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Chez notre logeuse – Chapitre 1

Chez notre logeuse - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra

Avec mon amie Sophie nous sommes deux grandes et jolies femmes de dix-neuf ans, étudiantes et cette année nous avons trouvé deux chambres chez un particulier; en l’occurrence une femme célibataire dans une grande maison. Elle se prénommait Muriel, elle vivait au rez-de-chaussée de son domicile et louait deux des trois chambres qui se trouvaient à l’étage. Nous étions gâtées car nous avions une certaine intimité, nous pouvions entrer à l’étage sans la déranger il y avait une magnifique salle de bain et les chambres étaient vraiment spacieuses. Nous étions étudiantes en fac de biologie dans la vallée de Chevreuse et il était très sympa de pouvoir aller au cours à pied. Toutes les deux venions du lycée de Lattre de Tassigny à La Roche-sur-Yon. Nous étions vraiment contentes d’avoir pu trouver un logement où nous restions ensemble. Cela faisait quand même tout drôle de quitter notre Vendée où il y avait essentiellement des champs et là où les bois et la forêt étaient dominants.

Bien que de l’âge de nos parents Muriel était bien mignonne et toujours attentionnée avec nous, on avait l’impression qu’elle était là aussi pour nous protéger. Nous avions chacune une chambre, avec un lit deux places, un bureau digne de ce nom, avec une fenêtre qui donnait sur le jardin. À l’étage il y avait un frigo un micro-ondes, une plaque de cuisson et un petit évier pour faire la vaisselle mais c’est surtout cette salle de bain qui nous faisait craquer. Nous avions le WiFi à disposition ainsi qu’une télé dans une salle avec un canapé. Il y avait aussi un paramètre non négligeable à savoir le prix, pour les prestations offertes dans la région il n’y avait rien de mieux. Nous étions arrivées fin août pour nous installer et prendre nos marques, Muriel nous avait invitées pour notre première soirée à un repas, histoire de faire connaissance. Elle était ingénieur sur le plateau et travaillait dans le nucléaire, bien que plus âgée que nous, elle n’était pas du tout dépassée par les événements; bref elle était encore dans le coup.

Au bout d’une semaine Sophie et moi avions pris nos aises, le matin il y avait toujours un problème dans la salle de bain car l’une voulait prendre sa douche, l’autre voulait se laver les dents. À force nous avons fini par nous mettre d’accord comme quoi quand l’une prenait sa douche il n’y avait pas de problème à ce que l’autre se lave les dents. C’est ainsi qu’au bout d’un mois nous avions pris l’habitude de nous voir toutes nues et nous poussions même le luxe à essuyer le dos de l’autre quand l’occasion se présentait. Rapidement les mains de Sophie dans mon dos se sont mises à me faire de l’effet à tel point que je me laissais essuyer et que je l’invitais à essuyer devant aussi. La progression fut lente, elle a commencé par m’essuyer les hanches puis les fesses et au fur et à mesure ses mains m’essuyaient le ventre mais elle restait derrière moi. De mon côté j’ai suivi l’exemple mais je me suis un peu plus enhardie qu’elle; à savoir que je me suis retrouvée devant elle à lui essuyer les seins.

Nous avons fait ça à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’un soir cela dégénère, je ne sais pas ce qui m’a pris; pendant que je lui essuyais les seins je l’ai embrassée. À ma grande surprise Sophie n’a pas du tout rouspété et elle m’a rendu le baiser tout en me plaquant contre elle. Ce soir-là j’étais en petite culotte et elle était nue devant moi, cela m’a fait tout drôle de sentir son corps contre le mien, nos seins face à face. Je ne sais pas combien de temps notre baiser a duré mais je suis persuadée qu’il était sincère; ce qui m’a le plus troublé à ce moment-là, c’est quau niveau de mon minou, je sentais la chaleur du sien. C’est empli de curiosité que ma main est descendue pour essayer de constater ce qu’il se passait sur zone. Sophie a poussé un petit cri au moment où mes doigts sont entrés en contact avec ses poils pubiens, apparemment ma copine de classe était chaude. Je sentais son ventre contre le mien qui se gonflait pendant qu’elle respirait ensuite se vidait, c’était très agréable de sentir nos deux corps collés l’un à l’autre. Là, en l’occurrence, Sophie ne respirait plus mais elle soupirait de désir.

