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De puceau à maquereau – Chapitre 13

De puceau à maquereau - Chapitre 13



La contribution dAnnie

Le lendemain, je me réveille tôt. Jai mal dormi. Toute la nuit je me suis demandé de quoi elles avaient parlé, pourquoi Annie était dans tous ses états. Je la regarde dormir Quelle est belle ! Un tétin rose dépasse du drap, véritablement appel au baiser. Je ne résiste pas et suce le petit bout de chair.

— Mmh oui murmure-t-elle.

Elle mattire. Baisers caresses Elle guide une verge impatiente vers son antre secret Aaah ! Plus rien ne compte que la jouissance qui nous unit

Nous restons allongés sur le dos, main dans la main.

— Je taime, Jean chéri !

— Moi aussi

Une mouche bourdonne dans le rayon de soleil qui filtre à travers les volets entrouverts

— Dis, Annie

— Oui ?

— De quoi vous avez parlé hier soir ?

Je sens la menotte se crisper.

— Tu ne veux rien me dire ?

— Si mais

— Cest si dur que ça ?

Je la fixe appuyé sur un coude. Elle évite mon regard.

— Chloé ma demandé de laider

Un silence. Je lencourage.

— Tu peux tout me dire.

— Elle veut que je laide avec les hommes quelle reçoit le matin

Je bondis sur mes pieds.

— Comment ? Elle veut que tu participes avec ses amants ?

— Euh Ce ne sont pas des amants à proprement parler Ils payent

— Oh !

Je suis abasourdis : ma sur une prostituée ! Et qui propose à Annie de limiter ? Il nen est pas question ! Je fonce à la cuisine où Chloé et Jacques prennent leur petit déjeuner.

— Quest-ce que japprends ? Tu transformes cette maison en boxon ? Et non contente de ça, tu veux entraîner Annie dans ta débauche !

— Hé là ! Du calme petit frère ! Quest-ce que tu crois ? Tu timagines que mon maigre salaire dhôtesse daccueil à mi-temps et celui de mon mari guère plus élevé suffit pour vous entretenir et payer Lucie ? Reviens sur terre, Jean ! Remercie-moi plutôt de te permettre de poursuivre des études au lieu de trimer toute la journée pour un salaire de misère ! Annie à qui jai expliqué la situation a bien compris elle Nest-ce pas Annie ?

Je me retourne. Ma copine est là appuyée contre le chambranle.

— Oui Chloé.

— Elle au moins na pas fait dhistoires et a gentiment proposé son aide.

Je reste quelques secondes sans voix. Ma copine qui envisage sereinement de baiser avec des inconnus pour de largent

— Et toi Jacques, tu ne dis rien, tu étais au courant ?

— Cest lui qui a eu lidée du site Internet, me renseigne ma sur.

— Ah parce quen plus vous avez un site porno !

— Non, pas porno, rectifie mon beau-frère, érotique, je tiens à la distinction.

— Comment crois-tu que mes amants, comme tu dis, me contactent ?

— Et Papa il sait ?

— Bien sûr depuis le début. Jallais pas faire ça dans son dos, ce serait pas honnête.

Si on parle dhonnêteté

— Et Lucie ? Elle ne peut pas taider ? Pourquoi tu lui demandes pas ?

— Papa sy oppose formellement. Il dit comme ça quil ne voudrait pas abandonner son infirmière et que les clients tolèreraient mal sa présence.

— Et toi Annie ? Tu Tu acceptes ?

— Euh Ta sur ma fait comprendre quil était nécessaire que je participe à leffort collectif si je voulais rester parmi vous

Ils sont tous contre moi. Je me laisse choir sur une chaise. Ma copine sinstalle sur mes genoux.

— Tu sais Il ny a que toi que jaime.

— Euh Et moi ? Pas un peu ? demande Jacques.

— Toi ? Tu as ta femme, réplique-t-elle en membrassant.

— Oui il a sa femme, renchérit Chloé. Sa femme qui lui dit quil est lheure de partir travailler.

— Bon, bon, je mexécute. Cet après-midi, Annie et moi prendrons des photos pour la présenter sur le site.

