Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe arabes Premières histoires de sexe

Claire ma nièce – Chapitre 2

Claire ma nièce - Chapitre 2



Elle fait un peu la tête mais ne dit rien. Je donne quelques coups de fils pour mon travail quand Claire mappelle.

-Jai fini tonton.

Jentre dans la salle de bain, elle est mouillée de la tête aux pieds.

-Il faut que tu messuie tonton.

Elle me désigne une serviette et attend. Je commence par lui sécher les cheveux, jusque-là, tout va bien, mais je suis obligé de descendre. Après les épaules, jarrive aux seins. Quand je pose mes mains dessus, je sens au travers du tissu un frisson de Claire. Je la regarde, elle ferme les yeux le visage détendu et serein. Jarrête de lessuyer. Elle ouvre les yeux.

-Continu tonton, je ne vais pas sortir de la baignoire dégoulinante deau.

-A quoi tu joues.

-Tonton, je ne joue pas, je ne fais quapprécier le moment, cest bien toi qui dit toujours quil faut profiter au maximum du moment présent, on ne sait pas sil y en aura un autre.

-Oui, mais tu profites de la main de ton oncle sur tes seins, cest loin dêtre normal.

-Oui, mais tonton ou pas, une main sur mes seins, ça me fais réagir.

Je suis un peu déstabilisé, dautant que sous mon pantalon mon sexe gonfle et va bientôt faire une grosse bosse.

Je reprends mon séchage, descends le long de son ventre et son dos. Arrivé au niveau du sexe, elle passe ses bras autour de mon cou.

-Redresses moi sil te plait.

Je la redresse, elle est pratiquement debout dans la baignoire, jai accès à son sexe et à ses fesses. Elle écarte légèrement ses cuisses, autant quelle peut. Ma main droite glisse du pubis entre ses cuisses, lautre essuie les fesses. Elle a un léger mouvement du bassin vers lavant. Comme elle est pendue à moi et me colle, je ne peux pas voir son expression. Je frotte un peu plus fort avec ma main droite. Elle me fait une bise dans le cou.

-Encore tonton, encore jaime ce que tu me fais.

-Arrête, tu es complètement folle.

Je lui essuie les jambes, la fais sortir de la baignoire pour lassoir sur une chaise et lui essuyer les pieds. Je ne sais plus que penser, cette fille mémeut, elle est magnifique et offerte, mais cest ma nièce, je ne peux pas faire nimporte quoi. Dun autre côté, cest une femme qui veut que je moccupe delle, seulement on appelle ça un inceste.

-Jésus essuyant les pieds de ses disciples.

-Tu es loin dêtre un disciple de Jésus.

Je me mets derrière elle pour la coiffer, elle a de très longs cheveux qui tombent en boucles sur ses épaules, cest assez difficile de les démêler et ça prend un certain temps. Une fois le travail fini je la redresse.

-Jai deux mots à te dire, allons dans ta chambre.

Je lui demande de me prendre par le cou sans lui mettre sa chemise de nuit et la saisie aux fesses. Je lamène vers sa chambre. Elle me fait un nouveau bisou dans le cou.

-Claire, tu exagère maintenant.

-Dis donc tonton, tu crois que je nai pas vu la bosse dans ton pantalon ? Dailleurs je la sens en ce moment même contre mon sexe cette bosse. Cest moi qui te fais cet effet ? Admets le une fois pour toute, on gagnera du temps.

-On gagnera quoi ? Parce que tu penses à quoi ?

-Simplement à une femme qui a besoin de se sentir désirée, cajolée, aimée en un mot à une femme qui veut être femme et à qui tu le refuses.

Je ne sais plus quoi dire, je suis pris au piège. Arrivés dans la chambre elle me demande de lallonger sur le lit. Je la dépose, mais elle ne veut pas me lâcher. Je suis obligé de massoir à côté delle.

-Tonton je ne te lâche que si tu me passe ma crème de jour sur tout le corps.

-Dis donc, tu peux utiliser tes bras et tes mains, tu peux donc le faire toi-même.

-Oui mais je nen ai pas du tout envie, et puis je ne pourrais pas le faire sur mes jambes. Sil te plait tonton, fais-moi ce plaisir, jai tellement envie dêtre caressée par une main dhomme.

-Claire, Claire quest-ce que tu me demande, tu sais bien que ce nest pas possible.

-Tonton, vu la forme qua pris ton pantalon, je ne sais pas ce qui est impossible, mais tu bande tonton, tu bande de me voir à poil, admets le une fois pour toute. Oublie un peu le contexte, oubli que je suis ta nièce, ne vois en moi quune femme, une femme qui a envie de faire lamour avec un homme. Passe-moi cette crème sil te plait, mon corps nattend que ça.

Je nen peux plus, je pose ma main droite sur son ventre. Elle réagit instantanément en donnant un coup de rein.

-Passe-moi ma crème sil te plait.

Abasourdi, complètement zombi, abandonné par ma volonté je saisi un tube de crème sur la table de nuit, men mets sur la main et la pose sur son ventre. Elle ferme les yeux. Je ne suis plus moi-même, je suis complètement sous le charme de cette splendide fille. Ma main tourne autour de son nombril. Elle élargie les cercles de plus en plus. Au bout dun instant, ma main passe sur son pubis et remonte jusquà la base de ses seins. Je rajoute de la crème sur ses cuisses. Jétale la crème le long de ses jambes, je descends et monte en répartissant la crème sur toute la surface visible de ses jambes. Claire ondule légèrement du bassin. Je remonte le long de lintérieur de ses cuisses mais je marrête juste au niveau de son sexe sans le toucher. Elle ondule de plus en plus ouvertement du bassin. Son visage est serein avec un léger sourire. Elle profite du moment au maximum, cest certainement mon meilleur « disciple ». Je dépose quelques gouttes de crème sous ses seins. Avec mes deux mains, je létale en contournant les seins, allant des aisselles aux épaules, des épaules aux bras, mais je ny touche pas.

-Tonton, tu nes pas gentil.

-Tu las bien mérité.

-Tu ne pourras pas résister longtemps.

-Ne ten fais pas pour moi.

Je continu mon travail de sape en lui caressant le côté du corps.

— Retourne-toi.

-Tonton, tu ne crois pas que tu oublies quelque chose ?

-Non, retourne-toi.

-Tu sais bien que je ne peux pas le faire toute seule.

Je la prends par les côtés et la met sur le ventre. Je commence par étaler la crème sur le dos, les épaules, les bras pour descendre le long des hanches et enduire les jambes. Je fini par remonter entre les cuisses vers ses fesses. Elle nattend que ça, au moment où mes mains atteignent le bas des fesses elle donne un grand coup de rein en arrière.

-Occupe-toi bien delles sil te plait.

Cette séance ma mis dans tous mes états, je bande comme un cerf, mon sexe me fait mal engoncé dans ce pantalon devenu trop petit, je craque. Mes mains se posent sur ses fesses et commence à les caresser. Je nétale plus une crème sur une peau, je caresse deux magnifiques globes qui ondulent sous mes doigts. Je les pétri, les serre, les écarte. Je passe un doigt entre elles sans aller trop profond.

-Oui, continu, sil te plait continu.

Mon doigt descend un peu plus profond au milieu de ses fesses. Il finit par atteindre lanus.

-Oui, oh lala.

Je mets un peu de crème sur sa rondelle et lui malaxe les fesses en lui caressant lanus avec le pouce. Lécarte ses fesses pour admirer son petit trou. Jai envie de lui lécher. Je me penche et pose ma langue sur sa rondelle qui réagit immédiatement.

-Oh lala, oui, continu, que cest bon.

Avec tout ça, jai de plus en plus mal à la bite. Je me redresse, elle tourne la tête vers moi, son regard est complètement chaviré, elle voit ma bosse et tend la main vers ma ceinture. Elle essaye de la défaire, mais dans sa position cela lui est impossible. Je défais donc moi-même ma ceinture, mais cest elle qui sempare de ma bite pour la dégager de sa prison.

-Je vois que je ne suis pas la seule à avoir envie.

-Je nen suis pas très fier.

