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Dressage tardif – Chapitre 3

Dressage tardif - Chapitre 3



Il semble que mon histoire vous plaise aussi j’ai demandé à mon père de tout me raconter sans omettre aucun détails et je continue la substitution.

    Je regarde Virginie dans les yeux après lui avoir fait goûter mon sperme. Elle baisse honteusement la tête, je lui prends le menton et je la redresse.

    – C’est la première fois que tu bouffes du foutre salope ?

    – Oui, mais j’ai pas vraiment senti en fait.

    – Normal j’ai tout balancé dans ta gorge, en profondeur, tu as aimé que je te baise la gorge ?

    Elle me regarde en chien de faïence, je vois qu’elle n’ose pas parler et je lui dis que je veux la vérité.

    – En fait je n’ai pas trop aimé, tu m’as fait mal et tu as failli m’étouffer, j’ai eu peur.

    – Tant mieux, si ma pute aime que je je la traite comme une poupée gonflable ça m’excite moins.

    Je vois des petites larmes perler aux coins de ses yeux, mais j’estime qu’elle a accepté la situation et je n’ai plus de pitié. Je lui attrape méchamment un sein et lui pince le téton, elle crie. Quelques clients se retournent goguenards car ils ont compris que Virginie venait de me bouffer la queue. J’ai des idées qui me viennent mais ce sera pour plus tard, je dois y aller progressivement.

    – Je veux être sûr qu’on s’est bien compris, tu es à moi et tu es mon jouet sexuel, les seules limites sont celles de mon imagination, ok?

    – Oui, je veux être à toi, je ferai tout pour que tu m’aimes.

    Je rigole intérieurement car la seule chose qui m’intéresse c’est de l’utiliser jusqu’à ce qu’elle en ait marre, le fait qu’elle soit restée assez prude me permet de dresser une néophyte et j’ai bien l’intention d’en profiter, surtout qu’elle a su garder un corps d’ado assez androgyne très attirant.

    – Allez, dis-je en me levant, on va chez toi, et vite, j’ai envie de voir ce que tu peux encaisser.

    Elle a presque l’air terrorisé mais me suit néanmoins sans discuter, elle n’aime pas le traitement mais l’accepte, je ne connais rien de plus excitant. Nous prenons la direction de son appartement et je continue à la tester dans la rue, je la tiens contre moi, j’ai levé sa jupe et passé ma main dans son collant, mon doigt glisse dans sa culotte et entre ses fesses, puis je sens son oeillet palpiter sous le contact de mon majeur.

    Je force son petit trou avec mon doigt assez brusquement, elle me regarde crispée mais ne dit rien, je force encore pour lui rentrer deux doigts, elle ouvre la bouche mais se laisse faire, puis nous arrivons dans son immeuble et montons dans l’ascenseur.

    C’est un vieil appareil que l’on peut arrêter entre les étages, je fait ni une ni deux et appuie sur le bouton "stop". Sans rien dire je lui enlève ses bottes, puis je lui arrache son collant et sa culotte, mon sexe est redevenu bien dur, je lève une de ses jambes et la place sur mon épaule, elle se retrouve debout presque en grand écart, je la vois grimacer et je devine que la position est très incofortable pour elle.

    – Sors ma bite, prends la dans ta main et guide la vers ton cul sale pute. C’est ta première sodomie si j’ai bien compris.

    – Oui, mais tu es vraiment obligé de m’insulter?

    Elle s’apprête à dire autre chose mais mon gland qui entre lentement dans sa rondelle lui coupe la parole, elle fait un "oh" muet avec ses lèvres et je vois les larmes monter à ses yeux. C’est terriblement excitant et je décide de lui défoncer son petit trou pour lui faire le plus mal possible mais après 2 ou 3 cm ma queue ne veut pas aller plus loin. Je force mais rien à faire, son cul est fermé, puis j’ai une idée.

    – Tu vas pousser comme si tu voulais chier ou péter, ça va ouvrir ton anus, compris salope? Et je te parle comme j’en ai envie.

    Elle est debout dans le coin, une jambe en l’air comme une bonne chienne prête à se faire ouvrir, des larmes lui coulent sur les joues mais elle ne m’obéit pas moins et je sens qu’elle essaye d’ouvrir son cul, je sens sa rondelle s’écarter un peu et mon gland rentre en entier, elle pousse un petit cri et je sens son petit trou enserrer ma queue très fortement mais ça y est, je suis dedans, je pousse le plus fort possible et ma queue lui perfore son minuscule derrière très brutalement, elle pleure à chaude larmes maintenant mais elle a mes 20 cm au fond de son cul.

    – Ouiiiii, ça c’est du dépucelage de cul, tu sens ma bite sale putain?

    Elle me répond entre deux hoquets de douleur, je la vois qui souffre mais j’ai atteint le point où je n’ai plus qu’une envie, l’humilier le plus possible. Je retire mon sexe, elle grimace encore plus et je sens que la sortie est encore plus douloureuse que l’entrée, puis je commence à lui pistonner l’arrière-train, en entrant et sortant complètement à chaque coup. Elle pousse un petit cri à chaque percée de ma bite qui lui ouvre l’anus.

    Je lui ramone le fion sans aucune douceur pendant 15 mn puis quand je sens que je vais partir je l’attrape par le cou et la force à s’agenouiller.

    – Quand je te mets à genoux je veux que tu ouvres la bouche en grand et que tu te mettes les mains dans le dos, vite salope.

    Elle ne dit rien et se contente d’obéir, à peine la bouche ouverte je lui plante mon pieu palpitant bien au fond de la gorge et je lui tiens la tête, je sens mon gland glisser dans son conduit oesophagien et le serrer, je l’oblige à garder ma queue au fond et elle commence à râler, je sens la crème arriver, sors mon sexe de sa bouche et l’asperge en prenant soin de lui en mettre partout, elle a une bonne tête de pute à genoux et couverte de sperme.

    – Lave moi la bite sale pouffe, je veux pas voir une goutte de jus dessus.

    Elle me lèche la queue et la nettoie avec sa bouche consciensieusement. Je trouve incroyable qu’elle ne dise rien après les deux humiliations que je viens de lui faire subir et je comprends qu’elle ne veut vraiment plus vivre seule, rien que de comprendre ça ma vigueur revient dans sa bouche. Je lui serre la tête entre mes mains et je recommence à lui violer la gorge, car il n’y a pas d’autres mots.

    A ce moment quelqu’un tape sur une porte pour réclamer l’ascenseur, je lui dis de mettre ses affaires dans son sac et de porter ses bottes à la main, par un curieux hasard c’est son voisin de palier qui attend, il nous voit sortir, Virginie à moitié nue, les bottes à la main, le visage, les cheveux et les vêtements couverts de sperme et il n’est évidemment pas dupe et nous envoit un grand sourire.

    Nous entrons chez elle sous son regard insistant et salace.

    – Holala! Il a tout compris, il va tout raconter, mon dieu.

    – Et alors ? Je t’ai bien dit que tu allais devenir ma chose non ?

    – Oui, mais je croyais qu’on serait discret, maintenant ils vont tous me prendre pour une salope.

    – Et ça te pose un problème qu’ils te prennent pour ce que tu es ?

    Je vois qu’elle n’avait pas envisagé les choses sous cet angle, son monde a basculé tellement vite qu’elle ne sait pas trop comment réagir, mais ce sera pour une autre fois si vous voulez bien.

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