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Copains de lycée… – Chapitre 1

Copains de lycée... - Chapitre 1



Je suis de retour en famille pour le week-end. À cette occasion, nous avons, Franck, Nicolas, et moi, prévu de manger ensemble ce vendredi soir. Il y a bien deux mois que nous ne nous sommes pas vus. Ce sont deux très bons copains de lycée. À lépoque, nous étions tout le temps fourrés ensemble. Ils me faisaient gentiment la cours depuis toujours.

Nous sommes en plein été, et la chaleur de cette soirée me fait opter pour une robe légère et courte. Elle est munie de deux fines bretelles et dun décolleté avantageux… Avec un sourire, je renonce aux sous-vêtements et najoute à ma tenue quune paire descarpins à talons aiguilles. Un maquillage un peu appuyé me rend, en toute modestie, plutôt séduisante. Javoue que jentretiens, avec un certain plaisir, le petit jeu de séduction qui persiste entre nous.

À dix-neuf heures, je sonne chez Franck. Nicolas, qui ma devancé, mouvre la porte. Il me prend dans ses bras pour me faire la bise, dont une, comme dhabitude, effleure la commissure de mes lèvres. Franck, fait de même.

Ils me font asseoir, au milieu du canapé et viennent sinstaller autour de moi. Lapéritif est loccasion de nous raconter notre actualité travail, amours Je retrouve avec plaisir leurs regards pétillants lorsque leurs yeux rencontrent les miens Lorsquils sattardent sur mes genoux, sur mes seins

Lalcool faisant, nous recommençons à rire comme les lycéens que nous avons été, il y a quelques années. Franck minvite à danser, ce que jaccepte sans hésitation. Nicolas le relaye pour un slowSes mains dans mon dos descendent très vite sur ma taille, puis mes hanches Je linvite, sans grande conviction, à les remonter un peuMais il vient de sapercevoir de ma fantaisie du jour et me glisse à loreille «tu es nue sous ta robe, toi». Mon rire est sa seule réponse. Bien sûr, il sempresse de faire part de sa découverte à Franck, ce qui lémoustille manifestement un peu plus

Nous reprenons nos places sur le canapé. Assise aussi bas, mes talons aidant, ma robe marrive péniblement à mi-cuisse. Franck reparle en riant du désir quils ont toujours eu de moi. Tout en continuant son propos, il pose sa main sur mon épaule. Puis, devant labsence de réaction de ma part, se met à me caresser doucement.

Je lui réponds que cest sans doute mieux comme ça. Quil nest peut-être pas très raisonnable quil y ait quoi que ce soit de plus entre nous. Je pense alors que, pourtant, lidée mest déjà venue. Cest vrai, ils sont charmants, intelligents, drôles Tout pour plaire Mais je ne me vois pas sortir avec lun plutôt que lautre Les deux ? Javoue que ça me fait peur. Je ne mimagine pas franchir ce pasÀ ce moment, Nicolas pose le bout de ses doigts sur ma hanche. Là non plus, je ne réagis pas. Il me répète, en souriant, quils ne souhaitent pas plus que de faire lamour « en copain ». Tout en parlant, il fait glisser sa main sur mon ventre. Je me rends compte quen même temps, la main de Franck a quitté mon épaule et se trouve maintenant sur le coté de mon sein.

    – « Vous voulez vraiment me sauter, hein ? »

Je crois quils sont un peu décontenancés par ma question, et par lamusement quelle me procure.

Ma bretelle est tombée sur mon épaule et mon sein droit, partiellement dénudé, reçoit les caresses légères de Franck.

    – « Tu en a envie aussi Tu ne vas pas résister longtemps, tu vas voir » dit-il

La main de Nicolas posée sur mon pubis me fait tressaillir. Je me dégage de leur étreinte, me lève, et remets ma bretelle en place.

    – « Et bien moi, je vais préparer le repas Déshabillez-vous si vous y tenez ! »

Persuadée que je viens, par cette réplique amusée, de les « refroidir » instantanément, je prends la direction de la cuisine, mapercevant à linstant que je suis complètement trempée, et réellement surexcitée.

Je memploie à réchauffer ce que Franck a préparé. Devant la table, tournant le dos à la porte, je ne fais quentendre les garçons entrer dans la pièce. Je ris, mais nose me retourner. Ils sont peut-être capables de mavoir écoutée. Je sens des mains se poser sur ma taille.

    – « Tu y arrives ? »

Cest la voix de Nicolas.

Je ne peux y croire Gardant ses mains en place, il sapproche de moi. Je sens, en bas de mon dos, au travers du fin tissu de ma robe, son sexe dur manifestement libéré de toutes contraintes vestimentaires. Je plonge ma tête entre mes mains, amusée et effrayée à la fois.

Restant de dos, je tends les bras derrière moi. Mes mains tombent sur ses hanches nues Mes craintes étaient justifiées Je me retourne alors.

Ils sont là tous les deux, nus, face à moi. Leurs sexes gonflés et tendus. Appuyée sur le rebord de la table, je secoue la tête pour leur signifier ma consternation. Comment cette soirée va elle finir?