Je n’ai pas laissé longtemps mes doigts entre ses jambes mais j’ai pu constater que ces derniers étaient bien mouillés. Ce moment d’égarement n’a pas duré plus de dix minutes mais à partir de ce jour-là nous ne nous regardions plus de la même façon. Notre petit manège à nous essuyer le dos a quand même continué et au fur et à mesure nos mains recommençaient à s’égarer. Il ne nous a fallu moins d’une semaine pour nous retrouver de nouveau face-à-face et de nouveau nous embrasser et de nouveau constater que son minou était trempé. Par contre ce coup-ci, Sophie a pris l’initiative d’aller glisser sa main dans ma culotte, chose qui me fit le même effet qu’à elle la semaine d’avant. Sa main était plus confiante que la mienne et elle a même été effleurer puis me caresser le clito. Tout comme elle, je l’ai embrassée avec passion et gourmandises et je l’ai plaquée contre moi en profitant de l’occasion pour lui caresser le dos. Nos séances d’essuyage commençaient à dégénérer en caresses coquines dans la salle de bain.

Nous avons agi ainsi encore quatre ou cinq fois avec un laps de temps toujours plus rapproché, avant de prendre désormais la direction d’une de nos chambres. Maintenant après la séance de bécotage après la douche, nous partions nous allonger sur un lit pour déposer des baisers partout sur le corps de l’autre. Bien évidemment les baisers qui étaient déposés un peu au hasard, on finit par se centraliser sur les zones érogènes de chacune. À chaque baiser, ma partenaire sursautait de plaisir ou de désir, nous commencions à vraiment bien connaître le corps de l’autre. Un samedi soir je n’ai pas pu résister, alors que mes baisers, je les déposais au niveau du nombril, en haut des cuisses bref tout autour de son sexe; ce soir-là j’ai plongé ma tête dans son minou. Depuis le temps que nous nous chauffions toutes les deux, je me demande si Sophie n’a pas joui juste sur le fait que ma langue commence à titiller son clito. Elle était allongée nue sur le lit et moi j’étais accroupie entre ses jambes, de temps à autre je la regardais mais le reste du temps je lui faisais sa toilette intime.

Son nectar avait un goût divin et une odeur entêtante, cette odeur je m’en serais parfumée tellement elle me faisait de l’effet. Ce soir-là j’étais surtout en train de réaliser que nous étions en train de devenir des petites gougnottes, je n’en avais que foutre de toute façon nous nous donnions du plaisir et c’était le principal. Excitée comme elle l’était, Sophie n’a pas été bien longue à prendre son pied sous la pression de ma langue sur son clito. J’ai continué un petit peu avec ma langue car je sais que quand on dépasse le plaisir, cela devient insupportable mais oh combien bon. Quand j’ai cessé, Sophie m’a tirée à elle et a tiré les draps pour que nous nous endormions. De mon côté j’étais un peu restée sur ma faim mais je savais quil y aurait un retour, c’est enlacées que nous nous sommes endormies; en petites amoureuses que nous étions en train de devenir. Nous avons dû dormir quatre heures ou cinq heures pour nous réveiller en pleine nuit et remettre ça mais ce coup-ci c’est Sophie qui est passée à l’action et qui m’a rendu la pareille.

C’est sous les draps que Sophie s’est glissée pour arriver à mon entrejambe, je vais vous avouer que quand elle est passée à l’action, j’étais encore en train de dormir; je ne vous raconte pas la douceur du réveil en pleine nuit. La maison était d’un silence déprimant, nous entendions que le bruit du frigo au loin. La nuit précédente je m’étais réveillée mais j’étais seule dans mon lit, j’avais mis très longtemps à me rendormir car il y avait deux chats en train de se courtiser dans le jardin. Là maintenant, les seuls bruits que je pouvais discerner dans la chambre c’était le frottement des draps et quelques bruits de succion, donc je vous laisse imaginer la provenance. Plus le temps passait et plus Sophie écartait mes cuisses pour se libérer un accès le plus large possible à mon abricot. Pendant qu’elle était en train de me faire reluire la friandise, je sentais ses mains indiscrètes qui allaient me caresser mon petit trou. Je peux vous garantir que sous les draps il y avait une sacrée odeur de sexe féminin. En fait Sophie était en train de sonder toutes mes zones érogènes, maintenant j’en étais arrivée à aller à la recherche de ses caresses.

