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Comme chien et chat – Chapitre 4

Comme chien et chat - Chapitre 4



Je me réveillai peu après, me dégageai de l’emprise réconfortante de Louka et me dirigeai vers le salon.

Le ciel était noir, la neige contrastant avec merveille dans le silence de la rue. Les bûches dans la cheminée avaient fini de se consumer, ne laissant que quelques braises rougeâtres qui éclairaient vaguement les meubles de la pièce. Je cherchai du regard une pendule. Il y en avait une électrique et lumineuse dans la cuisine. Elle indiquait 2h. Ainsi, m’étant couché vers 16h30, j’avais passé une vraie nuit, alors que j’en sortait à peine d’une autre! Si tous mes ébats avec Louka se terminaient de cette manière, je risquais de ne pas pouvoir avoir de vie! A passer la majeur partie de sa journée à dormir, on perd beaucoup d’occasions de se divertir. Pour l’heure, je ne savais que faire. Je me sentais en pleine forme, peu engourdi par le sommeil.

Je me sens d’attaque pour une nouvelle journée! Au milieu de la nuit, ça me fait une belle patte! Je retourne dans la chambre à coucher regarder Louka dormir. Il est aussi exténué que je l’étais au moment de me coucher, et ce malgré sa robuste constitution de loup. Il ne semblait pas près de se réveiller pour l’heure.

Je décidais de sortir me promener un peu dans la nuit. Je referme soigneusement la porte de la chambre derrière moi et traverse le salon pour ouvrir la porte qui mène dehors. Elle est fermée, zut!

Une clé pend à côté, je l’essaye, elle tourne. Je la garde dans ma main pour refermer derrière moi. Un courant d’air frais me surprend et ébouriffe mes poils. Surpris, je constate que je suis encore nu, j’ai effectivement oublié de m’habiller. (Bien que le société furry soit par nature des animaux évolués, la nudité est sévèrement proscrite en dehors des cadres intimes. Notre fourrure ne change plus selon la saison, sauf selon les espèces.). Je rentre rapidement dans la maison, frigorifié et avec quelques flocons pris dans mon pelage qui fondent vite à la chaleur accueillante de la maison. Plan B: je rentre dans la chambre et je prends des vêtements de Louka.

Celui-ci est tellement abruti de fatigue qu’il ne bouge pas un poil lorsque j’ouvre son placard qui grince. Je regarde, à la lueur de mon portable, quels vêtements m’iraient. J’opte pour un pantalon gris-bleu, un T-shirt d’un groupe de rock (The Beastles, mon groupe préféré!) et un pull épais à col roulé. J’attrape également un de ses vieux manteaux suspendus dans son armoire, une veste épaisse en coton que je lui avait offerte l’an passé, des gants chauds et un bonnet gris. Pour les sous-vêtements, je ne trouve que des boxers pour loup (avec un fourreau). Je serai serré mais je m’en contenterai.

Une fois habillé ainsi, je me fond dans la nuit, bien que mon teint soit claire. Je sors, cette fois-ci habillé en conséquence. Je me promène une heure durant, arpentant les rues, avant de me poser dans un pub ouvert. Il n’est pas très accueillant, mais je désire juste une bonne bière. Je m’attable au bar et passe ma commande. Je sirote tranquillement ma boisson, seul dans la salle. Je repars peu après, me languissant déjà de mon Louka.

Je regagne la maison et me déshabille dans le salon, avant de retourner dans le lit qui me tend les bras. Je ne suis que peu fatigué, mais je ne désire qu’une chose: sentir le corps chaud et l’odeur de Louka près de moi. Je m’enfile sous la couette en ronronnant de plaisir. Malgré tout, je finis par m’assoupir après avoir écouté la rassurante respiration de mon amant pendant quelques instants.

C’est un bien étrange réveil qui m’attend: avant d’ouvrir les yeux, je sens une langue chatouiller expertement mes tétons.

Je garde les yeux fermés et me laisse aller à la douce torture du réveil. La langue descend avec de s’arrêter sur mon gland au repos. Lui met moins de temps que moi à me lever. En quelques secondes, il est érigé, soulevant la couette, toujours agacé par les mains et la bouche de Louka. Un liquide s’écoule doucement de ma verge, vite aspiré par la bouche gourmande du loup. Après quelques minutes de ce traitement, je m’épanche dans un spasme intense dans la bouche de Louka. Comme hier, des flots de sperme semble vouloir s’échapper de mon corps. Je m’accroche aux couettes, tout à mon plaisir, râlant de jouissance et en réclamant plus encore!

