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De la petite Marie à la redoutable Malika – Chapitre 4

De la petite Marie à la redoutable Malika - Chapitre 4



Quelques jours seulement après l’épisode sexuel très particulier avec Malika, j’avais rendez-vous avec la petite Marie à la gare routière. Si j’avais bien compris, elle profitait du départ de ses parents en week-end pour prendre deux jours de liberté et, bien qu’elle fût majeure, elle avait prétexté deux jours chez une amie qui, apparemment, était dans la confidence et ne risquait pas de la trahir par inadvertance.

J’étais vraiment ému à l’idée de retrouver ma petite blonde si pure et coquine à la fois, si inexpérimentée, mais dotée d’une telle envie d’amour physique sous toutes ses formes, de câlin et de tendresse.

Lorsqu’elle sortit du bus, elle tourna la tête de tous les côtés avant de m’apercevoir derrière un pilier où je m’étais à demi dissimulé. Je me découvris et marchais vers elle tandis qu’elle se hâtait vers moi et tombait dans mes bras. Je l’étreignis tandis qu’elle m’embrassait longuement sur la bouche, tournant délicatement sa langue sur la mienne. Je la débarrassai de son sac et lui pris la main. Nous nous rendîmes au parking souterrain où j’avais garé ma modeste voiture, dont je tairai le nom et la marque, ayant néanmoins nettoyé de mon mieux tant l’extérieur que l’habitacle. Je lui ouvris la portière, en parfait gentilhomme, et fis le tour du véhicule pour prendre ma place. A peine assise, elle se colla de nouveau sur moi, m’embrassant longuement tandis que je caressai ses cheveux.

Oh, Ben, je suis trop contente, deux jours avec toi, emmène-moi !

J’ai tout prévu ma Marie, on prend la voiture et on file au bord de la mer. Dans 4 heures, on y est. J’ai réservé une chambre dans un bel hôtel. Tu verras, ce sera super.

Elle consentit à me relâcher après dix minutes supplémentaires de gros bisous, au cours desquelles j’en profitai pour passer les mains sous son corsage, détacher délicatement son soutien-gorge pour caresser ses épaules, ses seins ronds magnifiques. Nous étions bien chauds, mais il y avait de la route. Durant tout le trajet, je sentais son regard énamouré sur moi, je tournais souvent les yeux vers elle, caressant doucement sa cuisse…

Arrivés à l’hôtel (doublement étoilé), je me présentai à l’accueil, tandis que Marie, excitée et impressionnée à la fois, se tenait discrètement derrière moi. Nous prîmes l’ascenseur, face à face, et j’ouvris bientôt fébrilement la porte de la chambre. Les valises déposées, je pris Marie par la taille et la menai avec douceur vers le grand lit. Nous nous y serrâmes l’un contre l’autre en nous dévorant autant que nous le pouvions. Elle se pressait contre moi, caressait mes cheveux, mon dos, mes bras, chastement, mais avec fougue.

Je mis les mains entre elle et moi pour lui dégrafer son corsage blanc, le lui retirai avant de passer les mains dans son dos, pour défaire son soutien-gorge, ce qui est toujours un exercice délicat. Je lui retirai l’ensemble avant de baisser le visage pour embrasser ses jolis seins, à la pointe assez large et au téton épais, la léchai partout, parcourant ses globes de mes lèvres avides, suçotant et mordillant les pointes tandis qu’elle gémissait doucement, les mains sur ma tête. Comme toutes les femmes, elle était très sensible de cette partie du corps et je suis persuadé que cette excitation s’étendait alors à chaque partie d’elle.

Elle approcha la bouche de mon oreille : « Tu sais, Ben, je prends la pilule maintenant ». « C’est super mon amour » – lui répondis-je en évoquant sans regret la boîte de préservatifs calée au fond de ma valise. En fait, si Marie n’avait pas encore eu de première fois, je n’avais jamais pour ma part eu la tâche de prendre une jeune femme vierge et de l’initier. Toute ma vie sexuelle, déjà riche à 25 ans, j’avais rencontré des femmes plutôt plus âgées que moi, très portées sur un amour débridé, pleines d’imagination, voire de « vice », si ce mot peut dire quelque chose entre adultes consentants, ce que je ne crois pas. Bref, la simplicité de l’instant m’excitait tout en me portant à la délicatesse, justifiée par la responsabilité qui me semblait devoir être la même.

