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Grace sombre dans la débauche – Chapitre 2

Grace sombre dans la débauche - Chapitre 2



Grace sombre dans la débauche 4 et 5

Fall from Grace 4 & 5

Coulybaca / Warner 34

C’était maintenant le deuxième jour depuis le départ en vacances de mon époux, Je m’étais saoulée, j’avais fumé de la marijuana, je m’étais excitée sexuellement, j’avais été molestée, j’avais sucé deux grosses bites noires qui m’avaient ensuite baisée.

Telle était l’horrible réalité, de plus j’étais révulsée d’y avoir pris du plaisir, beaucoup de plaisir.

Enfin je n’étais pas fière de ce qui m’était arrivé juste dégoûtée de moi-même, je ne parvenais pas à me regarder dans le miroir sans me mettre à pleurer ! …..

Une fois que Robert et Tyrell eurent quittés mon appartement m’enjoignant de prendre une douche avant de les rejoindre chez eux, je passais un coup de fil à ma sour.

Ma petite sour Joyce avait toujours sollicité mon avis pour toutes sortes de sujets, mais maintenant c’était à mon tour de lui demander son opinion.

Avant de discuter avec elle je devais décider de ce que j’allais lui dire. Je ne pouvais pas lui dire que tout était de ma faute, je ne voulais pas me déconsidérer à ses yeux.

Elle avait toujours voulu me ressembler et m’avait pris pour modèle.

Elle pensait tant de bien de moi que je ne voulais pas laisser péricliter mon image.

Lorsqu’elle décrocha le téléphone je me réjouissais déjà d’entendre sa douce voix. Je commençais par parler de tout et de rien, mais elle remarqua que ma voix tremblait et le demanda pourquoi.

Je lui répondis que j’étais dans une sacrée galère, que des sales types me faisait chanter.

Lorsqu’elle me demanda ce que voulait mes maîtres-chanteurs je lui répondis de l’argent. Je lui racontais qu’ils avaient déniché une vidéo sur la quelle on me voyait boire et fumer de la marijuana, et qu’ils me menaçaient de la diffuser aux yeux de mon voisinage, de mes amis et de mes parents si je ne me pliais pas à leurs volontés.

J’étais si heureuse de lui avoir confié mes ennuis que j’allais lui dire qui étaient mes maîtres-chanteurs et où ils habitaient.

Elle semblait consternée et m’offrit de me prêter l’argent dont j’avais besoin ou toute autre aide dont j’aurai besoin.

Nous nous sommes alors dit au revoir et, lorsque je raccrochais le téléphone je me sentais bien mieux.

Puis la réalité me rattrapa, je me rendais dans la chambre pour m’habiller pour me rendre à leur rendez-vous.

Ils avaient posé une boite accompagnée d’un message sur le lit. Il m’enjoignait de porter les vêtements contenus dans la boite, de me maquiller légèrement et de nouer mes cheveux en arrière avec un ruban.

Lorsque j’ouvris la boite, je ne trouvais rien de ce que je craignais.

Elle contenait une ravissante robe de soleil couleur rouille et des pots de crème.

La robe descendait aux genoux, elle était sans manches avec un col en V.

J’espérais alors que les choses tourneraient bien, je regardais ensuite sous la robe.

J’y trouvais un soutien-gorge de coton blanc et un thong de coton blanc. Je les enfilais à contrecour et à ma stupéfaction me trouvait très sexy et provocante en me regardant dans mon miroir.

Une fois que j’eus enfilé la petite robe d’été, tiré mes cheveux en arrière que je liais avec un ruban, je fis une petite pause le temps de me regarder à nouveau dans le miroir.

Je devais admettre que le spectrale que je voyais me comblait, ma peau brune s’harmonisait parfaitement avec la couleur rouille de ma robe, j’étais très aguichante, exotique, je me sentais à la fois élégamment vêtue et discrètement sexy.

Il était temps maintenant de les rejoindre.

En arrivant à leur porte je m’imaginais que je me rendais à mon premier rendez-vous, cela me permettait d’évoluer plus à mon aise.

Tyrell ouvrit la porte et poussa tout de suite un sifflement enthousiaste.

Il m’attira contre lui m’empoigna les fesses au travers du fin tissu et me roula une pelle avec la langue.

Il m’entraîna à l’intérieur, c’était la première fois que je pénétrais dans l’appartement de mes maîtres-chanteurs.

