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Fantasme inavoué – Chapitre 1

Fantasme inavoué - Chapitre 1



Marié depuis plus de deux ans, notre vie est somme toute assez banale. Je fais rire ma femme comme au premier jour et elle me plait toujours, comme au premier jour.

Avant de se marier, nous nous sommes fréquentés et avons vécus ensemble par intermittence pendant 2 ans. Nous avions, comme tout le monde, eu des relations avec dautres personnes. Nous sommes tous les deux dorigine maghrébine.

Ma femme est plutôt sexy, un corps et surtout des fesses qui me font craquer à chaque fois. En ce qui me concerne, et cest plus facile à dire en tant quauteur, je suis plutôt pas mal !

Bref, tout va bien. Mais voilà que

Histoire vraie

Nous faisons lamour et nous prenons beaucoup de plaisir, ce qui me surprend toujours, car je ne suis vraiment pas bien « outillé ». Simule-t-elle ? Je le pense pas, faut dire que les préliminaires durent assez longtemps, simuler après cela, cest dur ! Elle joui toujours comme la majeure partie des femmes, par le clitoris, à quoi servons-nous donc ?

Durant une de nos sessions de préliminaire, je mengage dans le terrain le plus glissant au monde, à savoir lui poser une question habituelle mais dont la réponse peut parfois nous permettre den savoir plus.

— Quelle est ton fantasme ?

Elle hésite. Puis me réponds des banalités du genre, me faire prendre par toi dans un bois, une voiture Mais ce soir-là, je voulais quelle me dise réellement ce dont elle avait envie. Jinsiste.

— Arrête, cest toujours la même chose, je suis sur que tu as dautres envies, avoue

Elle hésite, elle rit, elle hésite, elle rit puis je la mets de plus en plus à laise, notre relation est assez ouverte on se dit tout et sans gêne.

— Tu sais, me dit-elle, nous faisons lamour depuis 4 ans maintenant, je taime, mais parfois jaimerai que tu me sautes dessus.

— Que je te saute dessus ? Lui répondis-je, presque étonné, en ne voyant pas ce quil y avait de « fantasmant ».

— Oui, que tu me prennes, là debout en rentrant et de manière sauvage !

Bon, petite pause, je veux bien la prendre debout à la sauvage, mais ce genre de prouesse est assez difficile à réaliser quand on nest pas bien membré. Il manque une rallonge. A part le missionnaire, le reste cest mission quasi-impossible.

— Non, moi je préfère la méthode douce, je ne suis pas un obsédé ni une bête et quand je rentre du boulot je suis fatigué, je te vois même pas !

Réponse sur un ton un peu agacé et un peu moqueur car je commence à réaliser que ce fantasme sera dur à réaliser.

— Pffff, dit-elle, laisse-moi dormir.

Bon, je lai quand même baisé ce soir-là. Et cette fois-ci, javais la nette impression que le plaisir nétait que dun côté. Pas grave, je me rattraperai.

Le lendemain, 10h00 et ma femme dors toujours, ce qui lui arrive rarement, malgré que nous sommes dimanche.

— Chérie, tu es malade ? demandais-je.

— Non, juste un peu fatiguée tu as encore abusé de moi cette nuit, dit-elle en riant

— Évidement, tu ne sers quà ca de toute façon !

— Tes con

En fait, je la connais, le fait quelle ne se réveille pas plutôt signifie que quelque chose la travaille. Mon impression sest confirmée toute la journée, elle me répondait à demi-mot, les plaisanteries étaient plus rares voire inexistantes, le repas presque froid. Assez dindices pour me mettre la puce à loreille. Je me disais que le soir, au lit, elle me racontera tout. Rien ! Ce soir-là, elle dormait avant darriver au lit !

Les jours se suivirent et se ressemblaient, si ce nest quelle me fait carrément la tête. Nous sommes à 5 jours de notre fameuse discussion sur les fantasmes et je me dis que cela ne peut plus durer et que jallais moccuper de cela le soir en essayant de lallumer. Le soir enfin venu, je mis mon plan à exécution dès quelle se mis au lit.

— Jai envie de toi ma puce

— Pas ce soir, je suis hyper fatiguée

— Putain, jen ai marre ! Quest ce quil y a ? Lui répondis-je sur un ton furieux quelle en prenne presque peur. Je continuais

— Quest-ce quil y a, je te satisfais plus ? dis-le moi, on se dit tout, jencaisse bien

Elle rit, et la pression retombe un peu Elle finit sans doute par réaliser quil y avait pire comme situation et que son problème pouvait être résolu si elle en parlait ouvertement. Les 5 jours lui ont finalement permis de réfléchir et fait comprendre quil serait préférable de se mettre à table et dy aller cash ! Dun air sérieux et inattendu elle décida de parler.

— En fait oui, tu me satisfais et je taime beaucoup, et le fantasme que je tai dis lautre soir cétait ca mais il manquait un truc. On fait lamour depuis quatre ans et jai terriblement envie de me sentir un peu plus remplie. Je voudrais être « prise » sans ménagement et surtout sentir quelque chose de plus gros en moi !

Conseil à tous les hommes, faites de la boxe, apprenez à encaisser.

Jai pris peur, je pensais que quelque chose de plus terrible allais arriver. Je la laisse parler et décidais finalement, comme jétais déjà un peu excité, de ne pas trop accorder dimportance à ce quelle disait, je la pris dans mes bras et elle lui demande de me branler en même temps quelle continue à parler.

— Je vais être clair, je veux une grosse queue entre mes cuisses. Ne te fâche pas, mais cela me manque, je voudrais me faire prendre par un homme qui en a une grosse. Mais je suis folle de toi, je taime, je veux des enfants avec toi mais parfois je veux être à la merci dun mec qui me baise comme il faut, sans sentiments !

Je bandais dur, je pensais quelle disait tout cela pour mexciter, que du contraire, elle fini par rajouter

— Est-ce quon peut avoir un homme quon aime et un qui vous baise avec une grosse bite ? Me dit-elle de manière innocente et naïve, en espérant sans doute que ma réponse soit « oui »

Voilà comment tout à commencé

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