Mon vocabulaire changeait aussi ; je pensais que cette petite Marie de 18 ans aurait tout le temps de découvrir les méandres infinis du sexe tout au long de sa vie et que la période qui s’ouvrait à elle était un moment unique.

Elle était blonde, douce et fraîche, avec des rondeurs subtiles et bien placées. Rien que ses seins valaient la peine d’y consacrer de longues et longues minutes. Ce que je fis bien volontiers.

Je fermai en partie les rideaux de la chambre afin de créer une pénombre, une intimité propice et de ne pas gêner Marie par une approche visuelle trop crue. La première fois qu’elle m’avait dévoilée son corps, sous la tente, il faisait nuit et la pleine lune avait apporté une lumière discrète qui m’avait néanmoins permis d’évaluer la qualité de cette anatomie ne demandant qu’à s’exprimer de tous ses sens. Comme sous la tente, je redescendis ma bouche le long de son ventre et défis sa ceinture, le bouton de son jean. Elle souleva les fesses tandis que je finissais de la déshabiller, lui laissant seulement sa culotte. Puis je retirai mes chaussures et retirai un à un mes vêtements devant elle. Elle me regardait attentivement, placée en situation ftale. Je fus bientôt vêtu de mon seul boxer noir. Elle se déplaça alors vers moi. J’étais à genoux.

Elle fit de même, embrassant de nouveau mes lèvres avant de placer ses mains dans mon dos, de les descendre jusqu’à pouvoir caresser mes hanches et le haut de mes fesses.

Je frémis à mon tour de ressentir ses petites mains à la fois inexpérimentées et avides du corps de son premier amant. Elle s’enhardit jusqu’à poser la main sur la bosse dure que faisait ma queue raide et entreprit de retirer l’ultime barrière de ma vertu (je plaisante). Soudain, prise de je ne sais quelle pudeur, elle me suggéra que nous allions sous la couette, ce que j’acceptais sans problème. Elle se serra contre moi, me caressant la queue en même temps, descendit dans le lit pour approcher le visage de mon bas-ventre, caressa mes poils et prit mon gland en bouche en empoignant vigoureusement ma tige. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Puis je sentis qu’elle me suçait, consciencieusement et vigoureusement. C’était vraiment délicieux et pourtant j’en avais connu, de bonnes suceuses…

Elle remonta à ma hauteur. Je chuchotais : « Dis donc, Marie, tu as fait des progrès… tu peux me dire… ? ». Il me sembla qu’elle rougissait dans la pénombre : « C’est une amie qui m’a donné plein de conseils…

Cest bien ? »

Je me demandais bien qui pouvait être cette amie précieuse, mais elle ne me répondit pas. Je décidais d’enquêter plus tard. Dans l’immédiat, j’avais d’autres chattes à fouetter. Je repris l’exploration de son corps, lui retirai sa culotte pour redécouvrir la magnifique toison blonde que j’avais admirée lors de notre premier contact. Je lui écartai les cuisses pour brouter cette toison, lécher son aine, son ventre avant de poser la bouche sur les lèvres exquises du con de ma petite amoureuse, qui allait bientôt accueillir ma grosse queue. J’écartai doucement les lèvres pour passer ma langue durcie et recueillir le miel délicieux qui coulait de l’intimité de Marie. J’aspirai son clitoris. Je la sentis rapidement jouir et maintins l’activité de ma langue et de ma bouche tandis qu’elle prenait du plaisir. Son gémissement devenait alors une plainte qui m’excitait encore plus.

