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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 36

I - Liaisons dangereuses - Chapitre 36



Tant bien que mal, j’ai essayé de me faire une raison dès le départ, ce qui ne m’a pas empêché de m’endormir en pleurant comme une fillette durant une bonne semaine, puis au fil du temps, les choses ont fini par s’améliorer. J’ai tellement la tête dans le guidon au travail que je n’ai pas le temps de cogiter pour autre chose, même si malgré tout, Marion est encore bien présente dans mes pensées, mais ça va mieux, j’arrive à l’admettre sans pour autant devoir faire un effort surhumain pour retenir mes larmes. À plusieurs reprises, j’ai eu envie de l’appeler pour avoir de ses nouvelles mais j’y ai toujours renoncé car je pense que c’est mieux, pour elle comme pour moi, qu’on ne se parle pas pour l’instant. Je l’appellerai le jour où je serais vraiment certain de pouvoir discuter avec elle sans me remettre à déprimer.

Avec Jenny, notre relation est bien plus sereine qu’auparavant, mais il y a entre nous une distance qui s’est installée. Je ne pense pas que ce soit du fait de l’un plus que de l’autre, on ressent chacun une forme de gêne, moi de l’avoir pourri à blanc comme je l’ai fait, et elle parce qu’elle se sent en partie responsable d’avoir brisé mon couple. Du coup, on ne se voit plus hors du travail et on se contente d’une relation purement professionnelle. Lorsqu’on est seul tous les deux, il y a parfois des silences pesants pendant lesquels elle comme moi avons sans doute envie d’avoir des discussions plus personnelles, mais les mots ne sortent pas. Je ne suis pas encore dans un état d’esprit où cette situation me pèse donc je ne pose pas la question de savoir si oui ou non, il faut que je prenne les devants. Je sors à peine d’une période compliquée et je n’ai pas envie de remettre mon nez dans d’autres tensions potentielles car avant que je ne me mette avec Marion, j’enchaînais les plans cul avec Jenny, Shama, Denise, et j’en passe, je faisais les quatre cents coups dès que j’en avais l’occasion, puis je me suis mis en couple dans la foulée et maintenant, j’ai un peu envie de simplicité et c’est ce que m’apporte mon « sage » célibat actuel, ce qui est loin d’être désagréable, donc j’en profite !

Lors d’une après-midi au boulot, je suis dans mon bureau, plongé dans un dossier, quand Jenny vient me voir, il est 17h.

— Flo, je pars plus tôt aujourd’hui, j’ai pas mal à faire ce soir. T’as besoin de quelque chose avant que je file ?

— Non non, merci, tu peux y aller ;

— Ça marche. À demain alors, passe une bonne soirée ;

— Bonne soirée Jenny, à demain.

Je me replonge dans mon dossier sans même regarder l’heure, coutume que j’ai prise depuis quelque temps, quand j’entends une voix venant de ma porte.

— Ah mais t’es encore là toi ?

Je relève la tête et vois Shama. Je jette un il à l’horloge du pc, il est presque 19h.

— Je pensais que j’étais la dernière à partir, me dit-elle en me rejoignant pour s’asseoir en face de moi ;

— Et non tu vois, t’es pas la seule à bosser tard !

— Genre… Tu veux une médaille peut-être ?

— Je la mériterai !!

Nous rigolons tous les deux.

— Et toi alors, qu’est-ce que tu fais encore là si tard ? C’est pas dans tes habitudes, lui dis-je ;

— Oui, je sais, mais je voulais un peu m’avancer pour demain, puis bon, vu que je suis seule en ce moment, je me le permets ;

— Comment ça se fait que t’es seule ?

— Mon homme est parti voir des clients en Chine pour une semaine ;

— En Chine ?? Mais qu’est-ce qu’il fait comme job ?

— Il est viticulteur ;

— Ah d’accord, c’est vrai que les Chinois sont friands du vin français ;

— C’est ça, du coup, il va essayer de décrocher de belles commandes ;

— Ben j’espère pour lui que ça marchera ;

— Oui, je croise les doigts !

— Et donc, du coup, te voilà célibataire ;

— Eh oui !! Ça a du bon mine de rien d’être tranquille de temps en temps ;

— Tu prêches un converti là !

