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Histoire d'amour imaginaire dans une ville perdue. – Chapitre 2

Histoire d'amour imaginaire dans une ville perdue. - Chapitre 2



C’est bientôt l’heure et la plupart des invitées sont déjà arrivées.

Un petit cercle d’amies se retrouve tout les dimanches, autour d’un thé, dans la petite ville de Baizons, sur l’île de Santa Picardie.

Ce petit groupe d’amie se compose principalement de femme mariées, veuves ou divorcées. Il s’agit surtout d’une bande d’amie d’enfance qui ont gardé le contact.

On amène les petits biscuits, on verse le thé. Et les convives s’échangent des petits mots amicaux et on discute de sujets divers.

Pauline, Martine, Justine, et Lucette se sont retrouvées chez Josie. Josie exerce le métier d’avocate, ce qui, avec le métier de son photographe de mari, lui permet de se payer une maison confortable. Et les filles sont très enthousiastes à l’idée de passer leurs réunions chez Josie.

Les jumeaux sortis, son mari parti au travail, elles avaient la maison à elles toute seules.

Thé, gâteaux, biscuits, et aussi vin et bières sont au menu.

« C’est un ravissement ma chère », s’exclame une convive . 

« Il faut absolument que tu me passe la recette. »

C’est un instant très important pour ces dames. En effet, c’est le moment pour ces femmes pour relâcher la pression. De décompresser. La vie n’est pas toujours tendre. Assez stressante, et qui requiert beaucoup de courage, patience. Des vertus rares, et rarement appréciées à notre époque.

Alors pendant 2 heures, on oublie son rôle de mère, d’épouse, et bien sûr son travail.

« Alors, comment va la petite Emma ? »

Il y a pour rituel, de faire un tour de table pour donner des nouvelles de tout le monde. C’est une façon de garder le contact. Le contact humain. Cela consolide les relations entre personnes. Et c’est tellement plus naturel que les réseaux sociaux informatiques.

Pauline prend la parole pour donner des nouvelles de sa fille. Et toutes les mères l’écoutent avec beaucoup d’émotion. Pauline a mis au monde Emma après la mort de son mari. Elle devait être enceinte de 8 mois au moins lorsqu’il eu cet accident tragique. Elle en fut anéantie, songeant même à mettre fin à sa vie et celle du bébé par la même occasion. C’est grâce au soutien de toutes ses amies, que Pauline a trouvé le courage de continuer. Emma fut née sans encombres et elle fait aujourd’hui la joie de sa mère. Pauline a du abandonné ses études pour s’occuper de son bébé.

Emma, aujourd’hui vient de passer le concours d’entrée pour l’école d’Art Supérieur de Lyonne. Elle est très nerveuse, comme sa mère. Ce concours signifierait une bourse qui lui serait d’un grand secours. Pauline ne touchant pas beaucoup, étant caissière.

Toutes les dames lui adressent, chaleureusement, des mots d’encouragements.

« Merci, ça me touche réellement. »Termine Pauline.

Puis on passe à la femme suivante : Lucette. Lucette n’est pas vraiment chanceuse non plus. Son mari n’est pas là pour l’aider à gérer la maison et leurs 3 enfants, Edmond, Julius et Juliette. En effet, monsieur est en prison. Il y est depuis 8 bientôt. Aussi Lucette, également reçoit beaucoup de soutien du groupe. C’est grâce à la cagnotte organisée par les filles que Lucette a pu co-financer ses études d’infirmière. Elle rembourse petit à petit tout le monde encore aujourd’hui.

Les 3 enfants de Lucette grandissent bien. Edmond, l’aîné, est un vrai amour, il aide tout le monde dans la communauté. Tout le monde l’apprécie, Edmond enchaîne petits boulots sur petit boulots. Il a déjà promené les chiens de tout le voisinage, passer la tondeuse, nettoyé la piscine, ou bien d’autre activités. Il est toujours serviable, aimable, et certaine mère ont déjà avoué à Lucette qu’il devenait de plus en plus beau garçon.

