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En vacances avec ma cousine – Chapitre 1

En vacances avec ma cousine - Chapitre 1



Comme tous les étés, je passe mes vacances avec Maman dans la maison de famille en Provence. La maison est entourée d’un grand jardin où poussent des marguerites et des illets. Je consacre une partie de mes journées à l’entretien du jardin ; ensuite je me repose et s’il fait beau, je m’étends au soleil sur une chaise longue.

Je passe aussi beaucoup de temps à discuter avec Maman. Elle me raconte des petites anecdotes sur ses ami(e)s et ça me distrait.

Maman m’avait prévenue que ma cousine Annabelle devait venir passer quelques jours avec nous.  Elle a vingt ans comme moi ; on s’est perdues de vue depuis qu’Annabelle est partie faire ses études à l’étranger. Ce matin, Maman est allée la chercher à la gare ; elle lui a montré sa chambre à côté de la mienne. Maman l’a laissée s’installer en lui disant :

-Range tes affaires, ensuite tu pourras te mettre en bikini pour rejoindre ta cousine dans le jardin. Elle prend son bain de soleil quotidien !

Quand j’ai vu arriver Annabelle, j’ai été séduite d’emblée : elle est plutôt grande, sa chevelure blonde et ample met en valeur son doux visage ; sa taille est fine et sa poitrine de taille moyenne. A côté d’elle, je me sens plutôt petite et assez bouffie !

Je lui fait la bise avant de lui proposer de s’installer juste à côté de moi. Nous avons mille chose à nous dire, sur nos études ou sur nos souvenirs d’enfance.

Je suis réellement fascinée par la poitrine d’Annabelle. A tel point que je lui dis brusquement :

-Si on enlevait nos soutiens-gorge ! Ça éviterait d’avoir des marques de bronzage !

Elle semble hésiter… Mais je retire mon soutien-gorge, alors elle en fait de même. Ses seins nus sont d’une beauté à tomber par terre. J’ai vraiment envie de caresser ses tétons roses ! Alors il me vient une idée ; je lui fais cette proposition un peu saugrenue :

-Pourquoi ne pas prendre notre bain ensemble comme dans l’ancien temps ?

Annabelle paraît choquée, et elle ne répond pas. J’en rajoute un peu :

-On s’amuserait comme des gamines ! Ce serait fun !

Elle finit par accepter, plus par curiosité que par envie.

Le soir même, Maman fait couler un bain moussant dans la grande baignoire-sabot qui trône dans la salle de bain.

Quand j’arrive, Annabelle est déjà dans l’eau, immergée jusqu’au ventre. Abandonnant mon peignoir, je rentre à mon tour dans la baignoire en lui en montrant le moins possible.

Cette baignoire est vraiment très grande, on ne se touche pas et pourtant nos corps sont si proches…

On est toutes deux nues dans le bain mais à cause de la mousse, je ne vois rien en-dessous de sa poitrine. L’atmosphère est quasi-érotique et Annabelle se laisse aller à des confidences. Elle me raconte qu’elle a eu plusieurs aventures amoureuses avec des garçons. Elle rentre un peu trop dans les détails et ça me met mal à l’aise. Surtout que je ne sais pas quoi lui répondre… Pour tout dire, je ne suis pas encore prête à lui avouer que je préfère les femmes. Alors j’esquive en changeant de sujet.

Après quelques jours, le bain est devenu une habitude. Annabelle semble apprécier autant que moi ce rituel. Nous sommes si proches dans le bain que je ressens une forte attirance pour elle. Et je me dis qu’elle doit forcément ressentir quelque chose ! Je suis prête à parier là-dessus. Alors je me décide à tenter une approche tactile ! Si elle ne me repousse pas, c’est gagné !

D’un geste tendre, je lui passe la main sur le ventre, puis je remonte doucement vers ses seins. J’entends un soupir, ce qui me parait aller dans le bon sens. Je pince doucement ses tétons qui se raidissent au même instant.

Puis je m’allonge sur son corps, mes lèvres s’approchent des siennes ; elle ne me repousse pas, ce qui m’autorise à l’embrasser avec fougue !

Dans l’eau, nous sommes collées l’une à l’autre, je sens sa peau contre ma peau. Nous restons un long moment sans bouger dans une sorte d’extase.

En passant une main sous la couche de mousse, je cherche les cuisses d’Annabelle. En remontant, je tâtonne. Je pense avoir trouvé son point le plus sensible. J’effleure à peine et déjà elle réagit ! J’ai mis dans le mille ! Alors je continue à la titiller… Je sens qu’elle va jouir ! La réussite est totale ! Et ce n’est que notre première fois !

Je laisse Annabelle dans la baignoire et je regagne ma chambre. Mais dans la nuit, je pense toujours à elle. Je ne l’ai toujours pas vu nue ! Alors j’ouvre délicatement la porte de ma chambre et je me glisse dans le couloir jusqu’à la sienne. Annabelle est dénudée, allongée sur son lit, la couette repoussée. J’aperçois juste sa toison éclairée par un rai de lumière, dans une vision presque irréelle ; je regagne ma chambre encore ébahie.

Le lendemain, je ronge mon frein. Car Maman ne nous quitte pas d’une semelle : il n’y a pas moyen de tenter la moindre approche avant le soir.

Quand arrive l’heure du bain, Annabelle est allongée dans la baignoire, l’eau ne recouvre pas son corps. Je décide d’emblée de me coucher sur elle mais dans l’autre sens : la tête entre ses cuisses tandis que mon ventre est au niveau de son visage. Je commence à lécher doucement son petit bouton. A ma grande surprise, Annabelle en fait de même ! Malgré son peu d’expérience avec les femmes, elle s’y prend très bien pour me gamahucher. Moi qui rêvait d’un 69 depuis son arrivée, je ne suis pas déçue : la langue de ma cousine me stimule avec ardeur et elle me fait jouir fortement à plusieurs reprises ! Je savoure cette flopée d’orgasmes tout en lui faisant plaisir ! Nous jouissons en gémissant toutes deux de façon simultanée. Le temps est arrêté pour nous. Quelle soirée ! Je finis par regagner ma chambre, écroulée de fatigue !

Le lendemain, j’attends avec impatience le départ de Maman qui doit se rendre au village pour quelques emplettes.

Dès que Maman a le dos tourné, Annabelle enlève son bikini. J’en fais de même et je la poursuis en courant dans le jardin. Sa poitrine monte et descend au rythme de ses foulées et cette vision me fascine ! Mais elle me distance et je la perds de vue. Je marche à sa recherche dans le jardin. Soudain, je la retrouve : je suis surprise de la voir se soulager au-dessus de mes plates-bandes, debout jambes écartées !

 -J’arrose tes fleurs ! me dit-elle pour se justifier.

-Tu es pire qu’une gamine ! Tu mérite une petite correction !

Je m’assieds en tailleur dans l’herbe et Annabelle vient sans discuter se positionner sur mes genoux pour que je puisse la fesser sans peine !

Je commence par de petites tapes et j’augmente l’intensité jusqu’à qu’elle crie ! Ce sont des cris de plaisir ! Je tape de plus en fort et elle adore !

Annabelle est toute excitée par la fessée. Elle me supplie de faire quelque chose ! Je commence à la caresser mais il me vient une meilleur idée. J’ai un gode caché dans ma chambre et je l’apporte. Annabelle paraît surprise. Elle se masturbe sans doute quand elle est seule mais osera-t-elle le faire devant moi ? Je prends les devants : je commence à me goder devant elle. Puis je le lui prête et elle le fait elle aussi ! J’aime la voir se donner du plaisir toute seule sans qu’on se touche ! C’est tout aussi excitant !

Soudain je pense à Maman ! Et si elle revenait à l’improviste ! Elle aurait sans doute une attaque en nous voyant !

Heureusement, nous avons le temps de nous essuyer et de nous rhabiller : quand Maman revient, elle nous trouve bien sagement allongées sur nos chaises longues…

Le soir, nous prenons un bain comme d’habitude, les corps enlacés, l’une contre l’autre. C’est notre dernière nuit ensemble : nous décidons de la passer dans le même lit, et de nous caresser plus qu’à l’habitude.

En effet, dès le lendemain matin, Annabelle doit reprendre un train. Au réveil, dans un lyrisme effréné, nous parlons en alexandrins !

-Ma très chère Annabelle, tu vas bien me manquer

Avec toi j’ai goûté à bien des voluptés.

Je vais te regretter toi et ton corps parfait,

ton superbe fessier qui m’a fait fantasmer.

Je ne me lasse pas de regarder tes seins

mais ce que j’aime aussi c’est mater ton vagin !

Et là devant mes yeux ton petit berlingot

apparaît en relief, je le trouve si beau.

Dans ton intimité quand quelques doigts je rentre,

et quand je les remue, tu ressens dans ton antre

une forte jouissance et une volupté

qui vont rapidement doubler d’intensité.

-Oui, me dit Annabelle, avec aucun amant

je ne me suis sentie ainsi au firmament.

Hélas ! je dois partir, mais dans mon souvenir,

 je garde en bonne place ce délicieux plaisir.

Ah ! C’étaient là vraiment des orgasmes incroyables

comme ces quelques jours en tout point mémorables.

Tout cela me chamboule au tréfonds de mon âme.

Je crois que maintenant je préfère les femmes !

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