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Flora – Chapitre 5

Flora - Chapitre 5



Le soir et dimanche matin nous avons encore fait l’amour, mais beaucoup plus tendrement que samedi. Paul m’a avoué qu’il était HS, les couilles complètement vides et que j’étais véritablement une belle petite salope, gourmande de sexe et insatiable. Il a entièrement raison car depuis qu’il est mon amant je ne pense qu’à ça.

Pour preuve, ce lundi matin, je suis partie de très bonne heure pour le surprendre au lit et profiter encore de sa belle queue.

Avec la clé qu’il m’a donnée, je me faufile discrètement jusqu’à sa chambre et, comme une couleuvre avale une souris, je gobe dans ma bouche son sexe à moitié bandé.

Paul sursaute et à moitié réveillé il me dit.

— Putain ! Je ne rêve pas ! C’est toi ma chérie.

— Bien sûr que c’est moi ! T’attendais quelqu’un d’autre !

— Non, mon amour. Ma queue dans une bouche de velours, avec une langue qui s’enroule autour et qui me la caresse d’une telle façon, je sais tout de suite à qui elle appartient.

Ma tête commence à aller-venir sur son sexe et je réussis merveilleusement à avaler toute sa bite jusqu’à enfouir mon nez dans ses poils pubiens et la sucer profondément sans avoir l’air de reprendre ma respiration.

Comme chaque fois que je l’ai en bouche, je me régale un petit moment mais son sexe explose et j’ai ma crème matinale en guise de petit-déj.

J’avale chaque giclée de sperme chaud en enserrant bien de mes lèvres sa queue qui sursaute, pour bien la masser avec ma langue, afin d’extraire le plus de sperme possible de ses couilles à peine réveillées.

Paul, sans bien s’en rendre compte, donne des coups de reins pour baiser ma bouche jusqu’à ce que son sperme et sa jouissance s’épuise.

Je retire son pénis de ma bouche inondée, je relève ma tête et je viens près de son visage pour lui montrer ma bouche pleine de son sperme avant de déglutir mais, manque peut-être d’habitude, des traînées blanches et crémeuses de foutre dégoulinent de mes lèvres. Avec ma langue, je les récupère goulûment pour les avaler bruyamment en claquant ma langue. Pour finir, avec un de mes sourires salaces, je recueille d’un doigt quelques gouttes qui sont tombées sur mon menton et je masse la peau de mon visage comme si j’utilisais ma crème de beauté matinale.

— Tu as un goût délicieux, pour un vieux !

— Salope ! Tu veux une bonne fessée !

— Tu sais bien que j’ai besoin de ma dose quotidienne de ton sperme dans ma bouche mon, pépé d’amour, ou autre part… sinon je suis en manque. D’ailleurs… aurais-tu une petite idée en tête pour pimenter nos relations sexuelles…

Paul semble réfléchir et il me dit.

— Vu ton besoin de sexe il va falloir que je sois inventif car je ne suis plus de la première jeunesse… tu devrais peut-être… prendre un amant plus jeune que moi.

— Ah, non ! C’est toi que je veux !

— Bon… avec moi… mais une deuxième bite ne serait pas superflue pour satisfaire ta boulimie de sexe ! On pourrait ajouter une troisième personne, non ? Pour prendre le relais si je demande grâce.

— Salaud ! Tu vois, tu me prends pour une pute ! Je ne te suffis déjà plus ! Il faut que tu me regardes baiser avec un autre pour t’exciter ?

— Mais non, c’est pour toi, pour ton plaisir ! Pour satisfaire tes besoins de sexe, de jouissance. Avec un autre homme ou même une femme…

Je réfléchi quelques secondes et avec un petit sourire qui en dit long et ma main qui caresse son sexe, je lui réponds.

— Pour mon plaisir… ou pour le tien… Si c’est vraiment pour moi je penche plus pour une personne masculine, plus proche de ton âge que du mien. Pour le reste, je te laisse imaginer. Tu es très fort pour deviner mes envies et mes fantasmes.

— J’ai un vieux copain, légèrement plus jeune que moi. Aussi pervers que moi, voir même plus. Son truc c’est le cul et les petits trous étroits de jeunes filles. Comme le tien. Si tu n’as pas peur de te faire bouffer la chatte par un goret et défoncer ta rondelle, je peux lui passer un coup de fil.

