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Chantal et Aurélie – Chapitre 13

Chantal et Aurélie - Chapitre 13



Mon dieu ! Déjà 10 heures du matin et j’étais encore en chemise de nuit me traînant jusqu’à la salle de bains. Il me fallait une bonne douche froide pour me réveiller.

Je devais aller sortir la chienne de Monique et j’osais espérer qu’elle l’ait fait, car si elle m’avait attendue pour le faire, la pauvre chienne avait certainement dû remplir le garage de ses besoins.

Le corps las, douloureux comme si je venais de passer sous un rouleau compresseur, je me disais qu’après une bonne douche tout rentrerait dans l’ordre, sachant que la journée allait être encore très longue, n’osant même pas penser à la nuit prochaine, quand Maman serait rentrée.

Me frottant pour stimuler mon corps, mais en évitant de me toucher le sexe – de m’en être trop servi, voilà le résultat – je l’imaginais me rejoignant dans mon lit, vu que Papa et elle n’étaient plus qu’un couple pour la façade et les qu’en-dira-t-on, comme elle me l’avait dit. Si tout se passait comme je l’espérais, elle me fera sûrement l’amour et qui sait m’offrira à Mambo!

Je retournais jusqu’à ma chambre pour chercher une petite culotte pour cacher mes fesses, mais avant il me fallait téléphoner à Monique pour m’excuser de n’être pas auprès d’elle.

— Allo Monique !

— Ah c’est toi ma chérie ! Qu’est ce qu’il t’arrive: vous ne venez pas comme tu me l’avais dit hier au soir?

— Rien de grave ! Seulement m’excuser de n’avoir pu venir plus tôt. Je me réveille juste et si tu voyais la tête que j’aie, tu prendrais peur.

— La faute d’Aurélie ?

J’avais si peu dormi, j’étais si fatiguée, ce n’est qu’après qu’elle m’eut cité le prénom d’Aurélie, que je me rappelais seulement qui avait dormi avec moi dans le lit de Maman.

Mon dieu quelle nuit ! Une nuit à marquer dans le livre des records et je comprenais mieux pourquoi j’étais aussi lasse ce matin. Et me regardant dans le miroir je me rappelais soudainement pourquoi j’avais le cou affublé d’un collier de chien.

Quelle chienne celle là !

— Aurélie ! Ne me parle plus d’elle ! Cette garce m’a fait faux bond, je me demande encore si elle m’a aimée un jour. Non ! Ce n’est pas à cause d’elle, mais de sa mère !

— De sa mère ! De Nathalie : elle est chez toi ?

— Tu connais Nathalie toi aussi ? Oui elle est chez moi : elle est venue me voir cette nuit, vu que soit disant qu’Aurélie était partie chez son père. Mais surtout parce qu’elle m’a senti désespérée et qu’elle ne voulait pas que je reste seule. On vient chez toi tout à l’heure si tu veux : à moins que ça ne te gêne que je vienne avec elle ?

— Oui, non ! Je ne sais pas. Je me faisais une joie de vous avoir Aurélie et toi : en plus j’avais un cadeau pour toi. Je n’ai pas cessé de penser à toi cette nuit après ton coup de téléphone. Tu te rappelles au moins que tu m’as appelée ?

Oui ! Non ! En vérité, je ne me rappelais de rien si ce n’était que j’étais complètement à côté de la plaque. Mais si elle me le disait, c’est que je l’avais fait.

— Un cadeau ! Dis-moi ce que c’est ?

— C’est une surprise et je ne sais pas si je te ferais voir. Enfin on verra.

— Je peux venir avec elle ? As-tu pensé à moi, à nous, au chien ?

— Que de questions ! Bien sûr que tu peux venir avec elle. Oui je n’ai fait que penser à toi et au chien

— Tu sais qu’Oko est ici ?

— Oui tu me l’as dit hier au soir. Je vois que vous avez dû passer une nuit d’enfer toutes les deux! Tu te rappelles au moins que je t’ai promis de le garder chez moi, avec moi définitivement ?

Tout commençait à redevenir clair : petit à petit tout se remettait en place dans ma tête.

— oui je me rappelle ! Merci pour Oko et merci pour moi. J’ai oublié de te dire mais j’ai appelé aussi Maman cette nuit et je lui ai dit pour lui

— Et qu’est ce qu’elle a répondu ?

— Elle était trop contente. Je me doutais qu’elle l’aimerait et qu’elle dirait oui quand je l’ai récupéré. Elle l’est d’autant, après que je lui ai dit que tu voulais bien le garder. Plus besoin de chercher une excuse pour mon père : en plus il ne serait qu’à deux cents mètres, tout près de Maman, de moi et le pied dans tout ça, c’était que nous pourrions nous en servir à souhait toutes les trois, tu ne trouves pas ?