« On y touche pas les filles. C’est mon garçon. », plaisante Lucette.

Tout le monde sait qu’Edmond sort avec Ginny, la fille de Justine. Justine elle même avoue que sa fille ne réalise pas la chance qu’elle a d’avoir un garçon aussi charmant qu’Edmond.

-Nous devrions les laisser vivre leurs vies. C’est ainsi qu’ils apprendront à faire la part des choses.

Ces dames se mettent d’accord sur ce dernier commentaire. Cela jusqu’à ce que Martine ajoute en direction des mères respectives:

-Mais si jamais vous avez des détails « croustillants », vous êtes OBLIGÉES de tout nous partager !

Cette dernière remarque provoque un fou rire général. Justine et Lucette rient également de bon cur, la sexualité de leurs enfants est un sujet sérieux mais également un moyen d’aborder un sujet souvent discuté lors de ces réunions matriarcales : le sexe dans leurs vie de tout les jours.

Après la fin du tour de table, les convives abordent divers sujets comme dans une émission de télévisions. L’hôte de la maison, Josie, est la maîtresse de cérémonie et dirige les conversations. Aujourd’hui, est un jour important.

-Alors, mesdames, vous attendiez cet événement depuis une semaine. Mais les voici :

Josie s’en va dans la chambre et revient en apportant une caisse, assez large fermée, par un cadenas. Les femmes se tournent avec une excitation non dissimulée.

La caisse s’ouvre, et à l’intérieur

Josie commente :

« Voici donc les derniers modèles, fraîchement commandés et livrés en milieu de semaine. »

Elle sort un modèle. C’est un vibromasseur violet, en forme de courgette. Les dames applaudissent, certainement en signe de respect pour la personne, quelle qu’elle soit, responsable de sa conception. Josie, actionne un mécanisme dissimulé dans la courgette violette, Elle se met à vibrer. Elle enclenche à nouveau un bouton, la courgette crache un liquide imitant l’apparence de sperme : Toutes les dames se mettent à rire et à hurler d’admiration. On arrête pas le progrès.

Les autres modèles de vibromasseur sont, un à un sortis, de la caisse de pandore. On les étudie, on les manipule, et on commence déjà à s’imaginer « en situation ».

Il faut préciser que ce n’est pas une réunion lesbienne. On ne va pas se mettre en culotte, et commencer à se donner du plaisir dans le salon de Josie. Par contre, on hésite pas à partager ses fantasmes à discuter de ses envies, de ses besoins. C’est une chose assez importante dans la communication de ces femmes de plus de 30 ans. Si vous pouviez entrer dans ce salon, que vous aviez l’occasion de dialoguer avec chaque membres du club, elles raconteraient comment il est important pour elles, de partager leurs émotions. Il y a une réelle carence du côté de leurs maris selon elles. Une carence justifiée par soit son absence de considération, voire un manque total d’attention, ou encore, son absence totale. Le 2ème mari de Lucette est en prison par exemple.

Josie attrape un vibromasseur et commence à se battre en duel et Pauline, tels des mousquetaires. Mais avec des bites en plastique. Devant cette scène ridicule et touchante, Justine et Martine sont déjà à un stade avancé de manipulation de la marchandise.

Justine place, par exemple, un godemichet entres ses seins. Du 86 C, bien rebondie. Elle semble jauger quelque chose. La densité ? La texture ?

« Moi j’aime en mettre quand je fais le ménage toute seule. » conseille Martine.

-Heu comment ça ?

-Justine. Prends celui là.

Elle en montre un de taille relativement moyenne par rapport aux autres tailles.

-Avec ça, tu te la met.

Elle mime une pénétration.

-Tu met une culotte. PAS UN STRING. Et un pantalon. PAS UNE ROBE. Crois moi, ça évite l’embarras quand tu ouvre la porte au facteur.

Elles ricanent.

-Et tu n’oublie pas la télécommande que tu met dans ta poche. FAIBLE MOYEN FORT.

Martine pose le vibromasseur en question, avec sa télécommande sans fil sur les jambes de Justine. Elles se serre la main. Fières d’avoir échangé un secret d’une grande importance.

-Oh mais moi, je préfère être tranquille pour vous savez.

C’était Lucette, à 44 ans, elle aime rester seule donc. Du coup, elle attend que ses enfants soient au lit pour se donner du plaisir. Et Lucette, préfère un modèle silencieux. Sans moteur, sans artifice supplémentaire.

-C’est très compliqué de se masturber avec les enfants qui dorment à côté vous savez. Et puis avec mon travail.

Être infirmière implique des horaires assez infernaux il est vrai. Aussi, elle essaie de profiter de chaque instant d’intimité que la vie lui laisse.

-Essaie au travail. Il n’y a pas de honte à se doigter au travail.

-Non non ! Lucette ne l’écoute pas. Tu es infirmière, je ne veux pas que tu mette tes mains sur quoi que ce soit d’autre que des médicaments.

Lucette essaie de reprendre sa respiration. Elle va mourir de rire. Et Martine continue de sortir des blagues salaces pendant qu’elle reprend son souffle.

Pauline, met la main sur un vibromasseur de taille imposante. C’est un monstre, une verge immense. Gros comme l’avant bras de Pauline. Consciente des regards posées sur elle, elle se sent obligée de se justifier.

— Je les aimes grosses moi.

— Et je parie que tu en as déjà sucé des comme ça. Fais nous voir.

on l’encourage, et tape des mains à l’unisson.

« Pauline ! Pauline ! »

Enjoué, Pauline ouvre la bouche et commence à lécher amoureusement le morceau qui correspond au gland. Ce gland est morcelé en plusieurs petites bosses qui doivent procurer bien des sensations quand on le frotte à l’intérieur. Très vite, elle ouvre la bouche pour en avaler les premiers centimètres. Les convives l’encouragent très excitées et surtout hilares.

Josie arrive en renfort.

-Enlève tes mains ma chérie. Enlève tes mains !

Pauline retire ses mains, faisant confiance à Josie. Cette dernière attrape le vibromasseur et se positionne de façon à imiter un homme qui reçoit une fellation de la part de Pauline. Des petits cris stridents fusent, ça devient stupidement loufoque. Pauline pose ses mains derrière sa tête. Et Josie déguise sa voix pour ressembler à celle d’un homme quarantenaire.

-Allez ma Salope, suce moi bien la bite.

C’est vraiment n’importe quoi ce qui arrive.

Pauline manque de s’étouffer de rire. Et les autres invités commencent à sortir leurs portables.

Pauline et Josie s’arrêtent net.

En chur, elles crient : « Non pas de photos !! »

Il y a une règle ici, dans le club : « on se dit tout, on ne répète rien. »

Les filles s’étaient mises d’accord pour décompresser un max, se relâcher sans concessions. Et de ne rien raconter au monde extérieur.

-J’ai une idée.

Martine et Justine ramassent, chacune, un vibro. Elles s’approchent de Pauline avec un petit air vicieux. Pauline commencent à branler leurs vibros sous les encouragements de leurs propriétaires.

-Allez régale toi ma belle !

-Polie moi bien le dard avec ta petite bouche de petite salope.

Hilare, Pauline passe d’une verge à l’autre tâchant de garder le contact visuel avec la propriétaire

et adoptant des faciès aguicheurs.

On lui enfonce de la bite jusqu’au fond de la gorge, on lui bifle la joue. Elle avale, suce, tire la langue.

-Oh oui, tu va me faire gicler ma sauce mayo. Toi espèce de de suceuse.

Justine est un peu à court d’imagination.

Tout le monde oublie ses soucis.

Lucette reste en retrait, en train de rire. De rougir un peu. Ce n’est pas sérieux. Mais elle oublie ses soucis. Elle ne pense plus à son mari en taule.