— Après ce que tu m’as fait je n’ai plus peur de rien. J’ai même l’impression, non je suis sûre, que ça te plairait de me regarder en train de sucer une bite et me faire baiser par quelqu’un d’autre. Je te laisse faire vieux salaud. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.

L’après-midi Paul m’appelle pour me dire.

— J’ai appelé mon vieux copain Charles et on est invités à l’apéro. Ne met pas de slip. Je veux que tu l’excites un peu. Tel que je le connais, il te mettra la main au cul dès que j’aurai le dos tourné !

Ben dis donc… t’as pas perdu de temps, vieux cochon ! Mais je te l’accorde, depuis que tu m’as proposé un trio sexuel, je ne pense qu’à ça, je sens que la soirée va être palpitante

Avant de retrouver mon amant Paul, j’enfile une robe ultra-courte et lorsque nous arrivons chez le dénommé Charles, celui-ci a vite remarqué que je n’avais pas de slip.

Faut dire que je l’ai chauffé à mort ! Et que je te croise les jambes, que je les décroise, en laissant mes cuisses un peu écartées.

Quand je me penche pour prendre mon verre sur la table basse, je lui offre une vue imprenable sur ma poitrine et les yeux écarquillés, il bave de désirs avec un peu de salive au bord de ses lèvres.

Je fais semblant d’aller aux toilettes pour entendre ce que ses deux vieux pervers vont se dire en mon absence.

Charles dit à Paul que je suis une sacrée allumeuse, sexy au diable, qu’il a une envie folle de me sauter et qu’il bande comme jamais ! Sous-entendu, il lui demande carrément son accord pour baiser sa maîtresse.

Paul lui répond que c’est son problème, que je suis majeure et vaccinée ! Et aussi que je suis une superbe salope accro au sexe.

C’est au tour de Paul de sortir de la pièce et lorsqu’il est revenu quelques minutes plus tard, Charles m’embrassait les cuisses à genoux entre mes jambes !

Faut dire que je n’ai opposé aucune résistance lorsque sa main s’est faufilée sous ma robe pour caresser ma cuisse nue.

Je m’offre entièrement à sa lubricité. Je me suis allongée sur le canapé du salon et il dévore ma chatte comme un goret affamé. À grands coups de langue.

Ses mains passent sous mes fesses pour soulever mon cul, et sa bouche, trempée de mouille, descend plus bas pour lécher mon anus. Je couine de surprise sous le regard ironique de Paul qui n’en perd pas une miette.

Paul s’approche de nous et voyant sa queue qui déforme son pantalon je la saisis dans ma main.

Huuumm… bien dure comme je l’aime. Je sens que je vais passer une très bonne soirée avec ces deux cocos passablement excités.

Je masse la queue de Paul à travers son pantalon et il se penche vers moi pour m’embrasser goulûment. Sa bouche dévore littéralement la mienne. Je ne peux retenir des petits cris de plaisir car son ami me bouffe littéralement le trou du cul. Mes doigts experts extirpent la queue de Paul de son pantalon, et je me détache de ses lèvres pour les remplacer par sa queue. Je fais courir ma langue dessus, puis je viens déposer mes lèvres sur son gland luisant et gonflé de plaisir…

Charles, qui se rend compte que Paul est revenu, retire sa tête d’entre mes cuisses et voit que je suce la bite de Paul.

— Ben mon vieux, elle est bonne cette petite ! Tu te la tapes aussi cette minette ?

— Bien sûr vieux cochon. Tu vas voir ! Si on allait dans ta chambre.

On se retrouve tous à poil dans sa chambre et je pousse Paul sur le lit pour m’agenouiller entre ses jambes et reprendre son sexe dans ma bouche. Je suce toute sa queue en caressant ses couilles.

Charles nous regarde en se branlant et je lui montre mes talents de suceuse en avalant entièrement la queue de Paul en massant même son gland avec ma gorge. Paul saisit ma tête entre ses mains et il se met à baiser ma bouche. Charles s’agenouille derrière moi et glisse son sexe dans ma chatte qu’il a si bien préparée pour recevoir son gros pénis.

Je bouffe carrément la queue de Paul alors que Charles me baise assez fortement. Quand j’enfonce un doigt dans l’anus de Paul, je provoque son orgasme et il éjacule, m’envoyant sa première giclée de sperme directement dans mon gosier et le reste dans ma bouche. J’avale toute sa bonne crème et je continue encore à le sucer pour le vider totalement.

Paul se couche sur le lit pour se remettre lentement de sa forte jouissance et il regarde Charles me baiser violemment tellement je l’ai excité avec sa bite dans ma bouche de jeune fille qui avalait tout son foutre. Il me défonce jusqu’à ce que je jouisse et que je crie de plaisir lorsque je sens qu’il se vide les couilles dans ma chatte aussi gourmande que ma bouche.

Couchée sur le dos, je les regarde en caressant mes seins et mes tétons tous raides, Vicieusement et par provoc, je leur dis.

— Alors mes cochons… prêts pour une autre partie……

J’ouvre largement mes cuisses et je caresse ma chatte.

Sous leur regard pervers, j’écarte bien mes lèvres intimes pour laisser couler le sperme de Charles mélangé à mon jus et ils se remettent à bander rapidement.

— Viens Paul, viens me baiser.

Je relève mes cuisses pour m’offrir impudiquement à ces deux cochons et Paul plonge entre mes cuisses pour m’enfiler sa belle queue dans mon sexe dégoulinant de jus.

Charles se précipite pour mettre sa bite devant ma bouche et c’est à son tour de se faire sucer par une pro de la fellation que je suis devenue grâce aux conseils de Paul.

Au début, Paul me baise lentement pour bien profiter de ma chatte et je contracte mes muscles vaginaux pour resserrer mon vagin qui vient d’être malmené par la grosse queue de Charles. Avec Charles qui baise ma bouche, ses couilles dans mes mains et Paul qui va-et-vient sans arrêt dans ma chatte, je ne mets pas longtemps à jouir une nouvelle fois.

— OOOOHHH Paul ! Salaud ! Tu me fais jouir ! AAAAaahhh.

Ses mains sur mes seins il entretient mon orgasme en roulant et pinçant mes tétons tous durs.

J’ai lâché la bite de Charles en jouissant et quand Paul s’écroule à côté de moi, il se précipite pour prendre sa place entre mes cuisses.

Je croyais qu’il allait me baiser une seconde fois mais il écrase sa bouche sur ma chatte pour, juste à temps, avaler tout le jus de ma jouissance mélangé à celui de Paul. Du coup, autant de perversité ravive mon orgasme et je suis obligée de le repousser un peu pour échapper à sa bouche gourmande

Paul me murmure dans l’oreille que comme dab’ j’ai été fantastique et après un moment de repos ou Charles fait des éloges sur ma beauté, ma façon de sucer et sur la chaleur de ma chatte, je lui glisse dans son oreille.

— Tu me rends folle d’amour, et de jouissance… tu sais exactement quels sont mes fantasmes, et à quel moment précis j’en ai besoin. Tu sais ce que j’ai envie ?

— J’ai une petite idée mais j’aimerai t’entendre la dire…

— Là… maintenant… j’aimerais beaucoup que vous me baisiez ensemble… avec vos deux belles queues…

— C’est bien ce que j’avais en tête. Plus rien n’arrête ta soif de sexe ! Tu nous laisses juste un peu récupérer.

Après un rafraîchissement bien venu et alcoolisé, je me suis comportée comme une vraie pute pour les exciter à mort !

Je me suis amusée avec leurs bites jusqu’à ce qu’elles soient à nouveau opérationnelles, bien dressées, le gland baveux par ma salive.

Paul se couche sur le dos en tenant son sexe bien verticalement et je le chevauche pour me laisser tomber sur sa queue avec un grand soupir de satisfaction. Dieu que c’est bon d’avoir une belle bite dans sa chatte.

Soupir vite transformé en gémissements quand Charles plonge un de ses doigts dans mon anus, puis deux, pour préparer le petit trou qu’il aime particulièrement.

Puis, sans aucune difficulté, malgré la grosseur de son sexe, il l’a glissé lentement dans mon trou du cul. Gémissante, la bouche ouverte, je sens la progression de son gland dans mes entrailles et lorsqu’il écrase ses couilles sur mes fesses et le bas de la bite de Paul, je m’écrase sur Paul pour prendre sa bouche et l’embrasser fougueusement.

