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Comment payer ses contraventions sans rien « débourser ». – Chapitre 1

Comment payer ses contraventions sans rien « débourser ». - Chapitre 1



Il y a quelques années, il mest arrivé une histoire incroyable, Je me suis fait arrêtée par les flics en revenant daller faire les courses et nayant presque plus de point sur mon permis, jai failli me retrouver piétonne. Au fait je ne me suis pas présenté. Je mappelle Coralie. Une jolie blonde de 21 ans et je suis étudiante dans une école desthéticienne. Ce qui implique que je sais très bien moccuper de mon apparence pour plaire en toute circonstance. Donc je disais que je métais fait arrêtée par les gendarmes et malheureusement, jétais au téléphone. Je marrête sur le coté et je vois un gendarme arriver, La quarantaine passée, une bedaine prononcée, 100kg facile et une moustache bien garnie.

— Bonjour mademoiselle, gendarmerie nationale. Veuillez couper le contact. Je suppose que vous savez pourquoi je vous arrête ?

— Oui, pour le téléphone.

— Ah non, je ne lavais pas vu ça. Cétait pour la vitesse. On va dire que jai rien entendu. Donc vous avez été contrôlé à 105 km/h sur une route à 90km/h.

— Ah ? je nai pas fait attention. Et ça se monte à combien la douloureuse ?

— 90 damende et 3 points de moins.

— Oh merde ! Je risque de perdre mon permis du coup.

— Désolé pour vous mais cest pour tout le monde pareil.

Je ne pouvais me permettre de perdre mon permis. En observant le gendarme je constatais quil avait été marié. Il portait la trace dune alliance quil semblait avoir retiré depuis un moment. En plus du prestige de luniforme qui me fait un effet dingue, Il avait le charme de la quarantaine qui le rendait séduisant. Alors jentrepris de lui faire mon numéro de séduction grâce à mon arme secrète quil ne quittait pas des yeux : mon joli 90D.

— Ny a til pas un moyen de ne pas perdre de points ? Je ne peux pas me permettre de les perdre maintenant.

— Ca fallait y réfléchir avant.

— Vous êtes vraiment sûr quon ne peut pas sarranger ? Vous pourriez oubliez linfraction et on pourrait se voir en priver après ? Lui dis-je en mettant mes seins bien en avant.

Je le vis hésiter 2 secondes avant quun de ses collègues ne sapproche pour lui demander si ça allait. Il répondit que tout allait bien et lautre gendarme séloigna mais pas assez pour ne pas entendre notre conversation. Il me regarda en faisant la tête et ressorti son carnet de contravention.

— Donc on a un excès de vitesse .. plus tentative de corruption de fonctionnaire de police dans lexercice de ses fonctions et utilisation dun téléphone au volant.

— Jle crois pas .

— Vous avez voulu jouer, vous avez perdu. Je constate que les adresses sur le permis et la carte grise ne sont pas les même. Pourquoi ? Cest laquelle la bonne ?

— Pourquoi vous demandez ça ?

— Pour lenvoi de lavis de verbalisation. On finira par vous trouver mais ça mettra du temps et vous risquez de payer la majoration si on met trop de temps.

— Cest celle de la carte grise. Jai déménagé il y a quelque mois.

— OK voila votre reçu. Bonne journée. Vous pouvez circuler.

En rentrant chez moi, jétais anéantie. Jallais perdre mon permis et pour payer une amende assez salée ce nétait vraiment pas le moment. En même temps Je comprends le gendarme, ses collègues nous entendaient et puis, au final cest moi qui avais fait une connerie. Après une bonne douche chaude pour me détendre et je me changeai les idées avec un bon bouquin. En début de soirée, jentendis quelquun sonner à ma porte. Et je fus surprise de voir le gendarme derrière ma porte.

— Bonsoir, vous voulez quoi ?

— Bonsoir. Cest au sujet de votre amende. Me dit-il en retirant son képi.

— Oui quoi ? vous avez oublié de me mettre autre chose sur le dos ?

— Non. Je me disais juste quon pouvait trouver un arrangement.

— C’est-à-dire ? un versement mensuel aux bonnes uvres de la police ?

— Je pensais plutôt à votre proposition : se voire en privé si joubliais la souche du carnet.

