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Evolutions – Chapitre 14

Evolutions - Chapitre 14



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 14 : Mécanique et Internet.

Lorsque nous sommes dans la chambre, je dis à Alice :

On va aller te trouver de nouveaux vêtements pour la journée.

Elle me demande visiblement étonnée, tout en rougissant légèrement :

Ah bon ?! Je croyais qu’on était des nudistes ?

J’apprécie ta motivation, mais je te signale que Marc va venir habillé. Tel que je le connais, il va arriver en tenue de mécano, et il se changera lorsqu’on aura terminé.

Oui, mais cette fois, je ne serai pas surprise. Et puisque de toute façon, lui et moi on finira par se retrouver à poil l’un en face de l’autre, et plus si affinités. Alors, autant commencer tout de suite.

Sa résolution me plaît également, pourtant je lui fais remarquer :

Moi, je me suis dit que ce serait plus facile pour toi une fois que tu le connaîtrais, mais bien entendu, la décision te revient.

Oui mon Amour, et je l’ai déjà prise.

Notre discussion est interrompue par le bruit du carillon, dont le bouton se trouve dans la rue et le boîtier qui imite les cloches dans le vestibule, et Alice la conclut en rougissant à nouveau :

Je crois qu’il est temps d’aller accueillir ton ami.

Alors pour lui donner du courage, je la prends par la main, et lorsque nous sommes dans l’entrée, j’appuie sur l’interphone, avant de dire :

Nous ne faisons entrer ni les démarcheurs à domicile ni les prêcheurs de bonne parole.

Une voix masculine me répond aussitôt :

Et les mécaniciens qui acceptent de se déplacer le dimanche, tu les acceptes grand couillon ?!

Je ne prends pas la peine de répliquer, me contentant de sourire, et j’appuie aussitôt sur le bouton qui actionne l’ouverture du portillon. Nous entendons alors un bip sonore, qui fait sursauter mon petit bout de femme, mais qui me signale que le passage s’est bien ouvert. Cependant, je ne bouge pas, et ce n’est que lorsque nous entendons un second bip, indiquant cette fois que la propriété est à nouveau close, que j’ouvre la porte d’entrée. C’est seulement à ce moment que je sors, entraînant dans mon sillage mon amante, dont je n’ai toujours pas lâché la main. En face de moi, j’ai la surprise de trouver Charlène, qui porte un plat couvert dans lequel doit se trouver notre dessert de midi, et en retrait il y a son mari, tenant une caisse à outils à la main.

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Charlène est une jeune femme brune aux beaux yeux gris-bleus, avec des cheveux longs qui lui arrivent au milieu du dos, et elle mesure un mètre soixante-cinq pour une cinquantaine de kilos. Elle a un nez légèrement plus grand que la moyenne, une bouche plus grande que la moyenne, et un menton prononcé. Mais étant donné que ses yeux sont également plus grands que la moyenne, les traits de son visage sont harmonieux. Encore plus lorsqu’elle sourit, dévoilant ainsi ses dents régulières et blanches, et que deux fossettes se forment aux coins de ses joues. Ses sourcils sont épilés de manière qu’ils paraissent ne pas l’avoir été, ce qui n’a rien d’étonnant pour une esthéticienne, mais contrairement à beaucoup de celles qui font le même métier qu’elle, Charlène se maquille rarement. Il est vrai qu’elle n’en a pas besoin, tant son visage respire la joie de vivre et est éclatant de santé.

Pour l’instant, elle porte une petite robe à fleurs avec des bretelles, qui lui arrive au milieu des cuisses, et une paire de mules à talons larges en bois, qui mesurent une dizaine de centimètres de haut. Il est évident qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge, et la connaissant bien, je pourrais parier qu’il n’y a pas non plus de culotte sous son fin vêtement.

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Je m’attendais à ce que Marc vienne seul et à ce que sa femme vienne plus tard, comme il me l’a annoncé que téléphone, c’est pourquoi je m’exclame en la voyant :

Tu as dû te lever aux aurores, pour préparer le dessert !

Elle me répond sur un ton enjoué :

Tu sais, il ne faut pas si longtemps pour préparer une charlotte aux fraises.

Ensuite, elle me fait la bise, avant de se tourner vers Alice qui est légèrement rouge, pour l’embrasser de la même façon et ensuite lui dire avec douceur :

Mon mari ne m’avait pas menti, tu es magnifique.

Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, et Charlène lui fait en caressant tendrement sa joue :

Tu es intimidée ma belle, et c’est normal au début. Mais tu vas rapidement t’habituer à nous, et toi et moi on va devenir les meilleures amies du monde.

Ensuite, elle fait un pas de côté pour laisser Marc s’approcher, alors que ce dernier a posé sa lourde boîte au sol. Mon ami d’enfance est sans surprise vêtu d’une cotte de mécanicien, identique à celle que je possède, et tout en prenant la main gauche d’Alice pour la porter à ses lèvres, il lui fait :

Je suis charmé de faire votre connaissance, la belle inconnue du bistrot d’en face.

Je remarque au passage que mon petit bout de femme a retiré son alliance, et qu’il ne reste à la place qu’une bande de peau aussi claire que celle de ses seins et de ses fesses, signe qu’elle n’avait jamais dû l’enlever avant, sauf peut-être pour la nettoyer. Cela me fait bien entendu énormément plaisir qu’elle ne porte plus son anneau, puisque cela signifie que j’occupe à présent dans son cur, une place plus importante que celle de son défunt mari. Cependant, je me garde bien de faire une remarque à ce sujet, et je ne la questionnerai pas non plus lorsque nous serons seuls. Mais la marque sur le doigt de mon amante n’a pas non plus échappé à Marc, et lorsqu’il me fait la bise, rien qu’à la façon dont il me regarde, je comprends que j’aurai des explications à lui donner, dès que nous serons seuls.

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Mais pour l’instant, Charlène dit à Alice :

On va laisser les hommes travailler, et aller à notre place qui se trouve à la cuisine, près des fourneaux.

Mon petit bout de femme bien qu’étant encore légèrement rouge lui sourit en retour, et elles entrent toutes les deux dans la villa. Je les accompagne jusqu’à l’entrée, dans le but de désactiver l’alarme du garage de l’Alpina, et ensuite en ouvrir la porte. Lorsque c’est fait, je vais retrouver mon ami, et tandis que j’enfile moi aussi ma tenue de mécano du dimanche, il me demande sur un ton neutre, sans que je sois surpris le moins du monde :

Elle est mariée ?

Non. Alice est veuve depuis une dizaine d’années, et elle n’a retiré son alliance que ce matin, sans doute parce qu’Henry a posé la même question que toi hier.

C’est une excellente nouvelle pour toi, parce que ça veut dire qu’aucun homme n’a réussi à remplacer son bonhomme depuis tout ce temps, mais qu’à présent elle est prête à tourner la page.

Oui, enfin on ne sort ensemble que depuis deux jours, alors c’est un peu tôt pour tirer des plans sur la comète.

Moi je trouve que vous allez bien ensemble. Elle a des enfants ?

Deux filles de 18 ans.

Ça aussi c’est bon. Parce que non seulement elle ne te demandera pas de lui en faire puisqu’elle a déjà donné, mais en plus ces gamines sont assez grandes pour être indépendantes. Par conséquent, tu n’auras pas à les assumer.

Je n’avais pas du tout pensé à la possibilité d’avoir un enfant avec mon petit bout de femme, et c’est probablement parce que j’estime être trop vieux pour retenter cette aventure, même si celle avec qui je pourrais en faire a 10 ans de moins que moi. Et pour ce qui est d’assumer Léo et Léa, le fait qu’elles soient restées seules dans leur maison depuis le début du week-end, signifie effectivement comme le dit leur maman qu’elles sont capables de se débrouiller seules.

Cependant, je n’ai pas envie d’approfondir ce sujet avec Marc, c’est pourquoi je lui dis sur un ton légèrement ironique :

Je croyais que tu étais venu pour démarrer ma voiture, et pas pour jouer les aides matrimoniales.

Dans ce cas, qu’est-ce que tu attends pour lever le capot ? Je ne suis pas non plus magicien !

Bien évidemment, il a raison, et une fois qu’il s’est mis au travail, il lui faut environ une heure et demie, pour purger le carburateur. Entre temps, sa femme est venue nous apporter deux bières, et nous l’avons entendue arriver grâce aux claques sonores qu’ont fait ses talons en bois, sur les dalles qui sont autour de la maison. Sa venue m’a permis de constater qu’elle s’est mise nue elle aussi, ne gardant bien évidemment aux pieds que ses chaussures.

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Charlène, bien qu’ayant le même âge qu’Alice, n’a pas du tout la même morphologie que cette dernière. Contrairement à celui de mon amante, le corps de la femme de mon ami est encore délié, avec une taille fine, un ventre toujours plat, des fesses menues et des jambes fuselées. Cela lui donne parfois malgré ses 35 ans des airs d’adolescente, surtout lorsqu’elle sourit. La seule chose qui indique le contraire ce sont ces seins, qui bien que de taille modeste se sont affaissés, avec les effets conjugués du temps et de l’apesanteur. C’est très certainement dû au fait, que celle à qui ils appartiennent ne porte jamais de soutien-gorge, et qu’elle se met nue aussi souvent qu’elle en a l’occasion.

Cependant Charlène vit cette dépression mammaire sans en éprouver le moindre complexe, d’autant plus que sa poitrine a encore fière allure puisqu’elle est bien pleine. Ses seins ont des aréoles rose-foncé d’environ cinq centimètres de diamètre, et de tous petits tétons ronds qui ne doivent pas mesurer plus de trois millimètres, et sont en permanence érigés. Sa peau qui à sa naissance devait être blanche, s’est halée pas des années d’exposition au soleil, et elle a à présent une teinte dorée sur l’ensemble de son corps, ce qui fait ressortir le bleu gris de ses grands yeux, ainsi que la blancheur de ses dents.

Son pubis est orné de ce qu’elle nomme dans son jargon un « Land-strip », mais que le commun des mortels appelle tout simplement un ticket de métro, avec des poils de la même teinte que ses cheveux, coupés à la longueur de dix millimètres. Juste en dessous se trouvent ses grandes lèvres parfaitement lisses, qui ressemblent à deux grosses babines joufflues, et cachent entièrement le reste de sa vulve à partir du moment où elle n’écarte pas les cuisses. Ce qui renforce chez elle l’impression de juvénilité.

Pour les avoir vues à de nombreuses reprises, je sais que ses nymphes sont courtes et fines, et que son clitoris est de taille modeste, puisqu’il faut aller le dénicher avec la langue pour faire sa connaissance.

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Mais pour l’heure, et étant donné que le moteur de ma vieille BMW s’est mis à ronronner, Marc et moi allons dans la villa après nous être mis nus, et en emportant avec nous nos canettes vides, ainsi que nos cottes que nous allons poser dans la buanderie. Au passage, nous entendons un rire cristallin venant de la cuisine, et étant donné que je reconnais immédiatement celui de mon amante, je souris en me disant que Charlène a réussi à la mettre à l’aise.

Lorsque nous allons retrouver nos femmes qui ont mis des tabliers pour préparer le repas, c’est celle de mon ami qui nous accueille en s’exclamant :

Ah, enfin vous voilà ! Parce qu’Alice m’a dit que c’est toi Lolo qui dois faire cuire la paëlla qui ne demande plus que ça, et à mon avis il est grand temps d’allumer le barbecue ! Et ça, c’est une affaire d’homme !

Alice ajoute malicieusement, mais en rougissant légèrement :

Oui, comme ça je pourrai faire une photo ou deux de tes fesses.

Tandis que nous nous lavons les mains avec un dégraissant universel, qui n’est autre que du liquide vaisselle, Marc intervient :

Ah parce que vous en êtes déjà là ? À faire des photos pornos que vous mettez sur Internet ?

Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, et je tance mon ami :

Heureusement que tu m’avais promis de bien te tenir !

Puis j’ajoute pour Charlène :

Ce sont des photos tout à fait innocentes, destinées à nous tenir compagnie lorsque nous serons séparés, parce qu’Alice contrairement à moi a une vie de famille.

Oui, je suis au courant. Elle a même appelé ses filles tout à l’heure, pour leur dire que tout se passe bien ici et qu’elle rentrera en début d’après-midi. Mais tu es quand même gonflé de dire que tu n’as pas de famille ! Et nous, on est quoi pour toi ?!

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Il est vrai que j’ai été un enfant unique, et que depuis que ma mère est décédée prématurément il y a 8 ans de ça, mon père est toujours par monts et par vaux, mais jamais seul, puisqu’il est toujours en agréable compagnie. Il partage effet sa vie avec des compagnes successives plus surprenantes les unes que les autres, tant elles seraient incompatibles si on les réunissait. Cela va de la vieille baronne collet montée, à l’étudiante de 22 ans qui se prostitue pour payer ses études, en passant par l’ancienne soixante-huitarde qui fume des joints en public, ou encore la secrétaire de direction toujours en talons aiguilles de douze centimètres.