Monique était un amour d’avoir accepté ma proposition, sachant pertinemment que si elle le faisait, c’était aussi pour assouvir ses envies et satisfaire ses besoins.

— Si tu voyais dans quel état je suis ! Certaine que tu serais comme moi si tu avais été là

— J’aurais bien aimé. Ça dut être chaud : les chiens faisaient aussi partie de la fête ?

Les chiens !!!! C’est vrai qu’eux aussi avaient été de la fête. Et quelle fête…. mais il aurait été trop long de lui expliquer aussi je raccrochais.

Sur ce, je me dirigeais vers la chambre de Maman pour regarder Nathalie qui dormait encore.

Elle était là, nue, alanguie, allongée, le drap recouvrant à peine son ventre : ce ventre où je m’étais perdue une bonne partie de là nuit et le sourire qu’elle avait au coin des lèvres me laissait à penser qu’elle devait elle aussi revivre la nuit torride que nous avions vécue et à ce que je lui avais raconté sur Monique et moi. Elle avait joui, ma main au fond de son vagin quand je lui avais raconté nos péripéties de la veille.

Comme elle était belle !

C’est dans le lit de Maman, celui dans lequel elle dormait qu’elle avait voulu me faire connaître l’amour avec un grand « A » comme elle disait. Par contre, c’était dans la buanderie – plus facile à nettoyer m’avait elle dit – les genoux posés sur le matelas dont Maman se servait pour se donner à Mambo, qu’elle m’avait donnée en pâture aux trois chiens, les laissant à leur guise profiter de mon corps et ce de toutes les façons qu’ils en avaient eu envie. Elle aussi en avait bien profité et j’avais joui comme une folle de la regarder se faire saillir par Oko. Quel mâle celui là !

J’étais fourbue, vannée, morte de fatigue mais le souvenir de tout ce que nous avions fait, me redonnait envie de recommencer.

M’approchant d’elle pour déposer un baiser sur ses lèvres, je vis les trois chiens au pied du lit.

Cette fois, tout était bien en place dans ma tête, tout était redevenu normalement et les regardant tous les trois sages comme des images, nul n’aurait pu s’imaginer ce qu’ils avaient pu faire de nos corps. Que de bons souvenirs. Ces pensées, les souvenirs de cette nuit me réchauffèrent le corps…

J’avais l’estomac vide et j’allais dans la cuisine pour déjeuner. Le bourdonnement dans la tête, la douleur de mon anus quand je voulus m’asseoir, tout me rappelait à quel point la nuit avait été houleuse et fantastique : Elle avec sa ceinture gode, son chien – car elle était venue avec lui, le même que j’avais trouvé collé à Aurélie – Mambo et Oko. Tout avait été très fort, si fort qu’aussitôt Oko (le dernier à avoir profité de moi) fut ressorti de mon anus béant, le corps recouvert de sueur et de poils de chien, le ventre repus, l’anus béant qui laissait échapper les coulées de son sperme, j’avais sombré dans un sommeil à la limite du coma. Elle avait dû me laver ou m’essuyer avant de sombrer elle aussi dans un sommeil réparateur car rien de ce que je viens de décrire n’apparaissait ce matin.

L’estomac rempli, je retournais m’allonger auprès de d’elle, collais mon corps contre le sien, fermais les yeux et me suis remise à penser à tout ce qui c’était passé depuis mon départ de chez Monique et comment nous en étions arrivées à dormir dans le lit de Maman.

    « « « « Il devait être 21 heures quand je sortie de chez Monique pour rentrer chez moi, suivie comme mon ombre par Oko. Décidemment je trouvais que ce nom lui allait à merveille et qu’il serait facile à retenir.

Depuis que je l’avais amené chez elle, il ne me quittait plus et j’avais beau lui dire de s’en aller, de retourner chez ses maîtres, à aucun moment il n’avait voulu partir.

J’aimais trop les bêtes pour le laisser seul dehors après tout le bonheur qu’il venait de me donner. Les yeux rivés à son corps musclé, je me posais la question de savoir si je n’allais pas l’installer définitivement chez moi, sachant pertinemment que Mambo ne l’accepterait pas aussi facilement. Deux mâles pour deux femelles, les journées s’annonçaient sous de merveilleux auspices. Hummmmmmmmmm !!!!!!!! Plus je le regardais, plus je le trouvais beau et plus j’avais envie de le garder, sachant que tout cela allait poser problème! Et s’il n’y avait eu que Mambo, le problème aurait été résolu assez rapidement, mais il y avait mes parents !