— Et toi alors, t’en es où ? Ça va mieux ?

— Oui, plus le temps passe et mieux ça va ;

— Toute façon, le temps est le seul remède pour ce genre de choses ;

— Exact !

— Et avec Jenny, ça se passe comment ?

— Ça va tranquille, relation standard ;

— Standard… Mais standard comment ? À baiser tous les deux jours comme vous faisiez avant ?

— Ahahah, non, standard gentil ;

— Ah. Mais, vous vous voyez pas en dehors du travail ?

— Non ;

— Comment ça se fait ?

— Bah, je sais pas, y a peut-être une forme de blocage qui persiste par rapport à tout ce qu’il s’est passé et on ose sans doute pas aller plus loin encore. Pour tout te dire, j’ai pas ça en tête, je suis tranquille pour le moment, et ça me va ;

— D’accord. Mais du coup, t’es obligé de te débrouiller seul pour…

— Pour quoi ?

— Ben…

Elle mime une masturbation avec sa main.

— Ah, ça ! Bah non, même pas ;

— Comment ça même pas ?

— Ben je me branle pas ;

— Tu déconnes…

— Non. J’y pense même pas en fait. Tu sais, à partir du moment où mon histoire avec Marion s’est terminée, j’ai fait en sorte d’avoir toujours un truc à faire, même en dehors du boulot. Du bricolage, des virées en moto avec des potes ou des raids en VTT, entre autres. Quand j’ai posé quatre jours l’autre fois, c’était pour ça. Du coup, quand je rentre chez moi, je suis tellement crevé que je tombe comme une masse et que j’ai envie de rien d’autre à part dormir ! Je me suis habitué à fonctionner comme ça en fait ;

— Oui d’accord, je veux bien, mais quand même… C’est quand la dernière fois que tu t’es soulagée ?

Je fais mine de réfléchir même si je sais pertinemment à quand remonte ma dernière relation sexuelle.

— Beeeen, la dernière fois, attends voir… C’était avec Marion, la veille du jour où elle a appris pour le gage.

Shama me fait les gros yeux.

— Mais… Ça fait quasiment deux mois ça !!

— Oui, à peu près ;

— Et en deux mois, t’as rien fait ?

— Non ;

— Même pas une petite branlette ?

— Non, je t’ai dit que j’y pense pas.

Shama me regarde, complètement choqué.

— Ah ouais nan mais là… C’est un cas d’extrême urgence, je peux pas faire autrement !

— De quoi ?

Shama se lève et pose son sac et son manteau sur la chaise. Elle est vêtue d’un pantalon noir et d’une petite veste légère, le tout, comme d’habitude, très moulant et épousant parfaitement ses formes généreuses. Elle fait le tour du bureau et fait pivoter mon fauteuil pour me tourner vers elle avant de se mettre à genoux entre mes jambes.

— Mais… Qu’est-ce que tu fous Shama ??

— Ma B. A. du jour.

Elle défait soigneusement ma ceinture et le bouton de mon pantalon puis baisse le tout en entraînant mon boxer. Me voilà la queue à l’air, elle est complètement molle vu que je n’avais strictement rien d’excitant en tête, du moins jusqu’à maintenant.

— Et… Et ton mec ? Je croyais que tu avais des restrictions ? Lui dis-je en la regardant prendre en main le membre flaccide qui pendouille entre mes cuisses.

Shama souffle.

— Il est sur un autre continent, on va dire que ça compte pas !!

— Ah ouais d’accord, tu te fais tes propres règles quoi !

Elle me regarde en me tirant la langue de manière coquine.

— Regarde-moi là comme elle a l’air malheureuse la pauvre, faut pas la délaisser comme ça, c’est cruel ! Dit-elle tout en commençant à amorcer la mèche.

Elle fait courir ses doigts autour de ma queue puis elle vient se lécher les doigts pour y déposer une bonne dose de salive avant de venir en enduire mon sexe pour se mettre à me branler plus vigoureusement. Je commence à soupirer en la regardant faire, elle ne lâche pas ma bite du regard, me masturbant tout en souriant, et au fur et à mesure, ma queue prend forme et commence enfin à ressembler à quelque chose de sérieux.

