Histoires de baise Histoires de sexe arabes

Flora – Chapitre 4

Flora - Chapitre 4



Pendant que je reprends mon souffle il m’embrasse doucement dans le cou, derrière mes oreilles. Sa queue est toujours dans ma chatte frémissante et toujours aussi dure car il n’a pas joui. Je glisse ma main pour attraper ses grosses couilles et le bout de mes doigts s’appuie sur son périnée.

— Ooohhhh… petite salope !

Nos corps sont en sueur, ma chatte est trempée. Ses mains se sont glissées sous moi pour masser mes seins avant de descendre sur mon ventre pour caresser mon clitoris encore très sensible.

— Aaahh, arrête Paul ! Je suis trop excitée !

Il se soulève et sa queue sort de ma chatte. Je gémis et crie

— Nooonnnnn ! Je me sens tellement vide !

Il vient aussi de retirer le plug de mon cul.

— Ma petite salope ! Si tu voyais ton cul ! Grand ouvert et prêt à accueillir ma bite !

J’ai compris que Paul, ce vieux pervers, n’en avait pas fini avec moi et que j’allais me faire enculer.

— Paul… tu… vas m’enculer…

— Oui mon bébé d’amour… tu m’as bien dit que je pouvais te prendre comme je veux ?

— Oohh, Paul… oui, mais…

— Chut, jeune salope en formation. Je prendre ton petit cul… tu vas m’appartenir complétement.

Son sexe est bien bandé, le prépuce tiré en arrière, et encore recouvert de ma crème de chatte, de son gland à sa base.

— Paul… je ne sais pas si je peux prendre ta grosse queue dans mon petit trou. Je n’ai jamais…

— Je sais jeune fille… mais n’ai pas peur. Ça va peut-être te faire un peu mal au début, mais ton petit trou est déjà bien préparé. Il est prêt à accueillir ma bite pour que je fasse sauter ta rondelle, ta dernière virginité. Tu vas bien te détendre et je vais m’offrir ton mignon petit cul. OK ma puce…

Ma puce… me fait vaguement penser à mon grand-père…

Je hoche de la tête mes yeux fixée sur sa grosse queue.

— Ma chérie… Je vais faire ça parce que sais que tu aimes le sexe, que tu en jouisses par ta chatte, ta bouche et par ton cul. Comme ça, je t’aimerais pleinement et tu seras entièrement à moi. Remets-toi à quatre pattes.

Je n’en reviens pas que je suis sur le point de me faire enculer. Cet homme me manipule comme il veut, mais…

— Paul… sois gentil… s’il te plaît…

— Bien sur mon ange… je ne veux que ton plaisir… et le mien…

Oui, ce Papy est un démon qui me domine, me fascine. Je ne suis qu’un jouet entre ses mains, sa bouche, son sexe, qui me procurent des jouissances incroyables, merveilleuses.

— Paul, vas-y. Je suis prête. Prends-moi, prends mon petit cul comme ça je t’appartiendrais entièrement et tu verras que tu peux tout faire avec moi. Vas-y encule ta petite Flora.

Vicieusement je tortille du cul pour l’exciter encore plus. Paul a raison de me traiter de salope. C’est ce que je suis devenue en même pas trois jours et c’est merveilleux d’être entre les mains d’un homme d’expérience en la matière.

Paul, agenouillé derrière moi, remets sa bite dans ma chatte pour la baiser doucement comme s’il voulait s’assurer qu’elle est bien graissée avant de la mettre dans mon petit trou cajolé par un de ses doigts. Mon anus palpite sous cette caresse anale et lorsque deux doigts s’enfoncent un peu dedans, il se contracte par pur reflex. Je me détends et ses doigts glissent doucement dans mon cul.

C’est très agréable en comparaison du plug et je remue même du cul en me poussant en arrière pour qu’il les enfonce le plus loin possible, en signe d’acquiescement à cette intrusion.

Sa queue se retire de ma chatte et je sens son gland sur mon anus. Le frottement de son sexe sur mon cul fait palpiter ma corolle et lorsque que Paul donne de petits coups reins pour toquer à cette porte bien souvent interdite, mon petit trou s’ouvre comme une petite méduse.

— Bon dieu ! Flora… quel cul ! Je vais t’enculer !

Je ne peux répondre car son gland pénètre dans mon rectum. Je gémis et je souffle sous cette intrusion.

— Ooooohhh… la vache ! Pauuull…

— Ça va mon bébé ?

— Oui… Paul… Vas-y … doucement…

Il pousse un peu plus fort et je sens son gland glisser dans mes entrailles. Mon anus a gobé le bout de sa bite comme une plante carnivore affamée !

Il continue de s’enfoncer un peu plus loin.

