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Espionner ses parents – Chapitre 1

Espionner ses parents - Chapitre 1



Je devais avoir 18 ans la première fois que j’ai pu éprouver le divin plaisir d’entendre les ébats de mes parents. A l’époque, bien sûr, j’avais déjà épié pendant de longs moments ma mère qui se changeait dans sa chambre, à son insu bien sûr. Sa longue chevelure rousse tombait sur son dos blanc, et jusqu’aux pointes de ses gros seins (95D) un peu tombants. Je l’admirais, retirer sa serviette après sa douche, et choisir quels dessous elle allait mettre. Bien souvent, à ce moment-là, j’avais déjà une érection du diable, et je commençais à me toucher alors qu’elle faisait glisser le bout de tissu le long de ses jambes, pour venir recouvrir sa toison fournie, et ses fesses blanches et bien rondes. Comme vous vous en doutez, il m’est arrivé de nombreuses fois de jouir en reniflant ses odeurs intimes au fond de ses culottes.

Cette nuit-là donc, j’étais monté me coucher tôt, et était en train de lire, quand j’ai entendu mes parents aller se coucher à leur tour, puis le bruit de l’interrupteur qui me signifiait qu’ils venaient d’éteindre leur chambre. Je n’y prêtais que peu d’attention, pris par ma lecture.

Au bout de quelques minutes, j’ai entendu des respirations fortes, et lointaines. Je me suis alors demandé ce qu’il pouvait se passer, me rapprochant quand même sans bruit de la porte entrouverte de ma chambre. C’est là que pour la première fois je les ai entendus, les gémissements de ma mère. Ce n’étaient pas des cris aigus, comme on le voit dans les films pornos, seulement des respirations très fortes, et saccadées. J’ai immédiatement eu des bouffées de chaleur, mon cur s’est emballé, j’ai eu du mal à respirer. Ce n’est que lorsque j’ai entendu les premiers claquements, que j’ai attrapé mon sexe en imaginant ma mère, cuisses ouvertes, avec mon père, bien enfoncé en elle et qui lui dévorait ses si jolis seins.

Les claquements gagnant en intensité, j’ai compris que le rythme s’accélérait, et ma mère devait le ressentir pleinement puisque ses réactions devenaient plus audibles, de légers gémissements, qui finirent vite dans un orgasme fou, alors qu’elle chuchotait à l’oreille de mon père "Oh oui, continue, ne t’arrête pas s’il te plaît, je vais jouir, oui vas-y…!".

Même si je n’avais ma queue en main que depuis quelques minutes, en entendant cet orgasme fulgurant, je n’ai pu retenir le mien et j’ai arrosé de sperme le sol de ma chambre, sans pour autant que l’excitation ne redescende. Les coups de boutoir n’ont pas cessé, et j’ai repris ma masturbation. Puis, quelques minutes plus tard, mon père annonça à ma mère qu’il allait jouir à son tour, elle a alors recommencé à gémir, alors que j’entendais les claquements gagner en volume. Il devait taper fort contre sa chatte, bien aller buter au fond, et profiter de l’océan de cyprine qui devait s’y trouver après le premier orgasme. Je l’ai entendu se vider dans un grand râle, alors que je jouissais moi aussi pour la deuxième fois.

Après ce nouvel orgasme, plus un bruit, puis j’ai entendu des pas dans le couloir, alors je me suis reculé, dans ma chambre. Mon père est allé jeter quelque chose à la salle de bain. Je me suis alors dit que j’irai fouiller de ce côté le lendemain.

Par chance, cet événement est arrivé un dimanche soir, alors que j’étais en vacances le lundi. Je me suis réveillé assez tôt, et ai attendu que la maison se vide. Une fois mes deux parents partis, j’ai pu me diriger vers leur chambre, où le lit était défait, et j’ai trouvé à son pied des mouchoirs froissés et mis en boule. Je n’ai pu résister à la tentation d’en prendre un et de l’ouvrir, pour découvrir qu’il était très humide. Je l’ai porté à mon nez, et le constat était sans appel, il était plein de sperme. De l’autre côté du lit, un autre mouchoir humide lui aussi, mais avec une odeur plus salée, celui-ci était couvert de cyprine. J’avais déjà senti ce parfum en reniflant les culottes de maman, encore chaudes, qu’elle quittait dans sa chambre avant d’aller à la douche.

A ce moment-là, le boxer que j’avais enfilé pour dormir était déjà tendu à l’extrême. Et je me suis enfin rappelé que j’avais entendu du bruit à la salle de bain. Je suis donc allé voir, j’ai fouillé les placards, avant d’ouvrir la poubelle. Et là, surprise ! Un préservatif était posé sur le dessus de la poubelle. L’excitation monte encore d’un cran, mon sexe me fait mal. Je m’en saisis et le regarde de près, il était plein à ras bord, et l’extérieur suintait également. Je mourais d’envie de connaître le goût de la cyprine fraîche de ma mère, du jus de son plaisir. Je l’ai alors tenu par la base, et l’ai plongé dans ma bouche pour le lécher et le sucer. Je réalisais que ce bout de plastique avait été porté par mon père sur son sexe tendu, pour s’introduire et jouir dans la chatte de ma mère qu’il a fait jouir elle aussi. J’ai alors décidé de l’enfiler, une chance qu’ils ne l’aient pas fermée par un nud.

Le sperme n’était plus très chaud, mais sentir ma queue glisser à l’intérieur de ce conduit lubrifié par la semence de mon père était délicieux. Je bandais comme un animal sauvage qui cherchait une femelle à saillir. C’est ainsi naturellement que j’ai commencé à me masturber, en faisant coulisser mon gland dans cet océan de sperme paternel. Comme vous vous en doutez, j’ai joui rapidement, pour doubler le volume de sperme, et j’ai reposé la capote là où elle était. Je savais que ce désir n’était pas sain, mais putain qu’est-ce que c’était bon !!!

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Je vous expliquerai dans mes prochains textes, si le cur vous en dit, comment cela a évolué, car j’ai commencé à fouiller leurs affaires, et à faire des découvertes très sympathiques (préservatifs usagés, culottes, bodies en dentelle…..)

A bientôt !

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