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Grand Frère (et les sorcières) – Chapitre 4

Grand Frère (et les sorcières) - Chapitre 4



Tout ça m’a bien creusé, je suis allé me prendre un en-cas à la cuisine. Kira après un bref passage dans la chambre d’ami pour se changer, a piqué directement une tête dans la piscine. Si vous souhaitez vous faire une idée de son physique, cherchez Dillon Harper sur votre moteur de recherche et imaginez-la avec des cheveux roses mi-longs. ;)

Après avoir fini ma pomme et mon jus de fruits, je vais rejoindre Kira au bord de la piscine. Elle s’installe sur un transat lorsque j’arrive sur la terrasse. Y a pas à dire, elle est super sexy ma tata, et son bikini couvrant le plus strict minimum met son corps encore plus en valeur. Je m’installe sur le transat dà côté.

— Au fait Kira, super ta nouvelle coiffure, ça te va super bien !

— Oh merci beaucoup, c’est gentil. Alors Max, la journée a été chargée, hein ? Tu as des questions ?

— Je sais pas trop… C’est un peu gênant à demander…

— Lance-toi, tu vas t’habituer vite, je pense.

— Ça t’a fait mal quand je te l’ai mise dans le cul ?

— Au début, oui, mais seulement parce que ça faisait longtemps. Et puis Dave et mes amants n’étaient aussi bien équipés que toi.

— Mais tu as aimé ?

— Oh que oui. Et toi ?

— Oui, aussi. Mais je kiffe vraiment les fellations. Mais pas toi, il parait, c’est vrai ?

— Max, j’accepterai ton don de la façon dont il te plaira de me le donner

— Je ne veux pas t’obliger à faire quelque chose que tu n’aimes pas.

— Oh mon Dieu, tu es déjà de nouveau en érection ? Max, tu as besoin être soulagé ?

— Euuuh… merde, désolé. Je… euh… vais aller aux toilettes.

— Tu es sûr ? Je serais heureuse de te la sucer si tu le désires.

— Non… ça ira. Je dois y aller.

Je retourne à la cuisine prendre un grand verre d’eau pour tenter de me calmer.

Kira s’est rallongé sur le transat pour profiter du soleil, je ne peux m’empêcher de la contempler en tentant de me soulager un peu… je n’ai pas dû être très discret, je me suis fait capter par Kira qui se retourna et je me retrouve face à elle, ma bite dure à la main tel un lapin prit dans les phares d’une voiture.

— OH MINCE ! Je suis désolé, tante Kira…

— Max, chéri. Tu n’as pas à être désolé, ni même embarrassé. Je suis heureuse de voir que mon corps t’excite, tu sais. Fais ce que tu veux. Si tu veux te branler en me regardant, très bien. Avec le bikini, ça va ? Ou tu préfères me voir toute nue ? Ou tu veux peut-être un petit spectacle ?

— Quel genre de spectacle ?

— Rentre et assieds-toi, je vais te montrer.

Je m’installe sur le canapé, encore plus excité à l’idée de ce spectacle. Elle mit la BO de 50 nuances de gris et commence à danser, d’abord de façon sage, puis de plus en plus aguicheuse, en se caressant la croupe et les seins. Sans plus aucune pudeur je commence à me branler devant elle. Un premier nud fut tiré, dévoilant ses seins bien ronds. Elle continue, se déhanche et fait passer son soutien-gorge par-dessus la tête pour le laisser tomber au sol. Le rythme de mes mouvements s’accélère.

Un dernier nud et c’est le string qui est à terre, révélant le spectacle de son magnifique corps et cette petite chatte parfaitement lisse.

Mais le clou du spectacle reste à venir, ma tante prend place sur le moelleux tapis qui occupait le centre de la pièce. Elle se mit à quatre pattes, les reins cambrés et le cul haut placé, pour bien me faire voir sa vulve. Kira place alors ses mains sur ses fesses et les écarte, dévoilant un joyau rose et luisant. Puis elle y introduit son index, bientôt rejoint par son majeur.

Je n’en pouvais plus et je jouis dans un long râle.

— On dirait que le spectacle t’a plu ? Elle vient s’assoir à côté de moi et me fait un petit baiser sur la joue.

— Tout ça va un peu vite pour moi. Ce matin, j’apprends que toutes les femmes de la famille sont des sorcières et qu’elles tirent leurs pouvoirs de mon sperme. Maintenant je dois baiser avec vous pour que vous puissiez les garder. Mais toi et maman, vous vous détestez. Si on baise ensemble, c’est comme si je la trahissais. Mais je vous aime toutes les deux. Avant tout ça je n’avais jamais vu que vous ne vous aimiez pas.

— Allons, Max, ta mère et moi ne nous détestons pas. On est surs, on s’aime.

— Mais je l’ai vue te faire faire ces trucs…

— Oui, je sais. C’est pour cette raison que nous avons les rituels : pour purger les mauvais sentiments. Les enfouir en nous crée des problèmes. J’ai été horrible avec ta mère, mais j’étais jeune et stupide. Et elle le sait. Si elle ne voulait pas me pardonner et qu’on passe à autre chose, elle ne m’aurait pas fait faire tout ça et je ne serais pas là.

— Tu es sûre ?

— Oui et maintenant, tu aimerais bien m’embrasser ?

— Oui

Comme si c’était naturel, on s’embrasse… elle se colle à moi, je suis en boxer… Kira toujours nue, elle sent très bon. J’avais tellement envie de l’embrasser que maintenant que c’est fait, je m’enhardis quelque peu, ma main glisse sur ses seins, je les caresse, elle copie sur moi et me caresse le sexe à travers mon boxer, évidemment je bande.

Elle se recule un peu, « Allez, enlève-moi ça… » me dit-elle avec un air mutin, espiègle… je baisse mon boxer, mon sexe jaillit d’un coup.

Elle s’approche à nouveau, sa main descend direction mon entrejambe, elle prend mon sexe en main, me masturbe, on recommence à s’embrasser, puis elle laisse ma bouche et se met à genoux devant moi.

Je baisse les yeux, elle lève les siens, on se regarde,

— Puis-je te sucer ?

— Oh oui

Et là elle met mon sexe dans sa bouche, et commence à me sucer, je ne dis rien, je me laisse faire, Kira me suce parfaitement, le jeu de la langue, de la bouche, des lèvres… tout quoi… Si bien que je ne tarde pas à jouir en elle.

— Merci pour ton don, Frère

— Merci à toi

— Tu es encore dur, as-tu envie de plus d’action ?

— Euh… oui

Elle s’installe sur la méridienne, ouvre grand ses jambes me laissant une belle vue sur sa chatte.

— Après mon cul, tu aimerais tester ma chatte, regardes elle est trempée, elle n’attend que toi. Veux-tu me baiser la chatte, Frère ?

— Oh oui

Je me suis mis sur elle et j’ai commencé à la prendre en missionnaire… Au début j’étais tout doux, je ne sais pas ce qu’elle aime, et quand j’ai vu qu’elle apprécie, je me suis une fois de plus enhardi et j’ai accéléré les coups de reins, le rythme, elle ne proteste au contraire…

— Oh oui, vas-y c’est bon, je te sens bien en moi…

Je vois de l’excitation chez elle, dans son visage, j’y vais de bon cur, avant de m’arrêter de me retirer… je m’allonge à côté d’elle, là c’est un joli piquet tellement mon sexe est bien droit…

Elle s’est empalée sur moi, c’est elle qui gère le rythme comme elle le sent, moi je ne bouge plus, je ne fais rien et j’admire le sublime corps de Kira aller et venir sur mon sexe… tout en faisant bien bouger ses seins.

Deux ou trois minutes de ce pur bonheur puis elle s’arrête se retire, avant de se mettre à quatre pattes sur le sol, bien cambrée.

— Vas-y, lâche-toi, défonce-moi

Le rêve, j’avais tout le bonheur de la prendre en levrette, et je ne me suis pas privé, et là j’y suis allé bien plus fort sur ses consignes, elle a gémi, avant de jouir… j’ai continué un peu… avant de…

— OHHHHHHHHH

— Hummm. Merci pour ton don, Frère.

Me dit-elle avec un clin d’il.

— Va te doucher, je vais préparer le dîner

— Super, merci, je meurs de faim

Le dîner s’est déroulé sans que j’aie la moindre érection. C’était génial. Je sais que la plupart des mecs aiment bien bander, et c’est vrai que c’était mon cas aussi. Mais c’est du passé, ça. La bite au garde-à-vous presque 24/24, ça devient plus une gêne qu’autre chose…

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