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De Julien à Julie – Chapitre 8

De Julien à Julie - Chapitre 8



De Julien à Julie 8

Patrick et moi, sommes allés chercher Katia chez elle. C’est une transsexuelle toute mignonne, mais très bien équipée entre les jambes. J’ai le béguin pour elle, peut-être son charme slave y est-il pour quelque chose. Non, c’est un faux prétexte ! C’est surtout son sexe et sa façon de nous unir qui me plait encore plus.

Au petit matin, Patrick nous apporte le petit déjeuner au lit. Ma partenaire n’éprouve pas de gêne à son égard. Elle est allongée sur le ventre, fesses et seins à l’air, et me bécote avec tendresse avant de s’appuyer sur un coude.

Mon homme m’embrasse, puis touche le bras de Katia et lui demande :

« Dis-moi, Katia, ça te dirait de venir habiter avec nous quelques temps? »

Elle reste ébahie, bouche bée d’une telle proposition.

Il ajoute :

« Je vais aménager le bureau et y faire mettre un lit »

Je rétorque en désignant la couche que je partage avec ma maîtresse :

« Pourquoi ne pas changer ce lit pour un plus grand, on pourrait s’y mettre à trois ! »

« On va faire les deux ! Le grand lit et l’aménagement du bureau. Mais, qu’en penses-tu Katia ? »

« Je ne sais pas ! Je ne veux pas déranger »

Patrick rétorque

« Fais-le pour Julie ! »

Katia me regarde avec tendresse, attendant mon assentiment. En guise de réponse, je la bascule, m’allonge sur elle et l’embrasse à pleine bouche. Notre baiser passionné dure un moment. Patrick me caresse le dos avant d’affirmer :

« Je vais passer la commande pour les lits ! »

Mon homme est vraiment exceptionnel de tolérance ! En plus de m’héberger, de me donner un petit emploi, il accepte en sus d’accueillir ma maîtresse. Pourtant, Katia est potentiellement une bite concurrente à la sienne (Humm ! C’est vrai que je l’aime cette bite !).

Les jours passent et, Katia, Patrick et moi formons un trio. Ou plutôt deux couples : Katia et moi ou Patrick et moi. Même si souvent nous sommes à trois dans le lit, c’est moi qui ai les honneurs de leur verge. Je suis totalement comblée de ce coté là !

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Le soir, je vais travailler au bar Patrick. Sur ses conseils, j’adopte des déguisements pour séduire la clientèle. Un jour en hôtesse de l’air, le lendemain en danseuse country ou autres fantaisies. Dans tous les cas, les clients affluent de plus en plus, pour le bonheur de mon homme. Je récolte pas mal de pourboires, même si j’y mets un peu du mien pour allumer les gars, voire les filles quelques fois.

Un soir, j’ai travaillé déguisée en mariée, ça a été le summum ! Les types voulaient tous me prendre sur leurs genoux ou trouver ma jarretière. Me tiraient à eux pour m’enlacer la taille. J’ai même senti quelques queues dures sous mes fesses et des mains se balader sur mon corps, en particulier sur mes seins. Je ne déteste pas ça, mais il me faut rester professionnelle et je les repousse quand ils sont trop entreprenants.

Je parle de pelotage, car oui, avec le temps, ma poitrine pousse et commence à bien remplir mon soutien-gorge.

Je vais passer aux bonnets B très prochainement, au train où ça va.

Ce qui m’ennuie, c’est la perspective d’aller à la fac. Patrick insiste et me convainc de m’y rendre. Mais, mon emploi du temps est déjà bien rempli, je ne sais pas comment je vais pouvoir concilier ça avec les études.

Au jour J, je me présente à la fac, après un discours du doyen. Le professeur d’économie fait l’appel pour s’assurer du quota de gens présents. Quand il cite mon nom, je mets une demi seconde à réaliser qu’il m’a prénommée Julien’, j’en ai perdu l’habitude. Je rectifie en lui signifiant Julie’. Il s’excuse pour l’erreur et signifie qu’il fera corriger le listing.