— Ahh ? Intéressant. Et quest ce qui vous a fait changer davis ?

— Je suis un homme seul et vous êtes un beau brun de fille. Ya toujours moyen de sarranger. Et puis je n’ai pas envie de vous attirer des ennuis

.

Constatant quil avait cédé à mon charme, je mapprochai de lui, mis mes bras autour de son cou et il me mit sa main droite sur mon sein gauche et lautre main sur ma fesse droite. Jentrepris alors un long baiser langoureux. Il me fit mallonger sur la table du salon et me caressa de partout avec ses grandes mains puissantes.

— Tu es une véritable bombe, tu le sais ça ?

— Et tu va faire quoi ? me désamorcer ?

— Oh que non. Tu vas plutôt te faire sauter et je vais men assurer de suite.

Du coup il me retira ma culotte, se mis a genou entre mes cuisses, et tandis que sa langue sattardait sur mon entrejambe, ses mains mes malaxaient les seins quil avait glissé sous mon T-shirt et sous mon soutif. Après mavoir titillé le bouton, il se leva pour retirer son ceinturon, et baisser son pantalon. Je me relevai alors pour faire sortir sa verge de son caleçon et commença alors à lui lécher le gland.

— Mmmhhh toi tu sais comment collaborer avec les forces de lordre.

— Il faut toujours obtempérer avec un représentant de la loi qui te met son arme sous le nez.

— Oui et jai le fusil chargé.

— Jespère juste que tu ne tire pas à blanc.

— Ce qui en sortira sera blanc mais parfaitement opérationnel.

— Montre-moi ça dans ma chambre.

— Je te suis.

Je lai entrainé dans ma chambre il me plaqua contre le mur pour membrasser fougueusement dans le cou tout en me soulevant la cuisse droite avec sa main. Jétais presque en transe. Il avait presque le double de mon âge mais il avait de lexpérience et ça se sentait. Jétais entièrement nue, à sa merci sur mon lit et je mabandonnai à cette sensation de volupté quaucuns de mes ex ne mavait fait ressentir.

— Je ne regrette pas dêtre venu. Tes vraiment la plus belle femme que jai eue de toute ma vie.

— Merci. Je te retourne le compliment. Tu sais le prestige de luniforme .

— Ah désolé mais je vais lenlever. Mais rassure toi cest pour la bonne cause.

Une fois nus tous les 2, Il me prit dans toutes les positions possibles et imaginables. Javais limpression de refaire le Kamasoutra version moderne. On a fait lamour durant des heures en alternant les moments de passion dévorantes et de tendresse. On aurait dit quil était affamé tellement il me dévorait. Il faisait ça tellement bien que je nallais pas le stopper dans sa lancée. Une fois quil en eu fini avec moi on était nus, sous un drap qui ne nous recouvrait que jusquau bassin.

— Dis moi, Cest quoi qui tas vraiment incité à venir ?

— Déjà il y avait ta proposition, le fait que tu me plaises vraiment aussi et que tu me montre tes formes.

— Donc tout ce cinéma avec « tentative de corruption de fonctionnaire de police dans lexercice de ses fonctions » cétait pour brouiller les pistes ?

— Oui et non. Je me devais de suivre le règlement mais je nen avais pas envie.

— Et tu naura pas de problème pour être venu ?

— Non. Mon chef me couvre sur ce coup là.

— Comment ça ? il est au courant ?

— Cest même lui qui my a incité. Il ma toujours soutenu lors de mon divorce lannée dernière et il ma dit que javais un peu trop exagéré. Que si je le voulais vraiment en profiter je pouvais y aller, quil me couvrirait.

— Tu le remercieras de ma part.

Avant de repartir, je lui donnais un dernier baiser et il sen alla dans la pénombre. Longtemps jai espéré le revoir. Il était un amant extraordinaire mais je ne lai jamais revu. Il nest jamais revenu me voir. J’aurai du lui demander son numèro de téléphone. Dommage car parfois je me surprends à penser encore à mon beau représentant de la loi en uniforme. En tout cas il a tenu parole. Il ma laissé la souche de mon amende et je nai rien eu. Aujourdhui je la garde encadrée en souvenir de cette folle nuit.

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