Enfin bref, il va de l’une à l’autre sans se poser de questions. Il me dit lorsque j’essaie de le raisonner que je suis mal placé pour le faire, et que vu qu’il a été fidèle à sa femme pendant plus de 35 ans, il peut bien se permettre de prendre un peu de bons temps avant de mourir. Bien évidemment, je n’ai jamais trouvé de parade à cette logique.

De ce fait, mes amis sont pour moi mes plus proches parents, étant donné que j’aime Marc comme un frère. C’est pourquoi je chuchote à l’oreille de Charlène qui tout comme Alice a enlevé son tablier, en la prenant dans mes bras et après m’être essuyé les mains :

Mais bien sûr que vous êtes ma famille de cur. Mais ce n’est quand même pas comparable, puisque nous avons des vies indépendantes et que nous vivons chacun dans notre propre maison.

Tandis que j’enlace le corps nu de mon amie, j’observe du coin de l’il mon petit bout de femme, pour voir comment elle réagit. Mais tout a l’air de bien se passer vu qu’elle a retrouvé une teinte normale, et qu’elle hausse à présent un sourcil que je trouve ironique. Il n’y a aucune trace de jalousie sur son magnifique visage, ce qui est de bon augure pour la suite de notre relation. Après ce petit moment de tendresse, je lâche Charlène, puis je vais sur la terrasse. Marc me suit, et ensemble nous nettoyons le barbecue en y enlevant les cendres de la veille, avant de le regarnir de bois et d’allumer le feu.

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Pendant ce temps, les femmes qui n’avaient plus rien à faire dans la cuisine sont sorties elles aussi. Celle de mon ami a dû remettre sa robe, pour aller chercher son ordinateur portable dans leur voiture, tandis que la mienne a dû l’attendre pour lui ouvrir le portillon lorsqu’elle est revenue. Charlène qui a de nouveau retiré son fin vêtement me demande tout en allumant son laptop :

Lolo, je peux montrer mon blog à Alice ?

Je réponds sans me retourner :

Je te signale qu’elle est majeure et vaccinée, par conséquent elle n’a pas besoin de ma permission pour aller sur ce genre de sites. En plus, je ne pense pas qu’elle sera choquée en voyant des photos de toi nue, étant donné que tu es assise juste à côté d’elle sans aucun vêtement. La seule chose que je te demande, c’est de ne pas essayer de la convaincre d’en créer un elle aussi.

Tu me prends pour qui ?!

Pour une exhibitionniste !

Ma dernière réplique fait éclater de rire la femme de mon ami, qui a effectivement créé un blog nudiste, dans lequel elle s’est mise en scène dans sa vie privée de tous les jours, sans que cela n’ait rien de pornographique. C’est bien évidemment elle qui se trouve dans la grande majorité des cas sur les clichés, mais il y en a quelques-uns sur lesquels elle est avec d’autres personnes. Marc le plus souvent, et Dorine et moi y apparaissons également quelques fois. Cet espace Internet est libre d’accès, mais toutes les photos sont protégées de manière à ne pas pouvoir être enregistrées.

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Étant donné que Marc et moi avons terminé notre besogne, et qu’il est encore un peu tôt pour commencer à cuire la paëlla, nous allons nous asseoir en face de nos femmes, ce qui me permet d’observer les réactions d’Alice. Cette dernière ne rougit à aucun moment, elle sourit même plusieurs fois en regardant des photos, mais je ne peux pas savoir lesquelles étant donné que je ne vois pas l’écran de l’ordinateur. À plusieurs occasions, elle demande qui sont les gens qui sont présents, et Charlène les nomme en expliquant quel est leur lien relationnel. Bien évidemment, je les connais tous, en particulier ses parents, sa sur, le mari de cette dernière et leurs enfants, étant donné que la femme de mon ami est issue d’une famille naturiste.

Mais il y a également des amis, plus ou moins proches, et lorsque celui de Dorine est prononcé, mon petit bout de femme hausse un sourcil, et elle me dit sur un ton ironique :

Foutre mon Amour. Tu ne m’avais pas précisé qu’elle était aussi belle et bien foutue, ton amie masseuse ?

À ce moment-là, sans pouvoir m’expliquer pourquoi je rougis comme un collégien, tandis que Marc et Charlène éclatent de rire.

À suivre…

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