Pour ma part, j’ai reconnu le prof en question. Il vient souvent au bar et il a de sacrées mains baladeuses ce coquin, malgré son allure sérieuse en ce moment.

La fois suivante, il se force à m’appeler Julie puis me demande de passer le voir à la fin du cours.

« Mademoiselle, voilà, euh Il y a un problème ! J’ai vu avec l’administration et elle me confirme que votre prénom est bien Julien  »

« Ah bon ! Et quand vous me voyez certains soirs, vous m’appelez bien Julie, n’est-ce pas ? »

Il se bloque d’un coup, relève son regard vers moi en me détaillant, totalement interloqué !

« Vous Vous êtes JULIE ??? »

Je me penche à son oreille pour lui souffler :

« A ce soir si vous voulez ! Je serai habillée en écolière, mais chut ! Ne le dites à personne ! »

Je le laisse à sa stupéfaction, même si je sens son regard dans mon dos. Ou sur mes fesses que j’ondule pour le provoquer ?

Le soir venu, j’en parle à Patrick qui s’en amuse, en ajoutant toutefois, en plaisantant :

« J’espère au contraire qu’il va en parler à ses amis ! C’est bon pour le chiffre ! »

Le soir venu, j’ai mis des bas blancs courts qui m’arrivent juste au dessus du genou et munis d’une jarretière rose très coquine. Des souliers vernis, une jupette plissée, un chemisier blanc transparent au dessus de mon soutien gorge tout en dentelle. Des couettes aux cheveux complètent mon style du soir.

Très petite fille’, je m’applique à lécher une sucette lors des commandes et je remarque bien les yeux affamés des loups qui me convoitent. J’ai pris l’habitude des commentaires grivois des clients, mais je n’hésite pas à m’asseoir sur une cuisse pour les forcer à consommer plus.

Mon prof arrive un peu tard et s’installe sur la seule table qui reste, un peu à l’écart. Son regard est gêné, mais il me passe quand même aux rayons X.

Je prends sa commande en me collant presque à lui. Mon genou touchant l’intérieur de sa cuisse. Sa main s’égare pour effleurer ma jarretière et je le laisse en profiter quelques secondes, avant de le quitter pour prendre d’autres commandes. Avant de revenir aux clients, je déboutonne mon chemisier d’un cran et sert une table. En me penchant, tous les regards convergent sur mon décolleté et un silence amusé gagne la tablée.

Quand arrive le service pour le prof, j’ai fait sauter un bouton de plus et, quand je me penche sur lui, il s’avance presque pour plonger la tête dans ma gorge. Je lui dis :

« Ça te plaît mon coquin ? Si tu veux, tu peux me glisser un pourboire dans le soutien-gorge ! »

Il a beau être mon professeur, je le tutoie ! Ici, c’est un client comme les autres. Pas vraiment en fait, je veux l’allumer ! Non pour le désir de sa personne, mais juste pour qu’il constate ma féminité une fois pour toute.

Il cherche son portefeuille et extirpe un billet. Je me penche à nouveau, en jetant un il derrière moi, pour éviter que d’autres personnes ne nous voient.

Il enfourne sa main et s’intéresse plus à me peloter qu’à glisser son billet. Je le laisse faire près d’une minute. Il écarte ses jambes et me propose sa cuisse sur laquelle je m’assieds. J’ai glissé ma main très près de ses testicules et taquine son pantalon du bout des doigts.

Je lui souffle :

« Desserre ta ceinture et ouvre ta braguette.»

Il s’exécute, pas très discrètement. Ce qui est sûr, c’est qu’il bande énormément. Je m’empare de son gland violet et le pétris, je glisse ensuite mes doigts sur sa hampe avant de l’enserrer pour la branler énergiquement. Le pauvre est cramoisi d’émotion, il est proche de l’apoplexie.

