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Eux – Chapitre 1

Eux - Chapitre 1



Comme raconté sur le site (le fils de Jean), mon fils a été l’amant de ma femme avant de commettre une erreur qui lui a coûté cher ; par vengeance nous avons fait de sa femme notre maîtresse et elle est toujours celle de ma moitié pour jeux entre femmes.

Couple reconstitué, nous avons chacun des enfants ; pour elle, ce sont deux fils ; mais surtout un est proche de nous. Si Florian m’a posé beaucoup de problèmes au début, car il ne supportait pas voir sa mère avec un autre homme (elle est veuve) par la suite nos rapports se sont améliorés, et il est beaucoup plus causant avec moi, et ce quel que soit le sujet. Il vit avec une jeune Marocaine, dans les forces de l’ordre.

Nous avons fait l’acquisition d’un jacuzzi et alors que les femmes étaient parties faire les soldes, je lui ai proposé d’en profiter, lui précisant qu’en principe, nous le prenions nus ; cela n’a pas eu l’air de le gêner et l’instant d’après il était dans l’eau, ce qui m’a permis de voir qu’il était bien membré, bien qu’au repos. Alors que nous conversions du mariage de son frère, je lui ai dit que la photo avec sa petite femme était superbe, mais par contre la robe un peu transparente laissait deviner quelques trésors, ce qui la fait sourire et me regardant fixement « j’en déduis que vous avez fantasmé sur elle, et bien sûr, tous les deux » je dois reconnaître que sa réplique m’a surpris, surtout ’le tous les deux’’

« Pourquoi dis-tu cela ? »

« Tout simplement que je sais que vous aimez le libertinage et que les trésors cachés de Lindsay ont dû vous faire envies »

Très surpris, il me restait à savoir comment il le savait. Sans aucune gêne, il m’a avoué, qu’alors qu’il était encore à la maison, il avait surpris une conversation de sa mère avec un homme et les propos étant suffisamment clairs pour le comprendre, il avait le choix entre un amant pour elle, ou une relation avec un homme, avec mon accord et par le suite,, il avait compris que nous étions tous les deux concernés.

J’avoue que sur le moment, je n’ai pas su répondre, mais puisqu’il semblait à l’aise c’est à mon tour de le questionner

« Et cela te choque ? »

« Pas du tout maintenant ; peut-être un peu au début, mais vous voyant heureux tous les deux, c’était le principal »

Un long silence, puis à nouveau, il me questionne (et cette fois, il me tutoie, c’est la première fois)

« Qu’est que cela te fait de savoir maman avec un autre homme, et en fais-tu autant avec une autre femme ? » il m’a fallu alors lui expliquer que nous étions tous les deux candaulistes et que nous aimions nous voir, aussi bien l’un que l’autre dans les bras d’un homme ou d’une femme et au risque que de le choquer, nous étions tous les deux bi » il n’a pas bronché à mon aveu, puis un peu plus tard, c’est lui qui m’a avoué qu’il aimerait bien pouvoir en faire autant, mais que Lindsay ne serait sans doute pas d’accord. Lui expliquant que le mieux était d’en parler sincèrement et qu’ensuite il pourrait aviser selon ses réponses.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour voir qu’il bandait : « dis donc cela te fait de l’effet, rassure toi, c’est pareil pour moi ; » je décidais d’enfoncer le clou « et tu lui en as parlé ? « oui une fois en regardant un film X où un homme offrait sa femme, avant de se livrer devant elle à une relation avec l’amant ; je dois reconnaître qu’ensuite elle était très excitée »

— Parce que la femme s’était offerte ou parce que l’homme lui aussi ?

— Je ne sais pas exactement, mais elle était bien mouillée ensuite

— Et toi ?

— Il hésite ;

— Très excité par le fait qu’il offre sa femme, ce que j’ai envie, mais aussi par la relation entre les deux hommes ; c’était la première fois que je le voyais et même en film, cela m’a fait bander

— Je suis surpris de sa sincérité ;

— Et tu aimerais qu’un homme te touche devant ta femme qui vient de se faire prendre ?

— « Je ne sais pas, mais cela ne me choque pas, et sincèrement je pense que oui

— Il a posé sa main discrètement, sur son sexe bandé, se caressant la tige. Au risque de prendre un râteau, doucement j’en fais autant et ma deuxième main part à la rencontre de son mandrin. A ce contact, il ne bronche pas et même retire sa main pour me laisser le champ libre. Afin de ne pas le brusquer, je le caresse doucement, puis je commence à le branler

— Tu aimes ?

— Silence

— Dis-le-moi, sinon j’arrête

— Il appuie sa main sur la mienne,

— Non continue, cela me fait un peu peur, mais j’en ai envie

— Alors que ma main s’active sur sa tige, sa respiration s’accélère, lui prenant la main je la pose sur la mienne elle aussi bandée ; il me regarde puis sa main commence à me branler. ; il est assez maladroit mais je l’encourage

— Humm c’est bon et toi, tu aimes « un signe de tête en assentiment. Je le fais se relever et le regardant ma bouche se pose sur le sexe, que je constate de belle facture, sans doute 20 à 22 centimètres pour au moins 6 centimètres d’épais. Ma langue lui titille le méat, avant de l’avaler le plus possible ; je le suce avec douceur, alors que les premiers gémissements sortent de sa bouche ; ma bouche le branle, se retire pour mieux le gober un peu plus ; je le sens grossir, je sais qu’il va jouir et il essaie de se retire, mais je le maintiens collé à ma bouche et son corps se tend, pour me déverser sa semence, fournie, sucrée, et il me faut beaucoup d’effort pour tout avaler. Quand sa source se tarit, il se retire, un peu affolé, autant de ce qu’il vient de faire que de sa jouissance. Voulant le soumettre un peu, je me redresse et les lèvres encore pleine de sécrétion, je l’embrasse, ma langue forçant le passage entre ses lèvres ; d’abord rétif, il se détend et entrouvrant ses lèvres, il me rend le baiser, signe de sa soumission.

— Nous replongeant dans le bain, je le questionne « si je te dis que j’ai envie de toi, de te posséder, de te faire jouir, comme deux hommes le font, es ce que cela tente ; j’aime faire l’amour à un homme et tu me plaîs, jusqu’à avoir envie de faire de toi un jeune amant

— Je sais que je risque gros, mais il ne bronche pas, je reprends « as-tu envie que je te possède, sans réserve « c’est un timide oui qui sort de ses lèvres. Malheureusement nos femmes risquent de rentrer et le caressant, je reprends notre conversation.

— « Tu aimerais que ta femme te fasse cocu, avec ton accord, bien sûr, comme ta mère le fait avec moi. J’aime la voir se faire prendre, et même la savoir avec un homme sans moi, parfois avec le téléphone branché, me permettant de l’entendre jouir ; pour Lindsay tu es son premier homme ou elle a déjà eu une aventure avant toi ? Sans aucune hésitation, il me confie qu’elle a eu une aventure, au tout début de leur relation, mais que c’est lui qui l’avait dépucelée.

— « Le plus simple, pour toi, si tu le veux vraiment, c’est de lui en parler, même si tu ne lui avoues pas la réalité de cet après-midi, au moins dis-lui ton fantasme de la voir avec un autre homme devant toi ; tu verras bien sa réaction ; sa relation avec cet homme a-t-elle été longue ? Elle t’a excité ou révolté ?

— « Elle a eu cette relation pendant son stage de formation, elle me l’a simplement avoué, simple soir à priori, mais je pense qu’elle ne dit pas toute la vérité ; par contre, au début cela m’a révolté, pas par jalousie, mais par son manque de fidélité, puis ensuite, je me suis rappelé vos relations libertines et j’avoue que je me suis plusieurs fois masturbé en pensant à elle avec son amant, d’où mon fantasme actuel

— « Elle est au courant de nos jeux ?

— « Je lui ai simplement dit que je vous pensais libertins, et cela n’a pas eu l’air de la choquer

« La balle est dans ton camp et c’est en discutant que tu le sauras «

L’arrivée de Nini et de Lindsay a mis un terme à notre discussion ; le soir, alors que nous étions seuls, j’en ai parlé à Nini ; dans leur chambre, eux aussi avaient entrepris une conversation, mais nous ne pouvions la comprendre ; en revanche, la suite a été assez bruyante ; tout comme nous, ils ont joué les prolongations.

A suivre

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