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Infirmière de mon père – Chapitre 1

Infirmière de mon père - Chapitre 1



Il y a maintenant presque 23 ans de ça, mes parents ont eu un accident de la route. Javais 4 ans à lépoque. Ma maman est décédée sur le coup et mon papa est maintenant forcé à passer le restant de ses jours dans un fauteuil roulant : il peut à peine bouger et peut à peine parler. Toute ma vie, jai dû moccuper de lui. Cela na pas été facile tous les jours, mais je nai jamais ressenti ça comme une corvée. Je suis sa fille, cest à moi de men charger et puis cest tout. Au début de cette histoire, mon papa avait 50 ans et jen avais 27.

Pendant mon enfance et mon adolescence, jai bien sûr eu laide de ma famille, principalement de ma tante, la sur de mon père. Mais celle-ci est décédée. Quand je suis allée à luniversité, jai engagé une infirmière pour soccuper de lui. Malheureusement, cela nous revenait trop cher et nous avons dû nous passer de ses services. Et puis papa ne la jamais aimée, il me la fait savoir lors dune de nos discussions. Il na beau ne pas savoir parler clairement, au fil du temps, nous avons appris à nous comprendre par certains gestes, par certaines onomatopées.

Depuis mes 19 ans donc, je moccupe seule de mon père. Cela na jamais été facile de moccuper à la fois de mon père et de mes études, mais je nai jamais vraiment eu dautres choix. Lors de ses bains, mon père était parfois en érection. Cela ne ma jamais dérangée : je lui lavais le sexe, il était donc normal que la stimulation produisait une érection. Parfois, ses érections traînaient sur plusieurs jours. Cest-à-dire que je pouvais le voir, à plusieurs moments de la journée, en train de bander. Et à ces moments-là, mon père était frustré, presque en colère. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi, jusquà ce que je fisse le lien avec ses érections. Je me suis alors renseignée sur le Net, je ne savais même pas quun handicapé moteur comme mon papa pouvait encore bander. Jai lu que cela pouvait arriver, mais que cela restait rare. Mon pauvre père ! Lui, à qui on a ôté les plus belles choses de la vie, on lui donnait en plus le désir pour ces choses. Jai pensé à lui payer une prostituée de temps en temps, mais leurs prix revenaient très vite trop chers pour nous. Au fond de moi, jai toujours su la seule solution possible : comme toujours, il fallait que je men occupe moi-même.

Je lave mon père depuis que je suis adolescente, il ny a donc aucune gêne entre nous à ce quil se mette nu. Cest dailleurs comme ça que tout a commencé, lors de sa toilette. Jétais en train de lui passer le gant de toilette sur tout le corps, lorsque je remarquai que son sexe était en train de grossir. Je my suis donc attardée un peu, passant et repassant sur son sexe. Leau chaude lui faisait du bien, et mon lent massage aussi. Je prétextai de laver ses couilles pour les masser, elles aussi. Puis, jai enroulé le gant autour de son sexe et je me suis mis à le branler, tout doucement. Papa respirait fort, mais ne disait rien. Jai continué jusquà ce quil jouisse dans ma main ; je ne voulais pas quil se salisse à nouveau. Et ça a continué comme ça un moment. Je ne le masturbais pas tous les jours bien sûr, seulement quand mon père affichait une forte érection. La Nature lavait bien pourvu dailleurs, quel dommage, cétait pour lui, ou pour quiconque laurait eu pour mari.

Dû à son handicap, lérection de papa nétait parfois pas très forte et il mettait alors longtemps à venir. Cela ne me dérangeait pas, jusquau jour où je fus en retard pour un de mes cours du soir. Javais beau le frotter, le gant de toilette avait lair de ne lui faire aucun effet. Peut-être navait-il pas envie ? Pourtant, cela faisait plusieurs jours quil bandait. Jai alors regardé ma montre et dans une tentative désespérée, je me suis mise à le branler à la main et à le sucer en même temps. Je voulais quil jouisse le plus vite possible. Son érection doubla instantanément de volume. Cétait la première fois que je faisais ça avec lui. Javais son sexe qui était sur le point dexploser entre les doigts, son gros gland dans ma bouche. Je nétais pas excitée, mais javais néanmoins le cur qui battait fort. Il jouit dans les trente secondes, le sperme de papa marrosant lintérieur des joues, et je pus aller à mon cours.

