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défi – Chapitre 1

défi - Chapitre 1



Je suis un homme célibataire de 34 ans qui habite la région parisienne. Brun, 1m80, sportif, je ne suis pas une gravure de mode mais je plais aux femmes. Je fantasme sur les femmes mariées, les mères de famille bcbg qui jouent les allumeuses mais jattrape néanmoins tout ce que je peux attraper et qui a une jupe et qui nest pas trop mal foutue. Je suis commercial dans une société de matériel pour usine et jai un excellent ami dans cette boite. François est commercial comme moi mais lui est un peu rond physiquement et marié mais ça ne lempêche pas daller voir ailleurs. On se raconte nos expériences avec les femmes quand on a la chance den lever une et on aime les reluquer en sirotant un verre sur la terrasse dun café.

Ça se passe en mai, lannée dernière. François vient me voir complètement furieux. Il essayait demballer une nana depuis un petit moment. Il y avait passé du temps: sorties en restos, boites. Et du pognon aussi apparemment. Elle avait toujours donné limpression de samuser, dêtre à priori accessible mais quand il avait essayé de lembrasser et de lui mettre une main sur un nichon, elle lavait envoyé chier gentiment en lui parlant comme à un simplet. Il na pas su gérer cette situation et sest barré tout de suite. Il ne supporte pas ça mais ne sait pas comment réagir et vient donc se confier à moi. Je sais que cette femme est une commerciale bcbg qui nous vend des produits mais rien dautre. François voulait tout me détailler dès quil se laurait faite.

On décide daller boire un verre pour parler de tout ça. On picole pas mal et je le ramène chez lui avec lexcuse dune fête suite à signature de contrat. Dans nos délires de soirée, jai lui promets même de régler le problème et de le venger au centuple. Et le lendemain, il me précise quil lui a donné rendez vous par lintermédiaire de ma boite mail pour quelle vienne proposer des produits pour un projet dusine chimique. Elle viendra la semaine prochaine

Jattends le jour du rendez-vous avec impatience. Est-ce que je ne me suis pas lancé dans nimporte quoi? Je la vois arriver dans le parking avec dix minutes en retard au volant dune berline allemande noire. Et dix minutes plus tard elle est dans mon bureau. Nous commençons à étudier le projet sitôt les salutations faites. Christelle (cest donc son prénom) est à lapproche de la quarantaine, blonde, cheveux mi-longs jusquau milieu des épaules, yeux marrons, pulpeuse dans son tailleur sombre, jupe droite et chemisier blanc. Un très léger décolleté avec vraiment juste la naissance du creux des seins mais, par contre, des boutons de chemisier soumis à une certaine pression par une poitrine de taille respectable. Elle aime apparemment se mettre en valeur. Je la détaille un peu plus en discutant. Dun abord aimable, un caractère têtu apparaît quand elle nhésite pas à marquer son désaccord sèchement malgré que je sois lacheteur et elle aime diriger la discussion. Bêcheuse sans être allumeuse, elle sait quelle est bandante et joue de son physique. Elle est de taille moyenne avec un postérieur rebondi. Souriante et jolie de visage, on peut apercevoir de profil la dentelle blanche de son soutien gorge par lentrebâillement entre les boutons de son chemisier. Une alliance à son annulaire gauche finit dattiser mon fantasme et mon désir de venger mon copain et de profiter delle. Je la raccompagne et lui promet de la recontacter.

Je vais voir immédiatement François. Je lavertis quil ny a pas de problème pour moi. Elle mérite bien un bon coup.

Après étude des devis du projet, je maperçois quelle est un peu plus chère quun autre fournisseur. Je la rappelle donc en lui précisant ce fait mais je rajoute tout de suite quil y a moyen de sarranger vu quun dîner en tête à tête avec son concurrent ne sera pas aussi agréable que dêtre invité par elle. Grosse allusion à son physique qui la fait rire et qui na pas lair de la gêner même si ça ne doit être que commercial.

Elle vient une semaine plus tard. La soirée se passe très bien. Nous discutons beaucoup dautres choses en dehors du boulot. Une indiscrétion de ma part lui permet de passer par la suite son offre juste moins cher que son concurrent. Elle me garantit quelle men reste redevable et me propose dautres produits sur ce projet et dautres dont elle a eu connaissance.

Plusieurs autres affaires se font de la même manière et nous nous voyons régulièrement pour le boulot ou comme ça pour discuter. Japprends quelle est donc mariée et mère de deux garçons. Elle habite dans le nord mais vient souvent sur Paris où se trouvent les locaux de sa société. Chacun paye sa part et elle minvite même plusieurs fois en repas daffaire. Nous devenons non pas amis mais de bonnes connaissances avec bises pour dire bonjour et tutoiement. A loccasion dune bonne affaire pour elle, elle minvite justement au resto. A la fin du repas plus quarrosé, je lui propose daller en boite. Ça a lair de la brancher et nous partons en boite où elle samuse comme une folle à danser pendant plusieurs heures. Ça a lair de bien lexciter aussi. Jen profite pour lui faire ingurgiter encore quelques verres. En la raccompagnant je prétexte un oubli de clés de ma maison au bureau. Je lui propose de venir les chercher avec moi pour ne pas rester seule dans la voiture dans la rue et dans lobscurité de la nuit. Elle se dépêche de me suivre

Elle se retrouve dans mon bureau à chercher devant moi. Elle est légèrement penchée pour regarder sous les bureaux car je fais semblant de ne pas retrouver ces fameuses clés. Jai une superbe vue sur sa croupe qui tend le tissu de son pantalon et son string qui apparaît en relief. Je ny tiens plus et je lui place les mains sur les fesses. Elle se retourne doucement et me demande en souriant et dune voix pâteuse ce que je fais.

« Un beau cul cest excitant mais il ny a pas que moi dexcité »

« Ah bon? Et je voudrais bien savoir qui dautre ici? »

Je la retourne et je lui écarte les pans de sa veste. Elle ne bouge pas quand je me mets à lui caresser les bouts de seins et ses tétons ne mettent pas longtemps à pointer à travers le tissu de son tee shirt. Je continue à la fixer dans les yeux et lui place la main entre les cuisses.

« Et je suis certain que là, cest trempé. »

Elle répond dun air provocant : « Quest-ce que ten sais? Tu me prends pour qui? Tu te fais un film je pense. »

« Il ny a quà vérifier »

Toujours en la regardant dans les yeux, je caresse son entrejambe doucement. Elle ne dit rien mais ouvre la bouche et respire un peu plus fort. Jenlève le bouton et descend lentement la braguette.

Elle réagit et me saisit la main : « Arrête maintenant. Cest bon. Je suis mariée et je ne joue pas à ça. »

Je ne réponds pas et lui place lautre main sur le tissu du string pour la caresser. Elle ne dit rien mais ses joues deviennent roses. Je tire un peu le string et je dégage doucement ma main pour glisser un doigt dans son sexe humide.

Elle se raidit et dit dun ton pincé : « faut vraiment pas tembêter! »

« Non. Tinquiète pas » Et je lui mets le doigt sur le clitoris et commence à le titiller.

Elle tourne la tête en disant dune petite voix : « Non non Ce nest pas bien Arrête Je suis mariéeJe ne veux pas.»

Je lui enfonce le doigt en gardant un contact avec le clito et jeffectue ensuite un mouvement de va et vient délicat. Elle arrête de parler et sa respiration devient plus forte. Je maintiens un contact léger et, au bout de quelques minutes, elle commence à carrément se frotter le bassin sur ma main.

Je baisse alors son pantalon qui tombe aux chevilles. Je baisse le string jusquau dessus des genoux .

Je me mets à genoux et je me trouve face à un petit triangle de poils courts et sombres (encore une fausse blonde ou qui croit encore à la blondeur de sa jeunesse !) surplombant des lèvres charnues et luisantes dhumidité. Je commence à faire jouer ma langue sur son clitoris. Au bout de quelques secondes elle place ses mains sur ma tête en poussant un ahh de satisfaction. Elle ondule maintenant du bassin pour se frotter le sexe sur ma bouche. Elle se pose le cul sur le bord du bureau et écarte les jambes en faisant glisser son string plus bas et en dégageant ses pieds du pantalon et du string.

Je recule un peu ma tête : « Tes toujours pas excitée là? Ça ne dérange plus pour ton mari? »

Elle me rapproche la tête de son entrecuisse dun air contrarié: « Tais-toi! Bouffe moi la chatte! »

Jen profite alors pour passer à lutilisation des doigts. Dabord un puis deux dans le vagin pour inspecter la lubrification. Jai limpression de les avoir dans de lhuile épaisse. Je réitère mais je change de trou et je lui glisse dans la rondelle. Elle se raidit au premier doigt mais reprend aussitôt ses ondulations et gémit de plus belle.

Je minstalle donc dans ses orifices: un doigt dans le cul et deux doigts dans la chatte en va et vient doux et la langue qui sattarde sur son clitoris. Elle a fermé les yeux et gémit sans discontinuer. Elle continue à tenir ma tête et à se frotter vigoureusement la chatte sur ma bouche.

La sentant sexciter de plus en plus, je décide de prendre le contrôle complet de la situation. Je bloque ma tête de façon à navoir quun contact intermittent avec son clitoris et ses lèvres. Je retire mes doigts pour bloquer ses cuisses avec mes mains pour lempêcher de se frotter. Je mamuse donc comme ça avec elle pendant un bon moment, lamenant doucement au bord de lorgasme plusieurs fois pour len écarter aussitôt. La pression de ses mains et de ses cuisses pour se frotter est de plus en plus forte.

Jécarte ma tête et je lui mets à la place un doigt dans la chatte. Elle est complètement en sueur. Elle a le visage rouge. Ses cheveux sont mouillés. Ses jambes et ses bras sont contractés par leffort. Réalisant que je me suis écarté, elle sarrête: « Quest-ce que tu fais? Continue! Viens! Bouffe la!» en essayant de rapprocher ma tête entre ses cuisses.

« Si cest ce que tu veux »

Je replace ma langue et mes doigts à ses deux orifices et son mouvement de bassin contre ma bouche reprend frénétiquement. J augmente doucement la cadence de mes va et vient. Il ne se passe pas longtemps avant quelle ne commence à dire: « Oui Oui » de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle mécrase le visage avec sa chatte pour finalement jouir avec quelques soubresauts en criant : « Oh mon dieu! Ouuuii! »

Elle reste crispée quelques instants puis se laisse glisser sur le dos pour se retrouver allongée sur le bureau. Elle reste là sans bouger en respirant fort.

Je me fous à poil puis je lui remonte le tee shirt au dessus des seins. Je la fais pivoter un peu pour pouvoir dégrafer le soutien gorge que je place également au dessus de ses seins. Elle reste amorphe, comme engourdie, en me regardant les yeux mi-clos. Jécarte ses jambes et je lui fourre la queue tranquillement dans la chatte. Je la lime pendant cinq minutes sans quelle nait de réaction. Ensuite elle commence à rebouger un peu.

Elle me regarde dans les yeux et me dit: « Cest pas la peine de tembêter. Je prends mon pied quune seule fois. » Soudain, ses yeux sagrandissent: « Retire toi! Retire toi! Ou met une capote, je ne prends pas la pilule. »

Je souris en la regardant dans les yeux et je lui remonte les jambes à la verticale en V. Je commence à lui pilonner la chatte énergiquement. Son souffle se fait plus rapide et plus fort. Au bout de quelques instants, elle bafouille : « Non. Une capote sil te plaît »

Je bascule alors ses jambes sur elle, lui plaçant ses genoux sur ses seins. Son bassin pivote laissant entrevoir sa rondelle offerte sous ma queue en action. Elle a lair étroite de la rondelle. Pas trop vite, ça viendra plus tard Elle me regarde avec de grands yeux tout rond et la bouche grande ouverte, essayant de respirer comme un poisson hors de leau.

Elle halète : « Ilaah faut quand mêmeaah mettre une capoteSil te plaît »

Droit dans les yeux je lui réponds : « Tinquiète. Je maîtrise. Je te promets que je ne lâcherai rien dans ta chatte. »

Pliée en deux avec toujours ses genoux sur ses seins et la chatte pilonnée énergiquement, elle ne répond rien en soutenant mon regard.

Au bout de quelques minutes elle me dit avec un petit rictus : « AahTespèreaah vraiment me faire jouir? »

Je ne réponds rien et je me retire delle. Je vais masseoir sur une chaise toujours en la regardant et je lappelle : « Viens te mettre sur ma queue tout de suite! »

Abasourdie, elle a un instant dhésitation. Je suis anxieux car cest le moment de vérité. Cest le premier ordre que je lui donne et tout le reste de notre relation est conditionné à sa réaction. Son hésitation dure un peu. Il faut que je la décide: « Alors? on a peur? Tu ne sais faire que ça? »

Aussitôt ses mâchoires se crispent et ses sourcils se froncent. Elle se redresse du bureau et vient sempaler sur ma queue directement. « Tu crois pouvoir me faire quelque chose avec ta pauvre petite queue? »

Ça y est. Elle est en colère. Elle a eu peur davoir lair conne et a cédé à la provocation. Son caractère têtu et sa volonté à tout vouloir contrôler lamènent à ne plus réfléchir. Maintenant elle se frotte la chatte sur mon bassin en ne pensant plus à rien à part me faire jouir. Oubliée la capote Elle sexcite de plus en plus au fur et à mesure de lintensité de ses frottements.

Je la taquine: « Cest pas mal mais tu ne sais pas mieux faire bouger ton cul? »

Elle a quelques mouvements désordonnés en tentant daméliorer ses mouvements.

Je la reprends en main en prenant ses fesses que je soulève et rabaisse en la faisant coulisser sur ma queue. Elle adopte vite le bon mouvement. Ça devient royal. Je la laisse faire le mouvement quelques minutes. Ensuite, je me lève et je me couche sur la moquette en gardant ma queue en elle. Elle fait mine de se mettre à genoux mais je la bloque pour quelle reste accroupie au dessus de moi, légèrement penchée en avant, ses mains se retenant de chaque côté de mon torse. Les positions « mère de famille » cest pour le lit conjugal. Avec moi la cochonne quelle est doit prendre des positions de porno. Apparemment, cest comme la position pliée en deux sur le dos, cest de la nouveauté pour elle. En sapplique tellement à vouloir me faire jouir quelle en a la mâchoire crispée. Concentrée, elle monte et descend son cul à une vitesse folle. Jen profite pour lui malaxer les seins énergiquement et lui sucer et croquer les tétons. Quelques minutes après, elle me regarde soudainement, comme surprise. Elle ferme ensuite les yeux en stoppant pratiquement ses mouvements de cul. Elle effectue encore deux, trois va et vient en poussant un râle rauque puis seffondre sur moi. Je mextirpe den dessous delle. Je la retourne et recommence à limer sa chatte. Peu de temps après je jouis et crache mon sperme finalement sur son ventre alors quelle est toujours étendue inerte sur la moquette.

Lentrée en matière sest bien passée mais notre intimité mérite dêtre élargie et elle den prendre plus

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