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Christine V : Coeur, sexe et imagination – Chapitre 14

Christine V : Coeur, sexe et imagination - Chapitre 14



En sortant du château, Christine et moi reprenons la voiture et cherchons un restaurant ou un café où manger. Il est déjà 13h et les personnes qui travaillent terminent leur déjeuner. Nous nous entrons dans un petit café de campagne et nous installons à la terrasse, située à l’arrière de l’établissement. Il y a là six tables, dont trois sont occupées. Une jeune serveuse aux jolies rondeurs, en chemisier blanc et jupe noire, nous apporte la carte. Commande rapide et coupe de champagne pour l’occasion. Je fais remarquer à Christine que la serveuse me plait bien. Elle rit :

— Pas très grande, des fesses un peu larges dans une jupe de tailleur étroite, des seins comprimés dans un chemisier moulant et un peu transparent, des talons hauts Bizarre, elle me rappelle quelqu’un à 20 ans

— Elle a de plus gros seins que toi.

— Largement oui. Et une crinière noire magnifique et une bouche à p heu une bouche ourlée !

Je ris.

Deux tables se libèrent alors que nous mangeons l’entrée, et la troisième peu après, alors que la serveuse amène les plats principaux. Les deux plats étaient excellents. Simples et bien réalisés. La serveuse vient débarrasser. Elle semble désormais plus détendue. Nous lui faisons part de nos compliments pour le repas.

— Je vous remercie et je transmettrai au cuisinier. Il est malheureusement déjà parti.

— Pas de dessert alors ?

Elle sourit.

— Si. Ça, je m’en occupe. Les derniers clients sont toujours les miens !

Elle part en riant. Christine lui emboite le pas et va commander les desserts avant d’aller aux toilettes.

De retour sur la terrasse ombragée, elle dit :

— Nous sommes effectivement les derniers clients.

Elle déboutonne alors son blazer et le retire avant de se rasseoir comme si de rien n’était. La serveuse revient avec les desserts :

— Houlà !

Elle pose les assiettes devant nous et ajoute :

— C’est très sexy ce haut. Vous n’auriez pas oublié quelque chose ce matin ?

Nous éclatons de rire. Christine répond sur le même ton :

— Je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler.

Les rires redoublent. La serveuse avoue :

— J’allais vous dire que vous étiez certainement la cliente la plus élégante que j’ai vue ici depuis longtemps, mais vous êtes surtout la plus sexy de toutes.

— Je vous remercie.

La serveuse baisse le ton, comme si elle voulait nous faire part d’un secret.

— Vous vous êtes mariés aujourd’hui, n’est-ce pas ?

Nous nous regardons en riant. Je réponds.

— Pas exactement. Mais il y a dix ans, jour pour jour. Alors nous avons souhaité remettre les vêtements que nous portions ce jour-là.

Elle regarde Christine et crie presque :

— Vous vous êtes mariée dans cette tenue ??!

— Oui. Mais j’avais un chemisier en satin.

— Mais pas de soutien-gorge ?

— Non. Ni de culotte.

La serveuse rougit, nous éclatons de rire. Visiblement, elle ne sait pas si c’est du lard ou du cochon. Elle nous laisse manger le dessert. Aussi bon que le reste.

La serveuse revient plus tard, avec deux bouteilles, l’une de limoncello, l’autre de grappa. Elle dépose deux petits verres et questionne Christine sur sa préférence. J’interviens :

— Nous ne prendrons un digestif que si vous amenez un troisième verre et que vous prenez une chaise pour vous joindre à nous.

Elle rit, regarde sa montre et répond :

— Vous me laissez cinq minutes. Il faut que je vérifie le fond de caisse et que je ferme devant. Vous prenez des cafés ?

— Deux expressi.

Un plateau, trois cafés, des chocolats, des biscuits, le petit verre : elle ne revient pas les mains vides. Elle serre le limoncello et nous faisons les présentations. Elle s’appelle Clara. Je lui demande :

— Il y a longtemps que vous travaillez là, Clara ?

— Mon père est le propriétaire du café. Je travaille pendant les vacances depuis que j’ai 16 ans. Donc ça fait quatre ans.

— Alors nous avons commencé à sortir ensemble en 1995, soit l’année de votre naissance, non ?

— Exactement. C’est fou ça.

Les digestifs se succèdent ainsi que les cafés. Clara amène ensuite une bouteille d’eau. La demoiselle a beaucoup d’humour et nous nous sentons agréablement bien sur cette terrasse ombragée. A un moment, Christine dit :

— Mise à part ça, vous devez être en pause là. Il faut nous mettre dehors.

— Non, non. Je n’ai rien à faire jusqu’à 17h. Je reste d’ailleurs souvent là pour réviser, au calme. Je suis ravie de partager un peu de cet anniversaire avec vous.

Christine lui dit :

— Est-ce que je peux vous demander de nous prendre en photo ?

Christine lui donne son smartphone. Nous nous levons et ça tourne un peu. Il y a un joli coin sur la terrasse et nous prenons la pose. Nous faisons des dizaines de photos. Christine remet le blazer au début et le quitte à nouveau par la suite. Excité par la séance, je mets la main sur un de ses seins alors que nous posons de biais. Christine joue le jeu et feint d’être choquée, devant moi, alors que j’ai posé les mains sur ses seins. Sur la photo suivante, je pince ses tétons. Il y en aura quelques-unes coquines, jusqu’à la dernière où je dissimule de ma main son sexe alors que mon épouse a levé sa jupe à hauteur de la taille. Face à nous, Clara rit, encourage, feint les gémissements. Et les photos sont de très bonne qualité. Alors que nous visionnons la dernière photo, Christine s’exclame :

— Allez ! Vous deux maintenant !

Je ne comprends pas. Clara non plus apparemment.

— Nous deux ? Nous n’avons rien à fêter !

Christine rit.

— Peut-être. Mais nous serons ravis d’avoir un souvenir de vous quand nous nous rappellerons cet anniversaire.

Clara sourit, flattée. Nous allons nous installer, côte à côte. Christine dirige.

— Plus près. Vous êtes bien timides tous les deux.

Nous nous rapprochons et je pose ma main dans le dos de Clara. Elle fait de même. Christine photographie une fois, deux fois.

— Serrez-vous encore.

Clara se serre contre moi, sa poitrine contre mes côtes. Elle pose la tête contre mon épaule. Christine shoote à nouveau, satisfaite de notre position. Soudain, je sens la main de Clara qui descend sur mes fesses, qu’elle commence à peloter. Elle murmure :

— Vous avez un cul terriblement sexy. J’avais envie de faire cela depuis que vous êtes entré.

J’en reste sans voix. La jolie brune malaxe lentement mes fesses et j’adore ça.

Ma femme met fin à cette douce caresse en disant :

— A moi maintenant. Chéri, tu nous prends en photo ?

Nous échangeons nos places et un baiser. Les deux femmes posent, face à moi. Puis face à face. Je fais une, deux photos. Yeux dans les yeux. Encore une photo puis un baiser. Je vois ou plutôt, je crois voir Clara embrasser ma femme. Je relève les yeux, elles s’embrassent à nouveau. Je ne comprends pas. Que se passe-t-il ? Je ne bouge plus. Comme si j’attendais que le cours normal des évènements reprenne. Je ferme les yeux, les rouvrent. Elles s’embrassent encore. Je pose le téléphone et les regardent, hébété.

Clara embrasse Christine qui semble apprécier, beaucoup apprécier, si j’en crois ses mains qui montent et descendent sur les flancs de la jeune serveuse. Les mains de cette dernière passent du visage de mon épouse à ses seins dont Clara se saisit avec délicatesse. Le tableau est idyllique, sublime. Puis Clara pousse lentement Christine contre une table et elle s’agenouille, embrassant le cou, les épaules, la poitrine, les seins, le ventre de ma femme. Avant de soulever sa jupe, Clara indique à Christine de se coucher sur la table. Jambes levées, ouvertes, comme si elle était chez le gynéco, ma femme se fait lécher le minou par une autre femme.

Après quelques minutes et un bel orgasme, Christine me fait signe de venir. Elle ouvre mon pantalon et me suce énergiquement avant de jouir une nouvelle fois, mon sexe dans la bouche.

— Viens en moi

Clara se redresse et me fait un clin d’il. Nous échangeons nos places. La hauteur de la table est parfaite et je glisse aisément dans un vagin détrempé de mon épouse. Je vais-et-viens lentement en elle. Clara embrasse Christine puis ouvre le chemisier pour lécher ses seins. J’observe également la main discrète de mon épouse qui caresse le genou de Clara, semblant hésiter quelques instants à remonter. Clara rapproche les hanches de la table et la main de ma compagne disparait sous la jupe de la serveuse.

Clara frissonne et je sais alors que mon épouse a atteint son but. Clara commence à gémir et, excitée, elle revient lécher le clitoris de Christine alors que je la pénètre. Féérique. Christine jouit. Clara halète. Elle lève les yeux sur moi et sa main glisse sous mes bourses avant de remonter à la base de ma hampe. Elle me pousse, voulant manifestement me faire sortir de sexe de ma femme. J’obtempère. Clara me prend dans sa bouche et aspire ma bite comme si elle voulait en faire sortir le jus. Puis elle me prend au fond de sa gorge. En deux mouvements, elle m’a rendu fou et elle le sait. Elle sourit, mystérieuse. Elle me dirige à nouveau entre les lèvres de mon épouse. Christine se redresse et je la prends avec vigueur au bord de la table. Je jouis assez vite.

Ce n’est qu’après l’éjaculation que je vois Clara, mon smartphone à la main, dirigé vers nous. Elle crie :

— Whooohoou ! Vous êtes juste trop beaux quand vous faites l’amour !

Nous rions. Clara nous donne le téléphone. Six photos et un film très hot d’une trentaine de secondes. Christine est gênée et rougit. Elle se met debout et part aux toilettes. Clara rit et dit :

— Je ne suis pas prête d’oublier votre passage.

Elle baisse les yeux sur mon sexe.

— Fesses sexy et musclées, un bien bel engin et une sacrée énergie. Christine doit être sacrément comblée. Je suis jalouse.

C’est moi qui suis gêné à mon tour.

— Merci. Que puis-je répondre à ça ? Vous êtes une jeune femme délicieuse qui me fait regretter de ne plus avoir 20 ans.

— Vous n’auriez pas rencontré Christine si vous aviez 20 ans aujourd’hui. Et je ne suis pas à la hauteur.

— Elle avait les mêmes fesses que vous. Mais pas la même poitrine !

Clara rit doucement et caresse mon sexe qui perd de la hauteur à vue d’oeil. Elle ne dit rien. Elle inspire comme si elle allait parler puis semble se raviser. Derrière, les talons de ma femme se font entendre et je vais à mon tour aux toilettes.

Quand j’en reviens, Christine et moi prenons congé de Clara. Elle ne nous fait payer que le repas, offrant toutes les boissons. Elle dit ensuite :

— Je ne voulais pas vous mettre à la porte, mais il faut quand même que j’aille prendre une douche avant de rouvrir à 17h.

Nous rentrons et passons, nous aussi, à la douche. Nous faisons l’amour à deux autres reprises avant de nous coucher.

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