Il était petit, mais la salle de séjour était vaste.

Elle était meublée de trois confortables canapés entourant une large table basse en bois.

Deux de ses amis étaient assis sur un des canapés.

Cédric, un musculeux jeune noir et Carl un noir plus âgé couleur café au lait.

Ils se présentèrent eux-mêmes et me roulèrent tous deux des pelles passionnées.

Je sirotais une paire de verres et fumais quelques bouffées de marijuana.

Bien vite je ressentis à nouveau ce familier flottement alors que Tyrell annonçait qu’il était de partir.

Nous avons grimpé dans la voiture de Tyrell, je m’assis sur le siège passager au coté de Tyrell.

Ils discutèrent et plaisantèrent tout le long du chemin.

Ils me dirent qu’ils étaient impatients de m’emmener au club pour m’y exhiber.

Tyrell me caressait machinalement les cuisses passant de temps à autre ses doigts sur le fond de ma petite culotte, j’essayais de repousser sa main il me montra alors une photo de moi suçant sa grosse bite noire, m’intimant de garder les bras le long du corps et d’écarter les cuisses.

Je m’exécutais docilement, et, le reste du chemin il me doigta tout à son aise sous l’oil intéressé des passagers arrières.

-Nous arrivâmes devant un club appelé "Nuits Exotiques, alors que nous nous dirigions vers la porte d’entrée, je remarquais plusieurs types accompagnés de filles se serrant autour d’eux.

Les filles étaient vêtues de façon extrêmement provocante ce qui m’alerta un peu.

Je ne m’étais rendue qu’une seule fois dans une boite de nuit avec ma petite sour et quelques amis, mais cette fois cela me semblait tout autre.

L’ouvreur annonça que puisqu’ils amenaient une jolie fille, ils n’avaient pas à acquitter de droit d’entrée.

Tyrell s’esclaffa :

— Ce n’est pas une jolie dame, c’est ma petite pute ! …..

Puis il me regarda et m’invita à dire qui j’étais, je répétais docilement :

— Je suis sa petite pute ! …..

Ce n’est qu’en entrant dans le club que je réalisais qu’il s’agissait d’une boite à strip-tease.

J’étais si choquée de ce que je voyais que je demeurais immobile, incapable de faire un geste.

J’avais les yeux écarquillés comme des soucoupes, alors que la mâchoire m’en tombait ! ….

Nous avons débouché dans une sombre avec deux grandes scènes dans le milieu.

Des fauteuils noirs entouraient les scènes et des stalles noires ouvertes derrière les sièges.

Les lumières étaient vives au-dessus des scènes alors que la salle restait dans la pénombre.

Bien entendu le seul fait choquant était que les 6 filles qui dansaient sur les scènes étaient entièrement nues ou quasiment nues.

Les scènes étaient couvertes de pièces de monnaie et de billets de banques, la musique était très forte.

Comme nous traversions la salle un tas d’hommes me reluquaient de la tête aux pieds, d’autant plus que j’étais vêtue comme si je me rendais à un repas dominical ou bien même à l’église.

Ma tenue semblait totalement déplacée dans cet endroit, il me semblait qu’ils savaient tous ce qui m’attendait, tout le monde sauf moi bien sur ! …..

Comme nous continuions de progresser, je ne parvenais pas à croire qu’un tel monde puisse exister et pourtant il s’étalait là sous mes yeux.

Ils nous trouvèrent une loge, chemin faisant j’avais remarqué la présence de deux ex-collègues blancs assis le long de la scène.

Quand j’avais travaillé un court moment dans un petit commerce, avant d’enseigner, je les avais accusés d’harcèlement sexuel parce qu’ils m’avaient proposé de coucher avec moi contre rétribution.

Lorsque j’avais refusé, ils avaient dit à tout le monde que j’avais couché avec les deux en même temps et que j’étais une rude salope qui en demandais encore plus ! ….

Quelques mois plus tard, les charges bien établies contre eux, ils avaient été renvoyés de la compagnie.

Je n’avais jamais oublié la fureur qu’exprimait leur visage et j’espérais bien qu’ils ne m’avaient pas remarquée. Je sautais prestement dans la loge pour éviter tout contacte avec eux et m’assis entre Tyrell et Carl.