— Aaaaaah, c’est déjà mieux !

Elle continue ses délicieuses caresses jusqu’à ce que je sois bien au garde à vous, ce qui ne met vraiment pas longtemps à arriver tant ses gestes sont efficaces.

— Et voilà, dit-elle en relâchant ma queue qui reste maintenant bien droite, Elle est pas plus belle comme ça ?

— Faut avouer… Dis-je en soupirant ;

— Ben oui hein !! Et regarde-moi tes couilles comme elles sont énormes !

Elle prend mes bourses entre ses doigts pour me les malaxer doucement avant de se pencher pour venir les lécher, puis les gober une par une, gémissant de contentement en jouant avec à l’aide de sa langue et en me les aspirant. Elle ne touche plus à mon sexe mais pour autant, ce dernier reste droit comme un i tant le fait qu’elle me bouffe les couilles me procure un plaisir intense.

Elle relève son visage.

— Elles ont l’air bien pleines dis donc, va falloir faire quelque chose sinon elles vont exploser !

Elle se remet à me masturber non sans être allée remettre de la salive sur mon gland. J’ai les mains agrippées aux accoudoirs de ma chaise, Shama me lance un vrai regard obscène, alternant entre ma queue et mes yeux, elle sourit en se mordillant les lèvres, la bouche entrouverte, elle pousse elle aussi de légers gémissements car elle voit bien qu’elle me procure beaucoup de plaisir et elle adore ça ! Régulièrement, elle remet de la salive sur ma queue afin de la garder bien lubrifiée, ma mouille venant s’y mélanger pour améliorer encore cette glisse délectable. Elle alterne caresses rapides puis plus lentes, contacts appuyés et frôlements du bout de ses doigts, sur toute la longueur de mon membre puis juste en emprisonnant mon gland dans la paume de sa main pour le masser.

Putain, c’est tellement bon… Moi qui pensais ne pas en avoir envie, voilà que je me rends compte à quel point ça m’avait manqué !! Et dire qu’elle ne fait que me masturber…

Ma bite est rougeoyante et tendue au maximum, une belle veine que je n’avais plus vue depuis un bail se dessinant dessus et semblant sur le point de déchirer ma peau. Mes gémissements se font de plus en plus saccadés, je sens que la pression monte et Shama s’en aperçoit parfaitement.

— Ah, on arrive au bout on dirait ! lance-t-elle en souriant.

Elle relâche ma queue et se recule un peu puis elle commence à descendre la fermeture éclair de sa petite veste. Je vais pour attraper ma queue afin de continuer à me branler mais elle m’en empêche.

— Hep, pas touche !! dit-elle en me donnant une tape sur la main, Laisse-moi m’en occuper !!

Je ricane en la regardant ôter son vêtement. En dessous, elle porte un petit top noir largement échancré, m’offrant une splendide vue sur son décolleté et si j’en juge par le fait que je vois ses piercings se dessiner au travers du vêtement, j’en conclus qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle relève le tissu jusqu’à la base de ses seins et s’avance vers moi.

— Allez, on va la mettre au chaud. Tiens, lubrifie-moi ça s’il te plaît, me demande-t-elle en avançant bien sa poitrine vers moi.

Ses obus qui me sont offerts tendent bien l’étoffe et je me penche pour venir y lâcher une bonne dose de salive, cette dernière disparaissant doucement entre ses nichons. Elle se met à se malaxer la poitrine pour bien tout étaler entre ses mamelles en ronronnant délicieusement, puis elle se recule un peu et met sa bouche à quelques centimètres de mon gland pour venir y lâcher aussi un peu d’écume. Elle prend ensuite ma queue et la fait disparaître entre ses seins, je la sens se frayer un chemin, glissant parfaitement jusqu’à ce que je voie mon gland réapparaître de l’autre côté. Elle place ses mains de part et d’autre de sa poitrine et appuie fermement dessus pour bien enserrer ma bite.

— Allez, vas-y, à toi de jouer maintenant, baise-moi bien les nichons !!

Je m’exécute et commence à faire aller et venir ma queue entre ses seins, mon gland apparaissant et disparaissant au gré de mes mouvements, pas forcément rapides mais amples, je kiffe littéralement de voir ma bite glisser parfaitement entre ses deux belles gorges terreuses.