Toute à mes réflexions, la seule chose dont j’avais le plus envie pour le moment, c’était de prendre une douche et de me coucher bien gentiment pour être en forme quand Aurélie serait là, mais lui ne tenait pas compte de mes envies, il ne pensait qu’à ce qui recommençait à lui démanger et qui pendait sous son ventre.

Il gambadait autour de moi, sautillant allégrement, venant se frotter de nouveau à moi : je sentais bien qu’il avait repris des forces et qu’il avait une idée derrière la tête par sa façon de faire.

Allant, venant, il reniflait mon corps et à chaque fois qu’il m’effleurait, il passait sa langue sur mes jambes nues en essayant de me pousser avec ses pattes afin de me faire tomber et finir par me sauter dessus. Moi j’étais fourbue et je n’avais pas du tout envie de me laisser aller à ses fantaisies

— Dis, tu te calmes maintenant ! Je pense que tu as eu ce que tu voulais ce soir et moi figures toi que je suis complètement vidée à force d’avoir joui et il n’est pas question que tu recommences quoi que ce soit avec moi. Même pas le penser ! Tu comprends ?

J’avais eu ma dose et qu’il m’ait saillie comme je l’avais désirée, malgré tout le bonheur et toute la jouissance que j’en avais tirés, je n’avais pas l’intention de recommencer : surtout pas dans la rue.

Il était vrai que je ne sentais plus mon sexe tant il me l’avait léché, défoncé. Sans parler des caresses et de la langue de Monique ! A eux deux, ils m’avaient faite monter au « septième ciel ». Ma façon de marcher, le frottement de la culotte sur mes lèvres boursoufflées – je l’avais remise sur mes fesses, je ne savais pourquoi – la sensation de lourdeur que j’avais encore dans le ventre, me laissait l’impression que son engin était encore fiché en moi. Aussi, malgré l’envie de me sauter qui le reprenait, je ne me voyais pas me remettre à quatre pattes sur le trottoir et me faire prendre de nouveau.

Peut être devrais-je enlever cette culotte qui me collait aux fesses, ça l’exciterait moins : Quelle maline j’étais de l’avoir gardée! .

Ce soir, me disais-je avant d’ouvrir le portail de chez moi : Je pourrais le laisser dans le garage, garder Mambo dans ma chambre, ou l’inverse. Mais demain quand mes parents seraient de retour, je me voyais mal leur annoncer qu’il y avait un deuxième pensionnaire à la maison, qu’il avait été abandonné et que je l’avais seulement hébergé pour deux trois jours en attendant de lui trouver un maître.

Connaissant Maman, je savais qu’elle serait d’accord de suite, mais persuader mon père de prendre un nouveau chien, la montée de l’Everest en sandales aurait été plus aisée pour moi. Déjà qu’il supportait difficilement Mambo, car il trouvait que Maman lui passait tous ses caprices, alors de là à ce qu’il en accepte encore un, il ne fallait plus croire au Père Noël. Le pauvre ! S’il avait su pour le reste entre Maman et Mambo, il se serait certainement retiré dans un monastère depuis longtemps.

Regardant de nouveau Oko, Je me disais que je ne pouvais pas l’abandonner comme « un chien ». Il avait été trop bon amant pour que je le laisse définitivement à une autre femelle : même si cette femelle était ma mère ou Monique, celui là resterait ma propriété.

En attendant, je me devais de rentrer chez moi, Mambo était toujours dehors et le pauvre devait se sentir compétemment abandonné.

L’obligeant à rester devant le portail, je fis rentrer Mambo dans la maison, mais quand il sentit l’odeur d’Oko sur moi, il se mit à grogner et à renifler toutes les parties de mon corps, là où l’autre avait laissé ses traces. Je ne pouvais l’approcher sans qu’il ne se mette à gronder et il me fallut lui donner la culotte parfumée de Nalla, pour qu’il puisse se calmer. L’effet fut radical pour ce qui fut de son comportement concernant l’autre chien, mais complètement à l’envers en ce qui me concernait.

Il mordillait, reniflait, léchait la culotte, jusqu’à se coucher dessus pour en imprégner sa fourrure. Le spectacle qu’il me donnait n’était pas sans me déplaire et malgré la fatigue qui me tombait sur les épaules, je m’allongeais près de lui, ouvrant le compas de mes cuisses pour qu’il puisse se délecter de ma chatte. Je lui devais bien ça !