— Ooohhh, Paul ! Je la sens ! Ta bite s’enfonce dans mon cul !

Sa bite glisse comme une lame chaude dans une motte de beurre et il se retrouve collé à mes fesses, son sexe drôlement dur complètement enfouie dans ma gaine anale restée inexplorée jusqu’à ce jour.

Je n’ai rien dit jusqu’à ce moment-là pour qu’il ne me prenne pas pour une petite fille fragile mais quand ses couilles s’écrasent sur ma chatte, je gémis longuement.

— OOoohhhhhh, Paul ! Oooooooohhhhhhhhhh… mon Dieu…… Tu es entièrement dans mon… cul ?

— Ouiiii ma Flora. Je suis dans ton petit cul.

— Aaahh, Paul, tu m’éclates le cul !

— Tu veux que je me retire ?

— Surtout pas ! Attends juste un petit peu.

C’est très différent que lorsqu’il me pénètre par-devant. Mon trou du cul est tellement crispé sur sa queue que je sens les battements de son cur… ou le mien. Je ne sais plus bien…

Petit à petit je sens mes muscles annaux qui se détendent. La pression sur sa queue diminue et il commence à bouger doucement puis à pistonner mon petit cul si étroit.

Aux petits gémissements que je pousse, Paul doit comprendre que maintenant j’aime avoir sa bite dans mon cul.

Quand je crie.

— Ouiiii, Paul ! C’est boooonnnn ! Plus fort ! Défonce mon cul Paul !

Il se lâche et ne retient plus ses coups de queue dans mon cul. Je ne suis plus la petite fille sage à sa maman. Je suis devenue une salope, une chienne qui se fait monter par son mâle. J’accompagne aussi ses coups de reins en gueulant.

— Ouiiiiiiiii ! Plus vite ! Plus foooorrrt !

On est devenu deux sexes qui baisent frénétiquement, presque sauvagement, qui se cherchent à la recherche du plaisir ultime, d’un orgasme qui nous anéantira, repus d’une jouissance presque incestueuse car il a l’âge de mon grand-père que je n’ai presque jamais connu.

Ce n’est pas un rêve… sa queue glisse sans problème dans mon petit trou et je gémis en bonne salope soumise à son maître qui pilonne le cul de sa soumise, faisant une pose de temps en temps pour caresser mes seins qui pendent sous moi et jouer avec mes tétons.

— Flora… Ton cul est brûlant ! J’ai du mal à me retenir de jouir !

— Vraiment Paul… mon cul est bon… il te plaît… encore plus étroit et bien serré sur ta belle queue…

— Petite salope ! Je n’ai jamais baisé un cul aussi sexy que le tien ! J’ai l’impression de dépuceler une jeune vierge !

— Mais c’est le cas Paul ! J’étais vierge ! Là aussi !

Je joue les salopes mais sa queue me fait quand même un peu mal et je suis contente quand je sens ses couilles se presser de nouveau sur ma chatte et qu’il ne bouge plus du tout.

— Ooohhh, Paul… tu es tout en moi… Toute ta grosse queue est dans mon cul !

— Oui ma belle ! Tu vois, tu es maintenant deux fois femme ! Par ta chatte et par ton cul !

Il se retire lentement et j’ai presque envie de rire car ça soulage mon trou du cul comme si j’évacuais un gros colombin. Mais quand il se renfonce doucement ça me fait gémir car la sensation n’est pas la même. J’imagine que c’est le pire outrage pour une jeune fille mais que je l’accepte car il me procure des frissons de plaisir qui partent de mes entrailles pour envahir tout mon bas-ventre.

Sous mes gémissements, Paul m’encule de plus en plus vite pour me faire gueuler de plus en plus fort. Il s’arrête un instant pour écraser mon clitoris avec ses doigts tout en restant bien enfoncé dans mon intestin.

Ma chatte coule comme une fontaine et il enfonce ses doigts dedans. Encore quelques coups de queue dans mon petit cul et il pince mon clito en bougeant juste ses hanches avec sa bite enterrée dans mon cul.

Je suis au bord de l’orgasme

— Aaaaahhh, Paaauuuuul… je vais encore jouir… Oooohhhhh… putain, vas-y baise mon cul !

Mes gémissements se sont transformés en cris d’oiseaux et je l’ai même traité de tous les noms quand il a enfoncé une nouvelle fois ses doigts dans ma chatte.

Un fulgurant orgasme éclate dans mon corps et j’agite mes jambes dans tous les sens pendant qu’il me pilonne avec sa queue, la fourrant sans pitié dans mes entrailles pour me faire crier encore plus.

— Ouiii ! Ouiiii ! Encore ! Plus fort ! Défonce mon cul salaud ! AAAaaaaahhhhh… Putain !