 Martine laisse de côté le fait qu’elle ai découvert que son mari couche avec sa propre fille.

Josie ne pense plus au fait qu’elle perd de vue ses enfants, et encore moins au fait que son fils ai tenté de se suicider.

-Lucette !!

Josie tente d’incorporer l’infirmière dans la farce.

Pauline recrache le pénis de Martine et appelle à l’aide.

-Viens Lucette, ne me laisse pas seule ! Il y a trop de bite pour moi toute seule !

Lucette se fait un peu désirer, mais va rejoindre Pauline. S’agenouillant, se plaçant à ses côtés pour recevoir aussi des coups de gourdins.

Lucette a la plus grosse paire de seins du groupe. Ce n’était qu’une question de temps,avec semblable situation, avant que quelqu’un ne joue avec ses seins. Elle s’écrie de surprise, une bite caressant sa poitrine vient de se planter dans son décolleté. Par jeu, elle se presse les seins, ce qui les rends encore plus massifs, plus potelés. Justine imite le bruit d’un homme en plein ébats.

-Han ! Han ! Han ! Putain c’est bon merde.

Lucette se masse les seins pour mieux entourer la bite qui laboure son entre sein.

-Tu aimes ma paire de loches, hein mon cochon !

-Oh oui ma belle.

Pauline et Lucette gémissent et les autres « hommes » grognent, tous avec éxagération.

Au bout de quelques minutes Josie, Justine, et Martine utilisent les godemichets qui crache du jus. C’est un mélange de fruit et de lait sucré qui ressemble à de la gelée. Les giclées volent dans tout les sens. Menaçant de salir tout le monde.

-Oh mon dieux, sales garces ! Arrêtez !

Lucette éclate de rire. Pauline tourne la tête et hurle « bande de salopes, arrêtez ! Ma chemise ! »

Par jeu, elle attrape un godemichet et asperge à son tour ses « éjaculatrices ». On dirait une bataille de laser quest, mais avec des jets de sperme en lieu et place des rayons laser.

La bataille ne dure que 2 minutes. Ce qui n’est pas mal pour un faux pénis.

Elles se sont balancé du faux sperme dans toute la pièce ; et sur leurs vêtements.

Un gros filet de gélatine coule le long de la commissure formé par ses bazookas. Pauline se penche et en lèche une grosse partie. Laissant un peu de salive à la place.

-Encore ! Encore !

Pauline en redemande. Elle est fan des grosses éjaculations. Elle en avait déjà parlé dans d’autres réunions. A chacun ses fétichismes.

Tout le monde se réunit pour concentrer leurs efforts sur elle. Attrapant les godemichets cracheurs encore dans la caisse, lui recouvrant le visage entièrement. Son visage en devient blanc. Les réservoirs sont tous vidés.

L’euphorie se dissipe peu à peu. Et après quelques petits fou rire, on se remet sur les rails. C’est une règle adoptée par toutes les participantes. On peut se permettre de dire toutes les idioties, d’en faire un peu. Mais à la fin de la réunion, il faut retourner à la normalité. Cela fait partie du processus.

La réunion reprends un ton normal, et on discute d’autres sujets. Des potins, des actualités. C’est beaucoup moins érotique. Lucette et Pauline en profite pour se nettoyer.

Dernier tour de table pour les membres. Pour résumer leurs impressions, pour préparer le prochain rendez vous, mais aussi pour préparer les prochains événements.

Par exemple, après l’anniversaire d’Henri, on va parler de l’anniversaire d’Emma.

Pauline n’est pas très sûre de l’idée.

-Oh vous savez, j’ai l’impression que ça ne va très bien pour ma petite Emma. Je pense que c’est une histoire de cur.

Tout le monde est au courant pour son crush. Personnes savent de qui elle est amoureuse cependant.

-Pauline, as tu trouvé le nom de son amoureux ?

Pauline a bien une idée, mais elle ne partagera rien. Elle tient à préserver sa fille de toute moqueries.

-Je ne suis pas certaine, et je pense qu’il vaut mieux ne rien dire. Qui sait, peut être que je me trompe totalement.

Pauline se tait un moment puis ajoute.

-Mais je crois que c’est le mari de Josiane.

Les réactions ne se font pas attendre dans l’assistance. C’est une véritable information de la plus haute importance.

Les spéculations vont bon train :

C’est vrai qu’elle va souvent travailler chez les Grola. Et puis, il est pas si mal ce Marc Grola. Elle se fait toujours très belle quand elle va travailler chez eux. On les imagine déjà en train de s’envoyer en l’air dans le dos de Josiane.

-J’aurais aimé perdre mon pucelage avec ce bel étalon.

-Il doit embrasser comme un dieu.

-Pauline, tu dois absolument demander à Emma si elle a sauté le pas. On doit savoir.

Pauline tente de maîtriser la situation.

-Du calme les filles, arrêtez de mouiller vos culottes. Je veux qu’Emma soit à l’aise avec cette question. Je ne veux pas lui mettre la pression pour qu’elle se mette avec quelqu’un à tout prix. D’accord ?

L’atmosphère change alors. On n’entend plus de jeunes filles en fleurs, mais des mères.

-Oh oui, tu as raison. Elle doit prendre son temps.

-Rien ne sert de se presser. Regardez moi.

Lucette est la plus vieille, et a du avorter très jeune. Une relation passionnelle qui s’est avéré être une relation à sens unique.

On prodigue alors des questions préventifs. Non, Emma doit faire attention avec qui elle sort. Elle doit se préserver pour le « BON » gars.

Justine avec un ton bienveillant propose :

-Peut être qu’on devrait lui offrir un de ces jouets.

Elles regardent les godemichets. Il y en a un qui n’est pas trop excentrique, pas trop immense. Ça devrait entrer sans trop faire mal.

Pauline a des remords.

-Désolé, non. Je veux qu’elle ait sa première fois avec quelqu’un qu’elle l’aime, et que ce quelqu’un l’aime en retour.

On hoche de la tête. C’est vrai, on ne devrait pas diriger sa vie de cette façon. Josie lève son verre. La bouteille de vin a été ouverte il y a quelque minutes déjà.

-Buvons en l’honneur de la virginité d’Emma.

On lance des clins d’il à Pauline.

— Bande de pouffes.

Rire général.

***

Emma éternue.

Edmond et Victoria se tournent vers elles.

-Alors comme ça tu as froid ?

-Alors comme ça tu ne voulais pas prendre ton gilet ?

Emma balaie leurs insinuations d’une phrase.

-Mais non, on est train de parler de moi quelques part.

Edmond et Tommy rient en coin. Elle est mignonne mais trop superstitieuse.

***

C’est décidé, Pauline va organiser une fête pour Emma. Ce sera confidentiel juste entre une mère et sa fille. Elle a sûrement déjà organisé quelque chose avec ses amis.

— Organise une soirée chip’n’dale.

Pauline rougit mais plaisante coup sur coup :

-Ha non, si un bel homme musclé commence à retirer sa chemise dans ma maison : je jette ma fille dehors et je commence à le chevaucher.

Elle se lève et mime une personne qui monte une moto ou un cheval. Ce n’est pas très clair. Les mères redeviennent l’espace d’un instant des petites lycéennes humides. Sifflants, donnant des tapes aux fesses.

Martine lance alors une musique depuis son téléphone mobile.

La réunion se termine et 5 trentenaires dansent langoureusement sur de la musique salsa.

***

Albert rentre de son excursion en pleine nature, son appareil photo rempli de cliché de la mer.

Approchant de la maison, il regarde par la fenêtre du salon, et voit sa femme danser avec ses copines.

-Bon, je vais faire un tour dans la forêt.

Il emmène son matériel de photo et marche.

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