Maintenant elle était en train de me brouter le minou mais en même temps elle faisait coulisser deux doigts dans mon rectum, ce qui me faisait le plus grand bien du monde. Si j’avais su avant l’année scolaire que j’allais prendre plus de plaisir avec une femme avec un homme cette année, je n’en aurais pas cru mes oreilles. J’avais laissé mon homme Franck à La Roche-sur-Yon car il faisait un BTS alternance. J’étais amoureux de lui mais je ne me serais pas beaucoup engagée quant à sa fidélité en mon absence. En même temps, je pensais à ça, mais moi de mon côté; étais- je vraiment fidèle à m’envoyer en l’air avec une copine de classe. Le cunnilingus et les attouchements intimes de Sophie commençaient à vraiment me faire du bien et je me demandais combien de temps j’allais tenir avant de tourner de l’il de plaisir. Elle me mordillait les lèvres cachées, elle m’aspirait le clito; par-dessus ça il y avait sa respiration que je sentais au moins quand elle expirait car sur mon minou tout mouillé je ressentais de la fraîcheur.

Pour la première fois de ma vie je prenais mon pied sous les caresses d’une femme et en plus en pleine nuit. La complicité entre nous n’allait faire que s’accroître et je sais que désormais nous ne nous regarderions plus de la même façon en classe. Comme je lui avais fait au moment de me coucher elle a continué à me brouter encore un petit moment, histoire que cela devienne insoutenable mais mémorable. C’est en nous embrassant, dans les bras l’une de l’autre que nous nous sommes rendormies jusqu’au petit matin. Heureusement ce matin-là il n’y avait rien de prévu excepté peut-être un passage au marché en fin de matinée. Il devait être 9h du matin nous étions toutes les deux collées l’une à l’autre et en guise de bonjour, nous sommes embrassées de nouveau. Le seul bruit que nous entendîmes fut le bruit du micro-onde de notre blogueuse au rez-de-chaussée qui prenait son petit-déj. Nous l’avons ensuite entendue ouvrir les volets, de notre côté nous n’avons rien trouvé de mieux que d’aller nous coller une petite main dans l’entrejambe de l’autre. Je caressais le visage de Sophie qui était tellement doux elle en faisait de même pour moi c’était vraiment plaisant une telle relation saphique.

C’est vrai que quand je caressais le visage de mon copain au niveau douceur il y avait mieux. Toutes les deux avions de longs cheveux bruns, j’avais les yeux bleus et elle les yeux verts; sans vouloir être prétentieuse, je pense que beaucoup de copains de classe devaient fantasmer sur nous. Ah si ils savaient les malheureux… En même temps je me disais que le fait d’avoir goûté au plaisir féminin ne voulait pas dire que j’avais viré ma cuti mais juste que j’avais goûté aux deux sexes. Nous commencions à bien connaître le corps de l’autre et les attouchements que nous étions en train de nous prodiguer étaient de plus en plus efficaces. Mais je ne sais pas ce qui nous a pris mais c’est la sagesse qui a pris le dessus. Nous nous sommes levées pour passer à la douche mais contrairement à d’habitude ce coup-ci, la douche nous l’avons prise ensemble. Bien évidemment je me suis chargée de la savonner et réciproquement, caresser le corps de l’autre alors que ce dernier est recouvert de savon est vraiment une sensation très agréable au niveau douceur.

Vous pouvez bien vous douter que l’une comme l’autre avons été bien plus longues à savonner l’entrejambe. Certains pourraient dire que nous avons été très longues sous la douche mais en fin de compte nous n’avons pas consommé beaucoup d’eau juste ce qu’il fallait pour nous mouiller et la même chose pour nous rincer, par contre entre les deux nous avons été très longues. Une fois toutes propres nous sommes sorties de la cabine nous essuyer, avec tout le soin mutuel que nous nous portions désormais… Nous sommes parties traîner au marché, nous avons acheté que quelques légumes. Ah si nous avons fait des folies au marché, nous avons acheté de longues et douces robes en viscose et lycra d’une douceur indicible. Les motifs qu’il y avait dessus n’étaient pas vraiment très attrayants, par contre la douceur et le côté moulant de ces robes nous a vraiment fait craquer. À 5 pièce, nous nous en sommes acheté trois chacune. Nous avons passé l’après-midi à travailler, l’avantage dans les études c’est que Sophie et moi étions assez complémentaires, à savoir que ce que je ne comprenais pas, elle le comprenait et vice-versa.