Charles doit sentir la bite de son copain à travers la fine membrane qui sépare mes cavités d’amour et il commence à m’enculer lentement mais toujours bien à fond à chaque fois. Charles grogne comme un goret et ça doit faire un moment qu’il n’a pas profité d’un petit cul aussi joli et si étroit que le mien. Avec des gros mots et en me traitant de grosse salope il ne tarde pas à se vider dans mon petit trou.

Il se retire et non satisfaite je supplie Paul.

— A ton tour, Paul. Prends-moi aussi par le cul !

Repoussant d’un coup de reins Charles qui restait dans mon cul, je me mets à quatre pattes pour offrir à Paul mon magnifique postérieur et mon trou du cul béant qui s’ouvre et se referme comme un appel au viol.

Dès que Paul pose son gland sur mon trou du cul, je recule pour le faire entrer dans mon anus. Paul me bloque en me prenant par mes hanches et lentement, très lentement, il pousse sa bite dans mon rectum. Il doit vouloir que je sente bien que c’est sa bite qui prend mon petit cul et qu’il va me sodomiser avec amour, contrairement à Charles qui vient de m’enculer comme un pervers sauvage.

J’apprécie cette attention et sa lente pénétration

— Oooohh, ouii, Paul ! Je la sens bien ta queue ! Remplis-moi bien. Ouiiiiiiii, plus loin ! Ouiiiiiii ! Super !

Ses yeux sont fixés sur mes fesses que j’écarte de mes deux mains. Dommage que Charles ne pense pas à filmer cet instant sublime pour que je voie le sexe de Paul s’enfoncer dans ce cratère interdit par les bien-pensants de notre société ou les culs bénis.

D’un coup de reins c’est moi qui absorbe dans mon boyau la totalité de sa bite et je cherche de ma main ses couilles qui sont venues s’écraser sur ma chatte trempée de cyprine.

Je profite de sa queue qui palpite dans mon cul comme ses couilles qui sursautent dans ma main qui les caresse.

Puis Paul me baise le cul en de longs allers-retours.

L’espace d’un instant, en voyant Charles qui se branle en nous regardant, je me dis que je suis perdue à jamais et qu’il faudrait m’enfermer dans un centre spécialisé sur les addictions sexuelles pour reprendre une vie normale.

Ces pensées s’envolent plus vite qu’elles sont arrivées car j’entends Paul grogner de plus en plus fort.

La vision de la corolle sombre de mon anus qui s’ouvre et se referme sur sa queue, associée à mes gémissements de plaisir, d’éclanche son orgasme qu’il ne peut retenir plus longtemps.

Je sens qu’il pousse son sexe le plus loin possible et il lâche un flot de sperme dans mon rectum.

Il continue quand même à me baiser lentement et mes muscles anaux se contractent autour de sa bite pour son plus grand plaisir.

Il reste en moi quand je m’écroule sur le lit. Il passe ses mains sous mon corps pour prendre mes seins et sa bite tapie au fond de mon fondement qui palpite, il me dit des mots d’amour.

Mais moi aussi j’ai encore envie de jouir et je passe ma main entre mes jambes pour caresser ma chatte et mon clito.

Paul se retire de mon cul, me retourne pour me mettre sur le dos et il enfouit sa tête entre mes cuisses pour prendre soin avec sa bouche et sa langue de mon superbe clitoris qui n’a jamais été autant érigé.

J’ai rapidement mon orgasme en arrosant sa bouche de mon jus de chatte qui est de plus en plus abondant. Il doit encore avoir sa queue bien bandée car il remonte sur mon corps en pleine jouissance et il plonge sa queue dans ma chatte brûlante pour la baiser et entretenir mon orgasme le plus longtemps possible.

Quand j’arrête de gémir et que ma chatte ne se contracte plus sur sa queue, il se retire de mon sexe. Il replonge sa langue entre mes lèvres intimes pour parachever cette jouissance qui m’anéantit et boire mon jus de chatte qui commençait à couler sur mes cuisses.

Ses lèvres se ventousent sur ma chatte en créant une puissante aspiration. Mes grandes lèvres suivies des petites, sont comme soudées à sa cavité buccale et ne forment plus qu’un seul organe. Je me vide dans sa bouche et il avale mes nouvelles sécrétions provoquées par ce cunni qui me fait perdre la notion du temps et de l’espace. Il me maintient ainsi dans un niveau de jouissance permanente jusqu’à ce que je m’évanouisse en relâchant sa tête que je tenais serrée entre mes cuisses.

A suivre

Phantome

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