Nous avons beaucoup bu en mangeant des amuse-gueule que je mâchais lentement.

Pendant tout ce temps ils se livraient tous les trois à de grossiers commentaires sur les filles qui dansaient sur scène s’exclamant qu’ils aimeraient qu’elle leur fasse des cravates de notaire alors qu’ils leur boufferaient la chatte.

Je vivais un véritable enfer.

Que se passerait-il si quelqu’un connaissant mon mari se trouvait dans la salle ? …..

Comment allais-je me sortir de cette galère ? …..

Tyrell commençait à me peloter les nichons au travers de la robe me demandant si j’aimerai me produire sur la scène.

Et soudain il se leva et m’entraîna vers la scène.

Je le suppliais de ne pas m’y obliger, mais il se contenta d’ignorer mes plaintes et appela une fille pour qu’elle danse avec moi.

La fille qui me rejoignit était de type japonais, elle avait de gros nibards, un petit cul bien rond, et un visage des plus innocents.

Elle portait un haut de bikini rose fluorescent et un string, elle parut fort étonnée de me voir en ces lieux.

Je la reconnus alors soudainement : c’était Kyoko, une de mes anciennes étudiantes que j’avais eu en cours ces deux dernières années.

Elle avait eu besoin d’une assistance spéciale et j’avais été longtemps sa tutrice aussi bien après les heures de classe que chez elle.

Je m’étais liée d’amitié avec ses parents et avait perdu tout contact avec elle une fois qu’elle fut diplômée.

Elle semblait différente mais c’était bien elle. Elle me sourit aimablement, s’approcha de moi et m’embrassa sur les joues, nous avons alors entamé une courte discussion.

Elle me demanda qui était Tyrell et qu’est ce que je faisais là, je lui répondis seulement que Tyrell était un rendez-vous, et que c’était la première fois que je me trouvais dans une boite à strip-tease.

Tyrell lui murmura quelque chose à l’oreille, elle hocha la tête et me dit d’apprécier le spectacle.

Elle se tenait assez proche de moi et se mit à danser de façon fort érotique sans me quitter des yeux.

Je ne pouvais m’empêcher de la regarder avec excitation, peut-être à cause de ma grande confusion, mais plus sûrement parce que je n’avais jamais assisté à un tel spectacle.

Elle se tortillait de façon si sensuelle, si érotique que je comprenais rapidement pourquoi elle avait tant de billets de banque glissés dans sa jarretière.

Elle n’avait plus rien à voir avec la jeune fille timide et innocente que j’avais connue.

Tyrell me caressait les cuisses sous ma robe et je sentais sa main se rapprocher peu à peu du fond de ma petite culotte.

Je lui demandais d’arrêter ses manouvres et me retournais vers mon ex-élève qui faisait son boulot de strip-teaseuse et me répéta de regarder attentivement le spectacle.

Tyrell me palpait maintenant la chatte, je me mordais les lèvres pour ne pas gémir de façon trop révélatrice.

Elle avait du remarquer mon émoi, elle se rapprocha de moi jusqu’à me serrer contre elle.

Elle enleva son haut de bikini exhibant deux grosses mamelles avec de larges tétons au centre de petites aréoles, et tout cela naturel.

Elle se caressait les nibards et les mamelons alors que Tyrell triturait ma chatoune m’amenant au bord de l’orgasme alors que je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher.

Je fermais les yeux et ensevelis ma tête dans son épaule, pour cacher ma honte de succomber à un violent orgasme qui me secoua pendant deux bonnes minutes.

Quand j’ai ouvert les yeux Kyoko avaient enlevé son string et me chuchotais à l’oreille que paraissais très chaude quand j’ai joui.

Elle me cligna de l’oil et reprit sa danse.

Tyrell se leva alors que Carl et Cédric s’asseyaient à mes cotés, Tyrell se posta face à moi.

Alors que Kyoko continuer sa danse lascive, les deux gaillards qui m’encadraient se mirent à explorer mes charmes en détail.

Ils allèrent si loi que je me retrouvais les miches à l’air sous les regards concupiscents de mes voisins.

Il y avait maintenant un attroupement qui se formait autour de nous, beaucoup d’assistants voulant mater de plus près cette innocente jeune mère de famille conversant avec une des strip-teaseuses, entourée de ses 3 amants noirs.

Je n’avais aucune envie de me rebeller et faisais de mon mieux pour les satisfaire.

Comme je jetais un coup d’oil panoramique, je réalisais que tous les yeux étaient posés sur moi, étrangement ce constat m’émoustillait.

Jusqu’au videur qui s’était approché et prenait des photos.

Kyoko était maintenant entièrement nue, elle se lovait contre moi me roulant une pelle passionnée.

Je me reculais, mais elle me suivit enfonçant sa langue dans ma bouche ou elle se mit à frétiller, puis elle frotta ses nichons contre mon visage, en poussant un soupir de satisfaction.

Ses miches se balançaient tout contre mon visage, elle me supplia d’ouvrir la bouche.

Des hommes qui nous encerclaient m’enjoignirent de sucer les tétons de cette salope !

Cédric se pencha sur moi et m’ordonna à son tour de mignoter ses nibards, je m’exécutais utilisant ma langue pour titiller un des épais mamelons, exactement comme je le faisais à mon mari.

Elle gémit sourdement et tourna le buste logeant son autre téton entre me lèvres.

J’étais tant sous l’influence de l’alcool et de la drogue que n’ai même pas réalisé que Cédric avait retroussé ma robe sur mes hanches exposant ma petite culotte blanche alors que Kyoko en avait tiré les épaules sur mes bras livrant aux yeux de tous, mon fragile soutien-gorge.

Lorsqu’elle recula ses miches de mon visage, la foule nous entourant poussa des soupirs de contentement, elle recula et me pelota les nibards au travers de mon soutien-gorge.

Tyrell dégrafa les attaches dorsales de mon soutien-gorge et le tira vers le bas ainsi que ma robe exhibant mes nichons et mes tétons dardés.

Elle suça un de mes tétons tout en triturant l’autre.

Lorsque je jetais un coup d’oil circulaire, je vis que les spectateurs me fixaient avec intensité alors que partaient les éclairs de flashs des appareils photos.

Cette attention généralisée et les stimulations de Kyoko et Cédric me provoquèrent un orgasme fracassant au grand ravissement de la foule.

J’en étais arrivée au point de me demander ce que je faisais.

Comment pourrai-je retourner à ma vie ordinaire alors que tous ces gens venaient de me voir me comporter comme une pute de bas étage, une véritable salope.

Il pouvait y avoir dans l’assistance des gens que je connaissais très bien et je m’en foutais !

Je repoussais Kyoko et cherchais à réajuster ma robe, Tyrell coupa mon élan me prévenant que je ne partirai pas d’ici tant qu’il ne l’aurait pas décidé.

Il me dit de ne pas oublier qu’il détenait des vidéos de moi fort compromettant et que ma vie serait dévastée si elles étaient diffusées.

De nombreuses mains étrangères palpaient mes nichons exposés à leurs caresses, je ne pouvais rien faire, Tyrell maintenant fermement mes bras de chaque coté de mon corps.

Cédric me doigtait maintenant alors que Carl tétait un de mes nichons.

Kyoko s’allongea devant moi, écarta ses cuisses en grand et caressa lascivement sa foufoune embrasée.

Je distinguais clairement l’instant où elle jouit à la vue de sa chatte s’inondant de cyprine, elle se caressait tout en me miaulant des appels luxurieux lorsque je me penchais sur elle je compris :

— Je vous en prie madame Warner… Je vous en prie… broutez-moi le minou ! Je suis toute tourneboulée et je voudrais que vous me fassiez minette ! S’il vous plait apprenez-moi madame Warner, cajolez-moi !

Je haletais en entendant ces mots et me rejetais violemment en arrière.

La foule m’encerclait à nouveau m’encourageant à la gouiner.

Deux fortes mains me tenaient fermement derrière la tête et me poussaient vers elle.

Elle n’avait plus rien à voir avec l’innocente ex-étudiante que je connaissais.

Je connaissais bien ses parents et je les avais rencontrés à plusieurs reprises pour discuter de son avenir. Et voila qu’elle ouvrait en grand ses cuisses au ras de mon visage me suppliant de lui bouffer le gazon.

La foule qui nous encerclait nous encourageait avec des commentaires salaces comme :

— Et toi la pute lèche lui la chatte, plonge ta langue dans sa foufoune fais lui minette !

J’étais à demi-nue, des étrangers palpaient mon corps inventoriant lubriquement mes charmes.