Le soir à l’heure du repas, nous ne nous sommes pas fait livrer des pizzas et avons dîné devant la télé, c’est ce dimanche-là que nous avons réalisé que ma chambre était au-dessus de celle de notre logeuse. En parlant nous avons fini par en conclure qu’elle savait si la chambre du dessus était occupée ou pas, par rapport au bruit des pas, par rapport au lit, par rapport au bruit des fenêtres que l’on ouvre le matin. C’est à partir de ce jour-là que nous avons fait attention à ce que les deux chambres aient de la vie tous les jours et surtout tous les soirs et matins. Nous étions en train d’atteindre notre petit rythme de croisière à savoir que maintenant nous couchions ensemble tous les soirs et faisions des folies un jour sur deux à peu près. Pour plus de détails tous les soirs ne nous caressions mais nous rentions dans les détails qu’un jour sur deux car mine de rien nos parties de jambes en l’air étaient épuisantes. Voilà maintenant plusieurs mois que nous étions ensemble, maintenant nous poussions le détail jusqu’à échanger nos culottes usagées. Je sais que c’est un peu crade mais les odeurs, les effluves qui en émanaient étaient vraiment très excitants.

Je vais vous avouer que mon copain Franck, je l’avais carrément oublié; mon cur ne battait que pour Sophie. En même temps il ne s’était pas trop cassé la tête pour essayer de me recontacter que ce soit par SMS, téléphone ou courriel. En classe nous étions assez fières car personne ne se doutait de rien que ce soit chez les filles ou chez les garçons. Le seul petit doute était au niveau de Muriel car nous avions quand même un peu l’impression qu’elle se doutait de quelque chose. Mais en même temps le premier étage de sa maison nous appartenait en quelque sorte, elle avait la correction de ne jamais monter quand nous étions là. Quand les fêtes sont arrivées notre logeuse nous a informées qu’il y avait un sapin de Noël dans le séjour et quil y avait pour tradition dans la maison que chacun fasse un cadeau à l’autre. Bref il nous restait quinze jours pour trouver un cadeau à lui faire, nous sommes donc parties à la FNAC pour essayer de lui trouver quelque chose de sympa. En fait nous lui avons acheté deux trilogies; une de Clint Eastwood et une de Tarantino.

Nous avons fait attention à lui mettre un joli papier cadeau accompagné d’une petite carte avec un joli petit mot. De son côté on ne savait pas du tout ce qu’elle allait nous offrir. Le pire c’est que nous allions passer les fêtes en famille, en Vendée et que nous nous reverrions Muriel qu’à notre retour, en début d’année. Nous sommes donc parties par la route direction La Roche-sur-Yon et c’est avec grand plaisir que nous avons retrouvé tout le monde a qui nous avions plein d’histoires à raconter. J’ai envoyé un message à mon mec comme quoi j’étais là pour quinze jours mais il n’a même pas essayé de me voir, c’était définitivement fini entre nous. Les moments furent très sympas durant ces fêtes de fin d’année et c’est bien reposées que nous sommes reparties début janvier pour la suite des études. À notre retour chez Muriel rien n’avait changé, elle nous a accueillies comme d’habitude à bras ouverts et elle nous a invitées à ce que nous déjeunions le dimanche midi ensemble pour fêter la nouvelle année. C’est à cette occasion qu’elle désirait que nous échangions nos cadeaux, elle avait l’air pressé de vivre ce petit moment.

Le soir même nous avons été très sages, même si nous étions assez impatientes de nous retrouver sous les draps. Le lendemain midi nous sommes descendues pour déjeuner avec Muriel, avec nos petits cadeaux à la main. Elle nous avait préparé un repas de fête et nous avons beaucoup apprécié cette attention de sa part. Le repas fut un festin et c’est à la fin de ce dernier que nous nous sommes échangé les cadeaux. Muriel a préféré ouvrir les cadeaux de notre part en premier car elle préférait que les cadeaux qu’elle nous avait préparés soient ouverts en dernier. Elle a déballé les papiers cadeaux pour découvrir les deux trilogies que nous lui avions trouvées et elle a eu l’air de beaucoup apprécier. Notre logeuse nous a expliqué qu’elle adorait ces deux réalisateurs et qu’elle était très touchée par l’attention. Bien évidemment elle s’est levée pour venir nous faire la bise et ainsi nous remercier. De notre côté nous étions assez impatientes de savoir ce qu’il y avait dans nos boîtes cadeau. Quand nous avons commencé à déballer, nous avons vu ce que c’était Sophie et moi nous sommes regardées…

Bien évidemment vous en connaîtrez le contenu dans le chapitre numéro 2

Gros bisous à vous

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