Je tombe à plat ventre sur le lit, le corps tétanisé et je sens qu’il tente de se retirer de mon cul. Je contracte mes muscles fessier et anal et je crie.

— NON ! Reste dans mon cul ! Jouis Paul ! Jouis dans mon cul ! Fourre-moi comme une salope et remplis-moi de ton foutre chaud !

Si ma mère m’entend elle doit s’évanouir de honte.

Nous sommes tous deux en sueur avec l’intensité physique de notre baise sauvage et je sens bien que Paul est au bord de sa jouissance.

— Ouiii mon ange ! Je vais me vider les couilles dans ton petit trou !

Son corps se raidit, il se retire un peu de mon cul et il me sodomise d’un coup sec, plongeant sa queue toute gonflée au fin fond de mes entrailles, pour tirer des salves de sperme dans mon rectum, pendant un temps qui me semble durer plusieurs minutes.

— OOOoohhhh, Paul… Je te sens ! Tu remplis mon cul de ton foutre chaud ! Paul… Oooohhh Paul ! Je jouiiiisssss encoooore… avec toi.

Sous ce nouvel orgasme, je gueule de plaisir et mon corps sursaute sous mes spasmes de jouissance. Paul doit me maintenir par les hanches pour rester dans mon cul qui se contracte sur sa queue qui tressaute et qui n’en finit pas de remplir mes entrailles.

Épuisée, sans force, Je me laisse tomber sur le lit et sa bite est éjectée de mon cul comme un bouchon de champagne, avec un bruit un peu plus atténué, un son mouillé.

Je sens que Paul s’agenouille au-dessus de moi et quelques gouttes de sperme tombent sur mes fesses encore tremblotantes et rougies par cette sodomie un peu brutale.

Paul ne bouge pas et il doit sûrement admirer mon trou du cul qui se referme doucement et, comme il dit, mes adorables fesses bien rondes et fermes, qu’il caresse maintenant avec amour. Quand un de ses doigts passe dans la raie de mes fesses, je les contracte et je me tourne pour me mettre sur mon dos en écartant largement mes cuisses.

— Paul… je suis toute brûlante… et toujours excitée … Fais-moi une petite minette avec ta bouche.

— Flora… ce n’est pas possible… Moi qui croyais que tu en aurais assez… tu es insatiable…

— A qui la faute ?

Sa tête entre mes jambes, il embrasse tout d’abord mes cuisses et toute la zone mouillée autour de ma chatte. Je l’entends humer et respirer la chaleur chaude de mon sexe et je comprends la signification « une femme chaude du cul ».

Impatiente de me faire bouffer ta chatte, j’attire sa tête dessus mais il se recule pour mettre ses doigts dedans. Il frotte légèrement mes grandes lèvres extérieures et mon corps sursaute à chaque touché.

Je gémis de plaisir quand mon clito se gonfle encore plus et répond à ses caresses en sortant complètement de sa capuche pour attirer l’attention de mon amant.

Il le piège entre ses doigts et il finit de s’allonger pour ressembler à un beau gland de chêne. Ses lèvres glissent du bas de ma chatte jusqu’à mon bouton d’amour et mon bassin se tortille de plaisir. Je frotte ma chatte sur ses lèvres et lorsqu’il sent mon clito, il l’emprisonne entre ses lèvres et l’aspire dans sa bouche pour le déguster comme la meilleure des friandises.

Ensuite, prenant mes jambes par le derrière de mes genoux, il les soulève pour les mettre sur ses épaules et il écrase sa bouche sur mon sexe pour l’embrasser comme si c’était ma bouche. Je geins de bonheur et il passe sa langue tout le long de mes lèvres vaginales humides et chaudes mais sans toucher mon clitoris. Je le supplie

— Ooooohh, Paul… suce-le. Suce mon bouton, s’il te plaît…

Tout mon bas-ventre frisonne sous ses caresses et suçons et lorsque que je le supplie de nouveau en gémissant, il plonge sa langue aussi profondément qu’il peut dans ma chatte.

Je crie de plaisir quand sa langue explore l’intérieur de ma chatte en tournicotant. Instinctivement, j’attrape sa tête pour la plaquer sur ma chatte et je le supplie de nouveau de dévorer mon clito. Je suis de nouveau une femelle en chaleur qui implore son Maître.

Ses lèvres se referment sur mon clitoris et l’aspire pour le téter comme un bébé affamé tête le téton du sein de sa maman, goulûment.

Je deviens comme hystérique et je frappe sa tête de mes mains avant de m’éclater dans un super-et énième orgasme qui projette ma mouille sur son visage et dans sa bouche. J’ hurle comme une suppliciée sur sa croix et j’essaye de le repousser.

