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De relation mere-fils à amants – Chapitre 17

De relation mere-fils à amants - Chapitre 17



En ce début de septembre je préparai mon départ pour les études. Je regroupai mes affaires, faisais les derniers achats pour attaquer un nouveau cursus. Le départ était prévu en deux temps, je partais en milieu de semaine pour récupérer lappartement et faire une première installation, les démarches administratives, les premières courses et maman venait me rejoindre le WE avec le reste de mes affaires pour maider à finir mon installation.

Je devais partir le mercredi mais, le lundi midi maman eut un appel de son amie qui serait finalement absente le mercredi et préférait que je sois là ce jour. Je finis alors un peu dans la précipitation mes baguages le lundi après-midi. Le soir mon père rentra pour le dîner dadieu ce qui ne ravit pas forcement ma mère.

Le matin je trouvai un petit mot sur table du petit déjeuner : Coucou mon cur, passe au boulot pour me faire ton petit bisou de départ. Maman.

Un petit déjeuner et une douche plus tard je prenais la direction du boulot de maman.

Quelques minutes plus tard jarrivai dans lhôtel dentreprise qui abritait son bureau. Je pénétrais dabord dans le petit/sas bureau de lentrée, puis, la porte étant ouverte je rentrais dans son bureau.

-Bonjour mon cur me dit-elle en me voyant.

-Bonjour maman.

Elle se leva un papier à la main et se dirigea vers moi. Elle semblait toute pimpante. Comme à son habitude, elle était vêtue dune jupe mi-cuisse rouge avec un petit chemisier blanc. Elle me déposa un petit bisou sur la joue et continua son chemin.

-Assied toi jai un petit truc à envoyer je suis là dans deux minutes.

A son retour elle sinstalla sur son fauteuil auquel je faisais face.

-Alors, près à partir ? me demanda-telle.

-Jespère. On verra bien.

-Tu vas me manquer mon cur.

-A moi aussi mais, bon je ne suis pas si loin.

Il y eut un petit moment de silence où nous nous observions. Puis elle commença à déboutonner son chemisier ce qui me laissa entrevoir un magnifique soutien-gorge blanc en dentelle. Elle passa sa main sous le chemisier pour se caresser un sein.

-Et eux, ils vont te manquer.

Je ne répondais pas à la question et la laissais se caresser. Bientôt le chemiser disparut la laissant arborer fièrement son opulente poitrine. Elle recula du bureau avec son siège.

Viens par là mon cur, maman va te faire un au revoir.

Je fis alors le tour du bureau et massieds sur le bord de ce dernier. Elle était toujours en train de se caresser. Elle écarta alors légèrement les cuisses ce qui eut pour effet de faire remonter sa jupe et découvrir ses cuisses. Elle avança de nouveau me prenant entre ses cuisses. Elle pose la main sur mon pantalon, sentant ma queue déjà bien tendue dans ce dernier. Lentement elle déboutonna le jeans et en extirpa ma queue toute dure. Elle continua manuellement de la caresser avant de finir par la prendre en bouche. Elle pompait maintenant langoureusement ma queue, profitant de lenfoncer au plus profond de sa gorge puis revenant titiller mon gland avec sa langue.

Puis elle se leva et se colla à moi. Nos bouches et langues se trouvèrent rapidement dans une longue éteinte. Petit à petit nous tournions jusquà avoir échangé nos positions. Elle cessa le baiser et sassied sur le bord de la table. Elle retroussa complètement sa jupe en écartant les cuisses largement.

-Tu viens saillir ta cochonne de mère, mets moi en une bonne giclé, je dois en garder un souvenir lorsque je serai seule.

Je passai ma main sous ses cuisses pour la mettre bien en position lorsqu’elle dirigeait ma queue vers sa chatte. La pénétration fut lente mais ininterrompue. Je me trouvai bientôt au fond de son intimité.

-tu na pas honte mon cur, baiser sa mère sur son lieu de travail ?