— Ho putain, Shama, tes seins… c’est… c’est si bon !! dis-je en soupirant, mon regard collé à son buste ;

— Ils te plaisent mes nichons, pas vrai ? Avoue qu’ils t’ont manqué !! me dit-elle en les comprimant un peu plus entre ses mains, accentuant la pression autour de ma verge ;

— Han, oui… c’est trop bon, je… je vais…

— Vas-y Flo, vas-y, continue, j’aime la sentir entre mes seins, je veux que tu craches, donne-moi tout ce que t’as !!

Je continue mes mouvements jusqu’à sentir que j’arrive au point de rupture et soudain, je me fige, incapable de faire un seul mouvement ni pousser un seul cri, je tremble, je me crispe, je me tends, puis enfin, la délivrance, une lourde giclée de sperme jaillit de mon gland exorbité jusqu’à la base de son cou alors que je m’écroule sur la chaise en poussant de longs râles de jouissance à mesure qu’une belle quantité de foutre continue à s’échapper de moi, comme si un robinet, trop longtemps fermé, venait de s’ouvrir en grand.

— Hmmmmm, oui, comme ça, c’est bien, vas-y, lâche tout, inonde-moi de ta semence bien chaude !! s’exclame Shama en continuant à me masturber avec ses seins.

Je peux sentir la chaleur de mes sécrétions enrober ma queue et couler le long de celle-ci jusqu’à mes couilles, la peau brune des nichons de Shama est à présent blanchâtre, tout comme mon gland qui est totalement enduit de sperme.

— Hmmm, c’est si bon, voilà une bonne dose bien épaisse comme je les aime !! dit-elle en regardant mon gland faire des allers retours et crachoter encore un peu de sperme.

Elle continue à me caresser tranquillement, étalant toujours plus mon sperme entre ses seins, son top est lui aussi bien imbibé de foutre.

— Hmmmm, cette bonne odeur de foutre… Faut que je goûte, je peux pas m’en empêcher !!

Elle retire ma bite d’entre ses nichons, elle est toujours fièrement dressée et elle ne se fait pas prier pour la gober entièrement en poussant des gémissements de contentement tout en me nettoyant la queue.

— Hmmm, hmmm, hmmm, han, j’adore le goût de ton sperme, il est salé juste ce qu’il faut, c’est délicieux !! dit-elle avant de se remettre à me sucer.

Elle me pompe avec allégresse, juste avec sa bouche cette fois, et elle m’offre une belle gorge profonde avant de libérer mon sexe.

— Putain, tu redescends pas mon cochon !! T’as encore envie que je te fasse cracher, pas vrai ?

En guise de réponse, je mets ma main sur le dessus de sa tête et je lui fais de nouveau avaler ma queue. Je lui maintiens le crâne et commence à lui baiser la bouche, et à présent, c’est elle qui s’agrippe aux accoudoirs de mon siège, poussant des gémissements et déglutissant comme elle le peut, elle subit les assauts de ma bite dont je sens le gland frapper au fond de sa gorge. Plusieurs fois, elle a des haut-le-cur mais elle garde ses lèvres bien serrées autour de ma verge qui se tend encore plus quand je sens une nouvelle éjaculation arriver, et comme il y a à peine quelques instants, je m’immobilise avant de jouir bien au fond de sa bouche. Elle pousse des gémissements étouffés en toussant à mesure que ma purée remplit son gosier, je maintiens fermement sa tête, mes doigts crispés autour de son cuir chevelu, je lui tire presque les cheveux, puis, une fois que je ne sens plus rien jaillir, je relâche mon étreinte autour de son crâne. Pour autant, elle ne me retire pas de suite de sa bouche et elle remonte lentement, du sperme s’échappant de la commissure de ses lèvres.

Elle sort ma queue de sa bouche et relève sa tête pour me regarder, la bouche fermée, puis elle l’ouvre, je l’ai rempli de sperme, encore une belle dose malgré le fait que j’avais déjà bien joui juste avant. Elle joue avec le liquide de sa langue, le faisant déborder sur ses lèvres avant de l’aspirer tout en sortant sa langue brillante de sperme pour en enduire ses babines, recommençant encore et encore pour finir par fermer la bouche afin de tout avaler d’un trait.

