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GENDRE IDEAL – Chapitre 5

GENDRE IDEAL - Chapitre 5



Bernard fait la connaissance de Julie Il raconte.

Je viens juste denvoyer un sms à François, je suis sûr quil sera rassuré de savoir que jattends de pied ferme sa petite femme. Je prends mon temps, elle sattend à le voir et je regarde défiler les passagers, sans intérêt. Bon sang, si elle est aussi bien foutue que sur la photo, je vais tout faire pour me la soumettre vite fait

A lautre bout du quai, Julie descend du train, trainant derrière elle son petit baise en ville.

Sur le quai, elle trépigne. Elle est impatiente de retrouver son François et sa grosse bite. Elle est en manque depuis une semaine et le passage hier avec les putes ne la pas suffisamment calmée, elle se sent encore au bord dune envie incontrôlable… Il lui faut jouir de toute urgence. Elle se dandine et sent de nouveau sa vulve enfler dans sa culotte. Pendant le trajet, un jeune homme de type méditerranéen la draguée ouvertement, mais Julie sest retenue et refusée à ses avances. Cela lui arrive de temps en temps de se contrôler.

Sur le quai, impatiente de retrouver son homme, Julie se met sur la pointe des pieds pour voir par-dessus la foule son François damour.

Non seulement, elle ne le voit pas, mais son regard tombe sur un type assez grand, qui dépasse tous les autres voyageurs. Il la regarde avec intensité, un petit sourire aux lèvres. Avec ce mec, pas moyen de se tromper sur ses intentions !

Je reconnais tout de suite Julie avec ses cheveux roux et sa petite poitrine de rêve. La voilà enfin ! Je vais la laisser venir à moi et la cueillir en bout de quai.

Mais plus elle sapproche, plus elle a dans le regard un je ne sais quoi qui me prend aux tripes. Alors quelle se rapproche inexorablement de moi, la petite gonzesse mimpressionne. Moi qui dhabitude suis très sûr de moi et utilise les femmes comme des mouchoirs de poche pour assouvir mes gros besoins sexuels.

Jattendais maintenant cette petite rousse avec une certaine appréhension

— Bonjour mademoiselle, vous êtes bien Julie nest-ce pas ?

— Vous êtes qui vous ?

Cest bien les gonzesses, répondre à une question par une autre ! Mais elle a elle dans les yeux, un éclair que je nai jamais rencontré.

— Je mappelle Bernard, je suis un ami de François

— Ca métonnerait

— Cest lui qui menvoie !…. Il est resté près de votre mère ! Michèle, elle est toujours en convalescence, daprès ce que je sais

— Effectivement, François ma promis quil soccuperait delle. Vous my emmener cest ça ?

— En fait François ma demandé de vous Prendre !

— Me prendre ?

Cette fille a décidément dans le regard une force que je ne lui suspectais pas, pas évident de la soumettre

Julie, elle, perçoit dans la voix de Bernard une hésitation et sent que ce géant perd de son assurance à chaque mot. Un peu comme sil était intimidé par elle Il est très grand à côté delle, ses mains sont propres, ses poignées larges et ses avant-bras recouverts de poils sombres. Sa voix nest pas désagréable non plus et ses yeux commencent à lui échapper de plus en plus, il a du mal à soutenir son regard ! Elle est plutôt du genre soumise avec François, mais après que ce que lui avaient infligé les putes, et qui lavait excitée, elle se sentait avec ce Bernard des pulsions nouvelles. Elle demande, sèche :

— Comment est-ce que vous mavez reconnue ?

La salope prend de lassurance ! Je vais devoir lui montrer la photo mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée

-Euh, il ma envoyé une photo de vous ?

-De moi ? Tiens donc ? Jexige de la voir !

Aie Je ne vais pas y couper, mais je sens aussi que la situation mexcite de plus en plus, tan pis si elle me jette et fait un scandale, François naura quà se démerder avec sa femme et sa belle-mère, jaurais au moins ce petit souvenir excitant pour moi.

Je sors mon téléphone et lui montre. Sa photo est maintenant mon nouveau fond décran

Julie la regarde de longue secondes je flippe, mais ma queue gonfle dans mon pantalon.

— Elle vous plait on dirait cette photo.

Évidemment, elle a remarqué mon érection et sa remarque ne fait rien pour la calmer.

— Oui

— Mademoiselle !

— Oui mademoiselle

— Baissez les yeux, et prenez ma valise, on y va !

Dans la tête de Julie, cétait très clair. Croyant bien faire, François avait confié à ce grand dadais rencontré elle ne savait où, la mission de venir la récupérer à la gare pendant quil se tenait au chevet de sa mère. Il na pas dû se douter que ce type ait fondu dadmiration pour elle. Mais cette insolence lagace et mérite dêtre punie ! Hors de question de laisser passer çà ! Il méritait oui, une petite correction ce grand dégueulasse.

Jobéis à Julie comme un petit toutou prend sa petite valise et lui ouvre le passage. Sur le parking, je lui désigne ma voiture, un 4×4 Allemand.

— Vous savez ce quon dit ? Grosse voiture, petite bite

— Faut pas croire tout ce quon

Mais je nai pas le temps de finir ma phrase que Julie massène une claque sèche sur la joue, je suis soufflé, muet, excité

-Je ne tai pas demandé ton avis. Ouvre moi la porte !

Je mexécute, cette petite salope a vraiment du caractère, pas étonnant quelle ait tapé dans lil de François. Lui aussi sait ce quil veut !

Dans la voiture Julie a une exigence toute particulière.

-Baisse ton pantalon, je veux te voir conduire cul nu.

-Mais, nous sommes en pleine ville !!?

A ces mots, Julie a violemment jeté sa main entre mes cuisses pour mattraper les couilles et les serrer, délicieusement

-Ah, ah, arrêtez, Mademoiselle, je, je ferais ce que vous désirez

-Bien !

Elle a relâché mes couilles et je nai plus le choix, je dois baisser mon pantalon et mon caleçon pour poser mon cul poilu sur le cuir de mon Q7.

-Voilà qui est mieux, allons-y !

Je démarre et prend la route de chez Michèle, désolé François, mais je nai pas envie de décevoir ma maîtresse

A la sortie de la ville, alors que je vais prendre la nationale pour rejoindre le lotissement de sa mère, Julie a une nouvelle exigence.

— Non, continue tout droit, il y a une route qui passe par la forêt que jaime bien

Jobéis, les couilles et la queue à lair, qui se dresse à chacun de ses ordres.

Un peu plus loin nous roulons sur la portion de route qui passe par les bois.

Je peux sentir ses yeux sur ma grosse bourse et ma bite qui se dresse inexorablement.

-Ce te plait de me promener on dirait

-Oui, maîtresse

— Hmm, belle initiative ! Pour ça, tu vas avoir le droit à une petite récompense

Délicatement, elle met sa petite main sur mon sexe tendu. Elle en fait à peine le tour de ses petits doigts.

-Ahhh Merci maîtresse

Lentement, elle fait remonter ses ongles de la base de ma queue, tout au long de ma hampe et jusquà mon gland. Elle répète la manuvre très lentement et le passage de ses ongles pointus est un délice.

-Tu aimes, esclave ?

-Oui, oui maîtresse

-Je continue ?

-Oui, sil vous plait, oui, votre caresses est tellement bonne, je pourrais venir sous votre main

-Venir ? Venir ?? Mais qui ta donné la permission ?

Et brusquement, elle me donne une claque sur les couilles. Je retiens un cri mais me concentre sur la route, je suis à 90km/h tout de même.

-Pour qui te prends tu ? Venir sans que je te lautorise ? Tu prendras le petit chemin à droite un peu plus loin ! Ton insolence a assez duré !

Javais oublié que Julie connaissait la région. Mes couilles me font mal mais je narrive pas à débander. A côté de moi, elle a lair dune adolescente, petite, fragile, mais sa voix a sur moi un effet que je ne soupçonnais pas. Jaime quelle me parle comme elle le fait. Jen viens à me dire que jai mérité son courroux et quelle va surement me faire payer mon audace. Ma queue tremble de nouveau Sur le côté, il y a bientôt le chemin de terre emprunté par les cavaliers du coin, je ralentis et mengouffre sur ce passage sinueux.

-Va jusquà la clairière

-Bien maîtresse

Une fois arrivés, Julie ouvre la porte et sort de la voiture

-Quest ce que tu attends ? Sors !

Je commence à faire remonter mon pantalon mais je crains de décevoir Julie une nouvelle fois, je nai pas envie Ses caresses étaient si bonnes, je ferais tout pour en avoir de nouveau.

Je retire mon pantalon, mon caleçon et sors de la voiture. Julie est dehors, les mains sur les hanches et le regard plein de colère.

— Mets toi à genoux !

Je ne me pose pas de question, jobéis.

— Tu mas déçu, esclave.

-Pardon Maîtresse.

-Comment puis-je te pardonner ? Tu ne mérites pas ma considération !

-Non maîtresse, je ne suis rien, je voudrais vous être soumis

-Tu nes pas digne ! Tu as lhabitude de soumettre, je le vois bien, tu es beaucoup trop fier !

-Je, je pourrais vous satisfaire

-Avec ta bite ?

-Avec ce que vous voulez, maîtresse

-Bien ! Tu nes pas tombé dans le piège. Effectivement il ny a pas que ta bite qui pourrait me faire du bien. Approche toi !

A quatre pates, je mapproche, la bite tendue, le cul à lair et les genoux dans la poussière. Je pense que ce chemin est souvent fréquenté, on risque de nous voir à chaque instant et pourtant, je ne souhaite pas être ailleurs. Je mapproche de Julie et me redresse. Elle me regarde de haut, le regard dure. Elle porte un pantalon de lin écru et un top bleu marine échancré. Tout près, je peux sentir son parfum.

-Quest ce que tu renifles ?

-Vous, maîtresse

-Tu aimes mon odeur ?

-Oui maîtresse

-Renifle encore !

Cette fois, jinspire plus fort. Julie sapproche de moi et pose sa main sur mon crâne, de nouveau, je sens ses ongles. Elle attire mon visage sur son ventre. Jai une trique denfer et je sens les premières gouttes de miellat couler. Julie se retourne et me présente sa croupe. La tête toujours sous ses mains, je la sens qui presse mon visage entre ses fesses. Jinspire plus fort encore et gémis. Elle ondule maintenant de haut en bas et le tissu du pantalon frotte contre ma bouche, mon nez, mon front.

-Tu sens bien mon cul ? Esclave ?

Je suis dans sa raie, je sens son trou du cou, sa chatte et, oui, sa cyprine Je fais mouiller ma maîtresse, quel bonheur !

-Oui maîtresse

Sa main pousse toujours plus sur ma tête, elle bouge moins mais je sens quelle frotte mon nez contre son anus. Que cest bon. Puis au bout dun moment, elle se retourne et lève une cuisse pour enfermer mon visage. Cette fois, je suis tout contre son con, et elle frotte toujours ! Oui, elle mouille, je sens la moiteur de sa chatte contre mon nez, je renifle encore très fort, son odeur, ses hormones me rendent fou !

-Tu sens ma chatte ?

-Oui, je la sens, que je laime

— Recule !

Non pas déjà non, laisse moi encore te sentir

Mais sa main me jette en arrière, quelle force pour un si petit gabarit !

— Baisse les yeux !

Jobéis, je ne la vois pas mais je lentends qui ouvre sa ceinture et fais descendre son pantalon et un string rose fuchsia

-Déshabille toi !

Je retire mon polo et me voilà à genoux dans la clairière, en chaussettes et chaussures face à cette déesse sévère.

-Tu mérites toujours une punition pour avoir quémander à jouir, tu le sais ?