Pour seule réponse je commençais à la limer. Elle se pinçait les lèvres pour me pas faire trop de bruit. A chaque coup de rein ses nichons ballottaient dans tous les sens. Pour éviter le bruit je mintroduisis au plus profond de son intimité et y remuais ma queue bien dure. Ce massage commençait à la rendre folle.

-Vas-y mon cur, vide-toi les couilles dans la chatte de maman.

Cette vulgarité au bureau était terrible et je finis par lui envoyer des gros jets de foutre au plus profond de son intimité. Elle eut alors un violent orgasme qui lui contracta lutérus et menserra la queue.

Je finis par sortir de son intimité. Nous nous sommes alors de nouveau enlacés et embrassés tendrement à pleine bouche.

Je pris finalement la route et arrivai en fin de matinée où je retrouvai lamie de maman. Nous avons fait le tour du propriétaire, un état des lieux, elle ma donné toutes les informations nécessaires à mes démarches avant de me laisser maître de mes nouveaux quartiers.

Javais un maximum de chance, lappartement était dans un quartier calme, tout proche du centre-ville et du lieu de mes cours. Je pouvais faire les deux à pieds. Cétait un F2 partiellement meublé, avec une jolie pièce à vivre, très claire dans laquelle il y avait déjà une table et des chaises, un meuble TV et une table de salon, une chambre mais avec un grand lit, un bureau, un grand placard. Un coin salle de bain avec une douche et enfin un coin cuisine sympathique. Ne manquait quune télé, une micro onde, un canapé pour être au top et à mon grand désespoir une machine à laver car il allait falloir se débrouiller.

Je profitais de la fin de la semaine pour découvrir la ville, faire mon installation, démarches administratives et premières courses. Maman ayant finalement un empêchement, elle menvoya le solde de mon déménagement et je dus me marranger pour finir mes courses et mon installation. La rentrée eut lieu gentiment et je commençais à prendre mon nouveau rythme de vie. Au téléphone cela semblait un peu plus dur pour maman. Ce nest quau bout de quinze jours quelle trouva un WE pour venir, elle en était toute heureuse. Elle bossa un peu plus dans la semaine pour pouvoir être à lappart en fin daprès-midi ou début de soirée.

Je terminai mes cours à 16H, fis quelques courses et rentrais à lappartement pour faire un peu de rangement et attendre maman. Vers 18 H linterphone de limmeuble retendit. Cétait maman. Quelques secondes plus tard elle était sur le palier, jouvris la porte et la vis rayonnante de joie. Elle était vêtue dun classique petit tailleur à lexception des boutons de la jupe presque tous dégrafés et du décolleté pharaonique de son chemisier qui laissai entrevoir un magnifique soutien-gorge rosé qui mettait en valeur sa fière poitrine

-Bonjour mon cur, tu vas bien?

-Bien et toi, tu es superbe vas-y entre.

Elle franchit alors le seuil de la porte que je refermai derrière elle. Alors que jétais en train de me retourner, elle vint se coller à moi, me prit dans ses bras et vint fougueusement membrasser. Nos langues se trouvèrent sans mal. Je posai mes mains sur ses hanches tout en répondant à ses assauts répétés. Aucun des deux ne voulait cesser létreinte. A bout de souffle nous nous sommes alors regardés quelques secondes dans les yeux, aucun mot nétait nécessaire pour se comprendre. Maman posa une main sur mon entrecuisse pour confirmer mon état dexcitation. Souriant alors un peu plus largement, au vu de ce quelle sentait, elle saccroupit, ouvrit mon pantalon pour en sortir une bonne gaule quelle avala goulûment. Elle me pompait maintenant la queue comme une furieuse, tout en se caressant lentrecuisse. Des gros sons rauques sortaient de sa gorge. Jessayai de la contenir mais rien ny faisait. Un peu dabstinence ajoutée à un tel traitement eurent rapidement raison de moi et je lui envoyais dans la gorge de longs jets de foutre quelle avala sans en perdre une goutte. Elle se délectait du moment, mais, bien au contraire de la calmer ce flot de sperme la motiva à continuer à me sucer comme une folle et, finalement, une telle fureur finit par me redonner petit à petit de la tenue. Satisfaite de ce quelle avait en main elle se releva alors, me tourna le dos, retroussa sa jupe pour laisser apparaître ses cuisses charnues et gainées de noir ainsi quune absence de culotte laissant à mon libre regard un cul arrondi. Elle ne dit alors :

-Allez mon cur viens me prendre jen peux plus je veux ta bite dans la chatte.

