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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 17

Ce n'était qu'une simple soirée - Chapitre 17



Walter est l’unique personne à connaitre ce détail de ma vie intimité. C’était il y a seize ans. J’avais alors 22 ans et la fille que j’avais rencontré ce soir-là en avait 23. Nous avions fini la soirée chez elle et j’y avais passé la nuit. Elle avait demandé que je la sodomise dès notre second ébat. Rachel était ensuite devenue ma copine, puis ma fiancée et enfin ma femme. Et bientôt peut-être, mon ex-femme. Le secret intime que Walter connait, remonte à cette première nuit et à ce deuxième rapport sexuel : il sait que ma femme atteint l’orgasme anal et elle est une sodomite convaincue. En seize ans, il ne fait aucun doute que nous avons eu bien plus de rapports anaux que vaginaux. Voilà la raison pour laquelle Walter a parlé à Vanessa.

Je souris à la pulpeuse brunette :

— Tu veux que je te prépare pour ne pas avoir mal, c’est ça ?

Elle s’empourpre à nouveau et répond timidement :

— Oui.

Je l’embrasse.

— Alors mets-toi à l’aise.

Vanessa se couche sur le lit et je l’invite à se mettre sur le côté. Je viens entre ses jambes et commence par un cunnilingus. Jusqu’à l’orgasme. Je glisse ensuite à son anus et le lèche à son tour. Walter n’a pas envie. J’introduis ma langue avant de la remplacer par mes doigts, préalablement enduits de lubrifiant. Un, deux puis trois doigts. Lentement. Je l’invite à se détendre et à se laisser aller sans quoi la douleur sera toujours présente. Pendant ce temps, Vanessa fait une fellation à Walter. Une grosse dizaine de minutes plus tard, Vanessa semble prête.

— Je pense qu’on peut y aller.

— Alors viens.

Je passe une capote, m’allonge derrière elle et effectivement, mon sexe pénètre aisément dans son anus, non sans qu’elle n’inspire vivement au moment de la pénétration. Je m’enfonce petit à petit dans son large cul tandis qu’elle suce Walter de plus belle. J’entame les va-et-vient. Vanessa cesse de sucer Walter et se tourne vers moi.

— C’est bon c’est trop bon

— Pas de douleurs ?

— Non, aucune. Continue

On se roule une pelle. La jeune fille semble tout à fait à l’aise et j’ai bientôt tout mon sexe en elle sans que cela ne lui pose problème. Je ralentis et me retire.

— Mets-toi à quatre pattes.

Vanessa s’exécute. J’écarte les fesse de la belle et pose ma bite contre l’anus largement ouvert. Je m’y introduis à nouveau. Avec une facilité déconcertante. Presque aussi naturellement qu’avec ma femme. Enculer Vanessa est très excitant, d’autant plus que la chambre de Walter est dotée d’un large miroir vertical dans lequel je ne me lasse pas d’observer la cambrure de ma partenaire et ses grosses mamelles pendantes qui se balancent à chacun de mes coups de rein. Face à nous, Walter regarde la scène avec excitation et plaisir. Je lui fais signe de glisser sous Vanessa et lui montre le chiffre "2" avec mes doigts. Il comprend et explique à Vanessa ce qu’il aimerait faire. Toujours aussi curieuse, la brunette accepte. Je recule afin de ne laisser que le gland dans le cul de Vanessa pour que Walter puisse entrer dans son vagin.

Quelques instants plus tard, Vanessa gémit bruyamment son plaisir d’être doublement prise. Mon excitation est à son comble et il semble en être de même pour Walter, déjà proche de l’orgasme avec la fellation de Vanessa. D’ailleurs, il jouit le premier. De peu, car j’atteins l’orgasme à mon tour quelques instants plus tard. Vanessa s’allonge sur Walter qu’elle couvre de baisers en le remerciant de m’avoir fait venir. Je laisse les deux tourtereaux et passe à la salle de bains avant d’aller boire un verre à la cuisine. Il est 19h50.

Vanessa et Walter me rejoignent et la jeune femme demande si je peux la ramener. Quelques minutes plus tard, nous prenons congé de Walter. Nous parlons de tout et de rien dans la voiture. Mais en arrivant à proximité de chez elle, je lui dis :

— On est d’accord que c’est terminé, Vanessa ?

Elle ne répond pas et sourit.

— Prends à gauche, là.

Je descends dans un parking souterrain. Vanessa me tend les clefs pour y entrer. Nous descendons deux étages puis elle indique :

— Tu peux te garer dans le box ouvert là-bas, le 23.

A peine ai-je arrêté le moteur que Vanessa passe la main sur mon entrejambe. Je la retire.

— Vanessa, c’est terminé.

— Tu as maté mon décolleté durant tout le trajet et tu as remarqué que je n’avais pas remis mon soutien-gorge dès que je suis revenue à la cuisine.

Nier serait idiot. Vanessa sait très bien ce qu’elle fait et j’ai bien voulu tomber dans son piège. Elle remet la main sur mon entrejambe. Je ne l’enlève pas cette fois. Elle caresse doucement.

— Une dernière fois, Florent.

Elle m’embrasse et déboutonne mon bermuda. Elle sort ma queue et commence à me pomper. Elle fait clairement ça de mieux en mieux. Je pose la main gauche sur sa tête et accompagne le mouvement. La main droite glisse entre ses jambes. Vanessa déplace son bassin pour que je puisse mieux accéder à son minou. Je la doigte et la caresse. Elle est trempée et jouit. Elle se redresse, m’embrasse et sort de la voiture.

Je me reboutonne et la suis. Nous passons une porte qui mène à un petit couloir. En face, nouvelle porte : les caves. Vanessa ouvre la première cave face à l’entrée. La porte est faite de lattes de bois ajournées. Nous entrons et elle referme derrière nous. Mes yeux ne se sont pas encore habitués à la pénombre que Vanessa est à genoux devant moi, ma bite dans sa bouche. Pendant cette divine caresse, je distingue du côté droit de la cave divers rayonnages et beaucoup de matériel rangé. Du côté gauche, j’aperçois un petit établi de menuiserie et des outils pendus au mur.

Quand Vanessa se relève, je l’embrasse, relève sa jupe et l’assied sur l’établi. Mon cunnilingus l’emmène à deux reprises à la jouissance. J’embrasse ensuite Vanessa et sort un préservatif de ma sacoche.

— Non.

— Quoi non ?

— J’aimerais que tu ne mettes pas de capote.

Je réfléchis quelques secondes.

— Tu prends la pilule ?

— Oui, oui.

Je pose le préservatif et pénètre doucement la brunette.

— Oh mon Dieu

Nous nous embrassons tandis que je glisse lentement en elle. Vanessa est très émue et très excitée.

— J’aimerais que ça dure encore et encore

Peu à peu, elle commence à avoir mal aux fesses et elle descend de l’établi. Elle se tourne et je la pénètre désormais par derrière. Les mains sur ses gros seins, je profite autant que possible de ces derniers instants.

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