J’essayais de reculer ma tête mais ce n’était pas possible, Tyrell était bien trop fort.

Mon visage était pressé contre son vagin et je cher hais à garder la bouche fermée, mais je dus bien un moment donné ouvrir la bouche pour respirer.

Le goût initial de sa chatoune était plutôt doux alors que Tyrell me plantait le visage entre ses cuisses m’intimant :

— Bouffe-lui la chatte salope !

La foule s’enthousiasma alors que je m’exécutais.

Des larmes me vinrent aux yeux, l’homosexualité m’avait toujours révulsée jusqu’ici, j’allais jusqu’à foutre dehors les filles que je surprenais à s’embrasser dans mon appartement.

Tyrell me dicta ses instructions et je lui obéis servilement.

Je passais la langue sur ses babines et goûtais pour la première fois à la saveur d’un vagin inondée de cyprine.

C’était à la fois musqué et doux, sa chatte était véritablement détrempée.

Plus je suçais sa foufoune, plus elle coulait dans ma bouche. Comme ma tête était maintenue fermement en place, je ne pouvais qu’avaler son jus intime.

Je mignotais son clito le titillant de la pointe de la langue.

A ma grande gêne, Tyrell m’enjoignit de me servir de ma langue comme d’une petite bite et de l’insérer profondément dans sa caverne baveuse.

Mes caresses la rendaient folle d’excitation et, après quelques minutes elle succomba à un puissant orgasme en frottant âprement son vagin sur mon visage.

Elle se laissa tomber sur la scène, se redressa et lécha son jus qui marbrait mon visage.

Elle me roulait des pelles passionnées, langue au frétillant au fond de ma bouche et me dit de l’appeler lorsque j’aurai besoin d’une leçon de gouinage !

Je dus admettre, honteuse que j’avais moi aussi joui lourdement sous les yeux de ces nombreux spectateurs ravis.

Je me sentais une vraie salope auparavant et voilà que maintenant s’y ajoutait le péché de lesbianisme.

Tyrell me laissa réajuster mes vêtements puis les rejoindre dans la loge.

Je me mis à pleurer silencieusement, regrettant amèrement d’avoir accepté leur aide l’autre soir.

Tyrell m’ordonna de sécher mes yeux, la soirée était loin d’être terminée et je devais encore leur faire partager beaucoup de plaisir, il agrippa ma mâchoire me forçant à le regarder dans les yeux et me dit :

— Tu vas te faire tant de grosses bites ce soir que jamais plus tu ne pourras te passer des grosses bites de noirs.

Chapitre :5

Qu’est ce que cela signifiait ?

Allait-il me faire coucher avec ses amis ou même avec des étrangers ?

J’avais déjà eu des rapports sexuels avec deux hommes ces derniers jours, delà à coucher avec des gens qui me seraient totalement étrangers… Déjà que je venais d’avoir mon premier rapport lesbien !

Jusqu’où pensait-il me pousser, que voulait-il encore de moi !

Il fallait que je sois forte, que je sorte indemne de cette nuit et peut-être qu’alors je trouverai le moyen de me sortir de cette galère !

Il devait bien y avoir un moyen de me tirer d’affaire, d’effacer mes erreurs et de reprendre mon style de vie ordinaire comme si de rien n’était.

Tyrell empoigna fermement ma main et m’entraîna à l’arrière du club.

Tous les hommes avaient les yeux fixé sur moi et me désignaient à leurs interlocuteurs alors que je traversais la salle.

Il s’y trouvait quelques cabines assez vastes pour ce que les gens y faisaient.

Comme nous nous dirigions vers une stalle vide, je vis que des hommes copulaient avec des strip-teaseuses de toutes les façons possibles et imaginables dans ces cabines, je me sentais honteuse de me trouver ici, avec elles.

Comment avais-je bien pu me fourrer dans un tel guêpier, me retrouver dans ce t endroit avec ces débauchés !

Tyrell me fit asseoir sur la table de notre stalle et me dit de danser lascivement pour lui.

Je n’avais jamais fait cela auparavant, je m’exécutais me faisant provocante comme il me l’avait intimé imitant ces femmes qui dansaient dans les vidéos pornos.

Il me fit aspirer une paire de goulées de marijuana, une nouvelle fois la brume obscurcit mon esprit.

Une autre goulée et cette fois je planais haut, si haut que je n’avais pas remarqué que Tyrell avait sorti sa grosse bite noire et qu’il se caressait lentement en me regardant onduler du bassin.

Il me dit alors:

— Pense à ce que tu étais encore hier, une jeune femme de la classe aisée, une bonne paroissienne, une salope très respectée et voilà qu’aujourd’hui tu t’effeuilles sous les yeux d’un noir devant d’autres pervers dans un bar louche ! Tu n’es qu’une fieffée salope Grace, et comme toutes les salopes tu devrais avoir constamment une grosse bite en bouche !

Ces propos me choquaient profondément, j’aurai voulu hurler et m’enfuir, mais je manquais de volonté.

Il se dressait face à moi en me tenant ce discours, il empoigna ma nuque et me força à me pencher sur sa bite palpitante.

Je pris une profonde inspiration et sentit ses flagrances musquées avant d’ouvrir la bouche pour avaler autant que je pus de sa grosse bite impatiente.

Tandis qu’il me tirait rudement les cheveux il me prévint :

— Je vais faire de toi la reine des fellatrices, tu suceras toutes les mentules que t’ordonnerai de sucer !

Ces propos menaçants et les sensations grandissantes au fond de mon esprit m’amenèrent à le sucer avec vigueur et avidité.

Je voulais en finir rapidement avec cette fellation, plus vite il jouirait, plus vite je pourrai reprendre une contenance normale.

Je ne sais pas combien de temps je dus cajoler son chibre avant qu’il ne jouisse, je devais cependant m’y prendre correctement car cela ne dura pas bien longtemps !

Il se tétanisa brusquement, attira rudement ma tête contre son pubis et projeta des flots de foutre dans ma gorge asservie. Je fis de mon mieux pour ingurgiter son épaisse semence.

J’étouffais, je lâchais prise et tombais à la renverse sur la table.

Tyrell me regardant m’affaisser commentas :

— Alors ne vous avais-je pas dit que c’était une véritable salope ?

Je regardais derrière lui et sursautais vivement en état de choc.

Mes deux ex-collègues se tenaient face à moi, ces deux anciens collègues dont j’avais dénoncé le harcèlement ce qui avait abouti à leur exclusion de la boite où nous travaillions.

Tyrell leur dit de bien s’amuser avec moi, puis il se leva et partit boire un verre.

Avant même que je puisse lui emboîter le pas ils m’empoignèrent et me repoussèrent dans le box.

Il était évident qu’ils voulaient se venger de moi. Ce genre de vengeance me faisait totalement paniquer !

Celui qui se tenait à ma gauche, Chad, me dit alors, en me tenant le menton que j’avais ruiné sa vie que son éviction lui avait couté très cher.

Celui qui se tenait à ma droite, Joe, approuva les dire de son ami, prétendant qu’il en était de même pour lui, en m’agrippant fermement une cuisse, ajoutant qu’ils savaient que j’étais une vraie pute et qu’ils allaient me baiser séance tenante.

Il poursuivit :

— Tu vas payer pour tous les emmerdes que tu nous as créés !

Sur ces mots, ils entreprirent de pétrir mon corps, me roulant des patins avec la langue, m’embrassant dans le cou…

J’étais si révulsée d’horreur que je reculais d’un pas en crachant sur eux, ce qui ne fit qu’empirer les choses.

L’un des deux me gifla brutalement m’effrayant comme jamais je ne l’avais été.

Mon corps s’amollissait alors que je me soumettais à leurs voux.

L’odeur de vieille sueur et de tabac froid m’accablait. Je faisais de mon mieux pour ne pas vomir alors que sans tenir aucun compte de mes objections ils inventoriaient sans vergogne mes charmes.

Ils avaient agrippé avec force mes nibards et m’arrachaient mon soutien-gorge et ma petite culotte.

L’un d’eux inséra un doigt dans mon vagin alors qu’ils me forçaient à prendre en main leurs pénis tendus.

La taille de leurs mentules me surprit, leurs bites étaient toutes deux au moins aussi grosses et longues que celle de Tyrell, ils me forcèrent à les branler docilement.

Joe se mit à susurrer à mon oreille qu’ils allaient tous deux me baiser à couilles rabattues devant tout le monde, et qu’ils allaient prendre des photos de ma déchéance de façon m’interdire de les dénoncer à la police sous peine d’envoyer ces photos dans mon école que mes confrères et consours puissent constater quelle salope j’étais en réalité.

Ils pouvaient ruiner ma vie avec ces photos !

Le doigt inséré dans mon intimité commençait à éveiller des sensations que je refusais dans ma chagatte.

Chad me suçait le cou, ce que me faisait habituellement mon mari pour m’exciter, je sentais mon émoi grandir.

Le réalisant, Joe ne perdit pas de temps, il sortit sa grosse bite de son caleçon et je lui taillais servilement une pipe.

C’était le troisième membre viril étranger que je suçais en deux jours. Il était chaud, au goût musqué et salé; mais depuis que j’avais sucé la bite de Tyrell qui était aussi grosse j’appréhendais moins de me livrer à cet acte.

Chad m’attira à lui, me positionna à sa convenance et sans hésitation d’un coup de boutoir il enfourna sa grosse bite dans mon intimité détrempée.

Il était le troisième étranger à me posséder en deux jours.

Ils étaient extrêmement bruyants, le spectacle était tel que bientôt de nombreux consommateurs se rassemblèrent autour de nous pour y assister.

Je me sentais sale, dégradée, honteuse de me faire baiser, dans ce bastingue de bas niveau, par deux pervers que je détestais devant une foule de spectateurs enthousiastes.

C’était parfaitement avilissant et je me sentais réduite à de la chair à baiser.

Mon épreuve me sembla durer une éternité elle ne se termina que lorsque les deux hommes eurent jouis en moi, me remplissant la bouche et la chatoune de leur immonde semence.

Ils prirent quelques photos de moi allongée sur le banc, du foutre s’écoulant de ma chagatte inondée.

Alors qu’ils s’éloignaient, je les entendis s’esclaffer :

— C’est vraiment une fieffée salope, et cette fois on dispose des photos pour le prouver !

— On pourra les montrer à ce salopard qui nous a foutu à la porte, peut-être bien qu’il voudra se la faire à son tout !

Ils parlaient de moi comme d’un bout de viande, un trou dont ils pourraient abuser à volonté !

Tyrell revint à mon coté me tendis un verre d’eau, et me jetas une serviette pour que je puisse m’essuyer.

Il me dit alors qu’il était temps de toucher ma récompense pour m’être montrée une bonne petite pute disponible pour tous.

Il me révéla que ces deux salauds de pervers avaient payé 1000 $ pour user de mes charmes et qu’il allait se servir de cet argent pour m’acheter quelques nouveaux habits, des tenues bien plus érotiques que je porterai désormais.

Il ajouta que c’était le meilleur moyen pour que je devienne une excellente salope à son entière disposition ainsi qu’à celle de ses copains et de futurs clients.

En revenant dans la zone principale je constatais que le bar était quasiment désert.

Une scène était éclairée, quelques hommes l’entouraient. Lorsque nous nous sommes approchés, je constatais que tous ces spectateurs étaient noirs, je me dirigeais ver la stalle Mais Tyrell me tira en arrière m’informant que je devais monter sur la scène.

Je jetais un rapide coup d’oil sur l’estrade, puis, je me tournais vers Tyrell le suppliant de me ramener à la maison.

Il me dit qu’il me ramènerait chez moi lorsque la nuit serait terminée. Je me dirigeais en hésitant vers la marche permettant d’accéder à la scène.

Kyoko me tendit la main pour m’aider à gravir les marches, elle me conseilla de ne pas trop me tracasser.

Au centre de la piste elle remonta lentement ma robe et la laissa choir au sol.

Elle me dépouilla rapidement de ma petite culotte et de mon soutien-gorge, je me retrouvais entièrement nue devant une bonne vingtaine de colosses noirs.

C’est alors que Tyrell me prévint de ce qui allait suivre. Un petit discours que je n’oublierai jamais !

— Jette un regard sur les spectateurs Grace, je suis sur que tu en reconnaîtras pas mal !

— On trouve dans cette foule un de tes anciens collègues auquel tu n’as jamais prêté attention, un des portefaix de ton école à qui tu en as fait suer des vertes et des pas mûres, un dirigeant du bureau de ton mari que tu as déjà rencontré et à qui tu as refusé de serrer la main, un de tes voisins contre qui tu as appelé la sécurité parce que tu pensais qu’il sous-louait son appartement, et quelques autres qui sont là juste pour nous donner un coup de main pour te transformer en satanée salope !