Je suis subjugué par la puissance infinie de ce plaisir, souhaitant seulement qu’il se prolonge le plus longuement possible…

Enfin, semble-t-il, mes bourses se sont vidées. Je me laisse aller dans le matelas, fatigué avant le lever, et reprends doucement mon souffle. Jamais je ne pourrais me passer de ce bonheur!

J’ai rarement connu des réveils aussi agréables et aussi épuisant en même temps… Enfin, j’ouvre les yeux, pour voir Louka au-dessus de moi, la bouche baveuse, le visage couvert de ma semence, un grand sourire aux lèvres et la queue qui bat derrière lui.

Je souris devant ce tableau si beau et si inattendu; la veille encore, à la même heure, j’étais sale et fatigué, nageant en pleine confusion. Nous échangeons un long regard, puis nous nous embrassons. Je savoure ce premier baiser du matin, cherchant les moindres traces de mon sperme dans sa gueule. Il a déjà tout avalé: je me retrouve ainsi à lécher une fois de plus son visage, savourant les moindres gouttes chaudes.

Une fois terminé, nous nous étreignons puis sortons du lit. C’est bien ce que je craignais: j’ai trempé les draps! Un véritable flot de sperme semble avoir élu domicile dans le lit de Louka (notre lit?)… Je rangerais ça plus tard, pensais-je. Je vais suivre mon loup dans la cuisine, mais sans m’émerveiller d’abord une fois de plus devant la fougue de ces étreintes et la quantité hallucinante de sperme qu’un animal comme moi peut produire! J’aide Louka à préparer le déjeuner, puis nous mangeons ensemble, toujours en face l’un de l’autre. Je lui parle de ma petite expédition nocturne, s’esclaffant quand il apprend que j’ai failli sortir nu dans un premier temps. Il me dit que je peux sans problème emprunter ses vêtements. J’ai dans la tête un petite idée que je lui expose immédiatement. Je sais que je veux passer ma vie avec lui. Autant en profiter le plus longtemps possible! Sa maison (qu’il a hérité de ses parents) est parfaite pour un couple comme nous.

Je lui propose que je déménage chez lui. J’ai peur d’être un peu trop pressant, mais il accepte ma proposition avec enthousiasme! Je contacte mon propriétaire pour lui annoncer mon départ. Quelle joie de quitter ce petit appartement sombre pour une grande maison lumineuse avec Louka! J’appelle également deux amis qui vont m’aider à effectuer mon déménagement. Il me demandent pourquoi je vais chez Louka. Je n’avais pas prévu cette question et panique. Je n’ai pas le choix: je dis la vérité: j’aime Louka et je veux vivre avec lui. A ma grande surprise, ils rigolent et me félicitent! Eux-mêmes sont très ouverts, bien qu’en couple avec des femmes, ils ont déjà passé des soirées mouvementées avec des mâles. La nouvelle sera bien prise par mes amis: un de mes soucis majeur est dissipé! Je suis cependant le seul yaoi confirmé et régulier dans mes amis. Louka part travailler (il est vendeur dans un sex-shop, justement). J’ai tout l’après-midi pour effectuer mon déménagement. Celui-ci se passe très bien, et malgré quelques allusions et plaisanteries quelque peu moqueuses, mes amis ne me parlent pas de ma relation toute neuve!

Louka me manque déjà, la journée va être longue! A force de faire et de porter des cartons, celle-ci se passe relativement vite. Le soir, après que mes amis aient pris congé, je range mes affaires. Chaque vêtement, chaque livre que je pose à côté de ceux de Louka sont un rappel permanent de ma nouvelle situation: en couple! Je prépare le repas, en attendant que mon loup revienne. Il arrive juste quand je termine d’installer la table. Je me jette dans ses bras, l’étreignant à l’étouffer, et après un peu d’incertitude dû à sa surprise, il me serre à son tour, m’embrassant à perdre haleine.

Nous nous séparons à regret afin de nous mettre de suite, après un long baiser, évidemment, à table. Il me comble d’anecdotes sur son boulot et ses clients. Je lui raconte également ma journée. Il me raconte à quel point je lui ai manqué, et moi je lui dis que j’ai pensé à lui toute la journée. Notre amour est presque une folie, en tout cas nous sommes fous l’un de l’autre! Après le repas, sans nous concerter, nous nous dirigeâmes, enlacés, vers le lit de la chambre à coucher. J’ai changé les draps dans la chambre, celle-ci est toute apprêtée pour nos ébats amoureux.

Je le pousse sur le lit et il tombe en arrière. Je le rejoins bien vite, tout en l’embrassant, gourmand et impatient de découvrir de nouveau horizons de plaisirs avec lui… Nos T-shirts s’enlèvent bien vite, et nos torses se retrouvent à se frotter avec sensualité. Ses tétons pointent, je les mordille doucement: il gémit tout en me caressant les miens qui se raidissent instantanément.

Nous sommes tous les deux concentrés sur le plaisir de l’autre. Je descends et défait la ceinture de Louka. Son boxer moulant est déjà bien plein; une tâche de sperme a déjà traversé son pantalon. Voilà qui en dit long sur son état d’excitation! Je retire bien vite cet obstacle entre son intimité et mon visage. Un jet de pré-sperme m’accueille aussitôt. Je m’empresse de le lécher et de l’avaler. Je le prends aussitôt en bouche, avalant le plus possible de son liquide de mâle. Je suis fébrile et tellement impatient de le faire jouir que je multiplie les allers-retours sur sa verge. Celle-ci s’est enfin décidée à sortir son nud. Moi qui croyait avoir un vu un pénis imposant hier! Il mesure maintenant 25cm avec le nud. Celui-ci n’est, d’après Louka, jamais sorti de son fourreau. C’est d’autant plus excitant pour moi! J’essaye de l’avaler mais c’est peine perdue: il est trop gros pour même rentrer dans ma bouche. Je me contente de le lécher, nettoyant les traces de sperme qui le rendent luisants et parfumé.

Après quelques minutes, je me retire, le visage déjà aspergé de liquide pré-séminal, et me laisse déboutonner par Louka. J’ai également une érection imposante, sans pour autant égaler celle de Louka. Il m’avale immédiatement, jouant avec sa langue sur mon gland. Ses mains expertes jouent avec mes boules sans discontinuer. Je suis tellement excité que celles-ci me font mal; elles semblent une fois de plus prêtes à lâcher un flot de sperme dans notre lit. Alors que je vais éjaculer, je retiens, malgré ce qui m’en coute, la tête de Louka qui s’aventure doucement à glisser deux doigts dans mon intimité.

"Je veux plus que ça aujourd’hui, lui dis-je avec un sourire salace…"

Il me lance un regard surpris d’abord, puis excité et enfin amoureux. Je l’embrasse avec fougue, chacun recueillant son sperme dans la gueule de l’autre. Mon pénis est dressé à la verticale et frotte contre le fourreau poilu de Louka. Le moment est venu. Nous nous séparons et je me mets à quatre pattes, offrant mon anus et mes fesses à mon amour. Il me lèche timidement, déclenchant un nouveau frisson accompagné d’un jet de pré-sperme, puis aventure sa langue dans ma rondelle, écartent pour la première fois ces chairs inviolées.

Tout mon corps tremble sous la caresse, je gémit de plus en plus fort. Une seconde fois, proche de l’orgasme, je le presse de passer à la vitesse supérieure. Il n’attend que ça lui aussi… Il se positionne à genoux derrière moi, ayant une vue imprenable sur ma queue grise qui se balance, mon dos musclé et cambré et mes fesses rondes et fermes qui n’attendent qu’une chose: lui! Il me caresse doucement la raie et dirige son engin vers elle. Les jets de sperme feront un excellent lubrifiant. Il m’en asperge le dos avant de parvenir à ses fins. Mon anus sent ses jets chauds taper contre cet endroit encore intouché. Les jets sont saccadés, de plus en plus puissants et abondants. Je n’en peux plus d’attendre, Je suis près à éjaculer, sans aucune stimulation. Je me fais violence pour ne pas tout gâcher maintenant et me retenir.

Enfin, son gland pointu se positionne à l’entrée de mes fesses. Le petit bout rentre déjà avec difficulté: je râle de plaisir et de douleur mêlée. Heureusement, son pénis ultra-lubrifié facilitera la tâche. Ses jets de pré-sperme rentre dans mon intimité, tapant dans ma grotte et la remplissant déjà. Je suis au comble du bonheur… Il s’introduit doucement, mais très vite son pénis grossit tant qu’il lui est impossible de me pénétrer. Je me baisse davantage vers le sol, essayant ainsi de dilater mon anus pour le mieux.