— La vache, ton sperme est vraiment délicieux, j’en veux encore, lève-toi !!

Je me lève pendant qu’elle fait de même. Elle baisse rapidement son pantalon et je constate qu’elle ne porte pas non plus de culotte tant le tissu est imprégné de cyprine. Elle s’assoit sur le bureau en écartant les jambes au maximum, sa chatte aux lèvres sombres, épaisses et à l’intérieur rosé s’offre à moi, elle est déjà copieusement humide et ouverte d’excitation. Je bande toujours assez pour pouvoir la prendre, ce que je fais, la pénétrant d’une traite alors que nous poussons à l’unisson un long gémissement de satisfaction. Mon pieu ne met pas longtemps à se tendre de nouveau car de le sentir bien au chaud entouré de la douceur de son minou si confortable est un pur bonheur ! Mais comment ai-je pu me passer de ça durant une si longue période ?? Comment ai-je pu oublier à quel point la sensation de pénétrer une si bonne chatte est délicieuse ??

Je la baise avec ardeur en lui arrachant de beaux feulements.

— HAN HAN HAN, OUI, VAS-Y, CONTINUE !! hurle-t-elle.

Mes mains la maintiennent fermement par les cuisses, je la pilonne sans m’arrêter, j’ai le regard posé sur sa poitrine toujours enfermée dans son haut et je décide alors de le tirer violemment vers le bas des deux mains, ses aréoles sombres et ses tétons gonflés ornés de leurs piercings apparaissent enfin, ses mamelles toujours en partie enserrées par le tissu, la peau de ses nichons brille de la décharge de foutre que j’y ai laissé tout à l’heure. Shama, la chevelure hirsute, me regarde intensément, elle a le visage rougeoyant et elle n’attend qu’une chose, que je jouisse à nouveau.

— VAS-Y FLO, JE VEUX QUE TU JOUISSES ENCORE !!! s’égosille-t-elle.

Je m’acharne sur sa chatte qui éclabousse mon bas-ventre à chaque contact avec elle, je me sens arriver au bout et je finis par me retirer. Immédiatement, Shama se met à genoux au sol devant moi et m’ouvre la bouche en grand en tirant sa langue autant qu’elle peut. Je me masturbe à vitesse grand V en poussant un gémissement ininterrompu qui atteint son paroxysme alors que, pour la troisième fois en si peu de temps, de nouvelles giclées de sperme jaillissent de mon urètre, moins nombreuses et puissantes cependant, mais Shama les accueille avec gourmandise en essayant d’attraper chacune d’entre elles avec sa bouche toujours grande ouverte. Elle vient ensuite prendre le relais de ma main pour essorer ma queue bien comme il faut, aspirant bien mon gland pour en extraire tous le jus qu’elle peut. Elle pousse des gémissements de satisfaction tout en dégustant tout le foutre qu’elle ramène avec ses doigts, allant le chercher sur son visage, puis sur ses seins avant de venir me gober les couilles qui ont elles aussi été enduites de sperme après ma première éjaculation.

Je finis par m’écrouler sur ma chaise en reprenant ma respiration.

— Putain, je sais pas ce que c’est ton régime alimentaire mais ton sperme est vraiment succulent !! me dit-elle en ne cessant de se lécher les doigts ;

— Ravi qu’il te convienne !

Elle vient de nouveau lécher mon sexe qui est en train de rendre les armes pour essayer de grappiller encore quelques gouttes de foutre.

— Alors, on se sent pas mieux quand on s’est vidangé ?

— Oui, c’est vrai que ça fait du bien ;

— Ben oui !! Par contre, je pourrais pas faire ça tout le temps, va falloir que tu te rapproches de Jenny hein ! Dit-elle en me faisant un clin d’il ;

— Ouais, je vais me pencher sur le sujet ;

— Encore que, si ton sperme reste toujours aussi délicieux, je pourrai bien faire d’autres écarts…

— J’ai pas le souvenir qu’à l’époque où on baisait, tu étais aussi passionnée de sperme ;

— Si, ça me plaisait quand même, mais pas autant c’est vrai. J’ai appris à aimer et j’ai pas trop eu le choix en fait, mon mec met un point d’honneur à ce que son sperme ne soit pas perdu et il m’oblige systématiquement à tout avaler ;

— Et quand il gicle à l’intérieur ?