Je sens son jet chaud sur mes doigts après moins de deux minutes.

« Et bien ! Tu es rapide ! Si tu veux, je pourrais te sucer après les cours ! Ça te dirait ?»

Il ne répond pas, remballe ses affaires et s’enfuit presque.

Je deviens salope quand même !

Je réajuste mon chemisier en remettant les boutons et reprends mon travail.

A la fin du service, nous rentrons à l’appartement. Katia dort, allongée sur le dos, en travers du lit. Sa nuisette rose est remontée et découvre sa culotte bombée par son appareil. Je dis à mon homme :

« Elle est belle, n’est-ce pas ? »

« Très belle, mais moins que toi ma chérie ! »

Il m’embrasse et glisse sa main sur mon sexe. Il ne faut pas longtemps pour que je bande dur sous ses caresses.

« Julie, j’ai envie de te sucer ! »

« Humm ! Mais, tu n’aurais pas envie de la sucer, elle ! »

« Mais, chérie c’est ton amante ! Et puis elle dort ! »

« Suces la et elle ne dormira plus ! Aller, vas y mon amour ! »

Patrick glisse sa main et extirpe le sexe mou. Il me lance un regard pour attendre une confirmation et prend le gland en bouche. Katia ne s’éveille qu’après quelques secondes et constate, étonnée, que son hôte est en train de la sucer.

Il s’y prend bien, car elle ne tarde pas à bander, jambes écartées pour que Patrick puisse glisser sa tête quand il la gobe à fond.

Je baisse le slip de mon homme et branle son membre tendu.

Je lui glisse à l’oreille :

« Je vais te prendre d’abord, puis après, ça sera Katia »

Tout en continuant sa fellation, il acquiesce d’un signe de tête.

Katia est bien éveillée maintenant et se laisse peloter les seins par mon chéri. Il tête à tout va le grand membre de la transsexuelle et ne s’arrête que lors de ma pénétration.

Je suis bien en lui, j’aime lui prendre le derrière depuis qu’il me l’a offert pour sa première sodomie, lui qui est réputé comme grand baiseur de femmes et d’hommes à l’occasion

Katia est prête à exploser et repousse la tête de Patrick. Je lui fais signe et elle s’extirpe pour venir derrière Patrick. C’est moi qui pointe le pal de Katia sur l’orifice encore ouvert.

Elle entre, entre ! Va très profond et Patrick geint de plaisir de se sentir sondé ainsi.

Katia va et vient lentement sur toute sa longueur. Elle sait si bien s’y prendre que Patrick râle d’extase. Il grogne des :

« Comme c’est bon ! Oh oui ! »

Katia me fait trop envie. Je l’enlace par derrière et prends ses seins en mains. C’est elle qui guide mon gland vers son anus, que je pénètre.

Nous formons une drôle de bête tous les trois ainsi enfichés.

Je ne sais si c’est cette soirée si spéciale au bar ou bien de voir Patrick subissant une profonde sodomie qui m’échauffe ainsi. En tout cas, je ne résiste pas à la montée de ma sève que j’envoie dans Katia. Je sors et me précipite pour lécher ce qui sort d’elle. La lape jusqu’à la dernière goutte et elle reprend avec plus de vigueur l’enculage de mon fiancé. Quand elle se crispe, et donne des longs coups de reins, je comprends qu’elle envoie une grosse quantité de semence pour féconder mon chéri.

Le pauvre mord l’oreiller, pour ne pas crier.

Quand Katia se retire, je m’applique à nettoyer l’anus de mon chéri en profondeur. Mes coups de langue ravivent son érection. Il se tourne sur le dos pour que je puisse mieux le sucer, à fond ! Je peux dire que j’ai bien mangé du sperme ce soir !

Nous nous endormons toutes deux enlacées par les bras de mon homme. Nous sommes désormais un vrai trio.

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