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Fringale… – Chapitre 1

Fringale... - Chapitre 1



Fringale : "Faim insatiable, pressante et subite. Sensation poussant une personne ou tout être vivant à assouvir sa faim rapidement." 

Rire !

Une photo, un magnifique brun, mon appétit éveillé !

C’est dans un hôtel parisien que nous nous sommes donnés rendez-vous, il s’est chargé de la réservation, m’a transmis l’adresse, le numéro de la chambre. J’arrive en avance. Je découvre un hôtel cossu. Le réceptionniste m’indique la direction. A tout hasard, je toque à la porte pas de réponse, je tente d’ouvrir, ce n’est pas vérouillé, j’entre. C’est une très jolie chambre, spacieuse, raffinée. Je remarque rapidement un sac, une veste Ou est’il ? Je balaye encore une fois la pièce du regard une porte. La salle de bain sans doute.

Sourire.

J’ôte mon imper, mes chaussures. Sans bruit, j’avance et entrouvre à peine. Bruit d’eau chaleur humideeffluve parfumée il est sous la douche ! Je ne résiste pas, j’ouvre juste un peu plus et je le vois !

Pfiouuu ! Il est magnifique !

De dos il se rince les cheveux, le mousse blanche lui coule sur la nuque, descend le long de sa colonne vertébrale, attire mon regard sur son superbe cul, en suit le sillon ! Coup de chaud, je m’en mordille les lèvres. Soudain, il se retourne, ses yeux sont fermés, il se frictionne toujours la tête, l’eau savonneuse arpente son torse, son ventre j’en suis le parcours du regard plus bas encore Il est au repos et pourtant, j’en ai le ventre qui se vrille, la bouche qui s’assèche. Une folie me vient à l’esprit une pulsion irrépressible !

Je dois me dépêcher, le savon aura bientôt totalement disparu, il rouvrira les yeux. Sans plus d’hésitation, j’enlève ma robe… je le rejoints en culotte et bas, me mets à genou assise sur mes talons devant lui. Je n’ai juste qu’à lever le menton pour atteindre le bout de son sexe mou m’y abreuver de cette eau devenue claire le gober tout entier ! Je le surprends, il sursaute, je lève les yeux, il me regarde effaré !

Bien que bouche pleine, je peux esquisser un sourire moqueur avant de retourner à mon petit plaisir égoïste ! Oui ! Je l’aime mou aussi. J’aime cette consistance particulière, souple mais résistante ! Je tête, je le fais rouler sur ma langue, le presse contre mon palais l’aspire, l’allonge Fugace gourmandise, déjà, je le sens croitre, enfler, raffermir Bientôt, c’est naturellement qu’il sort de ma bouche, que mes lèvres perdent le contact de son bas ventre Je lève les yeux les siens me scrutent, indéfinissable ! Presque noirs étincelants !

Je le défie !

Je serre les dents sur sa hampe !… Tu bouges je mords ! Sur son visage, je décèle l’amusement avec un zeste de contrariété, il n’est pas homme à se laisser soumettre, définitivement pas !

D’un signe des mains nonchalant, il m’indique qu’il abdique.rire ! Désormais dressée sur mes genoux, une main cajolant ses bourses, l’autre maintenant sa hampe devenue massive, c’est à son gland que je prodigue mon attention. Rouge foncé, gonflé et rond , c’est d’abord à petits coups de langue que je le goûte, que je le savoure puis entre à pleine bouche que je l’accueille, dévore ce fruit tant désiré ! Je l’entends soupirer, hoqueter Ses mains se posent délicatement sur ma tête. Peu à peu l’étau de mes lèvres se referme, se resserre autour de lui, ma langue l’enrobe.

Il tente de s’enfoncer Non ! D’une pression de la main qui tient ses gonades, je le rappelle à l’ordre ! Il grogne.

— . Garce !

Je le regarde il ne peut rater ma jubilation.

Lentement, très lentement, je coulisse de moi-mêmejuste un peu ma langue sur son frein mes lèvres formant un anneau étroit j’accélère accélère encoreralenti l’observe il apprécie mais est en attente, il veut plus Je le frustre me retire le lèche sur sa longueur tout en malaxant ses couilles. Mes doigts glissent plus loin entre ses cuisses, sur ce qui n’est plus tout à fait son sexe, poursuivent, affleurent à cet interdit peut-être reculent, non, une autre fois. Sa hampe est luisante de ma salive, tendue, dure Son gland perle.

Je vais cueillir ce délicieux jus, m’en délecte d’une langue pointue dans ce petit trou, je vais le faire jaillir, le récolte goulument. Il gémit.

Ses doigts s’enfoncent dans ma chevelure, se contactent Son regard est foutorturé furieuxsauvage ! Je l’ai amené où je le voulais une dernière fois, je le provoque, je souris Je lui attrape les hanches

— Viens chaton ! Baise-moi !

Je le reprends en bouche sans le quitter du regard. Il me fusille du sien !

— Tu l’auras voulu jolie garce !

Me maintenant la tête, il s’enfonce. Se met à aller et venir, toujours plus profondément Plus vite, plus brusquement. Il coulisse sur ma langue, je l’enrobe, l’accueille. Je suis le mouvement, m’adapte à ses coups de reins. Détends ma mâchoire, ma gorge. Mes narines se dilatent, je respire fort, contrôle ne pas étouffer ne pas le relâcher Mes mains s’accrochent à ses fesses Mes oreilles bourdonnent Il doit parler ou gémirje ne sais pas, je ne sais plus. Tenir, tenir Résister. Résister aux réactions naturelles de réjection. Laisser les larmes couler, rouler sur mes joues Laisser s’échapper la salivedégouliner

Il laisse libre cours à ses pulsions, il ne me laisse pas de répit, je tiens le défi ! Il m’envahit, me possède me comble. Soudain, ses mains se raffermissent, il m’empêche de m’échapper, il cogne au fond de ma gorge qui par reflexe se contracte, spasme autour de lui, je perçois un cri, il se retire juste un peu et explose dans ma bouche. Il se déverse à gros flots, encore et encore, il palpite Essoufflée, la bouche trop pleine, je ne peux tout avaler je laisse s’écouler de ma bouche salive et liqueur Peu à peu, je le sens se rapetisser, ramollir son étreinte se radoucir. Je lève les yeux. les siens sont clos, son visage est détendu, un sourire de bien être s’y dessine. Doucement, je le reprends des doigts, je lèche jusqu’à la dernière goutte. Le relàche.

Il me regarde.

D’un revers de main, je m’essuie grossièrement le visage.

Il rit.

Il se met à ma hauteur, attrape un pommeau de douche, doucement me lave le visage maculé de sa sève mêlée aux « coulures » de maquillage.

— C’est mieux ainsi joli garce !

— Ravie que ça te plaise chaton ravie de faire ta connaissance !

Eclats de rire !

Je ne résiste pas encore une fois Je le provoque

— Bon alors chaton dis-moic’est quand qu’on attaque les choses sérieuses ?

Il lève les yeux au ciel en riant

— Tu ne perds rien pour attendre !

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