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Doux Rêve – Chapitre 1

Doux Rêve - Chapitre 1



8 heures du matin. Et toujours ce satané réveil qui m’enlève à mes rêves. J’ai toujours eu du mal à me lever, et ce matin ne déroge pas à la règle. Je passe une demi-heure à somnoler, à rêver et à m’étirer, puis je décide enfin de sortir de mon lit. Une petite douche, un p’tit déj vite avalé et direction l’Université. C’est déjà ma quatrième année à la Fac, je suis en Maîtrise de Droit, et j’ai 22 ans. J’aime beaucoup la vie d’étudiant, remplie de plaisirs et de libertés. J’angoisse déjà à l’idée d’avoir un travail, d’avoir des responsabilités, bref de rentrer dans la vie active et de voir mes plaisirs diminués. Enfin bon, je n’y suis pas, alors profitons du jour présent.

J’arrive donc à la Fac, où je retrouve deux de mes amis, Alexandra et Benoît. Ces deux-là sont toujours ensemble. Inséparables. Un vrai couple qui pourtant n’en est pas un. Je ne sais vraiment pas ce qu’ils attendent, je suis persuadé qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Et franchement je serais Benoît je n’hésiterais pas, Alexandra est vraiment très attirante. Brune, cheveux mi-longs, assez grande, très fine et en plus elle s’habille vraiment super bien. Mais bon, ça le regarde après tout, il est assez grand.

Après avoir un peu discuté, nous partons en cours, en amphithéâtre. Nous retrouvons d’autres amis, et beaucoup de connaissances. Mais mes pensées ne vont pas vers eux, mon esprit est occupé à autre chose. J’attends celle qui a foudroyé mon c?ur dès que je l’ai vue, celle qui me fait rêver et fantasmer. De loin, car je ne lui ai jamais parlé, je ne connais même pas son nom. Ma timidité m’empêche d’aller vers elle, j’ai trop peur qu’elle me repousse?

Là voilà qui arrive dans l’amphi? Ouah? Elle est? magnifique. Sa longue chevelure très brune cache un peu son visage mais son corps est vraiment très bien mis en évidence par ses vêtements. Elle doit mesurer 1 m 70, peser à peu près 58-59 kg. Elle a des fesses superbes, à en tomber à la renverse. Et sa poitrine est, elle aussi, très prometteuse. Je ne sais pas de quelle origine elle est, mais ce doit être un pays arabe, comme l’Algérie ou le Maroc. J’ai toujours eu un petit faible pour les trésors de l’Orient, et cette beauté en est un. Sa peau matte et ses yeux verts en amandes me font craquer? et me font oublier que je suis déjà pris. Oui, j’ai quelqu’un dans ma vie, mais je ne suis pas heureux avec elle. Aurélie (c’est son nom) manque de spontanéité, d’originalité, elle m’ennuie. Je sais c’est méchant de dire ça, mais c’est la vérité. Cela n’empêche pas que c’est une fille adorable.

— Bon, t’as fini de baver David (ça c’est mon nom )!! Tu attends quoi pour attaquer ? Me lance Alexandra.

— J’ose pas, je suis sûr qu’elle s’en moque de moi, lui dis-je. Et puis j’ai quelqu’un?

— Comment peux-tu savoir que tu ne l’intéresses pas ?Tu ne lui as même pas parlé ! Pour ce qui est d’Aurélie tu sais ce que j’en pense, tu devrais tout lui avouer.

— Je sais. Tu me l’as assez dit. De toute façon c’est comme ça que ça finira.

— Ecoute, tu es mignon, intelligent et drôle. Oublie Aurélie, et fonce !Crois-moi, tu plais aux filles, elle succombera.

Je reste sans voix. Jamais Alexandra ne m’avait dit ça. Ca me touche beaucoup. Je crois que ce n’est pas pour rien si c’est ma meilleure amie. Elle ne m’a toujours souhaité que du bonheur, m’a toujours soutenu et encouragé. Et ça je ne l’oublierai jamais.

Je ne sais pas si je suis vraiment comme elle le dit, mais en tout cas elle a raison sur un point : je n’ai rien à perdre, je dois tenter ma chance. C’est décidé, je surmonte ma peur et je parle à ce doux rêve à la fin du cours. En plus la fin de l’année approche, il est temps.

12 heures. Fin des cours. Je ne sens plus mes membres. Mon c?ur bat la chamade. Je décide d’attendre d’être sorti de l’amphithéâtre pour lui parler. Je n’y arrive pas, j’ai trop peur. Il ne me reste plus qu’à la suivre, ce que je fais jusqu’à ce qu’elle s’arrête à un arrêt de bus. Elle est seule. C’est le moment où jamais.

Je prends mon courage à deux mains et j’y vais.

— Salut. On est en cours ensemble je crois ?

— Possible, dit-elle.

Ce qui n’est pas du tout encourageant et m’angoisse encore plus.

— Euuh? Moi c’est David, et toi ?

-Pourquoi veux-tu savoir mon prénom ? En quoi cela t’intéresse ?

Tétanisé, j’arrive tout de même à répondre:

-Euuuuuh?Ben? On est en cours ensemble et comme je crois que l’on va prendre le même bus, je me disais que l’on pourrait peut-être sympathiser.

— Non. J’ai pas envie de te parler.

On ne pouvait pas faire plus catastrophique comme début. C’est vrai, j’ai jamais su m’y prendre pour draguer.

Mais je persiste:

— Je veux juste parler..

— Et de quoi veux-tu parler ! ?

Question piège, je n’avais pas réfléchi à ça.

— Euh?. De toi.

-Tu es un très mauvais dragueur.

— Je sais, merci. Je suis timide et maladroit, ça n’aide pas.

Pour la première fois elle esquisse un sourire (très petit).

— Comment t’appelles-tu déjà ? Me demande-t-elle.

— David, et toi?

— Naima.

Un corps magnifique et un prénom angélique. Je fonds?

Sentant la barrière se lever, j’en profite et commence à la bombarder de questions. Je n’en reviens pas, je lui parle !!! Elle est assise là, à côté de moi sur ce banc, et nous discutons jusqu’à l’arrivée du bus. Elle me raconte un peu sa vie, me parle de sa famille et de ses passions (la musique et la danse contemporaine). Peu à peu elle se détend et son visage change de façade. Ce n’est plus la fille froide du début, elle sourit désormais, et n’arrête plus de parler.

— Au fait, tu as une copine?

Un peu brutal comme question ! Mais encourageant !

— Non (je sais c’est pas bien). Et toi ?

— Oui, depuis un an, un algérien, comme moi !

Tout s’écroule. La bosse de mon pantalon qui prouvait mon excitation disparaît. Elle a quelqu’un. Je suis dégoûté, alors je décide de descendre au prochain arrêt. Je lui dis au revoir, en essayant de pas trop faire paraître mes émotions.

La soirée est difficile. A la fois déçu et heureux (de lui avoir parlé), je cherche le sommeil sans le trouver. Alors je fantasme? jusqu’à l’épuisement.

Le lendemain, à ma grande surprise, c’est elle qui vient vers moi et nous passons pas mal de temps ensemble. Au fur et à mesure des semaines, une amitié s’installe. Mais je veux plus. S’en doute-t-elle ?Je pense qu?oui, je l’ai quand même dragué !! Mais bon, c’est très ambigu, et je ne suis pas encore décidé à tout lui dire.

Un soir, elle m’invite à travailler avec elle, chez elle. Evidemment j’accepte. Rendez-vous à 21 heures à son appart.

Je décide de m’habiller un peu différemment pour y aller, un peu plus classe. Pantalon bleu, pull gris et boxer noir très moulant qui maintient bien mon sexe en place. Je sens qu’il va souffrir ce soir, et qu’il va se sentir très à l’étroit. Il n’est pas très gros, 17 centimètres en érection, mais je m’en contente et les filles aussi apparemment.

21 heures. Me voilà à l’entrée de l’immeuble où se trouve son appart. Je sonne à l’interphone.

— Allô !.

— C’est moi, David.

— Je t’ouvre. Vas-y entre. C’est l’appart n?69 au quatrième.

Après quelques efforts dans les escaliers je me retrouve devant sa porte. Je frappe et elle m’ouvre.

— Bienvenue David, entre.

Je ne lui ai même pas répondu. Sa tenue, son sourire et son visage maquillé m’ont assassiné. Elle est splendide. Elle porte un petit débardeur blanc, une jupe courte noire un peu fendue sur le côté et des bottes, noires elle aussi. Je suis terriblement excité, mais je me contiens.

Le début de la soirée est très studieux. Puis:

— Pffff? J’en ai marre de bosser ! J’en peux plus ! On fait une pause ? Dit-elle.

— Volontiers!

J’en profite pour lui poser une question pas du tout innocente:

— Il fait quoi ton copain ? Vous ne vivez pas ensemble ?

— Il est à l’étranger pour un mois et non nous ne vivons pas ensemble, je ne préfère pas. On peut changer de sujet s’il te plait ? Parlons de toi. Tu n’as toujours personne ? Même pas quelqu’un en vue ?

— Euh?non.

— Vraiment ?

— Oui !.

Elle est assise juste devant moi, sur son grand canapé jaune. Et je sens que quelque chose va se passer. Ces questions deviennent de plus en plus indiscrètes:

— Je ne t’ai jamais vu avec une fille, est-ce que tu es encore puceau ? Ne réponds pas si tu trouve ça indiscret.

— Non je ne le suis pas, même si mon expérience sexuelle est assez pauvre.

— D’accord. Tu as souvent des envies ?

— Oui, bien sûr, un peu comme tout le monde.

— Alors pourquoi tu ne fais rien ?

— Comment ça ?

— Arrêtons de tourner autour du pot plus longtemps David. Franchement, pourquoi m’as-tu dragué?

— Parce que tu me plaisais !

— Je te plaisais physiquement ?

— Oui. Et maintenant tu me plais entièrement.

— Merci. Tu me plais beaucoup toi aussi. Je pensais que tu le verrais.

Elle esquisse un immense sourire qui illumine son visage et se dirige vers sa chaîne pour mettre un peu de musique. C’est Oh No, de Mos Def et Nate Dogg, une chanson très sensuelle et très chaude.

— Je t’ai dit que la musique et la danse étaient mes deux passions. Lève toi et danse avec moi !

Je m’exécute et viens en face d’elle. Elle s’approche de moi et commence à onduler son corps contre le mien. Très vite mon sexe se raidit. Sentir sa poitrine contre mon torse m’excite terriblement. Je ne suis plus moi, je me laisse complètement enivrer. Son parfum exquis arrive jusqu’à mes narines. Nous sommes complètement collés l’un à l’autre. Ses mains parcourent mon dos puis descendent. Elle caresse mes fesses et me murmure à l’oreille:

— Tu sais que ces fesses me font fantasmer depuis le début ?

Je ne peux pas répondre, nos bouches engagent un fabuleux ballet, et nos langues n’en finissent plus de s’enlacer. Ce sont ensuite nos mains qui jouent. J’ôte son débardeur pour admirer sa poitrine. Encore plus belle que prévu. Ses seins sont fermes et bien ronds. Mes mains les malaxent, les palpent et sont bientôt remplacées par ma bouche qui entame un léchage appliqué de ces petits tétons. Elle commence à gémir. C’est à son tour d’ôter mon pull, puis mon tee-shirt. Elle part à la découverte de mon torse, plutôt musclé.

La musique donne le rythme de nos ébats. Elle danse superbement mais commence à ne plus être vraiment concentrée.

— J’ai toujours eu envie de toi, je te veux, pour moi toute seule, et pour toute la nuit ! Me dit-elle

Message entendu. Mes mains s’activent et remontent sa jupe. Je découvre la douceur de ses cuisses et j’aperçois son string, rouge et en dentelle. J’enlève cette jupe qui est de trop. Elle est là, devant moi, en string et en bottes. J’en ai tellement rêvé de ça, je savoure.

— Allonge-toi sur le canapé !

Je m’allonge, sur le ventre. Elle se met sur moi et commence à me masser. C’est une experte. Avec le bout de sa langue, elle descend du haut de ma nuque jusqu’au creux de mes reins en suivant ma colonne vertébrale. Un délice?

Elle passe ensuite ses mains sous mon ventre, défait mon pantalon et le baisse. Je suis toujours sur le ventre. Elle caresse mes fesses à travers mon boxer très moulant. Puis elle le baisse lui aussi. Ses mains massent mes fesses, remontent le long de mon dos et redescendent. L’un de ses doigts effectue un va-et-vient dans ma raie, effleurant mon anus.

Elle se lève, moi aussi. Je l’embrasse et ma main part à la rencontre de son string. Je passe ma main à l’intérieur. Son plaisir est palpable, elle est toute mouillée.

— Assieds-toi Naima, je vais m’occuper de ça !

A peine assise, je fais glisser son string et découvre son sexe épilé tout dégoulinant. Je caresse d’abord doucement ses deux lèvres, puis son clitoris. Je le malaxe, l’étire. Elle ferme les yeux.

Hmmmmm? Oouiii? Continue? Fais-moi jouir?

Un de mes doigts pénètre son orifice vaginal. Elle écarte de plus en plus des cuisses, me facilitant la tâche. Un deuxième doigt puis un troisième rejoignent le premier. Mon va-et-vient se fait de plus en plus rapide. Enfin, j’écarte délicatement ses deux lèvres pour faire pénétrer ma langue. Je la lèche profondément, du plus que je le puisse, et je n’oublie pas de caresses en même tps son clitoris. Ma petite étoile se perd dans un premier orgasme.

Elle reprend très vite ses esprits. Sa tête est à la hauteur de mon sexe. Elle baisse mon boxer complètement. Mon sexe est déjà bien raide mais elle termine de le durcir en me masturbant. Je m’attends à ce que ça bouche vienne terminer le travail mais il n’en est rien.

— Je suis désolé, je ne fais pas de fellation, je n’aime pas ça !

Je lui réponds que ce n’est pas grave, même si j’aurais bien aimé voir ces deux jolies lèvres s’occuper de mon membre.

Elle s’arrête de me masturber et restant à genoux, elle pose son buste sur le canapé, m’offrant une vue magnifique sur ses fesses parfaites.

Je ne suce pas mais tu peux me prendre où tu veux !! Prends-moi !! Prends-moi !! Me dit-elle

J’embrasse ses fesses et décide de m’attarder sur son deuxième orifice. Je pose un peu de salive sur mon doigt et humidifie son anus. Il est très petit et ne doit pas avoir déjà été emprunté. Je le pénètre lentement pour ne pas lui faire mal, puis avec deux doigts j’effectue un va et vient qui semble lui plaire. Je ne m’étais jamais occupé d’un anus et je me surprends à bien écarter ses deux fesses pour y faire entrer ma langue. Celle-ci en lèche méthodiquement les contours puis pénètre bien profondément.

Après cette agréable découverte, je prends mon sexe droit et fier et le fait pénétrer dans la chatte trempée de ma chérie. Il rentre très facilement. Je donne des coups de reins incessants. J’essaye d’aller le plus profondément possible.

Ouiii !!! Comme çaaa !!!! J’ai tellement envie de toi !! Continue !! !Ouuuiii !!!!

Elle éclate de plaisir, et moi aussi. Je jouis en elle et me vide complètement.

Je reprends mes esprits pendant qu’elle s’absente.

Je réalise ma chance et espère ne pas en rester là.

Elle revient, s’agenouille, et me présente son anus avec son doigt.

Je l’ai lavé consciencieusement, juste pour toi, fais-lui honneur. Défonce-moi?

La sodomie m’était, comme pour elle, inconnue.

Après m’être masturbé, mon sexe retrouve sa vigueur. Je le présente alors devant son anus et l’enfonce tout doucement. Elle crie, je sens qu’elle a mal, je stoppe.

Continue ! J’aime ça !! Enfonce-le !!

Elle crie de plus en plus fort, mais je continue. J’arrive à la pénétrer entièrement. Et de plus en plus fort. Le trou semble s’être agrandit un peu. C’est plus facile, je ne relâche pas mes efforts.

AAAAAhhhhhh !!! C’est trop booon !!! Ouiii !!!

Je sens la sentence arriver. Ellen est en train de jouir comme jamais, son sexe est inondé. Je retire mon sexe et déverse de longs jets de sperme sur ses fesses et son dos. Nous nous embrassons.

— C’était vraiment bon, me dit-elle.

— J’ai beaucoup aimé moi aussi, lui dis-je.

— Tu veux dormir ici ? Me demanda-t-elle.

— Oui, avec plaisir.

Elle m’emmène dans sa chambre et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Ce fut une nuit très douce et tendre passée dans ses bras.

Il est 10 heures, nous nous réveillons. Un petit baiser en guise de bonjour et quelques caresses.

— Tu sais, j’ai vraiment envie d’essayer avec toi, me dit-elle.

— Quoi donc ?

— Tu ne devines pas?

— Non, je?

Elle pose un doigt sur ma bouche pour me faire taire et pose sa main sur mon sexe. Elle me masturbe, lentement. Voilà un réveil agréable!!!

Je la vois approcher la bouche, tout en me présentant sa chatte toute fraîche au niveau du visage. Je sens sa bouche se poser sur mon gland. Elle embrasse mon sexe, de haut en bas. Elle entreprend de le décalotter. Pendant ce temps, mes mains, ma bouche et ma langue s’occupe de sa chatte, mais aussi de son anus. Tout est léché, caressé, pénétré.

Sa fellation est un bonheur. Pour une fille qui n’est pas experte !! C’est maintenant sa langue qui happe mon sexe tout entier. Elle le lèche comme une glace, et semble apprécier. Enfin elle l’engloutit entièrement dans sa bouche et me suce sans relâche. Sentant l’éjaculation proche, je lui propose de vite se retirer. Mais elle n’obéit pas, retire un peu mon pénis de sa bouche, et y accueille mon sperme. Elle avale tout, n’en perd pas une miette, et nettoie mon sexe avec sa langue.

Elle aussi est proche du plaisir. Un doigt dans son anus et un autre dans sa chatte toute mouillée finit de l’achever. Elle jouit dans un long râle, puis vient se blottir à nouveau contre moi.

-Je t’aime tant tu sais. J’aime tout chez toi. J’aimerai que ce soit sérieux entre nous, lui dis-je.

— Oooh, c’est adorable? Merci? Moi aussi je t’aime, depuis longtemps? J’attendais que tu me déclares ta flamme? Je t’aime mon ange?

Un peu de tendresse, ça fait pas de mal.

Tout est possible dans la vie, même les rêves.

Merci de m’avoir lu et n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires !!

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