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Cocu mécontent appelant la vengeance – Chapitre 2

Cocu mécontent appelant la vengeance - Chapitre 2



J’ai devant moi, les preuves de son inconduite, mais maintenant que vais-je faire ? Surtout que maintenant, non contente de m’avoir trompé par-devant, il semble bien qu’elle a offert toutes ses possibilités à son amant, maintenant, après avoir vidé son contenu dans les ovaires de ma moitié, sans trop lui laisser le temps de se refaire, elle l’a prié de préparer son cul pour le dernier passage avant le repos bien mérité.

Sans trop d’hésitation, après avoir engagé un puis deux, puis trois doigts à grand renfort du jus sortant du haut et de salive, gaillardement, il introduit son membre qui s’est redressé dans l’huis de service et commence laborieusement des va-et-vient dans le boyau de la traîtresse.

La quelle semble apprécier au plus haut point le ramonage de son gros intestin. Je vois clairement, pour la première fois, son corps se tendre comme un arc mongol, à la limite de craquer, des feulements assourdissants sortir de ses poumons, le tressaillement de ses jambes qui indique la qualité du plaisir que madame est entrain de prendre à l’exercice.

Je ne l’ai jamais vue dans un tel état pendant tout le temps de notre liaison. M’avoir caché si longtemps son tempérament de feu, pour l’offrir à un autre, ne peut passer sans autre, c’est un affront pire que l’adultère lui-même. Je sens que jamais je ne pourrai avoir une vie commune avec elle, après avoir vu ces images terribles devant mes yeux.

Enfin apaisés, ils sont branchés sur le mode discussion, ce n’est pas le moment de relâcher mon attention, madame tenant dans sa main, en le caressant doucement comme un chaton, l’objet de son amour :

 Tu m’aimes ?

 Mais bien sur ! Comment peux-tu penser le contraire ! Mais toi de ton côté, qu’en est-il ? Pourquoi ne demandes-tu pas le divorce ?

 Tu sais très bien pourquoi, je l’ai supporté pendant dix ans où malgré tout il y eut de bons moments, mais très vite je me suis lassée de la monotonie. Je lui ai pratiquement fermé mon lit pour le pousser à la faute en mettant également un détective privé à sa suite, comme tu me l’as suggéré.

Je sens qu’il est à point pour faire une connerie. Je ne vais pas perdre une belle pension croquignolette pour un peu d’impatience et je ne suis pas sûre que je ne risque pas de m’ennuyer à la longue avec toi.

 Tu oublies nos rencontres coquines qui t’ouvrent de nouveaux horizons, même s’il m’en coûte de te voir avec d’autres hommes, mais cela m’excite aussi.

 Je sais, j’ai bien remarqué que quand je rentre avec mon garage à bites plein à craquer, tu débordes d’enthousiasme, ce que je pense n’arriverait jamais avec mon mari actuel, au pire un passage à tabac.

La garce, elle me connaissait bien, heureusement, car là, j’aurai certainement perdu vis-à-vis d’un juge à moins que je n’apporte la preuve de son infidélité et encore si il ne faisait pas partie de son cercle de confidents. Ainsi, elle a engagé un détective privé, intéressant, il faut que je rentre au plus vite à la maison pour récupérer mon matériel et voir si il n’y a pas du sien qui traîne.

Sans autre forme de procès, je prends mon téléphone et interviens :

 Bonjour ma chérie, je suis en train de rentrer, j’arrive dans 10 minutes, il y a un contre-temps à toute à l’heure.

 Sur l’écran, je m’aperçois d’un remue-ménage de bon augure, mais simultanément j’entends un taxis que j’avais appelé, qui arrive au motel où je m’étais installé. Je passe à la réception et annonce :

 Laissez ma chambre dans l’état, je garde la clé et repasserais dans la journée.

Je guide le taxi et lui indique notre maison et lui demande de se placer derrière ma voiture quand je vois un individu quitter brusquement notre maison par-derrière.

Le constat

 Halte ou je tire, je le somme alors que je n’ai aucune arme, mais le chauffeur de taxi, bénévolement a ce qu’il faut pour faire vrai et me refile son pistolet.

L’autre me voyant armé recule et rentre à la maison.

Je rentre avec le fugitif en demandant au taximan de m’accompagner en lui précisant qu’il sera payé largement.

Arrivé devant ma chérie, je lui fais remarquer que je viens d’arrêter un voleur qui tentait de s’échapper de la maison et que je vais de ce pas, appeler les gens d’armes en faisant un clin d’il au taxi qui a bien compris que je jouais la comédie.

 Non Chéri, ne fais pas cela ! Comme tu m’avais annoncé que tu serais absent longtemps, je lui ai demandé de m’apporter à manger et nous avons discuté un peu trop longtemps.

 Je comprends, excuse-moi, mais ces traces laiteuses qui coulent depuis un moment sur tes jambes, c’est le fruit de tes discussions ? Ou si tu as des pertes blanches ?

 Je crois que ce sont des pertes blanches certainement.

 Je suis surpris qu’elles coulent aussi abondamment et l’odeur n’y est pas vraiment. Je crois que je vais t’accompagner chez un de mes amis médecins pour faire un prélèvement de ces pertes.

 Non, je t’avoue que je t’ai trompé et je t’en supplie de me pardonner, mais c’est si long de t’attendre et avec le temps, l’habitude, j’ai eu envie de connaître un autre homme.

 Qu’un ?

 Heu ! Non, plusieurs.

 Mais dis-moi si ce qui coule de tes cuisses est du sperme, cela veut dire que tu baises sans protection ? C’est délicat de ta part de m’obliger de le faire avec un préservatif.

 C’est parce que en dépit de mes besoins, je t’aime toujours mon amour.

 Vous qui avez bien profité de ses largesses sexuelles, qu’en pensez-vous de son amour à mon endroit ? Au fait, nous nous sommes pas présentés.

Mon nom est Alexandre

 Je m’excuse que nous nous rencontrions sous de si terribles auspices, je m’appelle Joseph, je tiens la pharmacie et c’est moi qui ai recommandé à madame de vous protéger, vu ses débordements extra-conjugaux.

 Hum ! Intéressant. Connaissez- vous les autres candidats à la guignolette avec mon épouse ?

 Oui, il y a le maire qui est toujours à la recherche de soutiens, le secrétaire et le capitaine des pompiers et deux sapeurs à ma connaissance.

 Si je ne me trompe pas vous êtes tous mariées ? Avant de repartir, je veux que vous me signer une reconnaissance d’adultère en bonne et due forme.

 Ça, je ne peux me le permettre, cela signerait la fin de ma carrière de pharmacien de la région, ma femme a tous les biens de notre ménage.

 Mais je n’ai pas dit que je voulais m’en servir contre vous, c’est une assurance pour moi.

Si j’ai bien compris, vous avez engagé un détective privé à mon encontre, en plus dites-moi qui c’est ! Je vous recommande à ne pas faire de vague et à remplir mes désirs.

J’ai tout ce qu’il faut pour vous faire tomber. Vous me signez ces papiers, vous me dites qui est le détective et je vous laisse partir; autrement j’appelle la police pour tentative de vols et brigandage. Le chauffeur de taxi m’est témoin.

Ma femme se terra, elle a intérêt si elle veut encore avoir affaire à moi.

 C’est bon.

Il remplit une feuille dans lequel il déclare avoir eu des rapports sexuels avec ma femme et m’indique que le détective c’est Monsieur Debonneville.

Je paie royalement le chauffeur de taxi et le laisse aller, je dégage mon automobile pour le laisser partir et invite ma femme à me rejoindre dans la voiture. Nous nous dirigeons directement vers le motel pour récupérer mon matériel. je n’ai pas envie de la laisser un moment sans surveillance. J’en profite pour convoquer Monsieur Debonneville pour dans deux heures.

L’atmosphère est lourde dans la voiture pendant tout le trajet, je viens de la prendre la main dans le sac, toutes les preuves sont contre elle, elle ne m’aime plus, mais elle aime toujours le confort que je lui apporte.

Moi de mon côté, c’est idem, quoi que le confort, il n’est vraiment pas irremplaçable.

 Alors comment as-tu envisagé la suite pour toi, enfin pour nous. Quand tu as commencé à aller voir ailleurs ?

 Je n’y ai pas pensé bien fort, ce fût une suite d’événements qui sont advenus les uns après les autres sans volonté délibérée de ma part. Cela a commencé au bal des pompiers l’an passé, alors que tu étais parti au USA pour un mois. J’ai reçu une invitation du capitaine  de venir à leur bal, ils avaient besoin de présence féminine.

De vin en pousse-cafés, je me suis retrouvée le lendemain, couchée dans mon lit, avec une gueule de bois de première qualité et dans la main le sexe du dit capitaine. J’ai compris qu’il avait profité de ma faiblesse pour combler ton absence, il m’a fait comprendre que maintenant que j’étais réveillée, il était bien disposé à renouveler ce qu’il avait fait cette nuit. Devant le spectacle de sa lance incendie prête à servir et ton manque d’activité, conjugué au souvenir sous-jacent de ce que j’avais subi cette nuit, j’ai acquiescé sans trop réfléchir.

J’ai joui comme une folle avec cet homme qui présentait un phallus hors norme et surtout une endurance que la plupart des femmes du village appréciaient.

Après cette révélation, tout s’est enchaîné et notre sexe me paraissait toujours plus fade, terriblement petit bourgeois, mais je ne me voyais pas divorcer avec toi, tu présentais trop d’avantages pour peu d’inconvénients.

 C’est bien un peu ce que je craignais, mais pour moi que vais-je devoir faire de toi ? Es-tu irrécupérable ? Ai-je encore un chance ?

 Pour une fois, je vais être franche avec toi, je n’en sais rien ? Je pourrais te dire oui, mais ce ne serait qu’un mensonge de plus à ajouter à la longue série que je t’ai servie.

 On peut faire un essai moyennant certains engagements de ta part; plus de coïts sans protection hors maison et sans ma permission, visite médicale pour desceller s’il n’y a pas de maladie sous-jacente, honnêteté et obéissance absolue à mon égard. Tu penses que tu t’en sens capable ?

 Je peux essayer.

 Cette réponse n’est pas suffisante, si tu respectes honnêteté et obéissance absolue à mon égard, il n’a pas de place à l’essai.

 C’est que je ne suis pas sûre de résister à des pratiques sado-masochistes.

 Je ne t’en demanderai pas autant.

 Alors d’accord.

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