— Arrête Paul ! ARRÊTE ! Mon cur va lâcher ! J’en peux plus !

Il me lâche et le corps frissonnant, je reste étendue, haletante, jusqu’à ce que mon orgasme s’apaise.

Apaisée, il m’embrasse passionnément en mêlant sa langue à la mienne avant d’embrasser ma chatte, pour goûter à mon jus de jouissance en plongeant sa langue dedans et reprendre ma bouche pour partager avec moi le fruit de mon plaisir.

Sur mon ventre, je sens sa bite de nouveau en érection maximum. Il se déplace entre mes jambes et il s’enfonce dans mon sexe dégoulinant de cyprine. J’enroule mes jambes autour de ses hanches et je lui dis.

— Paul… Paul… on peut plus se décoller ! Et tu m’as l’air sacrement excité vu ce que je sens dans ma chatte.

— Mon amour, comment veux-tu que je ne sois pas toujours excité avec une belle jeune fille aussi gourmande de sexe comme toi !

Mon sexe se contracte sur le sien et il commence à me baiser une nouvelle fois.

— Ouiii, Paul… prends-moi bien, mon pépé d’amour. Qu’est-ce que je te sens bien.

D’un grand coup de reins, il s’enfonce au fin fond de ma chatte toute chaude et son gland s’encastre dans le col de mon utérus.

— AAAAaaaahhhh, Paul…

Mon vagin se contracte plusieurs fois sur sa bite et mon corps est traversé par une vague de plaisir accompagnée d’un long gémissement avant de lui ordonner.

— Baise-moi Paul ! Je te veux tellement. Toi et ta grosse bite qui me donnent tant de plaisir.

Il s’agrippe à mes hanches et il me baise, il me pilonne de toutes ses forces qui lui restent. Il doit même se faire mal aux couilles car elles frappent durement mon cul quand sa queue se perd au plus profond de ma chatte détrempée.

J’accompagne chaque coup de bite par des,

— Oui ! Oui ! Ouiii ! Ouiiiiiii ! Encooore !

En soulevant mon bassin pour prendre sa queue le plus loin possible.

Le lit craque sous cette baise féroce, bestiale, qui dure de longues minutes. Mes jambes enserrent sa taille et je la broie quand j’ai encore un orgasme qui explose dans tout mon corps. Ma chatte qui enveloppe sa queue la presse pour lui faire cracher son jus. Il reste en moi, profitant de mon orgasme et je me demande s’il pourrait jouir une nouvelle fois…

Mais c’est sans compter sur ma perversité sexuelle que je viens de découvrir depuis qu’il est mon amant.

Je le repousse pour le coucher sur son dos et poser ma tête près de sa queue. Tout juste remise de ma dernière jouissance, je lui taille une pipe magistrale. Excitée comme jamais par notre baise sauvage, je sens que je vais le faire jouir avec mes compétences fraichement acquises pour la fellation.

— Paul, préviens-moi quand tu vas juter.

Tout son corps tremble et se tend me prévenant de l’éminence de l’éruption.

Je prends sa bite dans ma main et je la branle. Mon rythme s’accélère et son sexe se gonfle de plus en plus. Avec mon autre main, je prends ses couilles enflées et j’effleure d’un doigt son périnée.

Paul a une convulsion et un petit cri de douleur lorsque qu’il jouit en criant mon nom. Il se vide les couilles pour remplacer la douleur par un plaisir infini et une délivrance salutaire.

Jets après jets son sperme va maculer son estomac et sa poitrine et je continue de le branler jusqu’aux dernières gouttes qui suintent de son gland et gouttent sur ses poils pubiens et mes doigts.

Puis, j’aspire le reste de semence qui est sur sa bite, je lèche ma main et je claque mes lèvres en disant.

— Je voulais te regarder jouir. C’est beau à voir. Je t’aime Paul… et j’adore ton sexe. Tu as l’âge de mon grand-père que je connaîtrais peut-être un jour, mais je m’en fou complètement. Je t’aime d’amour et… je vais rester avec toi. Toute ma vie…

— Moi aussi je t’aime mon ange… Mais je pense que si on continue de baiser au même rythme… je ne vivrais pas très vieux… Mais… on verra bien… Tu es tellement désirable ma petite salope… à moi… rien qu’à moi.

Il me serre dans ses bras pour embrasser mon corps en sueur et une de ses mains recueille son sperme qui coule hors de mon cul pour masser mon ventre et mon pubis avec.

Je suis dans un état secondaire, heureuse et comblée, saturée de plaisir, repue, sans force et je m’endors comme une petite fille bien sage qui a bien fait ses devoirs et réussie son examen de passage.

A suivre

Phantome

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire