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"Il venait d'avoir Dix-huit ans…" – Chapitre 6

"Il venait d'avoir Dix-huit ans..." - Chapitre 6



Fabrice avait déjà vu sa prof nue lors de cette fameuse soirée…mais d’abord il y avait une certaine distance, entre d’autres spectateurs et elle. Cette distance psychologique était obligée en quelque sorte, un peu comme dans une soirée de striptease en cabaret. Et puis il y avait comme une frénésie des sens. Fabrice avait bien senti que ce soir là, Anne s’était laissée aller à ses penchants exhibitionnistes.

Mais ici le contexte était différent. Anne semblait très épanouie et excitée de se montrer nue aux deux hommes. De plus, étant assis sur le canapé, et Anne se trouvant à portée de main, il avait le visage en plein devant son…sa chatte ! Il n’avait pas osé sortir le mot. Et quelle belle chatte ! Fabrice ne pouvait en détourner les yeux. Il voyait les lèvres roses proéminentes toutes gonflées de désir. Surmontées par un pubis au triangle de poils blonds et très fins. La toison était assez bien fournie suivant les standards de l’époque…c’était beau, si tendre. Fabrice avait envie d’y fourrer ses doigts, de tester la femme; d’apprendre. Il avait là une occasion unique. Mais à ce moment-là, il se souvint qu’il n’était pas seul sur le canapé. Qu’allait dire le mari ? Éclater de rage ? Le foutre dehors par la peau du cul ? Passer un savon à sa femme pour son comportement outrancier ? La suite l’étonna beaucoup

Maurice se leva calmement, lui aussi avait le regard rivé sur le sexe offert de sa femme. Une bosse délirante déformait son pantalon de costume en tweed gris. Il regarda sa femme et lui dit:

Je vais vous laisser, tu peux aller dans la chambre fais ce qui doit être fait ! Jeune homme je vous laisse mon épouse , ayez des égards pour elle, elle le mérite !

Fabrice n’en revenait pas, il avait l’impression de rêver. Son proviseur lui offrait sa femme sur un plateau, sans haine, sans remords, sans rancune !

Mais …mais je…je ne comprends pas ? Dis Fabrice, le regard levé vers le visage de sa prof :

— Ne t’inquiète de rien et profite du moment, ce sera très agréable pour nous deux. Mon mari va revenir pour nous regarder, et nous prendre en photo. Mais il n’interviendra pas. Tu peux te laisser aller à tes pulsions, je te guiderai !

Et Anne s’étant rapproché très près de lui, Don’t stand so close to me , pensa-t il, en référence au dernier tube de police, elle lui prit la tête et enfouit son visage dans sa toison pubienne. Fabrice, aux anges, respira a pleines bouffées ces senteurs du paradis…paradis dont le gardien venait de lui remettre les clés !

Ensuite tout alla très vite. Il se mit à caresser ce corps offert et tant désiré. Ses doigts allaient et venaient sur le pubis de sa prof, entre ses cuisses, caressant le clitoris gonflé, s’introduisaient entre les lèvres pour envahir la fente dilatée d’envie. Anne se mit à gémir et respirer bruyamment. Pensant qu’il lui avait fait mal, Fabrice chercha son approbation en levant les yeux vers son visage:

Noooonnn hummmm ! Tout …toouuuut va biennn. Continue…CONTINUE ! C’est trop boooon !

La dernière phrase avait été prononcé de façon rauque. Fabrice n’avait jamais entendu une femme s’exprimer ainsi. Il comprit qu’elle était prise dans les affres du plaisir et qu’elle commençait à ne plus contrôler sa jouissance ! D’ailleurs, à son grand étonnement de petit puceau inexpérimenté, il se découvrit les doigts humides, couverts d’une sécrétion un peu gluante… il comprit que sa prof mouillait !

Puis Fabrice se leva et enlaça la prof, qui chercha ses lèvres et l’embrassa à pleine bouche. Lèvres contre lèvres, il fut étonné de sentir une langue inquisitrice forcer le passage de ses dents. Il céda

Et pris dans une torpeur sexuelle, il sentit la langue d’Anne envahir sa bouche, chercher la sienne et s’unir à elle. Les deux amants partirent dans un baiser profond très long et langoureux .

A la limite de la suffocation, et ressentant lui aussi une sensualité exacerbée, Fabrice ne se contrôlait plus non plus. Il se laissa guider par sa prof dans la chambre conjugale. En peu de temps elle le déshabilla, et se mettant à ses genoux, elle lui prit sa verge gorgée de désir; la masturba un peu, puis l’engloutit dans sa bouche affamée d’organes mâles. Anne suçait Fabrice et elle se régalait. Elle sentait l’organe du jeune homme pulser  et vivre dans le fourreau chaud et vorace de sa bouche. Elle le suçait, le pompait, le dévorait. Et Fabrice ne mit pas longtemps à venir. Il se libéra d’un flot de sperme dans la bouche de sa prof, tout en émettant une longue plainte, ne comprenant même pas ce qui se passait .

Quand il reprit le contrôle de son intellect, il n’entendit que les bruits caractéristiques d’un Polaroid prenant des photos. Quand ils se retourna, il vit le mari, Maurice V..r, qui prenait des photos, avec un air qu’il ne lui avait jamais vu: un mélange de surexcitation de de lubricité morbide…cela n’échappa pas à Anne non plus ! Puis alors que les deux amants nus, se couchaient sur le lit conjugal, SON lit à lui aussi, il prit l’imposante caméra, et tentant du mieux qu’il le pouvait de maintenir une stabilité à l’objet, malgré son état de fébrilité sexuelle, il filma les ébats des nouveaux amants !

Le soir, une fois Anne l’ayant rejoint, dans la chambre à coucher, cette fois-ci en longue chemise de nuit complètement an-érotique, Maurice posa la bible qu’il lisait avec assiduité comme tous les soirs. Il se tourna vers elle et l’observa avec intensité. Sa femme faisant semblant de ne pas remarquer son intérêt à son égard, se tint coite. Elle attendait la réaction de son mari. Après un silence pesant et lourd , il prit la parole.

Heu, dis moi, il ne t’a pas fait mal quand même ?

— Les cris et les gémissements provenant de ma part, étaient l’expression de mon plaisir de femme, et n’avaient aucun rapport avec une quelconque douleur !

— Mon Dieu  ! Mais…mais tu as donc pris du plaisir dans cette pénible situation ?

— Pourquoi ? Pas toi ? Une femme peut facilement dissimuler son excitation sexuelle, un homme beaucoup moins, surtout quand il porte des costumes aussi bien ajustés que les tiens !

— Co…comment tu .. tu as vu …que que

— Que tu bandais ? Oui ! Cela ne t’était plus arrivé, du moins de cette façon, depuis au moins 15 ans. Toute cette situation t’excite Maurice. Tu as adoré me voir prise par ce jeune homme ! Tu connais l’histoire du roi Candaule ?

— Candaule, l’Héraclide de Lyddie bien sur que je le connais. Il a régné au VIII° siècle avant Jésus Christ. Mais que vient-il faire dans tout ça ?

Puis Maurice poussa une exclamation pitoyable ! Et honteux, se dépêcha de fermer la lumière de chevet, puis se tourna vers le mur.

Anne, quant à elle, se retenait de rire, et avait déjà ses nymphes qui s’humidifiaient en pensant à la suite !

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