Ils sont tous là pour voir une innocente, timide, raciste et snob jeune ménagère se transformer en une fieffée salope qui tombera à genoux à la vue d’une grosse bite noire !

Ce discours m’affola.

Je reconnaissais effectivement quelques-uns uns de ces hommes, dont certains avec qui je parlais de temps à autre.

Je me retournais cherchais à fuir l’estrade, mais Kyoko me tenait fermement, elle se mit à me peloter et à m’embrasser dans le cou. Ses caresses étaient très chaudes et très féminines, son parfum m’enivrait.

Pourquoi n’avais-je jamais constaté cet impact sexuel lorsque j’étais sa prof ?

Qu’est ce qui avait changé en moi m’amenant à savourer ces pratiques lesbiennes ?

Elle se frottait lentement contre mon corps suçant avidement mes tétons dressés les étirant les mamelons de deux bons centimètres de long.

Je chancelais la chatte inondée de cyprine.

Elle me fit pencher en arrière et m’écartas les cuisses en grand.

Je sentis tout d’abord sa chaude haleine avant qu’elle ne me butine le gazon.

N’écoutant que ma morale bien-pensante, j’essayais de m’écarter mais elle m’agrippait vigoureusement.

Plus elle pointait sa langue dans mon humidité, plus elle soufflait sur ma foufoune embrasée, plus je sentais mon excitation croître, plus elle branlait avec opiniâtreté mes babines gonflées, gorgées de sang.

Je voyais ses beaux yeux innocents alors qu’elle fouillait mon vagin d’une langue agile.

Ces mêmes yeux qui me regardaient avec appétit de savoir pendant les années de fac me fixaient maintenant avec luxure guettant mes réactions intimes et j’aimais cela !

Elle avait une sorte d’emprise sur moi et savait exactement comment m’amener à jouir sous ses caresses. A l’instant même ou j’allais jouir comme une folle, elle cessa tout mouvement et se recula vivement.

Je ressemblais à une gamine privée de sa sucette, je tendais les bras pour la retenir mais n’y parvins pas !

Un véritable colosse prit sa place toute chaude plantant tout de go sa monstruosité phallique dans ma foufoune affolée.

Sa bite était bien plus grosse que toutes celles que j’avais connues ces derniers soirs !

Il me semblait être pourfendue en deux je lui couinais misérablement d’arrêter !

Il ignora totalement mes plaintes coulissant vicieusement dans ma cramouille pantelante.

Il m’ordonna de clamer que je voulais sa bite et même plus, que j’avais envie qu’il me baise toute la nuit.

Peu à peu les sensations douloureuses s’estompèrent, je sentais mon excitation monter, ma respiration se faisait plus heurtée.

J’étais maintenant si échauffée, plus ardente que je ne l’avais jamais été, et cet homme qui atteignait des profondeurs qu’aucune bite n’avait pu explorer jusqu’ici, il criait à voix haute :

— Cette salope est si étroite que je sens chaque pouce de sa matrice !

Mon esprit se perdait dans les brumes, je ne parvenais plus à contrôler mon souffle, ma volonté était totalement anéantie.

Je concédais :

— Oh oui… Je me sens biennnnnnnnnnnn !

Il coulissait de plus en plus vigoureusement dans mon antre engorgé de cyprine, il me demanda qu’est ce qui me faisait tant de bien. Je lui répondis :

— Votre pénis… Il me fait tant de bien plongé dans mon intimité !

Il reprit hilare :

— Mon pénis ? C’est une bonne grosse bite noire et c’est ainsi que tu dois l’appeler dorénavant ! Dis-le à voix forte que tout le monde puisse t’entendre petite salope !

Une larme fleurit au bord de mes paupières, et je me pliais à son dictat :

— Votre grosse bite noire me fait tant de bien !

Il me demanda en hurlant :

— Es-tu une pouffe pour bites noires ?

Et, juste à l’instant ou le plus formidable des orgasmes me terrassait, je criais à pleins poumons :

— Oh OUIIIIIIIII… JE SUIS UNE POUFFE POUR GROSSES BITES NOIRES !!!!!

Coulybaca

16 février 2008.

Texte traduit de l’anglais

avec l’aimable autorisation de l’auteur :

Warner 34 (Dark Wanderer).

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