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Des vacances … olé olé – Chapitre 5

Des vacances ... olé olé - Chapitre 5



Ana file dans sa chambre pour se préparer à partir. De mon côté, je retourne à la salle de fitness pour récupérer mon short que je-ré enfile.

En regardant distraitement par la fenêtre ouverte, je remarque, dans la lumière de cette fin d’après-midi, une très jolie jeune fille couchée dans une chaise longue au bord de la piscine, occupée à lire une revue.

Elle est blonde comme les blés, avec de longs cheveux lisses qui lui pendent jusqu’au milieu du dos, et porte un maillot de bain noir assez particulier. Il est composé d’un slip qui se prolonge vers le haut par deux espèces de bretelles qui se croisent, passent devant sa poitrine pour la couvrir, et finissent par un nud derrière son cou.

Ana réapparaît quelques instants plus tard, habillée, pomponnée et prête à s’en aller.

Qui est cette charmante créature au bord de la piscine ?

Cette charmante créature, comme tu dis, c’est ma fille Lola, mais je te préviens tout de suite, elle n’est pas pour toi ! C’est ma petite chérie adorée, ma perle innocente et pure, mon plus grand trésor. Donc, pas touche !

Ne t’inquiète pas, avec tout ce que tu m’as donné cet après-midi …

Et ce n’est pas fini … !

… je n’ai aucune intention de compter Fleurette à la demoiselle. Il n’empêche, comme je reste ici ce soir, il faudrait au moins que tu nous présentes avant de partir.

Tu as raison, allons-y.

Et nous sortons via le salon sur la grande terrasse qui longe la piscine. Lorsque nous approchons, Lola lève le nez de sa revue et sourit à sa mère.

Bonsoir maman. Nous avons eu deux heures de fourche au collège et c’est pour ça que je suis rentrée plus tôt.

Bonsoir mon trésor. Je te présente Loïc. Il est client au camping et en discutant avec lui, j’ai appris qu’il est kiné. Et comme tu connais mes problèmes récurrents au dos, moi aussi je suis rentrée plus tôt pour bénéficier de ses soins.

Bonsoir Loïc. Moi, c’est Lola.

Bon. Lola, comme on annonce de l’orage pour cette nuit, j’ai proposé à Loïc de loger ici cette nuit, mais maintenant, moi, je dois m’en aller. Passez une bonne soirée et à tantôt.

Là-dessus, Ana tourne les talons et se dirige vers le parking. Quelques secondes plus tard, un rugissement de moteur nous apprend qu’elle a quitté les lieux. Avisant une autre chaise longue près de celle de Lola, je m’y installe et, sans en avoir l’air, je jette un coup d’il sur cette poupée si différente de sa mère.

Lola, comme dit plus haut, est aussi blonde que sa mère est noire, elle a les cheveux longs, Ana les a courts, elle a une poitrine plutôt menue alors que sa mère arbore deux obus de beau calibre. La seule ressemblance se situe au niveau de la silhouette : elles sont toutes deux assez grandes, la taille fine et le fessier rebondi.

C’est alors que je termine ce premier tour d’horizon qu’elle m’adresse la parole :

Alors, Loïc, tu la trouves bonne, ma mère ?

Oh oui, je trouve cela très aimable de sa part de m’inviter à loger chez vous pour m’éviter de passer la nuit sous tente par temps d’orage.

Non, ce n’est pas de ça que je parle.

Ah bon, et de quoi parles-tu, alors ?

Je te demande si tu la trouves bonne … à consommer ?

Pardon ? Que veux-tu dire ?

Ne fais pas l’innocent, je sais bien que ma mère est une nymphomane et qu’elle croque tous les hommes qui passent à sa portée ! En plus, je vous ai vus à l’uvre et je dois dire que ça m’a passablement excitée.

Tu nous as vus … comment ça … je veux dire … tu as tout vu ?

Bien sûr. En rentrant du collège, j’ai voulu faire un peu de fitness et je me suis rendue à la salle de sports. Je suis entrée au moment où elle commençait à te sucer. Vous étiez tellement occupés que vous ne m’avez même pas remarquée.

Et tu nous as matés ?

Et comment ! Et en vous regardant, je me suis même follement branlée ! Ce n’est pas la première fois que je surprends ma mère en train de baiser, mais c’est la première fois qu’elle ramène un si bel étalon à la maison !

Elle se lève et s’approche de moi, un sourire éclairant son visage.

Et comme elle a commis l’imprudence de le laisser à ma portée, moi aussi je veux y goûter !

Comment ça, y goûter ? Tu ne veux quand même pas … ?

Si, je veux ! Je veux que tu me baises.

Mais, enfin, Lola tu es si jeune …

J’ai 18 ans, mais puisque tu me trouves si jeune, tu peux m’appeler Lolita !

… et ta mère m’a bien dit de ne pas te toucher, car tu es vierge !

Ça, c’est ce qu’elle croit ! Mais avec un exemple comme elle à la maison, tu penses bien que ça fait longtemps que ma virginité n’est plus qu’un souvenir. Mais j’en ai un peu marre de baiser à la sauvette avec des garçons du collège, marre de me faire prendre en levrette dans les toilettes par des petites quéquettes de gamin. J’ai vu le gourdin que tu trimbales et c’est ça que je veux maintenant. Et ne crains rien, tu peux y aller franco. Ma mère ne le sait pas, mais je prends la pilule depuis longtemps.

Mais je lui ai promis de rester sage avec toi !

Elle glisse alors ses mains derrière les bretelles de son maillot et les écarte, laissant apparaître deux jolis seins, ni trop petits, ni trop gros, entre les minuscules de Jane et les généreux de Carmen.

Regarde ce que j’ai pour toi. Ne me dis pas que ça ne te tente pas.

Bien sûr que si, ça me tente, mais ma promesse à ta mère …

Ecoute ! On s’en fout de ta promesse à ma mère. Décide-toi. Soit tu me baises et ça restera entre nous, soit tu refuses et j’appelle ma mère pour lui dire que tu as tenté de me violer ! Et là, je ne voudrais pas être à ta place !

Tu ferais ça ?

Bien sûr ! Je n’hésiterai pas une seconde. Par contre, si tu deviens raisonnable, je te promets que tu ne le regretteras pas.

Elle me prend par le poignet et m’oblige à me lever face à elle. S’emparant de mes deux mains, elle les pose sur ses seins et me tend ses lèvres. Je sens les pointes brûlantes s’ériger sous mes doigts et la tentation devient trop forte pour ne pas y succomber. Je pose donc mes lèvres sur les siennes pour sceller notre pacte et l’embrasse langoureusement.

Immédiatement, elle enroule sa langue autour de la mienne et se lance dans une véritable démonstration de ce qu’elle sait faire en matière de baiser. C’est à la fois naïf et passionné. Sa jeunesse et le manque d’expérience qui en découle se remarquent tout de suite, mais elle compense par sa fougue et son envie. Et le résultat, c’est que je m’enflamme comme de l’étoupe archi sèche.

Dès ce moment, je sais qu’il n’y aura plus de retour en arrière possible et que je vais me retrouver au lit avec une deuxième amante dans la même journée. Et qui plus est, la propre fille de la première ! Pas banal !

Pendant ce temps, l’orage s’approche et les premières gouttes d’eau tiède tombent sur nos épaules. S’arrachant de mes bras, elle remet son maillot en place, attrape au passage une grande serviette de bain qui traîne sur une chaise longue et m’entraîne vers la villa. Nous y pénétrons par le salon et continuons vers le hall d’entrée.

Lola passe devant moi et aborde un escalier à claires voies qui mène à l’étage. En la suivant, je profite d’une vue imprenable sur ses petites fesses rondes qui se dandinent alternativement à chaque marche. Ce spectacle réjouissant achève de me faire bander et, lorsque nous pénétrons dans sa chambre, c’est un vrai singe en rut qu’elle trouve en se tournant vers moi.

Et, comme c’est exactement ce qu’elle voulait, elle apporte la touche finale en ôtant son maillot d’un seul geste. J’ai beau être littéralement gavé de sexe depuis ces derniers jours, je suis ébloui par sa beauté. Je ne sais où regarder entre son joli visage encadré par sa longue chevelure blonde, sa poitrine ferme, son ventre plat, son pubis épilé qui laisse deviner le début de sa fente, ses hanches rondes et ses longues jambes fines.

Elle sait maintenant qu’elle me tient dans ses griffes et que je ne lui échapperai plus. Elle étend la serviette de bain sur son lit puis, avec l’impatience de sa jeunesse, elle se précipite sur moi et m’arrache mon short plus qu’elle ne me l’enlève. A la vue de mon membre distendu à l’extrême par le désir, elle ne peut résister à l’envie de le toucher et pose le bout de ses doigts sur mon gland.

Mon Dieu, comme il est gros ! J’avais vu que tu étais bien monté quand tu baisais ma mère, mais, maintenant que je l’ai en main, je me rends réellement compte. Je n’ai jamais eu un tel engin dans mon ventre et j’ai hâte d’essayer ! Mais fais quand même attention, je n’ai pas le sexe aussi entraîné que celui de ma mère.

Ne t’inquiète pas. Je n’ai jamais fait le moindre mal à une fille et je te promets de ne te donner que du plaisir.

Elle tombe à genoux, approche mon chibre dilaté de ses lèvres et enroule sa langue autour de mon gland. Puis, elle me suce doucement, me prend dans sa bouche et me caresse les testicules. Lorsqu’elle se met à me pomper avec ses mains, je l’accompagne par de légers coups de reins, sans brusquer, car je me rends compte qu’elle n’a pas encore l’habitude de prodiguer cette caresse. Elle ne l’a probablement jamais pratiquée et c’est en voyant sa mère me le faire cet après-midi qu’elle a eu envie d’y passer à son tour.

Selon ses dires, cette toute jeune fille n’est plus vierge, mais son expérience sexuelle doit être assez réduite, et il faudra que j’en tienne compte le moment venu. En attendant, je profite au maximum de cette douce fellation offerte avec un peu de maladresse, mais tellement d’enthousiasme.

Mais toute naïve et candide que soit sa caresse, elle finit par me faire un sérieux effet et il est temps que je l’interrompe avant qu’il ne soit trop tard. Je la prends donc par les coudes, la relève puis la serre contre moi pour un baiser torride. La saisissant sous les fesses, je la soulève comme un fétu de paille et l’emmène jusqu’au lit qui occupe tout un côté de la pièce. Encore une fois, il s’agit d’un lit double, mais quand même légèrement plus modeste que ceux de Carmen ou Ana !

Je dépose Lola en douceur sur le bord du matelas et me mets à mon tour à genoux face à elle. Je lui écarte les cuisses et découvre sa vulve étroite d’adolescente déjà bien humide. Ses petites lèvres toutes roses émergent de sa fente ouverte et présentent son clitoris frémissant comme sur un écrin. J’entame alors la conquête de son mont de Vénus en commençant par lui lécher l’intérieur des cuisses et en tournant autour de son intimité sans jamais la toucher.

Mes mains caressent son ventre délicat puis remontent le long de ses hanches et de ses flancs et atteignent son buste. Je les pose sur ses seins ce qui lui arrache un gémissement alors que je n’ai même pas encore commencé à lui prodiguer le cunnilingus que je m’apprête à lui offrir. Je les palpe avec douceur, m’attardant au niveau de ses tétons que je frôle du bout des doigts.

Ma langue court maintenant le long des plis de ses aines et sur ses grandes lèvres. Son pubis soigneusement épilé est doux comme du miel, sa fente exhale son parfum intime qui m’enivre, son vagin ruisselle de cyprine, je ne peux plus résister à cette merveille et je gobe son sexe comme une huître exquise.

Lola fait un véritable bond au moment où ma langue touche son clitoris pour la première fois et gémit de plus belle. D’elle-même, elle écarte ses jambes autant qu’elle le peut et pousse son ventre à la rencontre de chacun de mes coups de langue. Elle a mis ses mains sur ma tête et ses doigts fourragent dans mes cheveux. Elle balbutie des paroles incompréhensibles d’où émergent par moments des petits cris aigus. Elle n’a manifestement jamais connu cette sensation exquise et découvre avec éblouissement l’extase que procure une caresse buccale bien pratiquée.

Au moment où j’introduis un doigt dans son vagin, elle émet comme un râle sourd qui dure aussi longtemps que la pénétration se prolonge. J’en profite pour constater qu’effectivement, elle n’est plus vierge, ce qui ne change rien d’ailleurs, car, dans l’état où je me trouve, ce n’est plus une éventuelle virginité qui aurait encore pu m’arrêter ! Je constate aussi que, vu son jeune âge, son vagin est encore très étroit et que, comme elle l’a vertement affirmé elle-même, seules des quéquettes de gamins ont dû passer par là ! Tout avantage pour moi !

Je la doigte maintenant délicatement en continuant à la sucer. Elle coule en permanence et je me gave de sa cyprine que j’avale sans perdre une goutte. Lorsque je sens son ventre se crisper, je sais qu’elle n’est plus loin du vertige final et j’accélère le rythme de mes coups de langue sur son petit bouton sensible. L’effet est quasi immédiat et tout son corps est secoué de spasmes incontrôlables que j’entretiens avec délice. Elle halète, secoue la tête, crie à tue-tête et explose lorsque son premier orgasme l’envahit et la laisse comme anéantie. C’est ce qu’on appelle la petite mort et j’ai bien l’intention de la faire mourir encore quelques fois ce soir.

Car entre-temps, j’ai récupéré de sa fellation et je suis maintenant affamé de son corps. Je la prends donc doucement sous les aisselles et la pousse au milieu du lit. Puis je me couche sur elle et présente ma queue dure et brûlante entre ses jambes qu’elle écarte largement, comme pour me donner l’autorisation de la pénétrer. Elle passe sa main entre nos deux corps et dirige mon membre vers l’entrée de son vagin.

Vas-y doucement, car c’est la première fois que j’accueille une aussi grosse chose dans mon ventre.

Je pose mes lèvres sur les siennes pour l’empêcher de parler et je pousse lentement mon engin dans son fourreau serré. Je sens chaque millimètre de ma queue s’insinuer dans ses parois intimes et chaque mouvement me procure un massage sexuel extraordinaire. Elle est vraiment étroite, mais elle mouille tellement que mon sexe coulisse aisément dans le sien.

Elle a maintenant noué ses jambes autour de mes hanches et répond à chacun de mes coups de reins en poussant son pubis à la rencontre du mien. Je la baise donc un long moment dans la position du missionnaire puis, afin de profiter au maximum de son magnifique corps, je la prends en cuiller, par derrière, une de ses jambes relevée sur ma hanche. Cette position me permet de la pénétrer très profondément et de caresser ses seins pendant qu’elle-même s’astique le clitoris.

La sentant proche d’un deuxième orgasme et ne sachant pas si, vu son manque d’expérience, elle est susceptible d’en éprouver encore plusieurs autres, je décide de changer une dernière fois de position pour nous amener de concert à l’apothéose. Je me remets debout au bord du lit et la tire vers moi, puis je lui prends les hanches et les relève. La voici devant moi, le cul bien dressé, les jambes écartées, les épaules plaquées contre le matelas et je ne vois plus qu’une chose : son vagin palpitant qui m’implore de l’envahir.

Je m’y engouffre donc d’un seul coup jusqu’à la garde et la fouille profondément, mes couilles tapant son ventre à chaque assaut. Elle ahane en rythme et accueille chacun de mes coups de reins d’un petit râle.

Oh, oui … c’est trop bon … ne t’arrête surtout pas … vas-y à fond … fais-moi jouir…

J’arrive cependant à prolonger encore un peu cette étape qui précède l’extase en la ramonant vigoureusement. Mais elle, n’y tenant plus, glisse sa main entre ses jambes et provoque son orgasme en se frottant le clito. N’ayant plus aucune raison de me retenir, je laisse libre cours à mon propre plaisir et j’éclate au fond de sa chatte à grands jets de foutre qui inondent son vagin accueillant.

Lorsque je me retire, Lola est secouée de spasmes et son ventre se contracte, expulsant mon sperme qui coule hors de sa fente et retombe sur la serviette chiffonnée par nos ébats. Passant sa main entre ses cuisses, elle capte quelques gouttes au bout de ses doigts et les porte à sa bouche.

Puis elle retombe à plat ventre sur le lit, bras et jambes impudiquement écartés, et savoure tout ce qu’elle vient de découvrir.

Viens près de moi, que je sente encore ton corps contre le mien. C’était tellement bon, tout ce que tu m’as fait, rien à voir avec les jeunots du collège. Maintenant, je me sens vraiment femme !

Elle porte une nouvelle fois sa main à sa chatte et recueille encore un peu de mon jus. Elle lèche ses doigts puis m’embrasse en me faisant partager ma propre liqueur.

Je n’avais jamais goûté la saveur d’un homme, maintenant c’est fait, et j’aime ça !

Puis, nous nous assoupissons, enlacés l’un à l’autre.

Un violent coup de tonnerre nous réveille et Lola regarde le réveil posé sur la table de nuit.

Et merde, ma mère va bientôt rentrer et, si elle nous trouve au lit, ça va faire un drame. Rhabille-toi vite et sors de ma chambre, moi je vais rincer la serviette puis la remettre dehors. Avec la pluie qui tombe, ça aura l’air naturel.

Mais où dois-je aller ?

Quoi ? Elle ne t’a pas indiqué une chambre d’ami ?

Ben, non.

Alors, tu n’as qu’une solution, tu retournes à poil dans la sienne et tu l’attends au lit ! Bonne fin de soirée, mon chéri !!!

Et c’est ainsi que, lorsque Ana revient et entre dans sa chambre, elle a la bonne surprise de me retrouver tout nu dans ses plumes !

Quelle bonne surprise ! Je vois que tu as encore faim de moi ! Ça tombe bien, moi aussi !

Et c’est reparti pour un troisième round dans la même journée ! Je ne vous raconte pas cet épisode par le menu, au risque de vous lasser. Sachez seulement que, lorsque Ana se sent enfin repue, il est 3h du matin et j’ai encore la vigueur d’une vieille chaussette abandonnée au fond d’une manne à linge !

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