Ce ne fut quen cours, alors que javais encore le goût de la semence paternelle en bouche que je me mis à réfléchir sur ce que javais fait. Entourée de monde, javais un peu honte, mais je me suis dit quau moins, javais rendu mon père un peu heureux dans sa chienne de vie. Jétais décidée à le refaire sil le fallait.

La fois suivante, quelque chose de très étrange sest passé. Mon père avait de nouveau une belle érection. Mais lorsque je me suis mise à le masturber avec son gant de toilette, il sest mis à râler et à gigoter pour me faire comprendre que quelque chose nallait pas. Et puis, je compris : il voulait que je le masturbe comme lautre fois. La masturbation précédente que je lui avais procurée avait été trop bonne, il ne voulait plus retourner au gant. Je lai regardé alors avec un grand sourire, contente de savoir que javais eu un tel effet sur lui. Tout évènement qui montrait mon père plein de vie était pour moi exceptionnel et me remplissait de joie. Je lai appelé mon grand coquin et me suis mise à le masturber avec ma main. Oui, cétait peut-être de linceste, mais javais un père qui souffrait et pas vraiment dautres alternatives pour lapaiser. Je men serais voulue toute ma vie si je lavais laissé comme ça. Alors les gens peuvent bien me juger sils le veulent. Moi, javais décidé dassumer pleinement ce que je faisais : je lai branlé et sucé avec tout lamour qua une fille pour son papa. Cest à partir de là que je me suis mise aussi à lui masser les bourses, il en raffolait. Je le masturbais certaines semaines tous les jours, jusquà ce quil se vide abondamment, parfois dans ma bouche puisquil ne pouvait me prévenir et ce jusquà ce quil soit satisfait. Croyez-le ou non, mais mon père se portait bien mieux depuis le début de nos petits moments intimes.

Les mois passèrent et vint rapidement lanniversaire de mon papa. Je lui avais préparé une petite fête en son honneur comme chaque année, javais invité la famille et des amis à lui. Tout sétait bien passé, mon père avait lair heureux. Lorsque tout le monde fut parti, jai eu un dernier cadeau à offrir à mon père. Jai laissé ce dernier dans le salon et je suis partie me changer pour revenir déguisée en infirmière sexy. Et oui, cela faisait 7 mois que jétais linfirmière personnelle et sexuelle de mon grand coquin de papa, il fallait bien en endosser luniforme un jour ou lautre. Et sil adorait mes massages tantriques, il ny avait plus quune chose que je souhaitais lui donner : le plaisir ultime dans la vie dun homme.

Je lai désapé, comme dhabitude non sans difficulté. Jembrassais ses pauvres jambes inertes, espérant que mes baisers serviraient de miracles. Javais deux gants à longues manches, très doux, blancs, que je baladais sur tout son corps. La tenue dinfirmière me donnait un décolleté du tonnerre, jai alors pris la main de mon père et je lai plongé dedans. Cétait la première fois que je faisais ça, la première fois que je madonnais à mon père. Car dhabitude, certes, je le masturbais jusquà ce quil jouisse, mais cela sarrêtait là. Alors que ce jour-là, javais envie de moffrir à lui, javais envie de lui offrir une femme, entière, pleine damour, comme il avait pu en connaître auparavant. Il se mit à me pétrir le sein et cela rendit son sexe dur comme un roc. Je neus même pas besoin de le branler. Mon gant passait gentiment sur son gland et sur ses bourses pleines à craquer.

Peut-être était-ce à cause de ma jolie tenue, mais mon père avait lair particulièrement excité. Je savais quil fallait que jaille doucement ou il nallait pas tenir très longtemps, or javais encore plein de choses à lui faire. Une petite goutte de ce qui semblait être du sperme perlait au bout de son gland, je me suis mise à laspirer et en profitai pour commencer à le sucer. Lorsque jai eu son gros gland dans la bouche, lorsque ma langue râpeuse sest tortillée tout autour, jai eu un sentiment étrange. Je réalisai soudainement que cétait le pénis de mon père que javais en bouche et mon cur sest mis à battre deux fois plus vite. Aussi bizarre que cela puisse paraître, et malgré lacte sexuel, javais limpression de retomber en enfance, nos liens étaient si forts. À ce moment précis, il ny avait que mon papa et moi.

