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Evolutions – Chapitre 37

Evolutions - Chapitre 37



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 37 : Hennit soit qui mâle y pense.

Il ne me faut pas bien longtemps pour vider mon mug de thé froid, et lorsque j’ai terminé, nous allons ranger dans la cuisine ce qui nous a servi pour notre petit-déjeuner. Ensuite, comme Alice a l’intention de laver ma Challenger bien qu’elle ne soit pas vraiment sale, je vais sortir la voiture de son garage, avant de dérouler le tuyau d’arrosage et de remplir le seau d’eau, en y ajoutant de la lessive.

Une fois que c’est fait je vais chercher mon appareil photo, étant donné que si je ne doute pas un seul instant que mon petit bout de femme va reproduire les mêmes gestes que dimanche dernier, le véhicule sera cette fois d’un modèle différent. Par conséquent je commence à faire des clichés lorsqu’elle se met à arroser la Dodge dans le but de la mouiller, et je remarque ensuite avec plaisir, que ma compagne se met à la nettoyer avec autant d’application, qu’elle l’a fait pour mon Alpina.

Pendant qu’elle est en train de frotter, je lui demande pour la taquiner :

— Tu dois commencer à avoir pas mal de photos, ma petite Poupée. Alors quand vas-tu te décider à faire ton blog ?

Elle me répond en rougissant à peine :

— Figure-toi que j’y travaille, mon gros Nounours. Mais vu que construire un blog dépasse mes compétences en matière d’informatique, et même celles de Charlène, elle a mis sa cliente dont c’est le métier sur le coup. Par conséquent je dois attendre que cette femme que je ne connais pas, ait monté les murs. Ensuite nous mettrons ensemble en place les présentoirs, puis il ne me restera plus qu’à y déposer les articles, destinés à attirer le chaland.

Cette fois encore je suis bluffé, étant donné qu’alors que je m’attendais à remporter facilement ce nouveau pari, il semblerait que je doive sérieusement envisager de le perdre. Et le plus fort, c’est que ma timide compagne m’en parle comme s’il s’agissait d’une simple formalité à remplir, alors qu’il est question qu’elle s’expose complètement nue sur internet.

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Cependant, même si je n’ai pas voix au chapitre étant donné que c’est une initiative et ensuite une décision qui reviennent à Alice, je ne m’avoue pas encore complètement vaincu. Car construire un espace internet est une chose, le meubler avec des documents qui peuvent être très personnels en est une seconde, mais faire en sorte que tout le monde puisse y accéder est une autre paire de manches. Car il faut être en mesure d’en assumer les conséquences, à moins d’être complètement inconscient.

Et s’il y a une chose que je sais, c’est que mon petit bout de femme a la tête sur les épaules, même si elles ne sont ni l’une ni les autres bien hautes vu sa taille modeste. Par conséquent je pense qu’il reste une infime possibilité pour qu’elle renonce à ce projet au dernier moment, en particulier à cause de ses filles, qui pourraient ne pas avoir une réaction correspondant aux attentes de leur maman. Surtout Léa, qui a le même caractère qu’elle mais avec la maturité en moins.

C’est pourquoi je fais à cette dernière, sur un ton le plus innocent possible :

— Ça à l’air d’être une affaire qui roule. Mais dis-moi, tu comptes en parler quand aux jumelles ?

Ma compagne s’arrête subitement de frotter la jante en alliage qu’elle était en train de nettoyer, pour me regarder et me demander :

— Tu es persuadé que je vais me dégonfler, pas vrai ?

Je lui réponds le plus naturellement du monde :

— Ne le prends pas mal, mais si je pensais que tu es capable de mettre des photos de toi sans aucun vêtement sur la toile, jamais je n’aurais parié. Car je n’ai pas envie qu’on inverse les rôles, et de me retrouver en train de laver une bagnole, pendant que tu prendras tranquillement des photos.

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Cette remarque amène un petit sourire sur le beau visage d’Alice, et elle réplique tandis qu’elle se met cette fois à astiquer la carrosserie de ma Challenger :

— Il va pourtant bien falloir que tu te fasses à cette idée, à moins qu’en plus d’être un sale macho, tu sois également du genre à ne pas honorer tes dettes. Parce que figures toi que j’ai prévu de le leur dire après qu’elles auront fini de passer les épreuves du bac, et avant qu’elles ne partent pour Marseille. C’est-à-dire dans une dizaine de jours. Bien entendu je n’activerai le blog que si elles me donnent toutes les deux leur accord pour le faire, puisque j’estime qu’elles sont indirectement concernées. Mais je ne suis pas trop inquiète à ce sujet, car contrairement à toi je les connais depuis le jour de leur naissance.

Mon petit bout de femme vient encore de me clouer le bec, et je rumine sur ce qu’elle m’a affirmé, tandis qu’elle continue de laver ma voiture très satisfaite d’elle-même. Bien que je sois légèrement vexé cela ne m’empêche pas de continuer à la prendre en photos, et le beau spectacle qu’elle est à nouveau en train de m’offrir m’excite, au point que je ne tarde pas à me payer une solide érection.

Cela fait sourire mon amante cette fois de manière ironique, pourtant elle a envie de m’asticoter tout en restant sur le même sujet de conversation qu’avant, et elle revient à la charge :

— Mais au fait mon gros Nounours, puisque tu es si sûr que ça que tu vas remporter ce pari, tu dois avoir réfléchi au gage que tu vas me donner lorsque je l’aurai perdu ?

— Oui ma petite Poupée.

— Alors dis-moi ce que c’est.

— Non, c’est une surprise.

— Ce n’est pas comme ça que ça doit se passer, car pour qu’un pari soit valide il faut que les enjeux soient clairement annoncés avant, et acceptés par les deux parties. Parce que sinon ce serait trop facile, et tu pourrais ensuite exiger de moi n’importe quoi !

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Bien évidemment Alice a raison, mais il se trouve que la seule chose à laquelle j’ai pensé n’est pas facile à avouer, puisqu’il s’agit de quelque chose qui sera à la fois visible et permanent. Par conséquent je ne sais pas de quelle façon elle va réagir, et je préférerais ne pas lui en parler pour l’instant, mais attendre un moment plus propice.

Cependant mon petit bout de femme ne voit pas les choses de la même manière que moi, puisqu’alors qu’elle a rallumé le jet pour commencer à rincer la voiture, elle m’asperge les pieds en s’écriant :

— Première somation !

Par réflexe je mets rapidement mes mains dans mon dos, afin de protéger mon appareil photo que je tiens toujours à la main, puis je m’exclame à mon tour :

— Mais tu es folle !! Mon Canon vaut une petite fortune !

Sans tenir compte de mon indignation elle arrose ensuite mes jambes, assez haut pour que mes bourses soient éclaboussées, et elle me dit sur le même ton que la première fois :

— Deuxième somation !

Je décide alors de rendre les armes, en tout cas en partie, puisqu’avant de lâcher le morceau je pose une condition :

— Tu me promets de ne pas te mettre en colère ?

Ma compagne hausse alors ses beaux sourcils, et elle me répond par une question :

— C’est osé à ce point-là ?

— Disons que… voilà, j’aimerais que tu te fasses faire un tatouage. J’en ai vu un à la fois très beau et très simple sur internet, et je trouve qu’il t’irait très bien.

— J’espère que ça n’a rien à voir avec ceux qu’on fait aux chiens, et que tu n’as pas non plus l’intention de me faire pucer ?

Non seulement mon amante n’est pas fâchée après moi mais en plus prend la chose avec humour, ce qui ne manque pas de me surprendre, étant donné que sa réaction n’est pas du tout celle que j’avais imaginée.

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Tandis que je ne sais pas trop quoi dire, Alice continue :

— Je suis étonnée que tu aies envie que je m’en fasse faire un, vu que ni Charlène ni Dorine n’en ont. Mais je suis d’accord, à condition qu’il me plaise à moi aussi, et que j’aie le droit de choisir la taille et l’endroit où il sera. Et si je refuse et que tu n’as pas d’autre enjeu à me proposer, le pari sera tout bonnement annulé.

Je hoche la tête pour lui faire comprendre que j’accepte ses exigences, et tandis qu’elle se met à rincer ma Challenger, je recommence à la prendre en photos. Comme la première fois il ne nous faut pas bien longtemps pour ranger ensuite tout le matériel dès qu’elle a fini de laver ma voiture, et lorsque nous avons terminé, mon petit bout de femme me demande en regardant d’un air coquin mon sexe qui est toujours raide :

— Tu as de la musique bucolique quelque part, mon gros Nounours ?

— Oui, il m’arrive d’écouter du classique.

— Alors va en chercher, et viens me retrouver là où tu sais.

Je retourne rapidement dans la maison tandis qu’elle en fait le tour pour aller derrière, et lorsque j’y vais moi aussi avec à la main le CD de la sixième symphonie de Beethoven et mon appareil photo, au cas où une nouvelle occasion de m’en servir se présenterait, c’est sans surprise que je la vois à quatre pattes sur le gazon. Dès qu’elle m’aperçoit ma compagne pousse un hennissement, qui comme les autres cris d’animaux que j’ai entendus sortir de sa bouche jusqu’à présent, est parfaitement imité.

C’est par conséquent légèrement fébrile que je vais dans le cabanon, afin d’insérer la symphonie pastorale dans le lecteur, tandis que mon sexe qui avait donné quelques signes de faiblesse reprend de la vigueur.

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Lorsque je ressors, la première chose que je fais est de prendre quelques clichés d’Alice, qui joue parfaitement le jeu en piaffant et en se déplaçant comme si elle était une jument, puis je vais poser mon Canon sur les dalles qui se trouvent au bord de la piscine. Ensuite je me mets moi aussi à quatre pattes sur l’herbe, et c’est en me déplaçant de cette manière que je vais rejoindre ma femelle, qui m’accueille avec un nouveau hennissement, qui couvre la musique qui a commencé à jouer dans les enceintes.

De toute évidence, ce matin mon petit bout de femme a envie que je la prenne de la même manière qu’hier en fin daprès-midi, cependant elle est parfaitement entrée dans la peau du nouvel animal qu’elle a décidé d’incarner, puisqu’au lieu d’une brebis docile j’ai droit cette fois à une fringante jument. Elle me le démontre en me faisant face dès que je m’approche d’elle, et en me défiant du regard.

Mais étant donné que je suis censé être un étalon je ne me laisse pas intimider, et tandis qu’elle se recule je continue à avancer en lui lançant un regard noir, ce qui ne m’est pas bien difficile étant donné mon caractère. Puis j’émets à mon tour un hennissement, qui s’il est moins bien réussi que ceux qu’elle a déjà poussés, a le mérite d’être plus puissant.

Je ne sais plus trop à présent quelle attitude adopter, étant donné que mon petit bout de femme a la ferme intention de me résister, et que contrairement à elle j’ai rarement eu l’occasion de regarder des documents animaliers à la télévision. Alors pris d’une inspiration subite, et alors qu’elle se retrouve acculée avec le postérieur à quelques centimètres de la haie qui borde la propriété, je viens mettre ma tête à côté de la sienne, et je donne un coup pour que ma joue vienne heurter la sienne. Bien entendu je ne l’ai pas fait violemment, mais la surprise joue en ma faveur puisqu’elle reste à présent immobile, et j’en profite pour aller cette fois mordiller le gras de sa cuisse.

Cela doit être le signal qu’Alice attendait, ou en tout cas que je fasse preuve d’autorité, puisqu’elle fait immédiatement un quart de tour sur elle-même pour me présenter son arrière-train, et elle reste cette fois sagement immobile.

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Maintenant que je suis devenu le maître du jeu, il ne me reste plus qu’à décider de quelle manière je vais procéder. Cependant il ne me faut pas bien longtemps pour le faire, et étant donné que je sais à présent que ma jument aime que je la prenne à l’occasion avec rudesse, je vais la saillir sans trop m’embarrasser de préliminaires.

Je prends tout de même le temps de donner quelques coups de langue sur sa vulve bien exposée, puis je décide de grimper sur elle. Mais contrairement à la fois précédente elle n’abaisse pas sa croupe, et je suis par conséquent obligé de lui grimper dessus.

J’éprouve en le faisant et pendant un bref instant une légère gêne, à l’idée que ma femelle est obligée de supporter mes quatre-vingts kilos, tandis que ma peau se frotte contre la sienne au cours de ma progression. Mais étant donné que c’est elle qui veut que les choses se passent ainsi, mes remords sont rapidement étouffés par le plaisir bestial que je ressens, qui est provoqué par l’étrangeté de la situation.

J’arrive sans problème à décalotter mon gland en appuyant le bout de mon sexe contre la peau de ses fesses, et en exerçant une légère pression. Ensuite ma jument bien que toujours décidée à rester fermement plantée sur ses quatre membres, cambre obligeamment les reins de manière à me faciliter la tâche, lorsque mon phallus cherche en tâtonnant l’entrée de sa matrice.

Bien entendu, cette parodie d’accouplement animal nous est facilitée par le fait que je dépasse largement ma petite femelle pour ce qui est de la taille, même si la mienne est moyenne, car je gage que si nous avions le même gabarit soit elle serait obligée de se ramasser sur elle-même, soit je me retrouverais avec les mains pendant dans le vide. Mais à présent, ces dernières sont posées à plat sur le sol juste à côté des siennes, et par jeu tandis que je commence à aller et venir lentement dans son conduit, je me mets à lui mordiller le cou.

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Ce que je suis en train de lui faire n’a pas l’air de déranger Alice, puisque si elle pousse un nouveau hennissement beaucoup plus faible que les précédents, elle ne tente pas de se dérober. Tandis que mon membre tendu coulisse lentement en elle, ma petite femelle ne tarde pas à m’accompagner dans mes mouvements, mais en se contentant de faire onduler son bassin, ce qui doit augmenter ses sensations tout comme les miennes le sont.

Étant donné que dans cette position je ne peux pas accélérer la cadence, la montée de notre plaisir devrait logiquement être plus lente que d’habitude, mais cela est compensé par le fait que nous comporter comme des animaux nous excite au plus haut point. C’est en tout cas ce que je ressens dans ma tête, et je ne doute pas un seul instant que ma partenaire est dans le même état d’esprit que moi, ce qui m’est confirmé lorsqu’au bout d’une dizaine de minutes pendant lesquelles elle s’est mise à geindre doucement, elle pousse un dernier hennissement qui à n’en pas douter est d’origine orgasmique, et arrive comme une douce musique à mes oreilles.

Les spasmes de son vagin provoquent sans surprise mon éjaculation, et tout en me vidant en elle je lui mordille légèrement une oreille, et lorsque sa saillie est terminée elle vient frotter sa joue contre la mienne, comme le ferait une jument pour montrer son affection à son étalon.

À suivre…

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