— Il me fait tout ressortir dans sa main pour que je le lèche ;

— Eh ben…

— Ah oui, il est bien organisé !! Mais j’aime bien au final, le sien aussi a bon goût, comme celui de ses amis ;

— Monsieur est partageur ;

— Oui, comme il dit souvent, une belle salope comme moi, ça serait dommage de pas en faire profiter les autres !

— Joli leitmotiv !

— N’est-ce pas ! Faut dire que je suis très demandeuse, trop même des fois pour lui, et pourtant il aime le sexe hein, donc quand je le gonfle de trop, il appelle quelques amis à lui pour lui prêter main-forte ;

— Et ça te calme ?

— Euh, ouais… Jusqu’au lendemain !! dit Shama avant de partir à rire.

Nous commençons à nous rhabiller.

— C’est pour ça que bon, ce qu’on a fait là n’est pas si terrible, même si c’est clair que vu qu’il n’est pas présent, il n’aurait pas du tout été d’accord ;

— En gros, tu peux te faire sauter par n’importe qui du moment qu’il est avec toi, c’est ça ?

— Voilà. Mais j’ai beaucoup de mal à me priver de sexe, ça faisait à peine deux jours qu’il était parti et j’en pouvais déjà plus. Se fourrer des doigts et des godes, ça va un moment, mais quand t’es habituée à bouffer de la bite tous les jours, le manque se fait vite sentir !

— Ah mais en fait, c’est pas pour moi que t’as fait ça, c’est pour toi ! Tu t’es servie de moi, espèce de chienne va !

Shama éclate de rire.

— Non, franchement, j’avais aucune idée en tête avant que je ne remarque que tu étais encore là et qu’il n’y avait plus personne d’autre. À partir de ce moment, j’avoue que j’ai commencé à cogiter, et quand tu m’as dit que t’avais rien fait depuis deux mois, là, c’est bon, je pouvais pas passer à côté de cette offrande !! Faire dégorger un poireau aussi plein, j’en ai pas souvent l’habitude, et puis en plus, je t’en devais une pour l’autre fois ;

— Euuuuh non Shama, tu confonds, c’est moi qui t’en devais une !!

— Ah bon, t’es sûr ?

— Eh oui ;

— Ah… Bon ben tu m’invites au resto pour rattraper le coup alors ?

— Ahahahah, allez, d’accord, je t’invite !! Du coup, je te suis encore redevable ;

— Ouais, mais t’inquiète pas, la semaine est encore longue… me dit-elle en me lançant un clin d’il, Bordel, t’as complètement étiré mon top en tirant dessus comme un sagouin !

— Ah, désolé.

En effet, il est assez lâche et moule beaucoup moins sa poitrine dont les aréoles dépassent légèrement du tissu.

— Bon, c’est pas grave, j’ai ma veste de toute façon, dit-elle en enfilant cette dernière ;

— Tu veux pas passer chez toi pour te laver ? Tu sens le sperme à deux kilomètres, lui dis-je en passant mon doigt sur le haut de ses seins moite de sécrétions ;

— Et alors ? J’aime bien cette odeur moi !!

— Comme tu veux.

Nous partons et passons un super moment au resto. Outre le fait que jouir à outrance m’a considérablement détendu, bien plus que je n’aurais pu l’imaginer, j’ai pris aussi beaucoup de plaisir à passer cette soirée en sa compagnie. Il n’y a aucune ambiguïté entre Shama et moi, elle est ce qui se rapproche le plus d’une meilleure amie, mais une meilleure amie que je peux être amené à baiser, sans arrière-pensée. Et comme pour appuyer mon propos, elle ne m’a pas laissé rentrer chez moi avant de me pousser à monter dans sa voiture pour me pomper afin qu’elle puisse déguster mon foutre une dernière fois, en guise de digestif.

Ce soir-là, pour la première fois depuis très longtemps, je me suis endormi sans penser à Marion.

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