-Oui maîtresse

-Réclame la !

-Maîtresse sil vous plait, punissez moi ! Je ne méritais pas de jouir de votre main, je, je ne suis pas digne

-Non, sous tes airs de mâle dominant tu nes quune fiotte Avoue-le !

-Oui, je suis, je ne suis quune fiotte

-Une fiotte qui mérite dêtre souillée ! Lève la tête, viens là !

Je relève la tête, Julie ne porte plus que son top, quelle retire. Pas de soutien gorge, je peux enfin voir en vrai ses seins insolents, de taille moyenne mais que je devine fermes. Je peux aussi découvrir sa chatte Une petite toison dorée aux reflets roux, taillé en ticket de métro surplombant un clitoris étonnement gros pour un si petit corps Elle prends ma tête et mattire vigoureusement contre sa féminité moite.

-Lèche ! Et quoi quil arrive, ne tarrête pas !

Encore une fois, jobéis et sors ma langue pour enfin gouter ce fruit défendu. Son goût mélectrise, comme ma langue sur une petite pile électrique ! Incroyable

-Lèche plus fort ! Allez !

Alors que je redouble deffort, je sens Julie qui fait bouger la tête de haut en bas pour avoir encore plus de sensation. Elle gémit presque immédiatement, son clito est très gros et je lavale entièrement et laspire bruyamment. Leffet est payant puisque Julie gémit plus fort à présent !

-Tu peux te masturber en me léchant, sale chien !

Ooohhh merci Maîtresse, ni une ni deux jattrape ma queue sur le point dexploser et me masturbe doucement.

Puis Julie change de position et comme précédemment lève la cuisse au dessus de moi, ce qui moblige à basculer ma tête franchement en arrière. Elle est tellement légère, elle est quasiment assise sur mon visage à se frotter contre ma langue. Mais elle ne gémit plus je sens que quelque chose nest pas

Et je nai pas le temps de men rendre compte, Julie pousse un cri comme une libération et fait couler un long et brûlant filet durine sur mon visage !

Putain, elle me pisse dessus la salope et ses gémissements reviennent de plus belle, elle crie maintenant ! Sa pisse ruisselle sur mon visage, sur ma langue, dans ma bouche mais je nose pas recracher, sa pisse est claire, chaude, citronné !! Je continue à la lécher comme si de rien nétait mais je sens soudain lurine chaude arriver sur mon gland, sa chaleur me fait gémir à mon tour ! Je me masturbe de plus en plus fort tout en la léchant de plus en plus vite ! Elle gémit, elle couine, je râle de plaisir, je sens toujours son jus me couler le long du visage, sur le torse, sur les tétons et jusquà ma queue ! Ma semence arrive elle aussi ! Je suis souillé, pissé et han ma jute explose au bout de mon gland, de gros flots libératoire sécoulent entre mes doigts et recouvrent progressivement mes couilles. Putain quel pied ! Sur moi, Julie se dandine toujours mais de plus en plus lentement, elle a jouit elle aussi, jouit de me pisser dessus et en frottant son clito contre ma bouche et ma langue Quelle femme ! Je comprends mieux François maintenant Quelle rencontre ! Quel couple !

Julie se retire et sébroue sur moi. Encore quelques gouttes de sa pisse viennent masperger.

-Nettoie moi !

Je ne peux quobéir, et nettoie en aspirant toute la pisse et ma mouille entre ses cuisses et le long de ses jambes.

Elle renfile son pantalon et mautorise à me lever.

— Tes doigts ! Donne !

Cette fois-ci, cest moi qui la domine de ma hauteur et je lui tends mes doigts sales de ma jute et de sa pisse. Elle me regarde droit dans les yeux et un à un les enfourne dans sa bouche pour les nettoyer

Quand elle a terminé, elle me dit.

— Je ne peux pas aller retrouver François comme ça. Amène moi chez toi je dois prendre une douche !

-Bien, maîtresse

Nous remontons dans la voiture, direction, la maison

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