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comment me faire pardonner ? – Chapitre 1

comment me faire pardonner ? - Chapitre 1



La semaine dernière, en retard, j’ai conduit mes enfants à l’école en pyjama, un petit coup de parfum et une petite veste au-dessus.

Enervée, j’ai embouti l’arrière d’un véhicule en plein centre de Bruxelles.

Que faire, il faut déplacer les véhicules, faire le constat et je ne suis pas présentable.

Je suis dans un pyjama ultra léger qui me moule les fesses et la poitrine comme un gant, au dessus une veste vite enfilée.

Le monsieur très gentil me propose de remplir le constat dans le café du coin, ce que je refuse lui expliquant que je ne suis pas présentable étant partie comme une voleuse …

Il me propose d’aller chez lui à 500 mètres, ce que j’accepte ne pouvant faire autrement.

Nous sommes dans l’ascenseur, il n’est pas mal et très prévenant.

Arrivé chez lui, débarrassée de ma veste, nous sommes au salon, il me propose un café qu’il prépare avec beaucoup d’hésitation, n’étant pas habitué à le préparer et son épouse étant déjà partie au boulot.

Je regarde les photos ici et là dans le salon, épouse, enfants et grands parents.

Il revient avec le plateau et je lui laisse la rédaction du constat pendant que j’observe tout de lui.

Je me sens fautive et ne sait comment réparer la chose.

Je me sens pas à l’aise ainsi vêtue devant lui.

Nous échangeons des regards, il mate ma tenue peu convenante, je sens que la situation n’est plus sous contrôle.

L’émotion des évènements me donne des envies de lui.

Je le sens réceptif.

Il me donne le constat à signer, il est à côté, il sent bon, très bon, je ne vais pas savoir résister à son charme, je laisse tomber le bic, nous nous baissons à deux, on se regarde, il me prend la tête et il m’embrasse, je suis aux anges, je le laisse encore prendre toute l’initiative, il est à mes genoux, je suis dans le fauteuil, il m’embrasse comme un collégien en manque qui découvre.

Ses mains sont sur mes seins qu’il jauge et apparemment trouve à son goût.

Il remonte mon top pour me téter mes bouts tendus, je me sens mouiller.

Ses mains libres fouillent mon intimité. Je prends conscience de ne pas être lavée surtout que mon époux m’a prise en fin de soirée.

Je dois sentir la femelle.

Je lui avoue ne pas avoir pris ma douche.

Il s’en fout, son visage descend, son nez est sur mon intimité au dessus du tissu, il sent, il s’exclame qu’il trouve mon odeur puissante excitante, qu’il aime ces odeurs intimes de femme qui vivent.

Il me déculotte, il me goûte, sa langue curieuse lape mon jus intime plein de sperme, j’aime, elle va partout, elle débusque mon bouton, aspiration et décalottage de mon clitoris, il se délecte.

Ne restant pas inactive, sa tige voulant percer son pantalon, j’ouvre la tirette et je prends en main sa virilité assez impressionnante, je palpe, je masse, je m’insinue et je libère sa verge est fièrement dressée vers le haut.

Je le veux en moi, je lui fais part de mon souhait, il est sur moi, il m’embrasse, sa tige cherche, je le laisse chercher l’entrée, mon excitation aidant, il me pénètre doucement, je le sens progresser, c’est jouissif, il est au fond, on ne bouge plus, je suis complètement inondée.

Il se met en route, il me lime, il sort ,il rentre à fond, il me remplit bien, je le laisse venir doucement, moi je suis comblée, il sait se servir de sa tige, je sens chez moi que ça vient, je lui dit de se laisser aller, il augmente la cadence, je viens, je hurle, il éjacule au plus profond de moi, sublime.

C’est tout mon fond de pantalon mouillé que je suis rentrée heureuse de cette aventure hors du commun.

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