Il parvient à rentrer quelques centimètres encore, mais plus de la moitié de son pénis est encore dehors. Il se retire brusquement, me laissant constater à quel point il m’a déjà ouvert. Mon anus vexé et humilié se referme, laissant au passage quelques traits de sperme couler le long de mes cuisses. Mais mon amant ne s’est retiré que pour mieux rentrer! Il lubrifie son pénis avec son liquide et force de nouveau l’entrée, plus brusquement cette fois. Je commence à m’habituer à la venue de ce corps étranger si profond en moi. Il rentre 15 cm, mais bloque de nouveau.

J’ai l’impression que mon anus est déchiré, écarté par une montagne (ce qui n’est pas loin d’être le cas…). Cette fois, pas de subtilité, il force tant qu’il peut, réussissant finalement à arracher les derniers centimètres, son nud butant contre mon anus sur-dilaté. Cette démonstration de force m’arrache un hurlement de douleur, sans aucun plaisir. J’ai les entrailles en feu, le corps dégoulinant de pré-sperme et les fesses déjà remplies. Je me maudis mais ne peux pour autant me dégager. Louka me tient fermement et reste en moi quelques instants pour que je m’habitue. Je sens ses jets taper contre le fond de ma grotte. Après quelques instants, le plaisir revient: je lui fait signe qu’il peut continuer.

Il commence alors ses allers retours, doucement d’abord, puis, avec sa virilité de loup, plus rapidement, à un rythme effréné! Son pénis bute contre ma prostate à plusieurs reprises, me faisant hurler de plaisir. Bientôt, incapable cette fois de me retenir, j’ai un orgasme foudroyant. Les vagues de plaisir se succèdent et s’intensifient, toujours plus puissante que la précédente. Je lâche de nombreux jets de sperme sur le lit et sur mon torse, mon pénis étant à l’horizontale. Cette fois, je garde les yeux ouverts, la tête baissée, constatant cette fois de moi-même que j’éjacule quasi en continu, chaque contraction m’apportant un nouveau plaisir unique. Cela dure plus d’une minute, me laissant haletant et vidé, semble-t-il.

Cependant, Louka n’a toujours pas fini son affaire. Il est en effet toujours en train de me besogner, puissant et viril. Il continue à chatouiller ma prostate, ce qui me laisse une impression désagréable désormais, vite remplacée par une fatigue sans nom. Enfin, il semble prêt à éjaculer à son tour. J’avais oublié un détail avec les canins: ils verrouillent!

Je ne me sens pas prêt, malgré la dilatation extrême de mon anus, à accepter son nud en moi.

Paniqué, je cherche à me dégager, mais ce n’est pas la peine. Il s’enlève de lui-même, me couche sur le dos et se masturbe quelques secondes avant de se contracter dans un orgasme ravageur. Il tient à peine sur ses genoux tant l’intensité est forte. Il me couvre de son sperme si abondant, collant tous mes poils, certains jets arrivant même jusqu’à mon visage! Il ne semble pouvoir s’arrêter. L’air est remplie de halètements, de soupirs de joie, de cris d’orgasme et de chaleur animale.

Il s’effondre sur moi, toujours secoué par son orgasme. Je l’embrasse, lui transmettant son jus de loup. Il ne s’arrête pas d’expulser son sperme, de se contracter. Enfin, il se sépare de moi pour se laisser tomber sur le côté, son pénis continuant de cracher quelques jets plus épars autour de lui. Nous reprenons notre souffle quelques instants.

Notre soirée était la plus intense jusqu’à maintenant. Enfin, sa verge se calme et se repose contre contre ses abdos finement tracés. Je ne me lasse pas de le regarder dans cet état…

"Ça va?" me demande-t-il? Je me contente de soupirer et de lui montrer mon anus béant. Celui-ci continue encore de laisser échapper des jets épais de pré-sperme. Devant son air quasi-horrifié, je m’empresse de lui dire:

"Ça ne me fait plus mal maintenant, mais je pense que tu es quand même énorme, même pour un canin!" Il ne semble que peu rassuré. Je décide d’aller tâtonner moi-même pour voir à quel point il m’a ouvert. je passe un premier doigt, puis un deuxième, tout cela sans toucher les parois de mon anus. Au bout de trois, je commence à sentir les bords. Je comprends mieux la tête que fait Louka! Au final, j’arrive à passer une main entière dans mes fesses sans le moindre problème, et ce même après qu’il se soit un peu refermé. Je suis stupéfait d’avoir réussi à accepter Louka à ce point.

J’effleure ma prostate, déclenchant un frisson de bonheur…

Je la retire finalement, couverte de sperme…

Je m’endors naturellement, après tant d’activité, au milieu de cette mer de sperme, collé contre mon amant qui exhale une odeur forte, pour mon plus grand bonheur!

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