Je positionnai ma queue à lentrée de son intimité littéralement trempée. Dans un tel état je neus aucun mal à lui enfoncer à fond et lui extirper un cri de plaisir. Elle posa alors les mains contre le mur et se cambra un petit peu plus pour me permettre de la prendre le plus profondément possible.

-Ahhhhhh que cest bon de tavoir entre mes cuisses, va bien à fond, donne-moi du plaisir mon amour.

Ses encouragements finirent à me redonner une trique du tonnerre, et me poussèrent à commencer à la pistonner. Son intimité, bien que détrempée était hyper réactive à chacune de mes intrusions. Chaque coup de piston la faisait frissonner.

-Vas-y bourre moi bien lança-t-elle alors. Envoie moi une bonne dose de foutre dans le vagin.

Je lagrippai alors plus fortement pour la besogner. Sa tête disparut entre ses bras, je sentais maintenant son intimité se contracter sous mes coups de boutoir profonds. Puis je me plantais à fond dans son intimité pour lui envoyer mon léjaculation avec un gros jet qui la fit sursauter et se tordre de plaisir. Nous sommes restés ainsi quelques instants, un dans lautre à reprendre notre souffle et nos esprits. Puis, elle sest avancée et redressée, libérant ainsi ma queue. Nous nous sommes alors fait face et à nouveau souris

-Et bien, mon cur, jen avais tellement envie, tu mas manqué.

-Toi aussi maman.

Nous nous sommes alors enlacés quelques instants puis sommes allé faire un petit brin de toilette. Après avoir récupéré ses effets personnels, et fait une petite visite de lappartement nous avons attaqué la soirée par un apéro où elle mapprit le bon début de son contrat Mexicain. Nous étions tous les deux un peu crevés donc nous sommes rapidement allé au lit où un petit câlin très « amoureux » entama une nuit bien douce lun contre lautre.

La journée du samedi nous permit de visiter les alentours et maman maida à peaufiner mon installation en plus de soccuper un peu de mon linge.

En fin daprès-midi elle me lança :

-Au fait mon cur, jespère que tu nas rien prévu, je tinvite ce soir pour fêter les premiers retours positifs de mon contrat Mexicain.

-Ah bon, super, quel est le programme?

-Tu verras, surprise.

Je nétais pas très inquiet, les plans de maman étaient bien souvent très intéressants.

En début de soirée, je passai le premier dans la salle de bain pour me préparer. Puis, elle prit un petit sac et sy enferma. Au bout dun bon petit moment je la vis ressortir, comment dire, version bête de sexe. Elle portait une mini-jupe en sky verte fluo sur un porte-jarretelle et des bas rouges et était montée sur des escarpins talons aiguille noirs. En haut elle portait un top en sky coordonné avec sa jupe. Elle avait attaché ses cheveux et son maquillage sans être vulgaire laissa paraître un chaud caractère.

Mon sourire à sa vue lui permit de valider que sa tenue faisait mouche et me plaisait.

-Je pense voir que je te plais comme cela. Je ne suis pas trop mal pour que tu sortes avec moi ?

-Tu es même canon maman.

Elle enfila alors un chemiser et un robe classique au-dessus de sa tenue et nous avons pris le chemin du centre-ville. Nous avons mangé dans un restaurent asiatique où elle mexpliqua que ses affaires prenaient maintenant une belle tournure ce devrait lui permettre prochainement de commencer à récupérer ce quelle avait dû injecter pour se lancer. LE petit saké de fin de repas fut avalé cul sec, elle régla laddition et me prit par la main.

-Allez mon cur, tu me suis, on va samuser ce soir.

Lexpression était bien choisie et la suite allait être chaude.

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