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Deux pour le prix d'un. – Chapitre 1

Deux pour le prix d'un. - Chapitre 1



Il devait être une ou deux heures du matin.

J’avais 16 ans à l’époque, quasiment 17. J’étais une jeune fille qui aimait faire la fête et bien s’entourer. J’avais beaucoup d’humour, de répartie, je savais me mettre en valeur physiquement et verbalement.

Brune aux yeux verts, peau claire et un corps qui en rendait bien d’autres jalouses, ce soir là j’avais simplement enfilé une petite robe noire moulante qui m’arrivait au dessus du genou. Mon sac à main, et rien d’autre, ni dessus ni dessous.

Comme d’habitude je me rendais dans mon bar préféré, je connaissais bien les serveurs et je savais qu’en m’y rendant j’avais beaucoup de chances de retrouver des têtes familières, mais pas ce soir.

J’étais donc seule au bar, en train de siroter mon premier verre de la soirée, quand deux hommes m’ont accostée.

Ils étaient très différents l’un de l’autre, à la Laurel et Hardy. Tous les dux devaient avoir dans les 35 ou 40 ans. L’un grand, ténébreux et très charmeur, l’autre petit, costaud, avec un petit rire de pervers.

Ils passèrent donc la soirée à mes côtés, à m’offrir des verres et à me draguer maladroitement. Je ne sais plus combien de vodkas et autres douceurs se sont succédées devant moi, mais je peux vous assurer que j’avais du mal à tenir debout.

J’avais passé une très bonne soirée en leur compagnie, et, mine ne rien, quand l’heure de la fermeture du bar pointait son nez, j’étais légèrement déçue.

"Vous avez une voiture ? Demandais-je.

— Oui oui, dans le parking derrière, pourquoi ?"

Je leur proposais donc d’aller fumer un joint dans leur véhicule, histoire de les "remercier" pour le nombre de verres offerts ce soir là. Surpris, ils acceptèrent et me menèrent à la voiture.

J’étais vraiment saoule, je rigolais pour un rien et n’avais pas vraiment conscience d’où nous étions. Mais je m’amusais bien.

Le petit homme enrobé monta a l’avant du véhicule, pendant que je m’installais à l’arrière aux côtés du bellâtre. Je commençais à rouler un joint, avec difficultés, et nous discutions en riant et en écoutant la radio. J’allumais le joint et le faisait tourner à mes amis du soir.

Au bout de quelques minutes, l’homme assis à côté de moi vint m’embrasser dans le cou. J’avais donc 16 ans à l’époque et lui la quarantaine, j’étais saoule, et j’adorais ça.

Il vint rapidement chercher ma poitrine sous ma robe et malaxer mes seins l’un après l’autre. Puis, il me poussa légèrement de manière à m’adosser au siège, et glissa sa main sous ma robe.

"Et bien alors, la petite coquine n’a pas mis de culotte..?"

Il enfila un doigt, puis deux, puis trois dans ma petite chatte déjà toute humide, et me doigta pendant plusieurs minutes de sa main droite, pendant que de la gauche il me tenait adossée au siège arrière.

Je tentais sans grand succès d’attraper son poignet pour qu’il cesse, tiraillée entre la honte dêtre là complètement saoule à la me faire tripoter par un inconnu qui aurait pu être mon père, et le plaisir que ce Monsieur faisait monter en moi.

Il continua quelques instants, puis s’arrêta net, se redressa et sorti son membre de son pantalon.

"Retourne toi salope.."

Je m’exécutais donc. Lui offrant mes fesses et ma petite chatte dégoulinante. En me retournant, je venais de voir que le petit homme à l’avant avait lui aussi sorti son sexe, et se branlait en me regardant d’un air pervers. Il respirait fort et transpirait à grosses goûtes.

L’homme à côté de moi m’attrapa par les épaules et vint frotter sa queue contre ma chatte, mon cul, mes cuisses, puis, d’un coup, il s’enfonça de tout son long en moi.

Je ne pu retenir un gémissement de douleur.

Excité par ce cri, il commença des vas et viens de plus en plus forts, de plus en plus brusques. J’avais l’impression d’être baisée par un animal sauvage. Il enfonçait ses doigts dans ma bouche, me claquait le cul, et n’arrêtait pas de murmurer des "salopes.. Sale chienne.."..

L’autre assis à l’avant venait me toucher la poitrine, tout en continuant de se branler salement. Il vint même effleurer mon petit cul. Il avait l’air dégueulasse.

Au bout de plusieurs minutes, l’homme en train de me sauter me fit me retourner, j’étais donc allongée sur la banquette, les jambes pliées sur moi.

"Ecarte tes cuisses, je veux voir ta chatte".

J’écartais pour lui dévoiler mon intimité, ouverte et trempée. L’homme assis à l’avant en profita pour venir me mettre ses gros doigts dedans.

Le bel homme assis en face de moi se branla au dessus de moi et finit par expulser tout son jus entre mes cuisses. Je dégoulinais de sperme. Mais ça n’était pas fini.

Le petit homme passa à l’arrière, et vint mettre sa grosse queue au dessus de mon visage.

Son ami qui avait déjà jouis était passé à l’avant et se roulait une cigarette. Il me dit :

"Tu devrais ouvrir grand la bouche ma belle, sinon il risque de t’en foutre partout, tu voudrais pas que ton maquillage coule.."

J’ouvrais donc en grand la bouche.

D’un coup, je recevais une énorme giclée de sperme au fond de la gorge, que j’avalais à grosse goulées.

Le second homme rejoint son ami à l’avant, la queue encore pendante hors de son jean.

Je me relevais, seule à l’arrière de la voiture, du foutre entre les jambes et plein la gorge.

"Merci petite dame, pour une fois que payer des coups à une nénette sert à quelque chose.."

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