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Il me fait sentir femme – Chapitre 3

Il me fait sentir femme - Chapitre 3



Au petit jour, je me réveillai. La pièce sentait le sexe, ses jambes protégeaient les miennes. Son corps était un cocon et sa verge dure chatouillait déjà ma chatte, ma chatte anale. Oui, je considérai désormais mon anus comme la partie de mon corps servant principalement au plaisir. Je me remémorai la soirée précédente… ma verge était restée absente durant nos ébats, elle avait beaucoup coulé, mais elle ne s’était jamais bandée, pas une seule fois. Cela ne me choquait pas du tout, ça me semblait naturel.

Bien dormi ?

Oui, comme jamais.

Parfais bébé, j’adore sentir ma queue raide contre ton cul. Tu sais quoi, chaque fois qu’on dormira ensemble, au réveil, je veux qu’une partie de toi soit constamment sur ma verge ou mes boules. Je veux que mon sexe devienne familier pour toi.

D’accord.

C’est bien, soit bien attentive maintenant. Tu vas te lever et aller dans la salle bain. A côté du lavabo, tu trouveras un nécessaire à lavement. N’oublie jamais d’être propre avec moi. Avant de te laver, tu vas poser tes fesses sur les toilettes et enlever ton plug, tu sentiras mon sperme couler. Tu passeras un doigt sur ton anus et tu le lécheras. C’est important que tu sois à l’aise avec les goûts et les odeurs. Il faut apprendre à les apprécier. Appelle-moi quand tu seras propre que je vienne m’occuper de tes poils. Ha ! Et avant de sortir du lit, je veux une léchouille sur mes couilles.

Je suis déjà excitée…

C’est bien, tu seras souvent de cet état avec moi, c’est normal. C’est ta nature.

J’étais toute propre, en confiance et je l’appelai, il vint me rejoindre et me tendis une crème dépilatoire. Je l’appliquai sur le pubis, les fesses, la raie, les bras, les jambes et les aisselles. Il rasa le peu de poils qui restait.

Je veux un ticket de métro sur ton pubis. Pour l’instant, j’ai tout enlevé, t’es une petite fille, la femme s’inscrira sur ton corps, ne t’inquiète pas. Mais le ticket, tu le feras toi-même à la repousse. J’ai préparé une surprise sur le lit, va l’enfiler chérie.

Il passa sa main sur mes fesses, les caressa puis une petite fessée. J’étais sa petite femme. J’aimai ça.

Sur le lit était étalé un ensemble de lingerie noir, des bas, un mini-string, un porte-jarretelles et un soutien-gorge. Je ne pouvais pas rêver mieux, j’avais une boule d’excitation dans le ventre.

Tu vas mettre le string par-dessus le porte-jarretelles, toujours ton trou disponible, n’oublie pas le plug. Viens dans le salon quand tu seras prête. Tu vas déjeuner.

Il était nu sur son canapé et regardait une émission culturelle.

Tu es belle bébé, il te manque juste des talons pour bien prendre une posture convenable. Ils sont sous la table, là. Enfile-les et viens me montrer ton sexe.

Je me présentai face à lui.

Ton sexe, j’ai dis.

Je me retournai, et me penchai, il écarta mes lobes fessiers, la ficelle du string sur le plug et joua avec celui-ci un moment. Je gémissais. Ensuite, il me lécha les bourses. Je serrai mon sexe sur le plug.

Toujours aussi salope hein. Viens déjeuner maintenant, fais-moi jouir avec ta bouche et avale tout.

J’étais appuyée sur mes talons, penchée et je prenais sa verge en bouche. Quel plaisir, quelle délivrance ! Je roulai des yeux. L’excitation s’emparait de moi et cela jusqu’à ce que son plaisir se décharge au fond de ma gorge. J’avalai sagement avec un sourire.

Demain, une amie esthéticienne va venir t’enseigner les rudiments du maquillage, mais pour aujourd’hui, tu me conviens comme ça. De temps en temps, je prêterais ton cul à des amis. Prépare-toi psychologiquement. Tu auras le droit à tout : double pénétration, fisting, tu te gouineras même avec d’autres femmes quelquefois. Mais ta petite verge ne va plus bander, tu comprends ? T’es déjà assez mou naturellement, mais si je te vois bander par mégarde, je ferais en sorte que ça n’arrive plus.

Je comprends…

Sincèrement, à ce moment-là, je n’étais plus capable de penser, j’acquiesçais à tout. Seule une jouissance pouvait me libérer. J’étais son jouet.

Il connecta le moniteur TV à son ordinateur et fit jouer des vidéos, de femmes à queue qui jouissaient sans se toucher. Il me demanda de me mettre à quatre pattes et de regarder sans bouger puis il m’arracha le plug sans ménagement. Je sursautai.

Regarde bien, ce sera ton quotidien maintenant. Vu ton état, je vais rentrer dans ta chatte comme dans du beurre.

Et ce qu’il dit arriva. Il s’était enfoncé en moi d’une traite et me besognait avec une vitalité incroyable. Mes gémissements étaient saccadés. J’avais chaud, je collai et je "dansai" des hanches. Avec sa main droite, il tirait sur mes cheveux, avec sa main gauche il empoignait mes couilles. Je haletai comme une chienne. J’avais joui.

Je vais pas m’arrêter parce que tes petites couilles se vident toutes seules d’accord ? Reprends-toi un peu, sois disponible pour ton homme ! En plus, tu viens de me faire jouir, je vais te baiser longtemps, crois moi.

Ça commence à me faire mal… hun… hun.

Je m’en fous, pousse bien.

Il bavait sur mon nouveau sexe.

Merci.

J’étais maintenant le ventre au sol, il me baisait à califourchon. Mon esprit s’envolait…

haaaaaaaaaaaaaa salope. Je t’ai bien remplie. Tu vas pas manquer de vitamines, haha.

mmmh.

Il me laissa un moment à terre et puis, je sentis mon gouffre se combler à nouveau. C’est un plug plus adapté à ta vulve. Maintenant, lève-toi et va me faire un bon petit plat. Me faut des forces pour ce soir.

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