Je n’aurais jamais dû essayer de le calmer de cette façon : l’odeur de l’autre mâle était encore trop présente sur cette partie de mon corps et surtout sur mon sexe. Les traces de sperme sur mes cuisses, les sécrétions qui avaient coulées de mon vagin étaient trop fortes pour qu’il se calme complètement. Se relevant, il me renifla les fesses, les cuisses, lécha les lèvres boursouflées de mon sexe, leva la patte et m’envoya un jet d’urine sur mes cuisses.

Quel salaud !

Jamais encore il n’avait eu une telle audace, ni un tel comportement envers moi et malgré l’envie que j’avais de lui donner une bonne correction, je comprenais la signification de ce geste, sa façon de faire. Comme tout mâle qui se respecte, je savais qu’il voulait de nouveau marquer son territoire, reprendre sa femelle, faire savoir à l’intrus, qui l’avait souillée, que j’étais sa chienne, que c’était lui le maître dans cette maison et qu’il n’avait pas l’intention de laisser sa place à qui ce soit. J’étais offusquée il est vrai, mais je ne pouvais être qu’admirative par sa façon d’agir. Il défendait son bien comme tout mâle digne de ce nom devrait faire et tendrement, je lui passais les bras autour du cou, posais un baiser sur sa truffe, léchais sa langue qui pendait puis me laissais glisser sous son ventre.

Il me fallait le calmer, lui faire comprendre que j’étais toujours à lui. La douche attendrait encore un peu.

L’excitation devait être à son comble car son sexe sortait d’un bon cinq centimètres et était déjà d’une belle grosseur. L’odeur d’urine était forte et malgré les gouttes qui perlaient par le bout, je posais mes lèvres sur la pointe violacée, poussant l’ouverture de son fourreau avec ma bouche puis j’happais le bout qui grossissait de plus en plus. Comme cet après-midi, c’est avec ma bouche que je commença à le faire bander et jouir dans de longs jets de sperme chauds et onctueux, le laissant décharger sa jouissance au fond de ma gorge, avalant le trop plein de nectar qui coulait de sa verge. Mon dieu qu’elle était grosse ! Mon dieu qu’elle était bonne, toujours aussi surprise d’aimer autant le sperme canin.

Pire qu’une affamée, le souffle court, à la limite de l’asphyxie je le buvais, malaxais ses « bogs », léchais la boule qui s’était formée et qui ressemblait de plus en plus à une grosse orange. Ma langue titillait son bout violacé et à chaque fois qu’elle se posait sur lui, une décharge de sperme m’inondait la bouche pour aller se perdre au fond de ma gorge.

Comme la première fois, il me remplissait la bouche, m’aspergeait le visage, le sperme coulant le long de mon cou pour aller finir sur ma poitrine : poitrine que je ne reconnaissais plus tellement elle avait grossi en si peu de temps. Je devenais une vraie femme. Cette fois je le finirais, je ne le laisserais pas ressortir de ma gorge avant que sa bite ne soit complètement débandée.

Tout à mon plaisir, je pensais à l’autre qui m’attendait dehors, me demandant en suçant Mambo, s’il me serait possible un jour de me faire prendre par les deux en même temps et l’image que je me fis de cet accouplement me foudroya de plaisir. Je le ferai un jour, j’essaierai me disais je en jouissant, buvant jusqu’à la lie le sperme qui continuait à couler de sa verge.

Maman m’aiderait, je le savais !

Je ne savais plus combien de temps avait duré la fellation, ni combien de centilitres de sperme j’avais du avalés avant que son sexe ne se ramollisse et ne ressorte de ma bouche : mais la chose que je me rappelais c’était la douleur qui m’empêchait de refermer la mâchoire tellement sa queue était grosse. Mes lèvres en feu et mon corps qui sentait le sperme, le chien et l’urine me faisaient ressembler à une sorcière. Mes cheveux étaient collés, mes vêtements ne ressemblaient plus à rien : je ne ressemblais plus à rien. La totale quoi !

Me relevant, je me demandais si je n’allais pas me mettre tout habillée dans la baignoire et laver le tout à grandes eaux.

— Allez oust : au garage ! Je t’amène ta pâtée et il va falloir que je m’occupe de l’autre maintenant. J’avais idée de te faire dormir avec moi, mais tu as eu ce que tu voulais, enfin presque et moi, je n’en peux plus. Je crois que c’est Oko qui va profiter de ma couche, quel veinard celui là tu ne trouves pas ? Surtout, ne m’embête pas sinon gare à toi.

La queue basse, à croire qu’il avait compris ce que je lui disais, il descendit au garage et l’enfermai dans la buanderie pour qu’il ne sente pas trop la présence de l’autre, prenant soin de lui laisser la culotte pour qu’il s’excite dessus et je fis rentrer Oko qui eut exactement la même réaction que Mambo.

A Suivre…

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