Ah ? Ça, ça mintéresse.

— Je pourrai participer ?

— Avec plaisir Jean, tes conseils seront les bienvenus.

Il nous quitte pour se préparer. Cloé me dévisage dun air ironique. Je rougis : par cette simple question je viens davouer que jaccepte que ma copine vende ses charmes.

— Dis Annie, tu as un déshabillé ? interroge ma sur. Tu peux pas recevoir les visiteurs à poil, ça se fait pas.

— Euh Jai une robe de chambre, mais elle est moche.

— Je ten prête un pour ce matin.

— Ah parce que tu veux déjà la mettre sur le trottoir ?

— Qui parle de trottoir ? Non, cest dans ma chambre que tout se passe. Le client de ce matin

Je grimace, je naime pas ce terme.

— Mon amant du jour si tu préfères, sourit-elle, est un homme charmant. Il sera parfait pour une initiation.

Annie se colle frileusement à moi.

— Je tassure tu ne pouvais mieux tomber, insiste ma sur Tu vas pas flancher jespère ?

Ma copine tourne les yeux vers moi, quémandant un secours. Jévite son regard. Je men veux de ma lâcheté, mais je nai pas le courage de mopposer à ma grande sur. Je sens le tremblement qui agite ma copine. Après quelques secondes dhésitation elle consent à la suivre.

— Jaime mieux ça. Quand le client sera parti, nous irons faire des courses toutes les deux pour téquiper.

Elles croisent Jacques en complet veston. Il lembrasse tout en flattant les fesses dAnnie. Sacré beau-frère, il ne perd pas une occasion ! Comment lui en vouloir ? Il me prend à part.

— Tu veux pas voir comment elle se débrouille ta copine ?

— Euh

— Tas quà tenfermer dans la salle de bain à côté de notre chambre. Evite surtout dallumer

Annie et Chloé reviennent en déshabillé. Elles sont charmantes. Leur corps est voilé par la gaze qui les enveloppe dune brume légère. Ma copine quémande un baiser. Je tourne la figure. Jai du mal à accepter quelle se prostitue, même pour le bien de la communauté. Je me fais rabrouer par ma sur :

— Tu nes pas gentil Jean. Cest déjà assez dur pour elle sans que tu ajoutes ton mépris.

Je baisse la tête sous le reproche. Les yeux dAnnie sembuent. Cen est trop. Je la serre dans mes bras et lui inflige un patin de première.

La sonnette de la porte dentrée retentit.

— Annie ! Va attendre dans ma chambre, je vais lui ouvrir.

Je libère ma copine. Sur le seuil, elle me gratifie dun pauvre sourire. Je lui envoie un baiser sur le bout des doigts.

— Bon courage ma chérie.

Je me précipite vers la salle de bain. Si jai bien compris lallusion de Jacques, le miroir doit être une glace sans tain qui a son pendant dans la chambre. Je ne vois que mon reflet, pourtant je nai pas allumé Ah oui ! La clarté du couloir ! Lobscurité totale est nécessaire. Je referme la porte. Oui ! La pièce voisine apparaît ! Cest mon beau-frère le responsable de cette installation ? Je ne le savais pas voyeur Si je métais douté, jen aurais profité depuis longtemps

Chloé introduit lamant du jour (je narrive pas à lappeler « client »). Lhomme est assez jeune, bien fait de sa personne. Il a lair surpris de voir Annie quon lui présente enfin je pense car je nentends pas les paroles quils échangent. Ma sur sert une boisson Ils bavardent Cest tout ? Lhomme a lair de simpatienter Ah ! Chloé fait lever Annie. Elles entourent le garçon et commencent à le déshabiller. Annie plie consciencieusement les vêtements sur un portant. Ceci fait, elle ouvre un tiroir et sort un préservatif ! Ma copine sagenouille devant lhomme, se penche Elle le pompe ! Chloé a lair satisfaite.

A voir la figure de lhomme, le traitement que lui fait subir Annie lui plait Je le comprends, jai encore le souvenir de sa langue sur le gland Ma main tâte ma queue qui se développe.

