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Histoire de Soumise-à-lui – Chapitre 8

Histoire de Soumise-à-lui - Chapitre 8



La soumise avait rendez-vous avec son maître à l’hôtel, celui-ci avait exigé qu’elle soit en robe ou jupe sans culotte ni soutien-gorge, les dessous devaient être bannis dès que cela était possible. La deuxième exigence était qu’elle boive suffisamment, pour que maître et soumise puisse jouer avec leur liquide doré.

Elle redoutait de boire trop, en effet lors de la dernière rencontre avec le maître elle avait lâché son liquide doré dans la rue et n’avait pu satisfaire son maître, elle avait déçu son maître et ne voulait pas recommencer, elle but donc avec plus de modération mais assez pour satisfaire son maître.

Arrivée à l’hôtel, la soumise fut surprise d’être la première (un SMS au maître pour le numéro de la chambre), elle se prépara dans la chambre : elle se mit nue, à genoux sur le lit, yeux bandés, mains derrière le dos en position d’attente.

Elle entendit la porte s’ouvrir, une main se posa sur sa chatte et lui titilla le clitoris, dans son oreille la voix qu’elle reconnut étant celle de son maître lui demanda « tu as envie ? », elle comprit tout de suite que le maître désirait qu’elle fasse jaillir son liquide doré, elle hocha la tête d’assentiment.

Le maître la leva et l’installa dans la douche en position pour pisser, il sembla à la soumise qu’il se mit au-dessous d’elle, d’une grande claque sur le cul, il lui dit « allez pisse maintenant !! », elle redoutait toujours ce moment sachant que parfois la pisse ne venait pas aussi rapidement que voulu. Comme cela ne venait pas assez rapidement le maître lui claqua le cul à plusieurs reprises, la soumise sentit la brûlure des coups et fini par pisser, pendant que l’urine jaillissait le maître masturba la soumise mais pas au point de la faire jouir ce n’était pas le moment.

La soumise fut mise à genoux, bouche ouverte, un jet chaud d’urine atterrit dans sa bouche qu’elle avala avec délectation, puis la queue entière du maître dut être avalée, le maître lui baisa la bouche faisant des mouvements de plus en plus profonds de sa queue et maintenant la tête de la soumise par les cheveux. La soumise voulut se soustraire à cette emprise pour cracher, mais le maître la maintint la gifla à toute volée et lui cracha au visage, cette punition pour avoir osé se rebeller, il ne relâcha son emprise que lorsque la soumise se laissa faire sans rébellion aucune.

Le maître releva la soumise, lui retira le bandeau, et fit couler un jet d’eau chaude de la douche, il la lava, tout en titillant, tirant ses mamelons d’une main et titillant son clito de l’autre, la soumise poussa un grand cri de jouissance rapidement, la séance de soumission l’aillant excitée au plus haut point.

Elle se remit à genoux, pris la queue de son maître en bouche, fit monter sa bouche de haut en bas de cette queue, lécha les couilles et le trou du cul du maître qui eut pour effet de faire bander le maître, aux anges la soumise continua son jeu de langue sur la queue du maître, léchant par à-coups le gland, le trou du cul, la queue, pour finir par l’avaler entière, cette fois-ci elle prit les commandes et d’elle-même fit des va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en plus vite, le maître lui tira les cheveux en arrière pour mieux lui jouir au visage.

Après ces « jeux d’eau » le maître réinstalla la soumise sur le lit, yeux bandés en position d’attente. Elle sentit les pinces sur ses seins, dans un premier temps la douleur, puis la cyprine mouiller sa chatte. Elle poussa un cri en sentant la brûlure de la cravache sur son cul, le maître lui intima l’ordre de se taire, elle pinça les lèvres et sursauta à chaque coup porté méticuleusement sur chaque fesse, le maître jugeant l’effet non à la douleur ressentie mais à l’aspect, la trace laissée. Une fois qu’il fût satisfait, il passa au sein, il agit de la même manière.

La soumise n’avait pas entendu la porte s’ouvrir mais il lui sembla qu’une autre personne était rentrée et avait pris le relais de son maître, les coups étaient moins francs, moins précis.

Le temps de penser et une main s’était posée sur son clitoris, le titillait, le massait et une autre tirait sur les pinces ; la soumise était tiraillée entre la douleur, et l’excitation qui la faisait mouiller. L’excitation finalement prit le dessus et elle poussa un cri de jouissance atténué dans l’oreiller, le maître ayant pris soin de lui mettre sur la bouche lorsqu’il vit la jouissance arrivée.

La soumise s’écroula, dans le lit, épuisée de douleur et de jouissance. Pas le temps de se remettre qu’elle sentit une queue franchir l’entrée de sa bouche, une main prendre ses cheveux et lui intimé l’ordre du va-et-vient, dans le même temps une langue lui lécha les lèvres de sa chatte les ouvrit pour trouver le bouton de jouissance, dans l’action et l’excitation elle ne reconnut pas où le maître se trouvait et cela la troubla. La langue et la queue continuaient leur mouvement se qui accentua l’excitation de la soumise qui senti la cyprine mouiller sa chatte et remplir la bouche qui la suçait, son cri de jouissance fût étouffé par la queue qui était dans sa bouche.

Elle fut retournée brutalement et mise en positon de missionnaire, elle sentit sèchement et brutalement une queue rentrée dans son cul, qui la défonça, elle poussa un petit cri de douleur, une grande gifle vint la rappeler à l’ordre, elle ne devait rien refuser. Dans le même temps l’autre queue la pénétra, les deux queues firent des mouvements alternatifs de va-et-vient, dans l’un et l’autre des trous. La soumise grimaça de douleurs puis se laissant aller, l’excitation prit le dessus. Le maître lui intima l’ordre de ne pas jouir au risque d’être punie, le tant redouté supplice était arrivé. Les deux queues continuaient leur mouvement et un doigt massait et titillait son clitoris, la soumise était au calvaire, suppliait de pouvoir jouir mais à chaque prière une gifle monumentale lui arrivait au visage. Enfin les deux queues sortir de leur orifice et laissèrent jaillir leur semence sur le visage de la soumise.

De l’eau qui coule dans la douche, une porte qui s’ouvre et qui se ferme, le bandeau retiré, la soumise ne saurait jamais qui était venu prêter main forte à son maître, ni qui avait réussi à la faire jouir aussi fort, elle espérait dans son for intérieur que ce fût son maître.

Au petit matin, la soumise fut réveillée par la main de son maître sur son petit bouton. Le maître satisfait de la soumise lui avait permis de passer la nuit dans son lit.

Il lui demanda de se lever et de venir avec lui dans la douche, « tu vas devenir ma souillure » lui dit-il dans un grand sourire. Elle savait que ce moment allait arriver et le craignait, elle dut s’allonger bouche ouverte, le maître au-dessus d’elle s’accroupit et poussa. Un boudin de merde arriva dans la bouche de la soumise, « avale maintenant, tout en te caressant » lui dit-il, la soumise grimaça de dégoût mais s’exécuta tout en caressant son clito. Satisfait le maître pris le relais et fit jouir la soumise. Celle-ci rinça ensuite sa bouche, prit la queue de son maître lui fît une fellation qui permit au maître de faire jaillir sa semence sur son visage.

Le maître lui demanda si elle avait aimé leur jeu, la soumise acquiesça, « Tout » dit-il dans un sourire. La soumise avoua qu’elle n’aimait pas la séance scato.

« Il y en aura dautres, tu apprendras à aimer, car tel est mon désir » lui répondit le maître en lui caressant les seins et les cheveux.

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