Jétais maintenant, moi aussi, très excitée, javais envie de glisser ma main sous ma jupe sans culotte, mais je nosais pas. Mon père avait besoin de ces « soins », mais moi non. Je navais pas dexcuse. Alors, cest sous prétexte de rendre mon père encore plus heureux que je suis passée à létape suivante : je me suis relevée et jai demandé à mon papa sil était prêt pour son véritable cadeau. Je me suis retournée et je me suis légèrement penchée en avant, lui présentant mon derrière. Il put voir mes fesses nues et mon sexe de femme, deux choses quil navait plus vues depuis longtemps. Toujours retournée, jai pris le gros zizi de mon papa et je me suis assise dessus. Pour la première fois depuis des années, il pénétrait une femme. Cela devait être tellement bon pour lui quil ne put sempêcher de lâcher un gémissement. Moi, jessayais de me contenir, javais les joues roses et me mordais les lèvres ; jétais honteuse de prendre tant de plaisir moi aussi. Je commençai mes va-et-vient de cette façon. Javais les jambes faibles et tremblantes, mais quest-ce que cétait bon ! Je sentais que je pouvais jouir, mais je nosais pas me laisser aller. Mon con se serrait contre le sexe gonflé de mon père. Et lorsque je sentis, pour la première fois, sa semence chaude en moi et que je réalisai que cétait le sperme de mon propre père que je sentais, je nai rien pu faire et je me suis laissée emporter par un orgasme foudroyant. Je suis restée assise un moment sur lui, profitant de la jouissance qui me parcourait le corps. Je pouvais sentir son sexe débander lentement en moi.

Je me suis désempalée et me suis posée dans le canapé, toujours dans ma tenue dinfirmière. Papa avait le sexe à lair.

Mon père avait lair davoir retrouvé une nouvelle jeunesse : il avait les yeux rivés sur moi et, lentement, je pouvais voir le bougre déjà rebander. Peut-être ai-je un pouvoir de jouvence sur mon papa ?

« Quel coquin tu es, lui dis-je alors en mapprochant, si javais su que ça te plairait tant, je laurais fait bien avant… ! »

Sa queue était devenue raide, son gros gland, un peu rouge, gonflé. Je me suis rassise sur lui, mais en lui faisant face cette fois. Mes jambes étaient de part et dautre de lui et traversaient son fauteuil roulant. Et je lui ai dit, tout en mettant son sexe en moi : « Mais maintenant, je sais ! Ne tinquiète plus, papa, je vais bien moccuper de toi dorénavant ! ». Et jai commencé mes va-et-vient. Je bougeais mes hanches et déjà ma respiration saccélérait. Jétais tout contre lui. Je décidai de sortir mes seins de mon bustier pour quil puisse les toucher, les sentir, les goûter. Pendant que nous faisions lamour pour la seconde fois, javais la tête au creux de son cou. Nous étions presque en train de nous câliner. Et puis, jai eu le bonheur, pour la deuxième fois, de sentir mon père se déverser en moi. Jétais à chaque fois si contente de le faire jouir, je savais que ça faisait du bien à son petit corps.

Je me suis relevée, jai nettoyé mon père et lui ai souhaité un bon anniversaire, en lembrassant sur la joue.

Je nai jamais regretté ce que jai fait avec mon père. Nous avons dailleurs continué pendant longtemps. Même lorsque je me suis mariée, même lorsque jai eu des enfants, jai toujours trouvé un peu de temps pour voir mon père et lui faire les soins dont il avait tant besoin. Lorsque mon mari et moi eûmes assez dargent pour payer les soins réguliers dune infirmière professionnelle, jai refusé. Cétait à moi que cette tâche incombait. Jétais la petite infirmière sexuelle de mon papa. Et personne dautre naurait pu lui donner ce que moi je lui ai donné.

Hélas, mon papa nous a quittés il y a 3 ans maintenant. Il me manque beaucoup et cest pourquoi jai ressenti le besoin de partager mon histoire. Merci de mavoir lue !

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