Annie se redresse. Elle enfile la capote sur la verge. Lhomme lui sourit et la conduit sur le lit où elle sallonge. Il monte à son tour, écarte les cuisses et sagenouille entre. Il avance Jai juste le temps de surprendre une grimace sur la figure dAnnie avant que le dos masculin la cache. Chloé recule vers la porte louvre un dernier regard, elle sort.

Je ne vois dAnnie que les cuisses écartées. Mes yeux se fixent sur le cul qui danse devant moi. Pourquoi suis-je autant attiré par des fesses dhommes ? euh par les fesses tout court. Je ne ménage par ma queue que je masturbe au rythme imposé par lindividu de lautre côté du miroir Oh ! La scène sefface.

Je me retourne, Chloé me rejoint.

— Jaurais dû me douter que tu serais là ! ricane-t-elle.

Elle referme la porte, la vision réapparait.

— Quest-ce que tu viens faire Chloé ?

— Je contrôle que tout se passe bien. Cest la première fois pour Annie tu as lair de loublier.

Malgré la présence de ma sur je nai pas la volonté de cesser ma caresse. Elle se moque de moi :

— On dirait que ça texcite de voir ta copine se faire baiser par un inconnu.

Jarrête la masturbation.

— Oh ! Tu peux continuer ça me fait rien. Du moment que tu me demandes pas ce service

Elle contemple le spectacle dun il critique.

— Annie devrait caresser les omoplates, les hommes aiment ça

Comme si elle avait entendu le reproche, ma copine pose les mains sur les fesses et les écarte. Je distingue nettement lanus qui sentrouvre à chaque coup de rein comme sil voulait me parler.

— Ah ! Bonne initiative ! approuve ma sur.

Le rythme saccélère. Jen fais de même sur ma queue Chloé me tend une poignée de mouchoir en papier.

— Tiens ! Evite de tout saloper.

Elle reprend son observation.

— Elle se débrouille bien la petite Pour une première fois, cest pas mal Pas mal du tout

Cest bête mais je suis fier du compliment comme si jy étais pour quelque chose.

Dans la chambre, lhomme se dresse sur les avant bras, le menton en lair. Son cul sagite sous les dernières contractions de jouissance. A mon tour, je macule les mouchoirs.

— Aaah !

Chloé ouvre la porte, la vision sévanouit.

— Fiche le camp de là et vas chez toi ! Annie ty rejoindra. Sois gentil avec elle.

Sur le seuil de sa chambre, ma sur me commande de disparaître. Jobéis.

Jattends plusieurs minutes. Je nose sortir. Jai peur de me retrouver face à face avec lhomme. Je ne sais pas si je me retiendrai de lui foutre le poing dans la gueule ! La tête de Chloé si jabime sa clientèle

Ah ! Enfin ! La porte souvre sur Annie. Elle est nue, toujours aussi jolie.

— Tu as enlevé le déshabillé ?

— Oui, jai limpression dêtre moins sale ainsi

Elle se jette dans mes bras :

— Aime-moi ! Aime-moi très fort !

Elle est déchaînée ma petite Annie ! Jai des difficultés à répondre à sa soif de jouissance. Quel imbécile jétais de gaspiller mes forces dans une vulgaire masturbation ! Ah ! Le désir refait surface Cest une queue de dimension honnête quAnnie dirige vers sa chatte. Je suis étonné de ne pas menfoncer dans un océan de douceur comme après Jacques Ah ! Cest vrai, lhomme avait une capote. Son sperme nencombre pas le vagin. Cest dommage, mais préférable, on ne sait pas sur qui on tombe Je mefforce de rendre coups de rein contre coups de bassin. Je fatigue. Il nen est pas de même dAnnie. Elle me fait comprendre de mallonger sur le dos. Jexécute le mouvement sans nous désunir. Jaime la voir me dominer, regarder ses seins danser au-dessus de moi. Tout compte fait jai eu raison de dégorger mes couilles avant, je ne sais pas si jaurais résisté autant

A suivre…

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