Je revins vers son visage : « Tu es prête, Marie ? » Je la vis sourire comme un ange tandis qu’elle me répondait dans un souffle : « Ben, Ben, j’ai trop envie de baiser, baise-moi, baise-moi… ». Je ne sais pas si ce vocabulaire nouveau dans sa bouche lui venait également de son amie si pédagogue, mais je l’appréciai énormément, ayant toujours été sensible au pouvoir des mots crus qui m’excitaient au plus haut point. « Vite, Ben, baise-moi… »

J’avais posé près du lit un flacon de gel lubrifiant dont je me saisis avec dextérité. J’en recueillis une bonne dose dans la paume de la main, m’en enduisis généreusement la pine. J’écartai les cuisses de Marie, dont je sentis la respiration accélérer. Puis je me positionnai, avançant doucement mon gland vers la toison blonde, puis sur les lèvres du con que je caressai un instant du bout de la queue. J’avançai délicatement puis saisis ses hanches. Je marquai un temps d’arrêt. Il me sembla que Marie ne respirait plus, mais elle répéta « baise-moi » et appuya les mains sur mon cul. J’introduisis tout mon membre dur d’un coup, tandis qu’elle sursautait et pleurait en me serrant contre elle. Je ne bougeais plus que quelques instants, séchant ses larmes avec le coin du drap. Puis je commençai à aller et venir entre les cuisses de ma chérie. Je l’embrassai sur la bouche, dans le cou, sur le front, je caressai ses cheveux tandis qu’elle me griffait le dos en me serrant contre elle.

Je vivais un moment extraordinaire.

Je ne sais pas pourquoi, au moment de jouir, je me retirai du con de Marie, me frottai un instant sur ses poils avant que ma semences ne jaillisse en abondance sur sa toison blonde. Elle reprenait souffle. Je vis dans la pénombre sa main se diriger vers son sexe, caresser sa chatte souillée de sperme et ramener ce sperme vers les lèvres du con et les en enduire.

Je me mis sur le côté, elle en fit autant, se calant contre moi. Je sentais les rondeurs de son cul pressées sur ma queue. Nous étions bien et je crois que nous nous sommes alors endormis.

Lorsque j’ouvris un il, il était 18 heures et Marie n’était plus dans le lit. Il y avait de la lumière dans la salle de bain et je frappai à la porte. « Marie, ça va ? Je peux entrer ? » Je poussais la porte et découvris Marie dans la baignoire. Il y avait des bougies allumées qui produisaient une lumière douce et diffuse. « Tu viens ? » – me dit-elle.

Je la rejoignis dans l’eau parfumée aux sels de bain. Ses yeux étaient encore un peu marqués par la fatigue, mais elle souriait. Elle se retourna contre moi et je savonnai délicatement ses seins avant de les caresser avec la mousse abondante. Puis je le fis pour toutes les parties émergées de son corps avant de passer les mains de chaque côté de ses fesses, de toucher ses hanches voluptueuses et de toucher de nouveau la chatte profanée de la petite Marie. Elle se détendit entre mes bras. « C’est bien – me dit-elle C’était bien, je suis bien… J’ai l’impression d’être une nouvelle personne tout en étant la même, j’ai envie de découvrir plein de nouvelles choses avec toi… » « Tu as tout le temps pour ça, répondis-je, profite bien… »

Je me surprenais moi même. J’étais toujours celui qui avait pris Malika dans des situations torrides, j’avais baisé cette putain dans les plaisirs de l’enfer, j’en baiserai d’autres et pourtant je devenais une personne plus fine et attentive quelques instants… Je savais que cela ne durerait pas, mais cela me troublait fort néanmoins.

Tu penses à quoi ? me demanda Marie.

… Je pense à toi, à moi, à nous, et à la bizarrerie de la vie, parfois.

tout ça ?… oooh… L’eau est chaude, c’est bon, je me sens pure et pleinement femme, j’ai envie de tout…

Tu sais, j’ai passé un moment magnifique avec toi.

C’est vrai ? Oh, c’est gentil Ben…

C’est vrai.

Pourtant tu as connu plein de choses, toi…

Mmmm… si tu le dis…

.

Je repartis de plus belle dans mes pensées. Qu’allais-je faire demain, et les jours suivants ? Que Marie attendait-elle de moi ? Juste un peu de plaisir et de câlin ou une vie entière de bonheur conjugal et monogame ? Et cette garce de Malika ? Et les autres plans que j’avais en vue ? J’avais l’impression de réfléchir vainement.

Je sortis du bain avec Marie et nous nous séchâmes l’un et l’autre avec la grande et douce serviette éponge de l’hôtel. L’heure était à la tendresse. Il était temps de se rhabiller, de se préparer pour le restaurant et la sortie du soir que j’avais organisée.

A suivre ?

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