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Eva, ma cousine – Chapitre 1

Eva, ma cousine - Chapitre 1



Je me réveille au lever du soleil quand les premiers rayons tapent sur nous. Je suis encore pied à la tête. Je peux voir toute sa chatte ouverte encore après le cunnilingus. Reste à ses cotés le gode quelle a pris dans le cul. Eva dort comme un bébé.

Cest vrai que notre nuit a été agitée. Jamais nous naurions pensé ou imaginé nous trouver dans le même lit. Daccord javais pas mal de fantasme sur elle, puisquil marrivait souvent de me branler en pensant à elle, à ses seins et son bas ventre. Cette nuit elle ma avoué quelle aussi pensait à moi quand elle se faisait du bien: elle nous voyait comme nous sommes maintenant.

Hier au soir, après une de nos disputes habituelles nous sommes parties pour nous coucher. Jallais prendre une douche pour me caresser avec le jet deau, juste avant de dormir comme un bébé. Evidemment la douche est occupée. Qui loccupe: Eva, ma cousine batailleuse. Que fait elle: ce que je voulais faire: elle aussi se branle. Tant pis, elle me plaît, elle laura voulu. Je passe derrière elle pour lui prendre les seins. Après un sursaut normal, elle se retourne pour me dire simplement

— Ha, cest toi?

— Oui je vais te baiser.

— Pas ici, nous serons mieux dans un lit.

Nous voilà parties. Je suis étonnée de savoir quelle accepte de faire lamour avec moi. Rien ni de sa part ni de la mienne ne le laissait prévoir.

Nous nous embrassons: cest elle qui entre sa langue dans ma bouche. Elle encore qui caresse mon dos, se colle à moi seins contre seins, ventre à ventre. Je la laisse faire quand elle passe deux doigts entre mes fesses. Ils vont directement, sans prévenir vers le rectum. Elle le caresse de telle façon quelle me fait jouir. Je crois que cest la première fois que je jouis ainsi venant dune autre fille.

Daccord jaime autant les filles que les hommes. Pour moi rien ne vaut une bite dans la chatte. Quoiquune langue de fille ne me fasse pas peur, au contraire.

Ce soir jai droit à une fille qui semble bien sy connaître. Je vais en profiter le plus possible.

Nous nous couchons. Nous narrêtons pas de nous embrasser, cest si bon.

Cest sans doute à mon tour dagir: elle va voir que je sais comment faire avec une autre. Jarrive à passer ma main entre nous pour aller la loger sur sa moule. Je la prend totalement dans ma main: je choisis moi-même lendroit où je vais la promener. Je choisis comme elle son anus. Je le caresse lentement et sans la prévenir je le rentre dans son cul. Elle se cabre pendant que je suis en elle, que mon doigt fasse des allers et retours.

Jentends des gémissement et des murmures: oui, cest bon, encore. Il faudrait être sourd pour ne pas entendre son « je JOUIIIIS« .

Jétais bien avec mon doigt dans son ventre. Il faut que jaille ailleurs: je vais sur le clitoris. Là encore elle jouit. Décidément elle se laisse aller facilement. Je ne sais si cest parce que je suis une fille ou si cest son tempérament. Il me semble que je ne jouis jamais comme elle. Je peux le vérifier maintenant quelle décide de me branler. Elle commence par le clitoris: je lève la tête pour la voir me masturber: cest excitant, trop sans doute, je jouis trop vite à mon goût. Elle entre deux doigts directement dans le vagin, mon puit des plaisirs, là doù je sors mes orgasmes. Elle fais aller et venir ses doigts dans la moule. Je ne résiste pas longtemps. Dieu quelle me fait jouir. Comment fait elle?

Je nai pas le temps dy réfléchir: elle se tourne complètement, jai affaire à sa langue et quelle langue agile: elle passe partout sur et dans ma chatte: cest très excitant de savoir que je suis fouillée par sa langue aidée de ses lèvres. Je dois lui mettre plein de cyprine. Si je sens ses lèvres sur mon clitoris, je suis incapable de savoir à quel moment elle se sert de sa langue: le résultat est là, je menvole la haut dans les nuages dEros. Je trouve même que cest aussi bon quune bite.

Elle ne va pas me convertir pour devenir ce quelle est, une lesbienne.

Me voilà maintenant son sexe près de ma bouche. Ce nest pas le premier, cest le seul que je trouve goûteux au point de la lécher par gourmandise. Nous sommes bien ainsi en 69. Je peux lui prendre le deux fesses: en les écartant jai une vue totale sur son anus qui me semble fragile: jy met un seul doigt pour lenculer. Ce nest pas suffisant, il lui en faut plus: elle sort de sa table de nuit un gode rose, pas très gros en tout cas bien utile pour femmes seules. Elle me le donne: je nai pas besoin dexplication compliquée, je mouille cet engin et le colle sur lanus devant mes yeux: quelle impressions de devenir sa maîtresse en voyant entrer lentement cet outil du plaisir.

Le plus excitant est de voir son cul avoir des spasmes avec le gode en lui.

Il faut quelle me rende la politesse: je suis sodomisée à mon tour. Jaime bien me faire mettre par derrière, jaurais préféré par le vagin. Je jouis et dès ce moment elle me baise avec le gode dans la vasque réservée. Nous nous suçons encore une dernière fois quand la fatigue aidant nous nous endormons.

Jespère que nous pourrons continuer longtemps ensemble. Le plus triste est quelle naime pas les hommes. Elle ne sait pas ce quelle manque: une bonne bite dans le con.

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