Histoires de sexe sœur Histoires érotiques de couples amateurs

Ce n'était pas Plazza – Chapitre 2

Ce n'était pas Plazza - Chapitre 2



Le jeudi en fin de soirée, ma sur me téléphona pour me dire qu’elle devait aller visiter un appartement le lendemain après-midi avec Monsieur X, comment le lui refuser ?

Nous n’avions pas prévu de plan, même pas d’accord entre elle et moi sur la tenue que nous porterions.

Mais si ma sur tenait à s’envoyer en l’air avec Monsieur X, je dois bien avouer que je ne voulais pas tenir la chandelle.

L’homme correspondait à mes critères physiques et partager des moments coquins avec ma sur est toujours un réel plaisir.

C’est donc à peine vêtue d’une courte jupe portefeuille et d’un crop-top moulant que je suis partie pour cette visite.

Lorsque je suis arrivée chez ma sur, j’ai constaté qu’elle n’était pas en reste côté " séductrice ", une simple robe au profond décolleté la drapait.

D’un doigt, j’ai écarté légèrement le tissu et me suis aperçue qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Le lui faisant remarquer, elle m’a spécifié qu’elle n’avait pas mis de petite culotte non plus.

Je vous l’avais dit, quand elle veut quelque chose, elle fait tout pour !

Nous sommes arrivées devant l’immeuble pile en même temps que Monsieur X, coquine, ma sur lui a fait la bise comme si elle le connaissait intimement. Ne voulant pas être en reste, et entrant dans une petite compétition, j’ai également déposé un bisou sur la joue de l’homme qui fut surpris.

L’appartement se situait au 3ème étage, sans ascenseur. Derechef, je suis passée devant eux et ai commencé l’escalade. Je riais en mon for intérieur, calculé ou pas, mais c’est Monsieur X qui m’a suivie, surette fermant la marche.

Prenant un peu d’avance sur eux, j’ai réussi à les distancer de plusieurs marches, impossible pour l’homme de ne pas avoir vue sur ma culotte.

Sur le palier du 3ème étage, Monsieur X passa devant moi afin d’ouvrir la porte et ma sur me jeta un regard de défi tout en me bloquant afin de pénétrer la 1ère.

Le véritable but n’était pas un achat, mais l’appartement aurait certainement plus que convenu. Tout était beau, que ce soit la cuisine ouverte ou la salle d’eau, sans parler du séjour immense. Les propriétaires ont un goût exquis en ce qui concerne la décoration et les meubles, ils ne doivent pas être très âgés.

Sans gêne, j’ai pris place dans un fauteuil en m’arrangeant pour qu’un pan de ma jupe s’ouvre et retombe sur le côté de ma jambe, surette, joueuse, s’assit sur le canapé. Monsieur X semblait timide et parlait beaucoup tout en nous montrant les moulures, les fenêtres, et moi, à chaque fois qu’il ne nous regardait pas, je tirais la langue à surette.

A son regard, j’ai compris qu’elle n’allait pas me laisser prendre la première place, y joignant le geste, elle retroussa sa robe fort haut, fort fort haut !

Se retournant vers nous, Monsieur X nous détailla tour à tour. Pour notre part, nous lui avons fait notre plus grand sourire.

Euh, si nous allions voir les chambres.

Nous nous sommes levées et avons accepté son invitation, mais dans ma tête, un doute s’installa quant à la possibilité de s’amuser avec lui, c’est à peine s’il s’était rincé l’il sur nos cuisses.

C’est vrai que, même si nous l’intéressions sexuellement ( ? ), il devait être délicat pour lui de tenter une approche avec l’une ou l’autre. De plus, l’appartement était encore habité, peut-être avait-il peur d’un retour des proprios.

Dans la chambre, ma gredine de sur enclencha le turbo, elle a commencé à se plaindre qu’il y faisait froid, qu’on sentait un courant d’air.

Devant l’étonnement ( à juste titre) de Monsieur X, elle releva à nouveau sa robe et lui dit de regarder comment elle avait la chair de poule.

Incrédule, il ne répondit rien (mais regardait fixement), alors elle s’approcha de lui et lui saisit une main qu’elle alla déposer sur sa cuisse en lui disant: " Vous voyez bien que je ne mens pas, ma jambe est froide ". Il ne bronchait pas, mais n’en laissait pas moins sa main.

Moi aussi je ressens le froid, dis-je en m’avançant presque contre lui et en écartant les pans de ma jupe, venez sentir ma peau également.

On se serait crues dans un vieux porno, sauf qu’il n’était pas plombier et que c’était nous les vicieuses.

Comme il n’osait pas venir à mon contact, j’ai détaché ma jupe et l’ai laissée tomber sur mes pieds, ensuite j’ai remonté mon crop-top et mon soutien-gorge au-dessus de mes seins.

Ma sur a alors pris la parole, lui avouant que nous n’étions pas intéressées par l’appartement, mais par lui.

Il a balbutié quelques mots que je n’ai pas compris, puis il a dit que ce n’était pas possible, car il ne savait pas à quelle heure les propriétaires revenaient.

Qu’importe, c’est encore plus excitant.

En moins de 2 minutes, elle et moi étions nues, allongées sur le lit des gens et nous embrassant et caressant.

Il nous regardait, ne bougeait pas, alors je lui ai demandé s’il venait nous rejoindre ou si nous devions le violer.

Je l’ai pris par la main et l’ai attiré à nous, le faisant tomber sur le lit.

Enfin ! Il s’est décidé et m’a embrassée. Alors que nos langues se mêlaient, surette a entrepris de le déshabiller.

Je dois dire que son corps était mieux nu que vêtu, un peu rondouillard, mais ferme. Son sexe de bonne dimension et que ma sur se dépêcha de faire durcir en le branlant.

Si on m’avait dit que je vivrais ça, je ne l’aurais jamais cru.

Ma bouche a quitté la sienne et je l’ai remplacée par ma petite chatte, assise sur son visage, je regardais ma sur qui, maintenant, était occupée à garnir son membre d’un préservatif. Directement après, elle le fit disparaître entre ses lèvres, allant et venant, le sortant parfois pour jouer de sa langue autour du gland.

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire