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Evolutions – Chapitre 69

Evolutions - Chapitre 69



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 69 : Petons fripons.   

Il ne nous faut pas bien longtemps pour préparer notre repas de midi, même si je mets un point d’honneur à faire chauffer le four, alors qu’Alice se serait contentée de faire cuire nos pizzas au micro-ondes. Ensuite nous mangeons tous les deux en amoureux sur la terrasse, ce qui ne nous est pas arrivé si souvent que ça, puisque nous avons eu pas mal d’invités les week-ends précédents. Qu’ils soient de notre famille ou pas…

Mon petit bout de femme fait la grimace lorsqu’elle s’assoit, malgré qu’elle ait mis une serviette éponge sous elle, qui a le double mérite de lui faire un coussin, mais également d’absorber le surplus de pommade qu’elle a sur les fesses. Cependant elle ne se plaint pas outre mesure et lorsque nos regards se croisent, en voyant mon air désolé elle se contente de hausser les épaules, comme pour me signifier que son mal est un inconvénient mineur, par rapport au plaisir qu’elle retire après les corrections que je lui administre. Par conséquent je pense que je vais devoir me résigner, au fait que cette situation va se renouveler encore et encore.

C’est tandis que nous buvons le café, qu’elle me dit :

— Il faut que nous parlions de choses sérieuses, mon Nounours.

Surpris et subitement inquiet, je lui demande aussitôt sur un ton plus sec que je ne l’aurais voulu :

— Eh de quoi veux-tu que nous discutions, ma Chérie ?!

Elle répond après avoir souri, amusée par ma réaction alarmée :

— Détends-toi mon Amour. Sérieux ne veut pas forcément dire grave. C’est juste que je me suis dit, qu’il valait mieux que nous envisagions de faire des aménagements, avant que les filles et moi nous ne venions vivre ici définitivement. Et nous pourrions profiter de ces trois semaines ou je vais rester seule, pour faire des travaux. De cette façon je pourrai gérer les choses.

Je suis aussi rapidement rassuré que je m’étais affolé, c’est pourquoi je réplique sur le ton de la plaisanterie :

— Alors nous y voilà. À peine entrée dans ma vie tu veux déjà la chambouler, et tout arranger à ta manière !

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Cependant Alice ne se laisse pas prendre à mon jeu, puisqu’elle me fait :

— Je t’ai dit que nous devions avoir une discussion sérieuse, mais si tu estimes que ce n’est pas le bon moment, nous pouvons toujours la remettre à plus tard…

— Excuses moi ma Chérie, je suis toute ouïe.

— Je t’en remercie. Et surtout dis-toi qu’il ne s’agit que d’idées que j’ai eues, que tout est négociable, et que si tu n’es pas d’accord nous pourrons toujours continuer à vivre, comme nous l’avons fait jusqu’à présent. Parce qu’il fait que tu saches qu’être avec toi suffit amplement à mon bonheur, et que tout le reste ce n’est que la cerise sur le gâteau.

Ce que mon petit bout de femme vient de m’affirmer ne manque pas de m’émouvoir, d’autant plus que je pense exactement la même chose à son sujet. Cependant je me tais de manière à la laisser m’expliquer ce qu’elle a en tête, même si j’ai déjà une idée assez précise de ce dont il est question.

Par conséquent je ne suis pas étonné lorsqu’elle me parle ensuite, de la pièce qu’elle veut aménager au sous-sol. Elle a choisi la plus grande à l’intérieur de laquelle il n’y a pour l’instant pas grand chose, et apparemment elle en connaît les dimensions mieux que moi. Elle veut pour commencer y faire mettre un parquet vitrifié, des boiseries aux murs mais également au plafond, ainsi qu’une douche sommaire. Ensuite il sera question du mobilier, et entre autres d’une croix de Saint André, d’un cheval d’arçons et d’un pilori, ainsi que de divers meubles de rangements et d’étagères. 

Bien évidemment je la laisse échafauder ses plans, et je ne la contredis par lorsqu’elle m’annonce qu’elle a l’intention de prendre le coût des travaux à sa charge, arguant qu’étant donné que cette pièce sera destinée à son plaisir, elle estime que c’est normal. Je ne suis pas tout à fait de son avis, étant donné que du plaisir j’en aurai aussi, cependant c’est son idée à elle, et même si la villa m’appartient en titre, je suis convaincu que nous sommes en train de construire une relation solide et qui durera très longtemps. De ce fait, qu’elle veuille faire des frais dans notre maison ne me contrarie absolument pas, mais cela signifie au contraire qu’elle se sent déjà ici chez elle.

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Bien évidemment, le fait que notre futur donjon qui n’en sera pas vraiment un, se trouvera un niveau plus bas que les pièces dans lesquelles nous allons vivre, fera que nous pourrons descendre nous y amuser en toute discrétion, vu que les jumelles n’auront pas grand-chose à faire au sous-sol. Cependant, je ne ne peux pas m’empêcher de faire remarquer à Alice :

— Tu ne t’en es peut-être pas rendue compte, mais les portes en bas n’ont pas de serrures. Donc même si tu fais isoler cette pièce et qu’aucun son n’en filtre, les filles n’auront aucun mal à découvrir ce que nous allons y faire, après nous avoir vu descendre puis remonter une heure plus tard. Car elles nous ont déjà prouvé, qu’elles peuvent être curieuses en qui concerne nos activités intimes.

Mon petit bout de femme rougit aussitôt, sans doute parce que tout comme moi elle se souvient que les deux chipies nous ont espionnés, lorsque nous étions chez elles. Ce qui ne l’empêche pas de me dire :

— J’ai l’intention de faire installer une serrure digitale, avec un code, de manière à protéger nos activités intimes, comme tu les appelles.

Puis elle s’empourpre un peu plus, avant d’ajouter :

— De toute façon elle sont adultes. Et si elle demandent à voir notre petit nid douillet, je le leur montrerai. En précisant bien entendu que c’était mon idée. Le but d’avoir un verrou, sera uniquement d’éviter toute intrusion, lorsque nous serons en train de jouer.

Je suis doublement amusé, non seulement par le fait que nous aurons un code secret comme pour un coffre-fort, mais également en imaginant la tête que feront les filles, lorsqu’elle vont découvrir dans ce que leur maman appelle un petit nid douillet, un pilori et une croix de Saint André. Car bien évidemment si je n’ai jamais vu ces équipements pour de vrai je sais à quoi ils ressemblent, et ils indiquent sans aucune équivoque ce à quoi ils servent.

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Je lui fais toutefois remarquer :

— J’espère que tu la choisiras bien ta serrure électronique, car il ne manquerait plus que nous restions coincés à l’intérieur, et que les filles en s’inquiétant de ne pas nous voir remonter, appellent les pompiers.

Cette fois Alice devient carrément écarlate, certainement parce qu’elle est en train de s’imaginer la scène, ce qui me divertit encore plus. Cependant il semblerait qu’elle ait tout prévu, puisqu’elle me répond :

— Tu n’as pas à inquiéter à ce sujet mon Nounours, car le modèle que j’ai choisi a déjà fait ses preuves. Il est même équipé d’une batterie de secours, au cas où il y aurait une coupure d’électricité.

Pour le coup me voilà complètement rassuré, même si je ne me faisais pas vraiment de souci à ce sujet, et je lui demande ensuite :

— Et la balançoire, elle sera aussi dans cette pièce ?

— Eh bien j’y ai réfléchi depuis hier figures toi. Et je me suis dit que nous pourrions plutôt la mettre ainsi que le matelas à eau, dans deux des alcôves du grenier. Parce qu’avec les rideaux coulissants qui peuvent les fermer, ils seraient à la fois plus accessible aux autres membres de notre famille qui auraient eux aussi envie de s’amuser, tout en restant discrets si un jour nous avons des invités. Parce que selon qui viendra à la maison, ils ne seront pas forcément au courant de nos petites activités d’un genre particulier…

Mon sexe se met aussitôt à gonfler en pensant à Léa et Léo, dans la même position que leur maman hier chez nos amis, cependant j’essaie de ne pas me fixer sur ces images, et je réplique :

— Le matelas pourra passer pour un lit d’appoint, puisqu’il en a l’apparence. Quant à la suspension, si nous voulons éviter tout risque de passer pour des pervers aux yeux des autres, le mieux sera de la décrocher lorsque nous n’en aurons pas l’utilité, et de la ranger dans un placard. Mais dis-moi, tu as parlé d’en acheter deux. Est-ce que tu étais sérieuse, lorsque tu as dit que tu avais l’intention d’en mettre une également dans le cabanon qui est vide ?

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Alors que son magnifique visage a retrouvé une teinte normale, Alice me répond sans paraître cette fois décontenancée le moins du monde :

— Pourquoi pas ? Après ce que nous avons fait dans le jardin, ça ne serait pas pire. D’autant plus qu’il y a largement la place de l’y mettre, elle et bien d’autres choses.

Je ne lui demande pas ce à quoi elle pense quand elle parle d’autres choses, car je me dis que si elle arrive à me surprendre ce sera tant mieux pour moi. Donc nous en restons là pour cette fois en ce qui concerne nos relations sexuelles en marge de la normalité, et nous nous levons pour débarrasser et ranger, tout ce que nous avons utilisé pour notre repas.

Lorsque nous avons terminé mon petit bout de femme appelle les jumelles avec son téléphone portable, tandis que j’installe le jeu d’échecs sur la table de la terrasse. Étant donné qu’elle n’a pas éprouvé le besoin de s’isoler, j’ai le plaisir de constater qu’une fois la tristesse qu’elle a ressentie au moment de leur séparation, la maman est à présent tout à fait sereine et même gaie, puisqu’elle plaisante en premier avec Léo, puis ensuite avec Léa. Vu que je n’entends que la moitié de la conversation je ne comprends pas tout, mais dès qu’elle a raccroché elle me dit que les filles m’embrassent. Si je suis ravi de cette délicate attention de la part des petites, et je ne demande pas à leur maman à quel endroit elles ont voulu déposer ces baisers virtuels, parce que je préfère m’imaginer que c’est ailleurs que sur mes joues…

Nous ne disputons ensuite que deux parties d’échec car le score est sans appel, étant donné que ma compagne remporte la première mais aussi la seconde manche, ce qui implique que nous n’avons pas besoin d’en faire une troisième. Cependant je ne suis pas dépité, parce que j’ai pu constater qu’en jouant régulièrement contre elle je fais des progrès, même si c’est également son cas, et que par conséquent elle a toujours une longueur d’avance sur moi. De ce fait, pour pouvoir espérer la dépasser il me faudrait trouver d’autres adversaires, sur internet par exemple. Cependant je ne suis pas certain d’en avoir envie, car bien qu’elle essaie de rester modeste, j’ai pu constater que mon petit bout de femme est contente d’arriver à me dominer, en tout cas dans certains domaines et celui-là en particulier.

Après avoir fait travailler nos méninges, nous choisissons d’en faire autant avec nos muscles puisque nous allons nous baigner, et nous faisons tranquillement des longueurs en nageant la brasse. Mon amante qui est pourtant beaucoup plus sportive que moi, s’adapte à mon rythme de vieillard sans chercher un seul instant à me distancer, et elle semble tout simplement heureuse de se délasser en ma compagnie. Nous restons dans l’eau pendant une bonne demi-heure, sans échanger une seule parole, nous contentant de nous regarder de temps en temps en souriant.

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Lorsque nous sommes ressortis de la piscine nous nous faisons sécher au soleil, sur des serviettes que nous avons prises toujours dans le même cabanon. Puis alors que je suis allongé sur le dos et que je me suis assoupis quelques instants, je sens une pression s’exercer sur mon sexe. Cependant ce contact n’est pas désagréable loin de là, puisqu’il me provoque un début d’érection.

Quand quelques instants plus tard, je sens deux doigts passer de chaque côté de mon membre de plus en plus raide, et le prendre en pince ; je pense d’abord qu’Alice est en train de me masturber, de manière à ce que je sois en pleine forme et que nous puissions ensuite faire l’amour. Mais lorsque j’ouvre les yeux et que je la cherche à côté de moi, je constate qu’elle n’y est plus. Je suis alors obligé de me redresser en prenant appui sur mes coudes, pour voir qu’elle s’est placée en face dans une position identique à la mienne, et que ce n’est pas avec l’une de ses mains qu’elle est en train de me tripoter, mais avec un de ses pieds. 

Une seule femme avant elle m’a fait bénéficier de ce genre de caresses avant elle, et il s’agit de Dorine qui est capable de faire jouir sa ou son partenaire, avec des parties parfois surprenantes de son corps. Je n’ai par conséquent pas besoin de réfléchir, pour savoir où mon amante est allée chercher cette idée originale, et après lui avoir fait un sourire qu’elle me rend, je reste sans bouger bien décidé à me laisser dorloter.

Elle fronce les sourcils sous l’effet de la concentration, ses gestes enfin façon de parler sont quelque peu hésitants, et je pense que c’est parce qu’elle manque de pratique. Cependant elle arrive à poser chacun de ses orteils de chaque côté de mon membre à présent bien raide, en plaçant la plante de ses petons en vis à vis, puis elle leur imprime un mouvement tantôt montant tantôt descendant. Elle me branle lentement de cette manière pendant plusieurs minutes, durant lesquelles je me me laisse aller aux sensations que je suis en train de ressentir.   

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Alice décide ensuite de changer de tactique, puisqu’elle place l’intérieur de ses pieds là ou ils sont incurvés de part et d’autre de ma queue, et elle continue à me masturber pendant encore un petit moment. Après cela elle prend mon sexe en étau, avec à nouveau la plante de son pied droit et le dessus de son pied gauche, pour continuer à les faire bouger de la même façon.

Je suis de plus en plus stimulé, non seulement par ces contacts à la fois atypiques et très doux, mais également de voir que mon petit bout de femme s’applique très sérieusement, comme si elle accomplissait quelque chose de très important, alors qu’il ne s’agit en fait que de me faire une branlette pédieuse.

Lorsqu’elle se retourne ensuite pour se mettre à genoux et recommencer à me masturber, me présentant ainsi sa vulve aux petites lèvres chiffonnées, que je vois ses gros seins pendre sous son buste de chaque côté de ses cuisses, et se balancer lentement au rythme de ses mouvements, n’y tenant plus je me mets à éjaculer. Une fois n’est pas coutume mon sperme jaillit à l’air libre, en hauteur et par saccades, pour venir ensuite s’écraser sur mon ventre. Mon amante dès que la source s’est tarie, me fait à nouveau face en affichant à présent un petit air satisfait.

Elle décide alors de s’asseoir, et je peux constater que du haut de ses 34 ans elle est restée très souple, puisqu’elle n’a aucun problème pour amener ses pieds chacun leur tour jusqu’à sa bouche, et lécher le peu de ma semence qui y est restée accrochée. Ensuite elle se penche en avant, pour venir laper la totalité du liquide gluant qui est collé sur ma panse, sans se soucier de mes poils.  

Lorsqu’elle a terminé ma compagne lâche un rot sonore, qui me fait éclater de rire tant je le trouve incongru sortant de sa bouche parfaite et de son visage aux traits harmonieux, puis visiblement contente de la bonne blague qu’elle vient de me faire, elle me dit :

— C’est pas tout ça, mais si nous voulons manger ce soir il faut que j’aille préparer ma sauce bolognaise.

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Joignant le geste à la parole Alice se lève, et elle va dans la cuisine au rythme joyeux des clacs-clacs des talons en bois de ses mules, qu’elle a remises à ses petits petons fripons. Je reste sans bouger quelques instants, puis je vais prendre une douche rapide au bord de la piscine, pour enlever toute trace du passage de mon sperme et de la langue gourmande de mon petit bout de femme, que je vais retrouver une fois que je me suis lavé et séché.

Nous prenons notre repas du soir sur la terrasse, et je constate satisfait que ma compagne ne bouge pas un cil lorsqu’elle s’assoit, ce qui signifie que ses fesses ne la font plus souffrir, ou en tout cas beaucoup moins qu’à midi. Les spaghettis qu’elle nous a cuisinés sont délicieux, et nous parlons peu en nous contentant entre deux bouchées, de nous manger des yeux.

Mais ce qui a pour moi une saveur toute particulière c’est la fin de ce dimanche, puisque pour la première fois depuis bien longtemps je ne le passe pas seul. Aujourd’hui il y a quelqu’un pour me tenir compagnie, et ce n’est pas n’importe qui puisqu’il s’agit de la femme que j’aime.

Lorsque nous nous retrouvons au lit un peu plus tard, il n’est pas question de fantasme raconté au téléphone ni de baise sauvage, qui serait difficilement avouable autrement que de manière anonyme. Au contraire ce soir nous faisons tendrement l’amour dans la position du missionnaire, comme des millions de gens à travers le monde et à la même heure. En tenant compte du décalage horaire cela va de soit.

À suivre…

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