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Fantasmes zoophiles 2 – Chapitre 1

Fantasmes zoophiles 2 - Chapitre 1



Assise à mon bureau, je ne parvenais pas à me défaire de mon rêve. Bien au contraire, je me remémorais sans cesse celui-ci, cherchant le plus infime souvenir dans les méandres obscurs de mon cerveau. Je passais toute ma journée à reconstruire le film de ma nuit dans ses moindres détails. A plusieurs reprises, comme une automate, ny tenant plus, je me rendais dans les toilettes pour me masturber, tant jétais excitée. Jétais sous les regards de mes collègues, hébétés devant un tel comportement à la fois fuyant et silencieux, mais aucun dentre eux nosait maborder et minterroger sur mon état lunatique.

Je finissais par plonger totalement dans mes pensées, me retrouvant la verge animale entre mes lèvres, quand un premier jet de semence gicla au fond de ma gorge. Je pouvais plus marrêter de lécher, sucer, pomper cette bite qui, à intervalles réguliers, étanchait ma soif de sperme. Je nétais plus quune peluche vivante, entourée dadultes qui se jouaient de moi. Quand je relevais la tête pour reprendre mon souffle, cétait deux où trois verges humaines qui se bousculaient contre mon visage, voulant se frayer un passage entre mes dents. Jétais devenue un défouloir pour mâles en rut, un exutoire pour testicules.

Toujours dans la pénombre de mon bandeau, une agitation de plaisir se fit dans la pièce. Je ne comprenais pas ce qui se passait, jétais dans un état second, juste un jouet dont on aurait programmé le fonctionnement à satisfaire toutes les perversions sexuelles de la nature humaine.

Une odeur désagréable envahissait mes narines, des mouvements de personnes se produisaient autour de moi, des voix donnaient des ordres de prudence à mon égard, dautres des conseils dattention. Jétais à la fois inquiète et curieuse de savoir ce qui se tramait autour de moi jusquau moment où une masse puissante prit possession de mon dos, me couvrant comme si je nétais quune bête à reproduction. Demblée, un dard viril avait forcé mon intimité et sétait mit à me besogner comme je ne lavais jamais été jusqualors.

Des hommes sactivaient visiblement autour de moi à tenir en respect lanimal dont jignorais toujours la race, mais qui me procurait de véritables sensations de bien-être. Le plaisir était devenu tel, que je nenvisageais plus de me séparer de mon bienfaiteur. Des soubresauts de jouissances m’inondaient de plus en plus. Je me laissais gagner par des spasmes quasi successifs de jouissances. Je ne réagissais même plus, quand un des mâles présents à ma saillie sexclama quil navait jamais encore vu une telle salope se faire prendre par un bouc !

Jétais toute ébranlée, entièrement offerte aux pulsions sexuelles de lanimal en rut qui me taraudait le vagin depuis maintenant de longues minutes et qui ne semblait toujours pas faiblir devant sa mission. Je percevais des voix dhommes qui manifestaient leur satisfaction, tandis que dautres disaient leur écurement devant ma dépravation. Peu mimportaient leurs commentaires. Jusquà ce jour, je navais jamais joui aussi fort, ni aussi longtemps, ni aussi continuellement. Jétais au bord de lévanouissement, je sentais mon corps mabandonner, mes sens se vider de toutes dignité humaine.

Quand je repris mes esprits, que je réalisai que je nétais que dans un fantasme, je quittai avec soulagement mon travail sans même saluer mes collègues et je regagnai mon domicile. Là, mattendait mon ami, qui membrassa longuement, tout en me caressant et en me déshabillant au fur et à mesure de nos caresses.

A mon étonnement, il tenait dans lune de ses mains une paire de menottes et un bandeau, sortis de je ne sais où. Les mains liées dans le dos, les yeux bandés, il mentraîna dans les toilettes et il my enferma…

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