-Allons tonton, pas de ça, tu as envies de moi comme jai envies de toi. Déshabille-toi, je veux te voir nu.

Je me déshabille et je réalise que de toute manière, je vais faire limpensable, je vais faire lamour avec Claire, parce quelle en a envie et que jen ai envie. Parce que nous sommes deux êtres attirés lun par lautre. Pourtant, cest la première fois de ma vie que je considère Claire comme une femme. Bien sûr je lai vu devenir une femme au fil des ans, mais cétait pour moi ma nièce, pas une femme, elle restait toujours pour moi une petite fille que jaimais beaucoup, mais comme un oncle aime sa nièce, rien de plus. Là, javais devant moi une femme, une vrai, une femme qui veut se donner sans retenues, qui a envie de sentir un corps dhomme sur et dans son corps de femme.

-Viens.

Je me penche sur elle et la fait se retourner sur le dos. Je prends un peu de crème et lui caresse les seins. Elle ferme les yeux.

-Tu vois, javais raison.

Je pose ma bouche sur un sein, passe à lautre, reviens au premier et ainsi de suite. Elle ondule du bassin les yeux fermés. Ma bouche descend sur son ventre, lui titille le nombril et continu sa descente. Arrivé au pubis, je fais des petits ronds avec ma langue et je descends. Ma langue atteint le haut des lèvres et se glisse entre elles pour chercher le clitoris.

-Oh lala, oh lala, oui jaime, continu.

Ma langue a pris procession de sa vulve, elle batifole entre les petites lèvres, le clitoris, senfonce dans son nid damour pour remonter au clitoris. Tout à coup, son corps se raidi, ses fesses décollent du drap, elle est secouée de spasmes, ses mains me plaquent la tête sur son sexe.

-Oui, oui, je joui, tonton tu me fais jouir, merci, merci.

Elle émet un râle sourd, elle jouit en silence mais intensément. Ma langue continu de la titiller et récupère sa cyprine qui coule en abondance jusquà ce quelle se relaxe et se pose sur le lit. Je continu de la lécher, allant de lanus au clitoris et je sens son corps se détendre petit à petit. Son visage illumine de bonheur, elle a les yeux fermés et un magnifique sourire sur les lèvres. Je me redresse, je bande toujours comme un cerf, mais je nai pas très envie de la prendre maintenant. Je veux quelle se remette de ses émotions. Quatre ou cinq minutes plus tard elle ouvre les yeux. Elle me voit et me sourit.

-Merci tonton, cest la première fois que je jouis de cette façon et aussi fort, jamais une bouche ne sétait posée sur mon sexe et encore moins sur mon anus. Cest merveilleux comme sensations. Tous mes copains se contentaient de me mettre leurs bites dans le con.

— Holà un peu de correction sil te plait, on ne dit pas « de me mettre leurs bites dans le con » mais « de me mettre leurs vits dans la vulve ».

Elle éclate de rire.

-Toujours le même sens de lhumour tonton.

-Arrête de mappeler tonton, ce nest pas tout à fait approprié dans le contexte actuel.

-Excuses moi, mais pour moi tu es mon tonton et tu seras toujours mon tonton adoré. Je ne peux pas tappeler autrement.

Je me lève et de ce fait expose ma bite bien droite.

-Dis donc, je vois que tu es toujours excité, je peux faire quelque chose pour toi ?

-Non, ne ten fais pas je vais me calmer doucement.

-Comme tu voudras, je ne sais pas pourquoi, mais jai envie de dormir, cela ne te gêne pas ?

-Pas du tout ma chérie, dors, je te réveille au moment du repas.

-Merci.

Elle me tend les bras.

-Bisou.

Je me penche pour poser mes lèvres sur sa joue mais au dernier moment elle tourne la tête et nos lèvres se joignent. Elle mattrape par le cou et me maintient en position. Sa langue force ma bouche qui la laisser entrer. Sa langue sanime et finit par mentrainer dans ce baiser fou. Je réussi à me libérer, elle me sourit, tourne la tête vers le mur et ferme les yeux. Elle est nue sur son lit, offerte, reposée, épanouie, apaisée, elle est adorable.

A suivre

[email protected]

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire