Histoires gays Premières histoires de sexe

Drague avec mes fesses – Chapitre 17

Le colis surprise - Chapitre 1



Elodie aide Cathy à aller chercher la table et la rentrer dans le box de Cartouche.

Je vais expérimenter la saillie vaginale, tu veux bien m’aider Elodie ?

Bien sûr.

Elles entrent dans le box, la bite de Cartouche s’est allongée et pend de nouveau sous son ventre. Ce doit être l’odeur que dégagent trois filles en chaleur qui le maintient en forme, car sa bite touche presque le sol, je sais qu’en une seconde, elle peut être plaquée sous son ventre. Il y a une couverture sur la table, Cathy se couche dessus sur le dos, les jambes pendantes. Elodie fait venir Cartouche et le positionne au-dessus de Cathy. Elle ouvre ses jambes et enserre le ventre de Cartouche offrant son sexe grand ouvert à sa bite. Seuls le bas de son ventre et son sexe sont sous le cheval, la table est légèrement de travers, trop longue pour passer entre ses pattes. D’un seul coup la bite de Cartouche se tend et frotte son ventre, raide et bien droite. Elle me semble encore plus énorme. Elodie s’en empare, positionne bien ses mains et la dirige vers la chatte de sa cousine en maintenant ses mains à environ douze centimètres de son extrémité. Un coup de reins et le bout de sa bite disparait dans son vagin.

Oh la la, oui, oui, laisse-le aller plus loin.

Elodie ne l’écoute pas, elle sait que Cathy n’est plus dans un état normal, elle maintient ses mains au même endroit. Cartouche donne des coups de reins de plus en plus violents, j’ai l’impression qu’il ne se satisfait pas du peu d’amplitude que les mains d’Elodie lui laissent. J’ai même cru à un moment que ses mains allaient entrer elles aussi dans sa chatte tellement le coup de butoir était puissant. Comme pour nous, Cartouche se vide au bout de sept ou huit coups de reins et se retire. Cette fois, sa bite disparait presque entièrement, à priori, il en a marre. Elodie éloigne Cartouche de Cathy, son sexe reste ouvert, le sperme coule entre ses fesses, Sandrine se précipite et se jette sur cette fontaine de vie. Elle maintient les jambes de Cathy ouvertes en grand, boit, suce, lèche, remonte sur le clitoris et fait exploser Cathy dans un superbe orgasme. Quand elle se redresse, je vois que le sperme de Cartouche coule encore, je prends la place de Sandrine entre les cuisses grandes ouvertes de Cathy pour, moi aussi, me régaler de ce sperme. Comme elle, je suce, lèche, bois tout en titillant de temps en temps le clitoris tendu de Cathy. Comme avec Sandrine, elle part dans un nouvel orgasme. Sandrine me pousse un peu sur ma gauche.

C’est bien beau ça, mais on lui a préparé le fion, autant s’en servir.

Elle lui badigeonne la rondelle de graisse, met ses doigts en pointe et les présente sur sa rondelle.

Oui, vas-y.

Sandrine enfonce doucement sa main dans le fion de Cathy jusqu’à ce que son sphincter se referme sur son poignet. Je n’y tiens plus, mets mes doigts en pointe et les présente devant sa vulve.

Oui, là aussi, vas-y.

J’enfonce ma main qui ne rencontre aucune résistance, je m’enfonce jusqu’à sentir son utérus au fond du vagin, je ne vais pas plus loin. Je sens la main de Sandrine de l’autre côté de la paroi fine qui nous sépare. Je tourne ma main pour la présenter à plat vers elle, elle en fait de même et nous faisons glisser nos mains l’une sur l’autre.

Oh la la, oh la la, vous me faites tellement de bien.

Elodie se penche sur son bas ventre, je sens sa langue sur son clitoris proéminent, elle ne peut résister et explose dans un gigantesque orgasme. Sa tête va de gauche à droite, ses jambes se raidissent, son ventre se contracte, elle est secouée dans tout son corps. Doucement, elle se calme pour ne plus bouger, je la sens épuisée par un tel orgasme, je sors doucement de sa vulve en même temps que Sandrine de son fion. Je libère ses jambes qui pendent maintenant au bout de la table. Elle ne bouge pas pendant deux bonnes minutes, nous la regardons revenir à elle lentement avec ce sourire béat qui illumine son visage.

Merci les filles, merci pour ce merveilleux moment, mais je crois que pour vous, la saillie vaginale sera pour demain, je vois que Cartouche en a assez pour aujourd’hui, on rentre.

Nous rangeons la table dans un coin de l’étable, faisons une dernière caresse à Cartouche et retournons à la maison. Prise d’une envie folle, j’enlève mon blouson et mon corsage pour retourner nue à la maison, il n’y a que quelques dizaines de mètres à faire. Les filles me regardent étonnées, Sandrine vient vers moi pour me caresser sur tout le corps.

Super de caresser un corps froid, c’est une nouvelle sensation.

Elle m’imite et nous rejoignons la maison en marchant doucement. Le froid me pique, mais cette sensation me met dans un état bizarre, Sandrine passe son bras derrière ma taille et pose une main sur une de mes fesses.

Super des fesses froides qui bougent.

Je l’imite, en effet, sentir une fesse froide bouger sous sa main est une sensation très agréable. Nous arrivons à la maison, il fait presque nuit, Cathy et Elodie entrent se mettre au chaud, mais bizarrement, je ne suis pas si pressée de rentrer, je traine un peu dehors avec Sandrine qui a décidé de faire comme moi. A bout de quelques minutes, Cathy ouvre la porte.

Entrez les filles, vous êtes folles ou quoi, je ne veux pas être obligée de vous soigner, entrez !

Nous entrons, j’entends l’eau couler dans la salle de bain, c’est Elodie qui se douche, Cathy va la rejoindre. Je prends Sandrine par la main et l’allonge sur le divan, je m’allonge sur elle. Ce corps froid sous le mien me rend dingue, c’est pareil pour Sandrine qui promène ses mains partout sur mon corps. Elle réussit à me faire pivoter, je me retrouve la bouche juste au-dessus de son sexe, je me penche pour poser mes lèvres dessus. Elle fait la même chose avec mon sexe. Le pubis et les lèvres sont froids, contrastant avec le liquide qui en sort qui, en comparaison, me parait bouillant. Nous jouissons intensément en même temps. Elle se lève, me prend par la main et m’entraine dans la salle de bain. Nous croisons Cathy et Elodie qui en sortent. Evidemment, nous nous lavons mutuellement, et ça finit par deux magnifiques orgasmes. Après nous être séchées, nous retournons au salon.

Pendant ce temps, Cathy et Sandrine ont préparé le repas. Cathy nous offre l’apéritif, nous nous installons autour de la table basse du salon. Nous buvons un coup quand nous entendons un coup de klaxon.

Tu attends quelqu’un ?

Non.

Cathy se lève, va vers sa chambre pour enfiler un peignoir quand mon téléphone sonne, je décroche, c’est Carole.

Allo, où es-tu ?

Juste devant la maison de la cousine de Sandrine.

C’est toi qui as klaxonné ?

Oui, je peux entrer ?

Oui, mais nous sommes toutes en tenue de travail, il faut te mettre à l’unisson.

Ok, je comprends.

J’arrête Cathy au moment où elle va sortir pour voir qui c’est.

C’est mon amie Carole, entrouvre simplement la porte, tu peux enlever ton peignoir.

Elle ouvre à peine la porte et retourne vers sa chambre pour enlever son peignoir. La porte s’ouvre pour laisser entrer Carole complètement nue, elle se dirige vers moi avec un grand sourire, me fait lever, me prend dans ses bras et m’embrasse passionnément. Le baiser dure plus de deux minutes, ses mains parcourent lentement mon corps, explorant tout ce qui a leur portée. J’ai l’impression qu’elle ne peut pas se séparer de moi. Quand elle me libère, je vois des larmes sur son visage.

Tu ne peux pas savoir combien tu m’as manqué, deux jours sans toi, c’est l’enfer. Je t’aime Julie, je t’aime, j’ai trop de mal à vivre sans toi.

Je suis bouleversée par cette déclaration d’amour, c’est vrai que moi aussi je pense constamment à elle, que j’ai de plus en plus envie qu’elle fasse partie de ma vie. Je la regarde dans les yeux.

Moi aussi je crois que je t’aime.

Tu crois ?

J’en suis même sûre.

De nouveau, elle m’embrasse passionnément, mais le baiser est beaucoup plus court. Nos mains glissent sur le corps de l’aimée, les miennes s’attardent sur ses fesses. Cathy revient de la cuisine une bouteille de champagne à la main.

Une telle déclaration d’amour, ça se fête.

Je présente Carole à Cathy et nous nous installons dans le salon. Carole est à côté de moi, sa tête sur mon épaule.

Tu ne peux pas savoir ce qu’ont été ces deux jours sans toi, j’ai réalisé l’importance de mon amour pour toi, j’ai envie de partager ta vie, tu veux bien ?

Bien sûr, à partir de maintenant, tu t’installes chez moi, il y a assez de place.

Ne t’en fais pas, je ne suis pas possessive et je te laisserais vivre comme tu l’entends, simplement je veux partager ta vie, vivre avec toi, pour toi, en toi.

Et moi partager la tienne, mais tu ne devais pas revenir que demain ?

Oui, mais je me suis débrouillée pour partir plus tôt de la dernière réunion dans laquelle je n’intervenais pas, ce n’était pas ma spécialité.

Elodie nous regarde, je devine dans son regard une sincère joie de nous voir comme ça, mais aussi, elle réalise que nos rapports vont être un peu différents. Je lui souris, mais c’est Carole qui réagit la première, elle lui tend la main, lui demande de venir s’assoir à côté d’elle et se penche sur son oreille.

Bien sûr, rien ne change pour toi, tu restes tant que tu veux.

Tu sais, j’aime mon indépendance, je vais trouver un appart le plus vite possible, il n’empêche que je viendrais souvent vous voir.

Avec Hector bien sûr.

Avec Hector ça va sans dire.

…/…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire