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Evolutions – Chapitre 25

Evolutions - Chapitre 25



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 25 : Nettoyages.

Ensuite, nous nous levons, et ma tortionnaire reprend un comportement normal, ou plutôt une attitude qui est en rapport avec son caractère. Cela ne l’empêche pas d’aller chercher le pain et les viennoiseries, complètement nue et chaussée de ses mules à talons en bois, qui avec les clacs-clacs qu’ils vont faire sur les dalles qui sont tout autour de la maison, annonceront son passage aux voisins sans qu’ils puissent la voir.

Pendant ce temps, j’ai bien évidemment fait couler nos thés, puisqu’il semble que ce soit la tâche qui m’est à présent dévolue, et nous allons ensuite nous asseoir à la table de la terrasse, pour prendre notre petit-déjeuner. Lorsque nous avons terminé et que nos mugs ont fini dans la machine à laver la vaisselle, je demande à mon petit bout de femme :

Je vais sortir l’Alpina ?

Elle me répond sans rougir :

Bingo.

J’aurai le droit de te prendre en photos ?

Cette fois, elle s’empourpre légèrement, néanmoins elle réplique :

En ce qui me concerne, tu as tous les droits mon Amour.

Même celui de te punir, pour ce que tu m’as fait dans notre lit ?

Tu n’as pas aimé ?

Ce n’était pas désagréable, mais tout de même un petit peu humiliant. Tu as poussé le vice jusqu’à attendre que je gémisse comme une gonzesse, avant de te décider à me faire jouir. J’étais loin de m’imaginer qu’avec la douceur dont tu fais preuve habituellement, tu avais des instincts pervers cachés. J’ai connu des femmes qui n’avaient pas froid aux yeux, mais aucune avant toi ne m’a jamais fait subir ce genre de choses.

Ce n’était pas de la méchanceté de ma part, mais un fantasme que j’avais envie de réaliser, et après ce que nous avons échangé tous les soirs de cette semaine en nous masturbant au téléphone, je pensais que tu l’avais compris.

Maintenant, c’est le cas. Tu en as beaucoup, des fantasmes de ce genre ?

Qu’est-ce que tu penses de la fessée ?

₪₪₪

La fessée je connais, étant donné que Mathilde mon ex-femme, bien que mettant un point d’honneur à paraître irréprochable lorsque nous étions en société, adorait que je lui fasse rougir le postérieur avant de la sodomiser. Je souris intérieurement, en me demandant si elle a osé demander à son avocat de mari de lui faire ce genre de choses, ou si avec lui elle se contente de faire l’amour comme papa et maman, en se limitant à la position du missionnaire.

Mais en revenant à la situation actuelle, et vu ce qui s’est passé avec Alice avant que nous nous levions, sa question peut avoir un double sens. C’est pourquoi je lui demande sur un ton ironique :

Quand tu parles de fessée, il s’agit pour toi de la donner ou de la recevoir ?

Contrairement à ce que tu as l’air de croire, je n’ai rien d’une dominatrice. Et bien entendu c’est toi qui me donneras des claques sur les miches, avant de m’enculer. Un peu comme tu me l’as fait hier dans le garage.

Pourtant, lorsque je t’ai mise la première, tu n’as pas eu l’air de trop apprécier.

Tu te trompes. J’étais juste surprise qu’un homme aussi doux et prévenant que toi se laisse aller à ce genre de comportement. Mais il y avait également une légère crainte de ma part, liée au fait que nous nous connaissons depuis peu, et que par conséquent, je ne sais pas jusqu’où tu es capable d’aller. Car ce pourrait aussi bien être toi le sadique, et étant donné que tu m’as fait visiter toute ta maison sauf le sous-sol, peut-être que s’y trouve un donjon, avec tout le matériel nécessaire pour me torturer.

J’éclate immédiatement de rire, et mon petit bout de femme se joint à moi de bon cur. Une fois notre hilarité calmée, je lui demande :

Tu n’es pas allée vérifier, lorsque tu es arrivée vendredi ?

Non, car je t’avoue qu’à ce moment-là je pensais à toute autre chose…

₪₪₪

Je prends alors Alice par la main, et je l’emmène dans les pièces qui se trouvent sous la maison, mais nous n’y restons pas longtemps étant donné qu’il y fait frais, et que nous ne portons aucun vêtement. Et une fois que nous sommes remontés, je lui dis :

Comme tu as pu le constater, il n’y a chez moi aucune salle de torture dans laquelle je pourrais te châtier, même si tu le méritais.

Elle me répond, après m’avoir fait un petit sourire :

Mais il reste de la place pour en mettre une.

Cette remarque m’amuse énormément, et je lui fais mi-figue mi-raisin :

Oui, et si lorsque tu rêves tu portes un collier de chienne, c’est peut-être parce que tu ressens inconsciemment le besoin d’être soumise. Alors si tu prends goût à la fessée, et que tu deviens demandeuse pour ce qui sera d’aller plus loin dans la dépravation, nous envisagerons d’aménager la pièce qui est vide. Mais pour l’instant, tu vas aller laver mon Alpina.

Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, mais probablement pas à l’idée de faire du nettoyage de voiture complètement nue, mais plutôt je pense à celle de se voir un jour transformé en esclave sexuel. Ce qui m’amuse encore plus.

Il ne me faut pas bien longtemps pour sortir mon auto du garage, et ensuite je déroule obligeamment le tuyau d’arrosage qui se trouve à l’intérieur de l’abri, et qui reste branché en permanence. Lorsque c’est fait, je sors le seau en plastique qui sert habituellement pour cette besogne, dans lequel je mets de l’eau avant d’y ajouter de la lessive spécialement conçue pour les carrosseries. Lorsque je le donne à mon amante, ainsi qu’une éponge naturelle, elle me dit après avoir souri :

Mince, il n’est pas en bois.

Je lui réponds avec humour :

Si ça te manque, je t’en achèterai un. Mais il faudra que tu me le décrives avec plus de précision, si tu veux exactement le même.

₪₪₪

Ce commentaire me vaut un petit sourire de la part d’Alice, et sans hésiter elle ouvre l’arrivée d’eau du jet, pour se mettre à asperger mon Alpina sans se soucier du fait d’être éclaboussée. Étant donné que je commence à connaître son côté espiègle, je me précipite dans la maison, et j’en ressors avec mon appareil-photo, convaincu qu’elle n’osera pas mouiller ce dernier, alors qu’elle ne prendrait certainement pas le même genre de précaution avec moi. D’autant plus que je suis comme elle complètement nu.

En remarquant mon bouclier qui est certes très petit, mais efficace, mon petit bout de femme s’adresse à moi, tout en tournant autour de la voiture, de manière à l’arroser dans son intégralité :

OK je joue le jeu, mais si j’entends la moindre moquerie de ta part, tu recevras et ce n’est pas ton attirail de voyeur qui m’arrêtera.

Je me le tiens pour dit, et je la suis tout en commençant à faire des clichés d’elle sous divers angles. Bien que je sois décidé à me taire, et à pleinement profiter de ce moment magique, je ne peux pas m’empêcher de lui faire une remarque, lorsque je constate qu’elle a toujours aux pieds ses mules à talons larges :

Tu n’as pas enlevé tes godasses ?

Non. Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, il y a dessus des auréoles causées par tu sais quoi. Je ne suis pas certaine que l’eau arrivera à les faire disparaître, mais en tout cas ça les atténuera.

Peut-être, mais ça m’étonnerait que le cuir ait été traité, par conséquent il risque de ne pas aimer d’être trempé.

Tu as certainement raison, mais au prix où je les ai payées, le risque n’est pas énorme. Et une fois qu’elles auront séché, je ressemblerai plus à une vieille cochonne patentée, qu’à une bourgeoise qui essaie de s’encanailler.

₪₪₪

Cette dernière remarque m’amuse énormément, et Alice arrête le jet avant de le poser à terre en se penchant en avant, ce qui fait pendre sa lourde poitrine d’une manière que je trouve tout simplement magnifique. Ensuite, elle attrape le seau, et elle se met à passer l’éponge sur toute la surface de la carrosserie.

Elle semble prendre cette corvée très au sérieux, ce qui me fait plaisir pour au moins deux raisons. La première étant bien évidemment que ma voiture sera propre, car je n’ose pas aller la laver dans une station-service, de peur que les rouleaux n’abîment la peinture qui est d’origine et plus toute jeune. Et la seconde est que mon petit bout de femme s’occupe de mon Alpina avec attention, et que par conséquent la personne que j’aime le plus au monde, est en train de bichonner l’objet qui a le plus d’importance à mes yeux.

Cette constatation peut paraître un brin machiste, mais pour moi elle est tout simplement très excitante. Au point que lorsque mon amante se met accroupie en ouvrant largement les cuisses, dans le but de frotter les jantes de mon bolide avec application, je sens mon sexe gonfler peu à peu, et il finit par se dresser complètement.

Lorsqu’elle s’en aperçoit, ma laveuse de voitures me dédie un petit sourire narquois, avant de me dire :

Si j’avais su que ça te mettrait dans cet état, je m’y serais collée plus tôt.

Je hausse les épaules légèrement penaud, et tout en décalottant mon gland, je lui réponds :

À chacun ses fantasmes, et les miens valent bien les tiens.

Je ne te contredirai pas à ce sujet, mon Amour.

Bien entendu, je continue à prendre Alice en photos, immortalisant toutes les étapes du nettoyage de ma voiture, et comme pour me confirmer qu’elle n’en est pas contrariée, mais plutôt amusée à présent que c’est devenu pour elle une habitude de jouer les modèles, elle me demande :

Tu en penserais quoi, si je partageais nos souvenirs nudistes sur internet, en créant un blog comme celui de Charlène ?

₪₪₪

Une fois de plus, je suis sidéré, parce que bien que j’aie l’impression de la connaître depuis toujours, mon petit bout de femme a un don certain pour me surprendre. Néanmoins, je lui réponds non sans humour :

J’en pense que tous ceux qui reconnaîtraient mon Alpina viendraient ici pour guetter le moment où tu commencerais à la laver. Car je te rappelle que c’est un modèle qui est devenu rare au fil du temps, et qu’elle ne passe pas inaperçue lorsque je la conduis.

Elle rougit légèrement en m’entendant dire cela, ce qui ne l’empêche pas de répliquer :

Ils n’en verraient pas plus que ceux qui étaient hier sur la plage du Cap d’Agde.

Bien évidemment, elle a raison, et tandis qu’elle commence à rincer la voiture alors que je continue à la prendre en photos, pris d’un doute je lui demande :

Est-ce que tu es sérieuse lorsque tu parles de faire un blog, ou bien c’est une nouvelle provocation de ta part pour voir comment je réagis ?

Tu n’as pas répondu à ma question, par conséquent je ne vois pas pourquoi je le ferais avec la tienne.

Si tu veux t’exposer complètement nue sur la toile et en assumer les conséquences, tu n’as pas besoin de ma permission pour le faire, étant donné que tu es majeure et vaccinée. Et si tu me demandes mon avis, pour ce qui est de savoir si tu pourras y mettre également des photos de moi, tu as ma bénédiction. Non seulement je serais fier que le monde entier sache qu’une personne aussi magnifique que toi partage ma vie, mais en plus je ne prends aucun risque, étant donné que je suis convaincu que tu n’oseras jamais faire une chose pareille.

Cette fois, elle est devenue carrément écarlate, ce qui ne l’empêche pas de répliquer :

On parie ?

₪₪₪

Je comprends alors qu’Alice pense sérieusement à le faire, ce qui ne manque pas de m’épater. Cependant, je ne lui demande pas si elle a l’intention de parler de ce projet d’un genre particulier à ses filles, parce qu’à mon avis elle risque de ne pas assumer le moment venu, et c’est ce qui me fera gagner ce nouveau challenge. Je lui demande tandis qu’elle éteint cette fois définitivement le jet, étant donné que ma voiture est à présent brillante comme un sou neuf :

Et quel sera cette fois l’enjeu de ce pari ?

Si je gagne, tu laveras ma voiture à poil pendant aussi longtemps que je le ferai avec la tienne. Comme ça, je pourrai moi aussi te prendre en photos, et cela alimentera mon blog.

Et si tu perds ?

À toi de me le dire…

Je ne sais pas trop, mais tu peux compter sur moi pour y réfléchir.

Parfait, mais pour l’instant on va aller soigner cette raideur au niveau de ton bas-ventre qui t’afflige depuis déjà un bon moment.

Effectivement, mon érection n’a pas faibli une seule seconde, et à l’idée de ce qui va se passer ensuite, je continue à bander tandis que j’enroule le tuyau d’arrosage, et que mon petit bout de femme vide le seau dans une des rigoles qui mènent à une bouche d’égout, qui se trouve à l’extérieur de la propriété. La voie menant aux garages a été conçue lors de la construction de la villa et sur une suggestion de Marc, pour être légèrement en pente, ce qui permet d’évacuer la majeure partie de l’eau qu’on utilise pour laver les voitures.

Mon amante qui contrairement à moi est mouillée, parce qu’elle ne s’est pas souciée que son corps soit éclaboussé par le liquide rebondissant contre la carrosserie de mon Alpina, me demande une fois que nous avons fini de ranger le matériel :

Sois gentil de prendre mes autres mules en passant, et viens me retrouver sur la terrasse.

Puis elle contourne la maison dans le but d’aller derrière.

₪₪₪

Lorsque nous y sommes, ne sachant pas trop ce qu’Alice a en tête je reste debout les bras ballants, mais elle ne tarde pas à me dire :

J’ai envie de me faire pardonner pour ce que je t’ai fait au réveil, alors si tu le veux bien je vais te sucer de manière plus classique.

Puis elle me désigne une des chaises longues sur laquelle je m’assois, légèrement hébété par le fait qu’elle a l’intention de me faire une fellation dehors. Bien entendu, l’endroit est protégé, puisque la terrasse est entourée par la maison sur trois côtés, et entièrement recouverte par l’avancée du toit, mais c’est quand même une grande première. Et le plus étonnant pour moi n’est pas que ce soit mon petit bout de femme qui ait pris cette initiative, mais le fait qu’elle ne semble pas en ressentir la moindre gêne, comme si pour elle tout cela était parfaitement normal.

Cependant, je ne vais pas bouder ma chance, par conséquent j’arrête de me poser des questions, et je me laisse aller aux sensations délicieuses que j’éprouve, lorsque mon amante qui s’est mise à genoux devant moi commence à passer sa langue sur toute la surface du gland de mon sexe, qui est resté décalotté.

Elle le cajole pendant une minute ou deux, tandis qu’elle tient ma queue bien en main, pour ensuite faire descendre son dard humide le long de ma hampe, et aller cette fois lécher mes bourses, puis avaler mes testicules l’un après l’autre pour les sucer, tout en me masturbant très lentement.

Bien entendu, je suis aux anges d’avoir à subir un traitement aussi délicieux, et je me mets à soupirer de bonheur. Car si la technique d’Alice est toujours aussi basique, elle n’en est pas moins très jouissive, et je sens le plaisir monter en moi, comme une marée qui finira par me submerger.

Elle fait ensuite remonter sa bouche le long de mon membre, le caressant cette fois avec ses lèvres, avant de mordiller très légèrement mon gland, tout en me faisant en clin d’il lorsque je pousse un petit gémissement, qui n’a rien à voir avec la douleur.

Enfin elle se décide à avaler le bout de ma queue, avant de se mettre à me pomper, et je finis par éjaculer dans sa bouche en grognant de plaisir, tandis qu’elle avale chacune de mes giclées de sperme.

₪₪₪

Lorsque ma source s’est tarie, mon petit bout de femme se fait un devoir de nettoyer ma queue pour faire disparaître toute trace de son passage, puis elle se redresse et elle me dit :

Tu vois, je suis une grosse cochonne, mais pas une salope.

Cette remarque me fait sourire, et je lui réponds :

Oui, tu es une sacrée cochonne. Mais vu que tu m’as fait jouir deux fois depuis ce matin et que jusqu’à présent tu n’as rien reçu en retour, il est grand temps que je répare cette injustice.

À suivre…

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