Nicolas ne me laisse pas beaucoup de temps pour y réfléchir. Il prend mon visage entre ses mains et membrasse avec gourmandise. Jessaye de le repousser doucement. Mais sa bouche reste contre la mienne. Je ferme les yeux. Franck, en un instant, fait jaillir mon sein de ma robe et le pétrit sans grand ménagement. Je mappuie des deux mains sur le plan de travail, résistant en vain à la pression de mes deux copains. Presque assise, mes pieds ne touchent plus le sol que de la pointe. Tout en membrassant, Nicolas remonte tranquillement ma robe. Il parvient à se glisser entre mes jambes et avance lentement. Franck pousse doucement sur mes épaules pour mamener à métendre sur le dos.

Je tente une nouvelle fois de méchapper. Ils me retiennent avec plus de force. Je suis maintenant étendue, jambes pendantes, sur la table. Nicolas, entre mes cuisses, caresse mon bas-ventre dune main. De lautre, il a empoigné son sexe raide et le frotte contre mon sexe humide. Franck me caresse les seins, le visage, les épaules, tout en maintenant doucement mes mains au dessus de ma tête. Le temps semble suspendu, les deux garçons me regardent en souriant, tendrement. Je ne sais plus si jai peur, si jai envie

Dun seul coup, Nicolas senfonce en moi. Sans une hésitation, ni sans autres préliminaire. Il est gros. Je le sens menvahir, pousser dans mon ventre. Je ne peux mempêcher de crier. Je relève, par réflexe, mes jambes, les serrant autour de lui. Il se met à aller et venir lentement, profondément. Je referme les yeux.

Dans mes lèvres entrouvertes, Franck vient glisser son sexe quil tient fermement. Je le laisse entrer et me referme sur lui. Il guide le mouvement en posant une main sur ma tête. Il est chaud et doux. Les lents mouvements de sa queue dans ma bouche le font entrer en moi de plus en plus profondément.

Jaime ce quils me font. Nicolas accélère. Je gémis. Mon abdomen commence à manifester détranges sensations.

Je maccroche fermement à la table, laissant mes deux amis mutiliser à leur guise. Ce sentiment, inconnu jusquà présent, de femme passive, objet de leurs plaisirs et de leurs jeux, me ravie au plus haut point.

Frank sort de bouche et dit à Nicolas : « Tu me la prêtes ? »

Nicolas se retire de moi. Je tente de me relever un peu À ma grande surprise, Frank maide à me mettre debout. Il me sourit. Je ne peux mempêcher de lui chuchoter « prend moi aussi »

Pour seule réponse, il me retourne fermement et me plaque sur la table. Dans cette position, il ne se prive pas de caresser mes fesses, passant sa main sous ma robe. Dun pied, glissé entre les miens, il écarte mes jambes.

Se collant derrière moi, il caresse mon sexe avec son gland. Il presse doucement, et senfonce en moi. À son tour, il me travaille pendant que son complice profite de ma bouche.

Cette position ma toujours procurée beaucoup de bien. Je le sens taper très profond en moi. Des frissons parcourent mon corps. Mes jambes me portent difficilement. Il me tient par le bassin et cogne de plus en plus vite. Mon ventre irradie terriblement. Jai chaud, très chaud. Mes cheveux volent devant mon visage, collant parfois à mes lèvres. Il mest de plus en plus difficile de me consacrer au sexe qui va et vient dans ma bouche. Mes seins, écrasés sur la table, font résonner mon cur qui bat de plus en plus vite. Soudainement, comme cela marrive parfois lorsque le plaisir et lexcitation sont au rendez-vous, un flot de liquide se répand dans mon vagin, puis coule le long de mes cuisses. Mes gémissements sont devenus de véritables cris. Jai toujours été plutôt expressive.

Frank se met à gémir avec une puissance savoureuse. Je le laisse paisiblement se vider en moi, sentant sa chaleur menvahir, tout en suçant Nicolas avec une attention redoublée. Les derniers coups de queue que madministre Frank sont accompagnés de râles qui me semblent être presque douloureux. Je lobserve un instant, derrière moi, sans cesser de masturber le sexe que jai entre les mains.

Frank me sourit. Nicolas me caresse les cheveux, gémissant doucement. Avant davoir le temps de le reprendre dans ma bouche, il jouit entre mes mains, giclant son sperme sur ma joue, dans mes cheveux. Malgré ma surprise, je continue à le masturber. Le sperme jaillit, une foi encore. Effleurant mon nez, son foutre se répand sur mon front et entre mes yeux. Jachève de le vider avec ma bouche, patiemment.

Quelques instants ont passées. Ils se retirent de moi. Je tente de me relever, titubant un peu en redescendant ma robe. Nous faisons, ensembles, quelques pas pour rejoindre le canapé. Nous nous y installons, les uns contre les autres, entre ravissement et épuisement.

Dans les bras de mes hommes, gentiment caressée, je laisse Franck essuyer, avec douceur, mon masque de sperme.

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