, pilonnant sa foufoune à la cadence dun métronome fou jusquau moment ultime où, ensemble, elle poussant un hurlement de bonheur, moi éjaculant en elle, un orgasme puissant, violent sempara de nous. Son corps brûlant sécrasa sur moi, épuisé, respirant le bonheur.

— Vous avez été splendides, dis Juliette, tellement que jai dû me masturber pour évacuer le désir que vous avez fait monter en moi. Mon cousin est un amant formidable mais je vois que vous vous êtes trouvés. Je ne voudrai pas gâcher ces instants par ma présence. Je ne te remercierai jamais assez Hervé de mavoir redonné goût aux hommes. Je suis ta cousine et tu étais jusquà présent un fantasme pour moi. Mais, comme tout fantasme, une fois réalisé on revient à la réalité. Jai aimé tout ce que nous avons fait ensemble, tous les trois, depuis hier soir mais je ne suis pas amoureuse de toi. Si de temps en temps on peut remettre ça je serai toujours partante mais ce sera simplement si vous êtes daccord tous les deux.

Capucine émue lui répondit :

— Oh ma chérie, jaurai toujours envie de toi, de ton corps et si Hervé le veut bien jaimerais que nous ayons des séances de baise comme cette nuit. Viens que je tembrasse dit Capucine en prenant Juliette dans ses bras pour quelles se roulent une pelle, leurs corps nues se pressant lun contre lautre.

Bien sûr jai dit oui et bien que filant le parfait amour depuis plus dun an avec Capucine ; dans notre entourage personne nest au courant y compris ses parents ; nous nous retrouvons parfois tous les trois pour des séquences « Rétro » torrides.

Capucine et moi sommes devenus un couple libertin et si nos aventures vous intéressent je serai prêt à vous les faire partager.

FIN… provisoire ou vous en voulez plus ?

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